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(30/05/2007 17:06:32)

DUT informatique : 71,9% de diplômés en trois ans d'études

La filière D.U.T (Diplôme universitaire de technologie) est une bonne piste pour ceux qui veulent commencer des études supérieures sans pour autant s'enliser dans des cycles sans fin. Une note du ministère de l'Education nationale indique qu'après trois années d'études, 76,1 % de cette cohorte d'étudiants a obtenu son diplôme (tous domaines d'études confondus). La réussite en deux ans diffère selon le secteur professionnel. Elle est plus élevée dans le secteur tertiaire (68,9 %) que dans le secondaire (62,3 %), quelle que soit la filière du baccalauréat obtenu. Avec 8 005 étudiants en 2005-2006 (dont 1 056 nouveaux bacheliers 2005 inscrits en première année de DUT), les effectifs dans la spécialité « informatique » arrivent au troisième rang du secteur tertiaire, précédé par les DUT gestion des entreprises et des administrations (19 772 étudiants dont 8 007 nouveaux inscrits) et techniques de commercialisation (18 965 étudiants dont 7 728 jeunes bacheliers). Le DUT « service et réseaux de communications » arrive en cinquième position, avec 3 005 étudiants dont 1 056 récents bacheliers dans la section (source : MEN - DEPP- SISE 2005-2006). Dans le secteur secondaire, le DUT « génie électrique et informatique industrielle » se place en tête des effectifs à la rentrée 2005-2006 avec 8 978 étudiants (dont 3 752 nouveaux bacheliers 2005 inscrits en première année de DUT en 2005-2006), tandis que le DUT « réseaux et télécoms » (appelé « génie des télécommunications et réseaux » avant 2005-2006) n'est qu'en septième position avec 3 162 étudiants dont 1 295 premières années (source : MEN -DEPP -SISE 2005-2006). Le « taux de réussite en IUT en deux ou trois ans des étudiants qui ne sont pas réorientés par spécialité » varie selon les sections : 78,6% d'étudiants ont obtenu leur D.U.T « service et réseaux de communications » en trois ans (72% de réussite en deux ans), 75% en trois ans en « génie des télécommunications et réseaux » (63,1% de réussite en deux ans), 71,9% d'étudiants ont obtenu leur D.U.T « informatique » en trois ans (59,1% de réussite en deux ans) et 67,5% en « génie électrique et informatique industrielle » en trois ans (52,7% de réussite en deux ans, source : MEN - DEPP- SISE). (...)

(30/05/2007 16:22:34)

Gestion des identités : Microsoft sacrifie l'offre .Net de BMC

L'expansionnisme de Microsoft en matière de gestion des identités a conduit BMC, un de ses partenaires, à abandonner le développement de son propre produit sous .Net. C'est l'annonce d'Identity Lifecycle Management (ILM 2007), que Microsoft dote de nombreuses améliorations qui aurait, selon l'analyse faite dans une note interne de Microsoft, poussé BMC à l'abandon. Inutile donc d'espérer une version au-delà de l'actuelle 5.2 de BMC .Net Identity Management. Il était, entre autres, prévu d'y intégrer SPML (Service Provisioning Markup Language) version 2.0. Ce framework XML vise à permettre l'interopérabilité de systèmes de gestion des identités, des mots de passe et des comptes utilisateurs. BMC, qui avait deux fers au feu en matière de gestion des identités, continue, en revanche, de faire évoluer son offre sous Java. La décision de BMC d'abandonner l'évolution de son produit sous .Net fait apparaître des trous dans l'offre de Microsoft. Cet éditeur était le seul à proposer des connecteurs pour des plateformes web concurrentes comme WebLogic de BEA et WebSphere d'IBM. Toutefois, certains analystes soulignent que tous les torts ne sont pas du côté de Microsoft. Certes, il est loin d'être le partenaire idéal, surtout en en matière de gestion des identités, mais l'activité de BMC était loin d'être florissante. On parle de 3 M$ de pertes annuelles pour des produits qui avaient déjà contribué à la disparition de leur précédent propriétaire, OpenNetwork Technologies, que BMC avait racheté en 2005. (...)

