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(26/10/2007 17:34:15)
CTIA : les services de Facebook depuis un Blackberry
Les utilisateurs de Blackberry pourront bientôt accéder aux services du réseau communautaire Facebook à partir de leur ordinateur de poche. Research in Motion (RIM), le fabricant du BlackBerry, vient en effet d'annoncer à l'occasion du salon CTIA Wireless qui se tient à San Francisco un logiciel qui permettra aux utilisateurs d'envoyer et de recevoir des textes, des images ou encore, des notifications, via le réseau sans fil. Une annonce plutôt étonnante pour ce fabricant dont les produits sont principalement utilisés dans un cadre professionnel. Avec le dernier né de la gamme, qui intègre un appareil photo, on voit bien que RIM cherche à séduire une plus large clientèle en proposant des fonctions résolument tournées vers le grand public. La filiale américaine de Deutsche Telekom, T-Mobile USA, sera le premier opérateur à proposer ce logiciel à ses clients. Cet accord s'inscrit dans une stratégie plus globale de Facebook. Le réseau social multiplie en effet les accords avec les opérateurs pour faciliter l'accès à ses services en situation de mobilité. Il aurait négocié avec les plus grands opérateurs américains, canadiens et anglais (O2). Grace à cette ouverture, il espère atteindre les quatre millions d'utilisateurs mobiles à la fin du mois. (...)
(26/10/2007 17:26:39)CTIA : grandes espérances pour le divertissement sur mobiles
Le téléphone portable serait-il en voie de devenir le nouveau périphérique de consommation des jeux vidéo, émissions télévisées, vidéo et autres applications de messagerie instantanée ? C'est du moins l'impression que pouvait laisser le salon CTIA Wireless qui s'est tenu à San Francisco cette semaine. D'après nos confrères de Computerworld, le salon regorgeait en effet d'exemples d'applications de divertissement sur périphérique sans fil, les quelques 15 000 visiteurs du salon allant même jusqu'à faire la queue au stand proposant le célèbre jeu Guitar Hero sur un téléphone. Qu'il s'agisse de jeux, de télévision ou de messagerie instantanée, toutes ces applications ont bien entendu été simplifiées pour être adaptées aux contraintes d'un périphérique limité, notamment par la taille de l'écran. Mais le succès du divertissement sur téléphone mobile semble bien devenir une réalité qui laisse toutefois certains acteurs du marché sceptique. Notamment en termes de modèle économique. Pour certains intervenants sur le salon, la télévision sur téléphone portable reste un projet douteux qui ne peut fonctionner que si elle est couplée à d'autres services, l'ensemble commercialisé sous forme d'un abonnement ou forfait payant. La plupart des acteurs, opérateurs mais également fournisseurs de contenus, s'accordent toutefois sur le fait que, quel que soit le modèle économique, il faudra attendre encore 5 ans pour que cette télévision arrive sur le téléphone portable. Il faudra au passage créer des contenus spécifiques et dans tous les cas de figure, le téléphone ne remplacera certainement pas le poste du salon quand il s'agira de regarder le feuilleton préféré de la famille. En d'autres termes, les spécialistes du domaine prédisent au téléphone un rôle complémentaire à celui du poste de salon pour lequel il faudra probablement trouver de nouveaux clients. Quelle que soit l'issue du débat sur la télévision, le fait est que le divertissement sur téléphone portable est déjà en plein essor. D'après une étude réalisée pour CTIA, les revenus générés par les services destinés aux périphériques sans fil pendant les six premiers mois de 2007 auraient atteint les 10,5 Md$ alors qu'ils n'étaient que de 6,5 Md$ pour la même période en 2006. Une augmentation de près de 65% qui laisse présager un bel avenir au divertissement sur périphérique mobile. (...)
