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(09/11/2011 10:45:02)
LMI recherche son trafic manager
Au sein de notre régie publicitaire interne, vous devenez trafic manager, et assurez la gestion et la diffusion des campagnes pour des clients prestigieux de notre secteur (IBM, Intel, Orange, Microsoft, etc.). Intégré(e) à la dynamique d'une équipe dédiée à la publicité en ligne, vos principales missions consistent à : collecter les éléments graphiques de la campagne, monter les campagnes de publicité (Adsever ADTECH), assurer le lancement et le suivi des campagnes, optimiser la diffusion, et réaliser les rapports de campagnes pour l'équipe commerciale.
Au coeur de l'activité, vous assurez également le routage des e-mailings via une solution d'envoi propriétaire.
Profil
Pour mener à bien vos différentes missions, vous disposez d'une première expérience du web et de la publicité en ligne. Lors d'un stage ou d'un emploi dans une régie Internet, vous vous êtes familiarisé(e) avec un AdServer (idéalement AdTech, Smart Adserver, par exemple). Vous disposez de notions techniques (HTML, notamment). Votre rigueur dans le traitement de l'information (excellente maîtrise des tableurs indispensable) et votre réactivité font de vous un soutien de choix pour l'équipe commerciale.
Vous êtes passionné(e) par Internet et faites preuve d'aisance dans l'utilisation des outils informatiques de manière générale. Votre anglais confirmé est opérationnel dans un contexte professionnel.
Postulez dès maintenant en adressant votre candidature (CV + lettre) par mail et en précisant le poste à : itnirecrute@it-news-info.com
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Qui cherche du travail sur les réseaux sociaux n'en trouve pas
Dans l'actuel marché du travail, candidats comme recruteurs sont mécontents de la situation actuelle. Les voilà au moins réconciliés sur un constat commun. Les sites d'emploi (jobboards) comme Cadremploi, Monster, ou RegionsJob et les réseaux sociaux professionnels (Viadeo, Linkedin...) ne répondent pas correctement à leurs attentes, les réseaux sociaux ayant au moins l'avantage d'un coût nettement moindre. Ces derniers rattrapent donc à grande vitesse les premiers dans les pratiques tant des candidats que des recruteurs, en attendant un meilleur service.
C'est là le principal enseignement d'une étude menée par le groupe Piana HR Group durant l'été 2011.
Côté candidats, l'usage des réseaux sociaux professionnels s'est imposé. Les deux tiers des répondants possèdent un compte sur Viadeo et un peu moins de la moitié sur Linkedin. Plus des deux tiers ont de tels comptes pour les aider à trouver un emploi, à peine moins (six sur dix) pour étendre leur réseau professionnel. Or moins d'un répondant sur cinq a été aidé dans sa recherche d'emploi par sa présence sur les réseaux sociaux.
Et c'est encore moins que la proportion de membres ayant réussi à développer leurs relations commerciales grâce à ces outils (presque un quart). La seule réussite (et encore) des réseaux sociaux concerne donc l'extension du réseau professionnel puisque plus de la moitié des répondants admettent avoir été aidé en cela par les réseaux sociaux.
Assez logiquement, la fonctionnalité préférée des répondants sur les réseaux sociaux est la diffusion d'offres d'emploi (presque les deux tiers des répondants) suivie de la suggestion de contacts. Ces fonctionnalités sont en ligne avec les buts d'inscription. La messagerie interne (moins de la moitié des répondants l'apprécient), la publication d'humeurs et la création de groupes de discussion (un tiers des répondants chacun) sont largement derrière.
Si les répondants admettent la simplicité d'utilisation, la convivialité et la facilitation des échanges des réseaux sociaux, il n'en demeure pas moins que plusieurs points les inquiètent. Au delà du fait que les fonctionnalités avancées sont généralement payantes, les risques sur la vie privée et la confidentialité des échanges comme les sollicitations inappropriées sont de vrais freins à l'usage.
Les réseaux sociaux moins chers pour les recruteurs
Le fait que les services vraiment intéressants soient payants est également le principal frein à l'usage des réseaux sociaux par les recruteurs. Mais les échelles de coûts n'ont rien à voir avec les Jobboards. Les tarifs de ces sites spécialisés sont en effet souvent prohibitifs : plusieurs centaines d'euros pour une annonce, plusieurs dizaines de milliers pour un accès d'une personne à une CVthèque... A l'inverse, un abonnement à un réseau social pour bénéficier de toutes les fonctionnalités du mode premium se compte en dizaines d'euros par personne. Les recruteurs utilisent donc de plus en plus massivement les réseaux sociaux plutôt que les jobboards, avant tout pour des raisons d'économie. Cependant, les réseaux sociaux commencent à développer une tarification particulière pour la diffusion d'annonces de recrutement.