(30/05/2007 15:46:49)

Les services IT aiment fouiner dans les fichiers des utilisateurs

Les membres des services informatiques fouinent dans les fichiers et les emails des salariés, selon une étude explosive - Trust, Security and Passwords - réalisée par Cyber-Ark Software auprès de 200 professionnels de l'IT. Les responsables IT seraient ainsi un sur trois à user des privilèges administrateur pour fureter dans le système de leur société et y consulter des informations confidentielles ou privées. L'une des personnes interrogées, administrateur IT, demande sur le ton de la plaisanterie : « ne feriez-vous pas de même si vous disposiez d'un accès secret à tout ce qui est à portée de main ? » Et l'espionnite ne s'arrêterait pas une fois franchies les portes de l'entreprise : un tiers des sondés indiquent qu'ils pourraient poursuivre leurs agissements coupables après avoir quitté leur emploi, sans que personne ne puisse les en empêcher. Si les responsables IT ne donnent pas l'exemple en matière de confidentialité, ils ne le font pas davantage en ce qui concerne la sécurité. Ils sont en effet 50% à reconnaître qu'ils notent les mots de passe de leurs comptes administrateurs sur de simples Post-it, et 18% sur des tableaux Excel. Et, pour 7% des entreprises, ces précieux sésames ne changent jamais. Pire, 8% des responsables IT conservent les mots de passe prévus par défaut par les constructeurs. De fait, il devient facile pour une personne malintentionnée de s'immiscer dans un système. C'est ce que confirme le hacker Gary McKinnon, qui indique que « le moyen le plus simple est de chercher les mots de passe restés vierges, puis d'essayer les sésames par défaut des constructeurs ou simplement des noms qui semblent évidents. Une fois que vous avez trouvé, ce qui est incroyablement simple, vous avez le contrôle du système informatique. » (...)

(30/05/2007 15:15:55)

Trimestriels : dans le rouge, Novell peine à se "libérer"

Résultats 1er trimestre 2007 Chiffre d'affaires : 229,6 M$ (-5%) Pertes nettes : 19,9 M$ (contre un bénéfice net de 1,8 M$) Novell commence son exercice 2007 par un trimestre en perte nette de 19,9 M$ et, surtout, par une perte opérationnelle de 31,3 M$. Les activités liées aux logiciels libres, qui commencent à être rentables, ne représentent encore que moins de 8% du CA total. L'Open Platform group (Suse et services associés) a généré 23,6 M$ de CA (+37%) et dégage désormais un résultat d'exploitation de 2,7 M$. Chez Novell, le gros de l'activité provient encore du Workgroup group (Netware, Groupwise etc) avec un CA de 104,9 M$ (-11%) et résultat d'exploitation de 74,5 M$ (+5%). La question est de savoir combien de temps Novell va prendre pour se réinventer en éditeur libre. Il dispose de plus de 1,7Md$ en banque pour accélérer le mouvement. Une bien belle somme pour une société dont la capitalisation boursière n'est que de 2,5 Md$. (...)

(30/05/2007 12:40:41)

Les lycées picards ont leur portail éducatif

Avec l'arrivée d'Internet, un nombre croissant de services éducatifs ont été mis à la disposition des acteurs - élèves et professeurs - de la communauté scolaire. Reste que leur accès s'effectuait exclusivement depuis chaque établissement. Partant de ce constat, le Conseil régional de Picardie a fait appel à la société de services Unilog (groupe LogicaCMG) pour déployer un Environnement numérique de travail (ENT), une plateforme unique offrant à l'ensemble des lycées picards des services similaires : du contenu pédagogique, des outils de collaboration, ainsi que des outils de gestion consultables à distance (gestion des notes et des absences, bulletins scolaires et cahier de textes). Ainsi, les lycées de la région pourront entrer dans une logique d'ouverture des services sur Internet, et abandonner du même coup la gestion fastidieuse d'outils disparates et d'autant de systèmes d'identification. Le portail assure, en outre, la sécurité et la confidentialité des informations transmises, chaque utilisateur disposant d'un code personnalisé. Un portail déployé dans l'ensemble des lycées Un élève hospitalisé ou handicapé peut par exemple rester connecté à distance à sa classe et ses professeurs via l'ENT et suivre ses cours sans contrainte de temps ni d'espace. Grâce aux outils de collaboration, les professeurs d'une même discipline disposent d'espaces communs. Enfin, grâce à l'outil de gestion, un parent peut consulter l'emploi du temps de son enfant, la liste de ses absences (si elles sont excusées ou non), son bulletin scolaire ou encore ses derniers relevés de notes. Opérationnel dans six lycées pilotes, ce portail éducatif est en phase de déploiement dans quinze nouveaux établissements, fédérant ainsi un total de 45 000 utilisateurs. « Nous prévoyons de déployer cette plateforme éducative à l'ensemble des lycées picards, d'ici à la rentrée 2009 », a précisé Xavier Bryche, chargé de mission pour les technologies de l'information et de la communication pour l'éducation au Conseil régional de Picardie. Un projet encourageant qui donne l'opportunité à la France de rattraper son retard face aux pays anglo-saxons en termes d'éducation électronique. (...)