(26/10/2007 17:19:01)Sun menace NetApp de terribles représailles
Sun contre-attaque dans l'affaire qui l'oppose à NetApp depuis un mois sur des brevets en cause dans leur gestionnaire de fichiers respectif. Il s'agit, chez Sun, de ZFS (Zettabyte File System), système 128 bits futuriste qu'il commence à mettre en Open Source, et, chez NetApp, de WAFL (Write Anywhere File Layout), qui se trouve au coeur des systèmes de stockage qu'il fournit. NetApp a attaqué Sun en estimant que ZFS contenait des brevets lui appartenant, alors que Sun est un train d'ouvrir l'ensemble de son code à tous. Le fournisseur de Solaris rétorque en poursuivant le spécialiste du stockage en réseau sur toute sa gamme de produits. Ses avocats affirment d'ailleurs que c'est la menace que font peser sur les activités de NetApp les qualités de ZFS et sa gratuité qui pousse son adversaire à chercher la survie devant les tribunaux. Sun pointe l'attitude "propriétaire" de NetApp Et les deux parties de s'invectiver par blogs interposés. Le pompon revient pour l'instant à Jonathan Schwartz. Le CEO de Sun ne résiste pas à l'envie de rappeler ce qui est arrivé à son entreprise lorsque le système d'exploitation Linux a commencé à grignoter des parts de marché à Solaris. Il évoque la tentation des dirigeants de l'époque de chercher un exutoire juridique plutôt que de reconnaître qu'il fallait s'adapter au marché. C'est sur le fondement d'une licence NFS (Network File System) accordée à NetApp que Sun réclame l'arrêt de la commercialisation de tous les produits de son adversaire et compte demander de substantiels dommages-intérêts. Critiquant l'attitude "propriétaire" de NetApp, il joue sur du velours et, pour finir de s'attirer les grâces des observateurs, il promet déjà qu'il reversera la moitié de ses gains au monde du code ouvert. Il est bien sûr impossible de savoir lequel des deux plaideurs aura gain de cause. On ne peut, pour l'instant, que passer en revue la rhétorique de chaque partie. Chez NetApp et ses partisans, on se défend de l'infamie d'être un propriétaire qui réclame des barbelés sur un monde libre en s'élevant contre la politique de sociétés géantes comme Sun ou IBM qui voleraient la propriété intellectuelle des plus petites et profiteraient de leur taille pour rafler des marchés dont ils auraient, en quelque sorte, brûlé les niches... (...)
(26/10/2007 17:18:38)Bangalore invite les entreprises IT à aller un peu plus loin
Bangalore, victime du syndrome des grandes capitales mondiales ? Afin de décongestionner la capitale de l'Etat de Karnataka, le gouvernement local a décidé de promouvoir la migration des populations vers de nouveaux cantons, situés en périphérie du temple de la technologie en Inde. Pour ce faire, il demande aux entreprises IT déjà implantées dans ces régions ou sur le point de le faire - l'immobilier y est moins cher -, de créer des hébergements pour leurs employés. Et réduire leur présence « en ville ». Le gouvernement, pour réduire les migrations vers Bangalore, a par ailleurs mis en place des programmes de financement localisés pour diriger les investissements vers de nouvelles régions. Il aurait également acheté des terrains, avec l'aide d'entreprises du secteur privé. Les entreprises comme Wipro ou Infosys ont déjà anticipé cette flambée immobilière et ont implanté certaines de leurs usines en dehors de la ville. (...)