Dans l'étude de Piana HR Group, plus de la moitié des recruteurs [[page]]
ont déclaré utiliser des jobboards et 40% des réseaux sociaux. Dans les deux cas, la diffusion d'annonces et l'accès à la CVthèque sont les fonctionnalités favorites : respectivement plus de la moitié et plus de quatre sur dix dans les jobboards, un tiers dans les deux cas sur les réseaux sociaux. Notoriété et prix sont, dans les deux cas, les deux critères majeurs de choix du site web.
De la même façon, les premiers reproches faits aux deux types de sites sont assez proches : le prix des annonces (60% des répondants pour les jobboards, 56% pour les réseaux sociaux) et des retours insuffisants (45% et 50%).
Mais les réseaux sociaux sont ensuite accusés de faire perdre du temps (la moitié des réponses) et de ne pas proposer de données complètes, notamment en termes de coordonnées (44%). Le manque de profils pertinents est derrière (38,9%). A l'inverse, ce manque de profils est le troisième reproche sur les jobboards (45% des réponses).
Force est donc de constater que recruteurs comme recrutés ne sont pas satisfaits des outils actuels.
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Dépenses IT : 2e récession en route en Europe selon Gartner
En Europe de l'Ouest (qui représente 80 % de la région EMEA), les dépenses IT des entreprises seront en déclin de 1,8 % en 2011 et vont croître de seulement 1,5 % en 2012, selon le cabinet Gartner. Sur la région EMEA dans son ensemble (Europe, Moyen Orient, Afrique), les dépenses informatiques des entreprises seront affectées d'une croissance lente jusqu'en 2015, prédit le cabinet Gartner. Sur 2011, cette dépense serait de 604 milliards d'euros, en recul de 1,4%. En 2012, elle repartirait à la hausse, de 2,3%. Il s'agit bien entendu d'une moyenne sur un ensemble de pays assez disparates. Elle a néanmoins été tracée lors d'un symposium réunissant 1 600 CIO et dirigeants d'entreprises IT.
« La seconde récession est en route et les CIO doivent décider quel chemin prendre » a souligné Peter Sondergaard, senior vice président du Gartner, s'adressant plus particulièrement aux directeurs informatiques. "La poursuite de l'incertitude économique mondiale et la crise la zone euro auront un impact sur les budgets informatiques en 2012, votre entreprise fera face à de difficiles questions budgétaires. Votre choix dépendra de la zone géographique sur laquelle vous opérez de votre industrie, et de la force de votre organisation lorsque la tempête économique arrive. "
Chute des dépenses du secteur public
Concernant les prestataires, le Gartner assure que leurs perspectives de croissance dans la région EMEA ont été frappées par la perspective d'une croissance économique en forte baisse. Les mesures d'austérité vont réduire les dépenses des gouvernements en particulier sur l'IT et entraver la croissance économique, ce qui se traduira par une plus faible demande pour les produits et services auprès des entreprises IT. Le Gartner prévoit que les dépenses IT du secteur gouvernemental vont diminuer de 4,8 % en 2011 et 1,7 % en 2012, et qu'il ne récupérera pas le niveau observé en 2010 avant 2015.
Délaissant son rôle d'observateur, Peter Sondergaard s'est également lancé dans une remise en perspective de l'avenir des DSI. Pour lui, «les DSI doivent établir un budget réaliste et aller de l'avant, indépendamment de la croissance du marché. En 2014, les DSI auront perdu le contrôle effectif de 25 pour cent de leurs dépenses en TI et en 2017, les directions marketing pourront avoir un plus gros budget informatique que les DSI. Il est temps pour les DSI de prendre les devants et de réinventer leur rôle."
La Caisse d'Epargne ouvre ses pages Google+
Pour suivre les activités d'une page entreprise comme d'un individu, il faut que le membre la place dans l'un de ses « cercles ». A l'inverse de Facebook, le propriétaire de la page peut également, s'il le souhaite, limiter des publications à certains « cercles ». Même si la Caisse d'Epargne n'a pas fait d'annonce à ce sujet, on peut très bien imaginer que, à terme, certaines informations exclusives soient réservées à des clients ayant certains profils.
Un meilleur référencement sur Google
Comme les membres individuels, les pages Google Plus offrent la possibilité d'utiliser les « bulles » pour avoir des conversations en webconférence face à face. Cette possibilité n'existe pas non plus sur Facebook. Enfin, comme Google+ est un réseau social initié par le célèbre moteur de recherche, les billets publiés peuvent bénéficier du « +1 » des internautes pour favoriser leur référencement. A la création de la page, l'administrateur facilite ce référencement en qualifiant son entreprise (secteur, typologie...).
Groupon réussit son entrée en bourse
Ce ne sont pas moins de 700 millions de dollars d'actions qui ce sont vendus vendredi dernier à la Bourse de Wall Street. L'action, cotée à 20 dollars à l'ouverture, s'est d'abord établi 31,14 dollars dans les premières heures de cotation avant de clore à 26, 11 dollars. Elle a donc connu une hausse de 31% en ce premier jour. Ces chiffres peuvent s'explique par un effet de rareté créé artificiellement par la société, puisqu'elle n'a ouvert son capital qu'à hauteur de 5,5 %. Cette progression du premier est similaire à celle enregistrée par Amazon en 1997 (+31 %), supérieure à celle de Google en 2004 (+ 18 %) mais inférieure à celle de Linkedin, dont le cours avait doublé lors de son introduction en mai dernier, ainsi qu'à celle du site immobilier Zillow qui a également presque doublé en juillet.