(30/05/2007 12:33:49)

Le conseil de GFI refuse l'OPA de Fujitsu Services

L'Offre publique d'achat lancée par Fujitsu Services sur GFI Informatique ne séduit pas la SSII française. Fujitsu propose d'acquérir les titres GFI à 8,5 €, une valeur insuffisante aux yeux du Conseil d'administration qui, selon le PDG Jacques Tordjman, « ne peut l'accepter en l'état ». Réponse de Fujitsu : « nous n'avons pas l'intention de relever le prix de l'offre ». La marge de manoeuvre de Fujitsu Services se resserre donc, d'autant plus que le fonds d'investissement Apax Partners, qui avait renoncé à entrer au capital de GFI après une levée de boucliers des actionnaires minoritaires, vient de faire machine arrière et a mis la main sur une partie des titres GFI. Certes, Apax n'a acquis que 2,6% du capital, soit dix fois moins que ce que le fonds prévoyait initialement. Mais ces titres ont été achetés à 9,16 €, une valeur bien supérieure à celle proposée par Fujitsu. Le pôle européen de ce service du groupe Fujitsu avait posé une condition préalable à son offre d'achat : il fallait qu'Apax Partners n'entre pas dans le capital de GFI. Si cette éventualité semblait écartée il y a encore quelques jours - et laissait, de fait, le champ libre à Fujitsu -, la donne a donc changé et les perspectives de rachat par le groupe japonais paraissent s'envoler. (...)

(30/05/2007 12:24:41)

Eric Schmidt: Internet est une force pour la démocratie

Eric Schmidt, fidèle à sa doctrine "We are not evil" mentionnée dans son rapport d' introduction en bourse, a déclaré, lors d'une conférence en Corée du Sud, qu"Internet, et la recherche en particulier, rendait le monde meilleur. Et constituait une force pour la démocratie". Le PDG fondateur de Google, en répondant à une question sur l'influence de Google sur l'accès à l'information et les répercutions dramatiques que cela pouvait avoir en termes démocratiques, a affirmé qu'Internet pousseraient les politiciens à être davantage transparents. Sans toutefois mentionner le nom de Google, mais en rappelant que sa société fournissait une grande variété d'outils pour accéder à l'information en ligne. Rappelons que le comité de direction de Google a, début mai, poussé ses actionnaires à rejeter une proposition qui devait obliger la société à résister à la censure et informer les utilisateurs lorsque les résultats d'une recherche avaient été bridés par la censure d'un gouvernement. Le moteur de recherche est également pris pour cible pour son manque de transparence quant à la durée de rétention des données personnelles sur ses serveurs. (...)

(30/05/2007 11:02:07)

BEA ajoute le traitement d'événements complexes à son offre de serveurs Java

La famille de logiciels serveurs Java Weblogic s'enrichira cet été d'un serveur de traitement automatisé des événements (technologie EDA : event driven architecture). WebLogic Event Server est, selon BEA, le premier logiciel conçu pour le traitement d'événements complexes (CEP, complex event processing) écrit en Java. « Auparavant, confie Martin Percival, évangéliste technique senior chez BEA, il fallait des logiciels écrits en C ou C++, afin de garantir un niveau de performances suffisant. » En recourant à ses technologies temps réel, BEA assure pouvoir gérer 50 000 événements par seconde, et appliquer des règles complexes à 10 000 événements par seconde. A titre d'exemple, un logiciel de CEP spécialisé comme celui de Streambase peut gérer, selon son éditeur, 500 000 messages par seconde et par processeur. Ces outils sont particulièrement utilisés dans la finance ou la logistique, où il faut automatiser le traitement d'un nombre considérable d'événements : ordres de Bourse, lecture d'étiquettes RFID, etc. La Deutsche Bank fait par exemple partie des bêta-testeurs de Weblogic Event Server. Un pas vers le système nerveux automatique Le produit de BEA n'est donc pas aussi rapide que les outils spécialisés existants, néanmoins Martin Percival pense que Weblogic Event Server devrait séduire les clients habituels de ce type de solution. D'une part parce qu'il s'agit d'un marché de niche occupé essentiellement, jusqu'à présent, par de petits acteurs (Progress, en rachetant Apama, Tibco et Oracle ont récemment investi le marché), et que BEA peut jouer sur son image de pérennité. D'autre part, parce que le fait d'être en Java « apporte plus de flexibilité », explique Martin Percival, pour une entreprise dont le reste de l'infrastructure reposerait sur du Java. Dans son communiqué, BEA indique par ailleurs que Weblogic Event Server représente une évolution vers une « event-driven SOA », ou architecture orientée services guidée par les événements. De la même manière qu'Oracle avait présenté son offre en s'appuyant sur une analyse de Gartner, qui voyait dans le couple SOA et EDA la version 2 des SOA. Martin Percival pense aussi que cette annonce constitue un pas vers la fameuse colonne vertébrale automatisée - ou système nerveux - du SI dont les analystes commencent à parler, mais ne va pas aussi loin que Gartner. « Je crois que l'EDA trouve particulièrement bien sa place dans les SOA, mais vous pouvez très bien avoir l'un sans l'autre. » Le produit est disponible aujourd'hui en bêta. Les tarifs n'ont pas encore été fixés. (...)