(26/10/2007 16:23:13)L'Afdel explique les enjeux du Saas aux éditeurs français
« Si au niveau financier, l'impact peut être temporairement négatif lors de la phase de transition, les éditeurs en retard seront sanctionnés. » A l'occasion d'une conférence organisée par l'Afdel (Association française des éditeurs de logiciels), Pierre Marty, du cabinet PricewaterhouseCooper, a expliqué à un parterre d'éditeurs de l'Hexagone les enjeux, très pragmatiques, de se lancer dans un modèle Saas (Software as a service). Au programme, les avantages, les inconvénients et les risques de « transitionner » (sic), même partiellement, vers ce modèle. Selon lui, la transition vers le Saas est inévitable, et cela répond surtout à une façon de penser des utilisateurs actuels. « Aujourd'hui, les clients sont à la recherche d'alternatives, car ils sont partiellement satisfaits et ont l'impression de payer pour des fonctionnalités qu'ils n'utilisent pas », explique-t-il, en pointant du doigt le modèle traditionnel de licence. L'un des points importants soulevés à l'occasion de la conférence est la gestion du changement lors de la période de transition (du modèle traditionnel basé sur les licences vers le Saas). Des bouleversements d'abord financiers : « Les nouveaux modèles [le Saas, ndlr] induisent des flux de revenus réguliers, ce qui implique des changements fondamentaux dans les structures de coûts », insiste Pierre Marty. Si les coûts de développement sont plus élevés (hébergement, infrastructure, développement, fonctionnel), la croissance des revenus dans le Saas est plus nette que celle dans le modèle classique. « Ce qui impacte beaucoup sur le pricing [la tarification, ndlr] et le paiement », explique-t-il. Autre changement souligné par Pierre Marty, le modèle Saas implique une continuité des services. A l'inverse du modèle traditionnel où les nouvelles fonctionnalités arrivent avec les mises à jour des versions, le Saas doit sans cesse se renouveler. On parle alors de « continuous-improvement model ». Une continuité qui se répercute ensuite sur les équipes commerciales. Reste que si des risques existent, beaucoup d'éditeurs se sont engouffrés dans le Saas. Si comme le souligne Christophe Raymond de Cegid, tout ne peut être mis sous forme Saas, en particulier les PGI, « une vraie demande existe de la part des clients ». (...)
(26/10/2007 15:47:09)Microsoft achève un trimestre record (merci Vista)
Microsoft vient d'enregistrer la meilleure croissance pour un premier trimestre fiscal depuis 1999. L'éditeur en profite bien sûr pour souligner l'importance que prend Vista. 88 millions d'exemplaires auraient été vendus depuis son lancement. Les analystes, qui avaient reproduit sans ciller les cris de victoire de Microsoft à son propos début 2007, prennent désormais les taux de croissance affichés avec des pincettes. Ils se demandent par exemple si les chiffres annoncés concernent des versions opérationnelles ou des exemplaires en transit prolongé dans la zone tampon des stocks des distributeurs/OEM. Toutefois, les résultats opérationnels de la division de Vista (3,36 Md$ pour un CA de 4,14 Md$ de CA) et de celle d'Office (un résultat de 2,69 Md$ pou 4,11 Md$ de CA) permettent largement au groupe de subventionner sa stratégie en ligne, pour reprendre une expression du site du Wall Street Journal. Cette division (MSN et Live) creuse de son côté ses pertes opérationnelles (264 M$, +158%) beaucoup plus vite que ne progresse son CA (671 M$, +25%). Le développement du modèle publicitaire prend du temps. En revanche, l'activité Serveur et outils, qui comprend SQL Server, voit son CA augmenter de 16% à 2,9 Md$ et son résultat opérationnel de 25% à 962 M$. Enfin, la division jeu et périphériques sort du rouge (165 M$ de résultat opérationnel contre 142 M$ de perte) avec un CA en forte progression à 1,9 Md$ (+ 90%). A noter que le groupe dispose d'une réserve de liquidités de 21,6 Md$. (...)
(26/10/2007 15:19:13)ManageFusion 2007 : Dell appuiera ses solutions de management sur Symantec/Altiris
Lorsque Dell a lancé ses services Open Manage pour permettre à ses clients d'administrer l'ensemble de ses machines (poste de travail ou serveur) il y a près d'un an, il s'était appuyé sur le Notification Server d'Altiris qui permet de connaître l'état matériel d'un serveur, comme noyau de son offre. Désormais, les produits de Symantec/Altiris serviront également à l'autre bout de la chaîne de services qu'il propose. A l'occasion de ManageFusion 2007, conférence utilisateurs de l'éditeur, Dell a en effet annoncé que les différents produits d'Altiris seront utilisés par Dell Open Manage System Management pour assurer le déploiement des salles de serveurs. (...)