ICTJournal.ch (...)
Selon Forrester, les utilisateurs de Mac sont plus productifs
Dans son dernier rapport, l'institut Forrester effectue un volte-face spectaculaire vis-à-vis de l'attitude à employer envers l'utilisation d'ordinateurs Apple en entreprise. En effet, alors que depuis plusieurs années Forrester recommandait aux responsables IT de se concentrer sur la standardisation de leurs systèmes, et donc sur la mise en oeuvre de parcs informatiques tournant sous Windows, l'institut publie aujourd'hui une étude révélant que les utilisateurs d'Apple sont plus productifs que leurs collègues travaillant sous Windows.
Ce sondage, réalisé auprès de 590 responsables IT et dirigeants européens et américains, révèle que les employés qui utilisent un ordinateur Apple - souvent payé de leur propre poche - représentent une population d'employés qui se servent le plus de nouvelles technologies et trouvent des moyens innovants pour augmenter leur productivité et apporter un meilleur service à leurs clients.
Rentabilité supérieure à la moyenneSelon David Johnson, analyste chez Forrester, «La plupart des Mac entrent dans l'entreprise par le biais de managers, vendeurs et autres workaholics qui font partie de ce que nous appelons les «power laptop users», dont la rentabilité est de 44% supérieure à la moyenne, qui utilisent plus d'apps collaboratives et ont toujours sur eux en moyenne trois appareils électroniques». Ces employés acceptent de payer un Mac de leur propre poche afin de gagner en rapidité ainsi que pour soigner leur image de marque.
Selon Forrester, à l'heure actuelle deux entreprises sur cinq découragent totalement l'utilisation de Mac par leurs employés, leur interdisant jusqu'à l'accès à leur email et à Internet. Au vu des conclusions de cette étude, l'institut Forrester recommande néanmoins désormais aux départements IT de faciliter l'utilisation de Mac en entreprise. Même si actuellement le système d'exploitation Windows détient 85% de parts de marché, ce changement de perception vis-à-vis des ordinateurs Apple pourrait à long terme constituer une menace pour la suprématie jusqu'à aujourd'hui incontestée de Microsoft.
ICTJournal.ch (...)(09/11/2011 09:02:45)Piana HR Group créé un réseau social dédié au recrutement
Aujourd'hui, les réseaux professionnels sont devenus incontournables dans les processus de recrutement. Pourtant, ils ne répondent pas toujours aux attentes des candidats en termes de recherche d'emploi : une étude conduite auprès de 600 000 postulants par le cabinet français de recrutement Piana HR Group montre que 69,2 % s'y sont inscrits dans ce but mais que 80 % d'entre eux n'y trouvent pas de travail. Les raisons ? L'aspect onéreux de fonctionnalités même basiques, le manque de confidentialité et également le fait d'être contacté par des personnes non sollicitées. Ainsi, pour répondre aux attentes des candidats et des recruteurs, Piana HR Group lance PianeoJobs, un réseau social gratuit exclusivement dédié à la carrière. Alors qu'une annonce sur un site d'emploi classique coûte au minimum 500€, PianeoJobs permet de recruter à partir de 0,50 centimes d'euro par CV.
10 millions de candidats d'ici 2012
Grâce au système de cotation des CV, le coût de chaque profil est évalué en fonction de son niveau d'étude, sa formation, son expérience, et sa disponibilité. Plus un CV est consulté par des recruteurs, plus sa cote augmente (sachant que le plafond s'élève à 49 euros). « Ce système peut aider les recruteurs à cibler les profils qui leurs correspondent à moindre coût », a souligné Christophe Le Feuvre, président de Piana HR Group, lors d'un point presse. « Les entreprises bénéficient d'un accès illimité et gratuit (sans abonnement) à une base de données de 600 000 candidats et, chaque jour, 3 000 membres sont intégrés au réseau. Nous avons ainsi estimé à 3 millions le nombre de candidats présents sur le site d'ici fin 2011, chiffre qui devrait atteindre les 10 millions d'ici fin 2012 ».
PianeoJobs possède également une messagerie interne et une autre instantanée. Des forums et de groupes thématiques liés aux problématiques de chacun peuvent y être créés, de même qu'une spamlist personnalisée. Des paramètres de confidentialité permettent aux candidats de rendre leur profil invisible à une liste d'entreprises qu'ils auront sélectionnées, Il leur suffit d'un clic pour déposer leur CV grâce à une technologie qui implémente automatiquement les différentes rubriques du document. Enfin, PianeoJobs permet à ses membres, qu'ils soient candidats ou recruteurs, de développer leur réseau en Europe, mais également aux Etats-Unis, au Maroc, et bientôt en Chine.
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