(26/10/2007 14:52:06)Le logiciel libre, cinquième pilier du pôle System@tic
Le mercredi 24 octobre 2007, le groupe thématique « logiciels libres » du pôle de compétitivité mondial System@tic Paris Région (en Ile de France), s'est réuni pour la première fois en session plénière. Cette réunion marque le démarrage effectif de ce cinquième pilier de System@tic aux côtés de « automobile et transports », « outils de conception et développement de systèmes », « sécurité et défense » et « télécoms ».
La plupart des initiateurs du projet de pôle de compétitivité Ouverture se sont retrouvés dans ce cinquième pilier (avec quelques exceptions remarquées comme Linagora), ce qui porte à 267 le nombre de membres de System@tic : 79 grandes entreprises (SNCF, France Telecom, Thales...), 86 laboratoires et établissements de recherche (dont plusieurs universités) et 102 PME technologiques (aucune SSII ou intégrateur mais uniquement des entreprises à forte composante R&D).
Le président du pôle, Dominique Vernay, par ailleurs directeur technique de Thales, a indiqué que les projets R&D de System@tic ont représenté ces deux dernières années un budget global de 450 millions d'euros, 30 à 45% du financement étant couvert par les aides liées à l'existence du pôle.
"La porte reste ouverte"
La coordination du groupe « logiciels libres » a été confiée à Roberto Di Cosmo, chercheur universitaire, qui a résumé la situation : « Cela fait des années que la communauté et l'industrie du logiciel libre cherchent à se fédérer en région parisienne, sans succès jusqu'alors. Le comité interministériel d'aménagement et de compétitivité du territoire (CIACT) du 5 juillet dernier a jugé plus pertinent et performant d'adosser cette fédération des énergies à un pôle déjà existant. »
Cet adossement semble convenir à tout le monde, y compris aux nombreuses associations opérant dans le domaine du logiciel libre, à quelques exceptions près dont, justement, Linagora. « Je suis allé les voir pour tenter de les convaincre, sans succès, mais la porte reste ouverte » a insisté Dominique Vernay. Opérant dans le domaine de la Défense, il s'est réjoui de l'intégration du thème du logiciel libre dans System@tic : « Il s'agit d'un avantage important dans notre secteur car nous avons un parfait contrôle des sources et, comme dans toute l'industrie, nous avons ainsi le moyen de garantir nous-même la maintenance de nos logiciels, notamment embarqués, durant des dizaines d'années comme requis par nos clients ».
François Bancilhon, directeur général de l'éditeur des distributions Linux Mandriva, a souligné que la participation à un pôle commun avec les industriels clients permettra d'enrichir ses produits des contributions de ceux-ci.
« Des projets de recherche (encore trop) foisonnants » Accéder à l'article complet sur CIO-online
Sur le même sujet :
- Le 05 juillet 2007 : Pas de pôle de compétitivité pour le logiciel libre (...)
AOL France supprime 90 postes et transfère ses activités à Londres
La France n'échappera pas au plan de réduction des coûts lancé par AOL : 90 postes sur 140 seraient menacés, tandis qu'un transfert partiel des activités françaises pourrait être organisé vers le siège européen d'AOL à Londres, selon les informations de la CFDT. Il s'agit de la seconde phase d'un plan de transformation annoncé par la filiale Internet du groupe Time Warner, à la mi-octobre, et qui devrait se solder par la suppression de quelque 2 000 emplois dans le monde, soit 20% de son effectif. Ces restructurations font suite au changement de modèle économique d'AOL, qui a abandonné ses activités de fournisseur d'accès à Internet pour se tourner vers le marché de la publicité en ligne. La CFDT a demandé l'ouverture de négociations sur ce sujet, mais s'est vue opposer une fin de non recevoir par la direction. Menacés par un troisième PSE (Plan de sauvegarde de l'emploi), les salariés d'AOL France ont décidé d'immortaliser l'événement dans une vidéo, prise dans les locaux de l'entreprise, et publiée sur le site Dailymotion, où ils chantent 'L'amour à la française' des Fatals Picards. (...)
(26/10/2007 09:42:04)Avaya veut profiter de son autonomie pour monter dans les couches applicatives
Avaya réunissait hier ses clients et partenaires pour une session d'information bienvenue après le rachat de l'équipementier - pour 8,2 Md$ - par des fonds d'investissement. L'opération amorcée en juin dernier n'est pas encore tout à fait finalisée, mais l'accord des actionnaires a été obtenu, c'est donc « une question de jours, peut-être même d'heures », estime Jocelyne Attal, directrice du marketing. Premier changement, Avaya espère justement changer son image de fournisseur de produits de télécommunications, en montant dans les couches applicatives. Jocelyne Attal indique que l'entreprise adoptera « un comportement d'éditeur de logiciels plutôt que celui d'un équipementier », dans la mesure où le focus est mis dorénavant sur les logiciels de communications unifiées (« intelligentes », même, pour reprendre le vocabulaire officiel). Premier bénéfice : « En téléphonie, on retournait voir un client tous les 5 ans, mais avec toutes les applications aujourd'hui, on peut le revoir tous les mois. » Investir dans l'applicatif sans subir la pression de Wall Street Ce changement de culture est à la fois une conséquence et une nécessité liées au rachat par TPG Capital et Silver Lake Partners. Car, comme l'explique Jocelyne Attal, « la logique des fonds d'investissement est d'obtenir 3 à 5 fois l'investissement initial, en diminuant les coûts et en augmentant le chiffre d'affaires et les bénéfices ». Monter dans les couches applicatives devrait donc permettre d'améliorer la marge, de démarcher le client plus souvent, et de lui proposer en plus des services de consulting. Quant à la réduction des coûts, l'objectif d'Avaya est de se débarrasser des habitudes et du système d'information hérités de son passé (lorsque son activité appartenait à l'opérateur AT&T). En aucun cas de couper dans les effectifs. Au contraire, explique Jocelyne Attal, l'entreprise a embauché des commerciaux, et entend investir dans les applications, ce qu'elle n'aurait pu faire sous la pression d'actionnaires attendant un retour sur investissement tous les trimestres. Exemple de cette montée dans les couches applicatives, Avaya a lancé hier une solution de « Communications enabled business processes ». Autrement dit, un ensemble de services Web exposant des fonctions de son offre de gestion des communications et destinés à être intégrés dans des applications de pilotage, telles que du workflow. Avaya donne ainsi l'exemple de Black & Decker, qui a implémenté le logiciel Avaya Communications Process Manager pour améliorer l'efficacité de son service après vente. Avant, raconte Eric Buhagiar, directeur marketing France d'Avaya, le technicien devait joindre lui-même le client une première fois pour obtenir son accord pour l'intervention, puis une seconde fois pour lui indiquer que l'objet était réparé. Désormais, c'est le logiciel qui cherche à joindre le client via tous les canaux de communication disponibles, le technicien ne perd plus son temps. Avaya s'impose donc un autre challenge : prendre son bâton de pèlerin et aller convaincre les éditeurs de progiciels de l'intérêt d'intégrer son offre dans la leur. Cela lui ouvrirait notamment les portes des PME, qu'Avaya a plus de mal à toucher que les grands comptes. « Si Sage décidait d'inclure dans ses progiciels l'invocation de nos services Web, nous servirions des milliers de PME », rêve tout haut Jocelyne Attal. (...)
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