(30/05/2007 15:18:32)

Jusqu'à 6000 € de subvention pour la formation des salariés des petites SSII

Rares sont parmi les bénéficiaires des programmes de formation et de certification financés par la branche professionnelle de l'ingénierie, du conseil et des services informatique, les salariés des très petites SSII et cabinets de moins de dix salariés. Et pourtant, leurs employeurs, qui constituent 80% de la troupe des chefs d'entreprise de ce secteur, cotisent, pour la plupart d'entre eux, au même pot commun que les grandes et moyennes SSII. Sur ce constat de difficulté d'accès des salariés des TPE à la formation, le Fafiec, Opca (organisme paritaire collecteur des fonds de formation) de la branche Syntec, a lancé pour l'année 2007 une démarche globale d'accompagnement des TPE. « En 2006, l'accent a été mis sur la simplification des démarches administratives », explique Roland Sirieix, responsable de la communication du Fafiec. « Cette année, les partenaires sociaux ont orienté l'action vers un plan pluriannuel spécial TPE, en débloquant un financement dédié à l'accompagnement de l'effort de formation de ces petites structures, passant par une activité de conseil de proximité et de facilitation des démarches ». La subvention peut aller jusqu'à 6000 € (sur trois ans et selon le projet de l'entreprise) pour couvrir les dépenses en organisation de la formation, en plus de la prise en charge habituelle des stages. L'opération TPE lancée à titre expérimental pour l'année 2007 est dotée d'une enveloppe permettant de couvrir 450 dossiers de TPE (selon une simulation effectuée par l'équipe du Fafiec). Un seul critère de départ : que l'entreprise n'ait pas bénéficié d'un financement de l'Opca au cours des deux dernières années. «Un bilan d'étape sera fait à fin 2007, pour voir si ce genre d'accompagnement correspond bien aux besoins des TPE et comment faire évoluer le dispositif », ajoute Roland Sirieix. Mais déjà, après un premier mailing lancé début mai, le Fafiec a recensé en une semaine plus de 200 retours et demandes d'information. La démarche, pour les chefs d'entreprise concernés, passe par un contact avec l'un des quarante conseillers du Fafiec répartis dans l'hexagone, en quatre antennes régionales (Ile-de-France, Ouest, Sud-Ouest et Sud-Est). L'idée étant de mettre dès que possible la puce à l'oreille de ces dirigeants de petites équipes, souvent fort occupés, concernant la possibilité de recourir pour l'organisation et pour le financement de la formation de leur personnel aux actions collectives de la branche (formations clés en main, répondant aux besoins d'évolution de compétences décelés par les partenaires sociaux) et/ou selon des thématiques prioritaires, parmi lesquelles figurent, pour les informaticiens les certifications Cisco, .net, ou SAP. Pilote de formation Plus original, car spécifiquement destiné à couvrir le manque d'information et de disponibilité des cadres de TPE, dans la région Pays-de-Loire, une action de formation de trois jours est organisée à leur intention sur le thème du pilotage de la formation . « Et ce, abordé sous un angle opérationnel, très terre à terre, correspondant à des questions du genre : j'ai un recrutement ou une formation à organiser pour mes salariés. Comment dois-je m'y prendre ? Comment financer ? », commente Roland Sirieix. Un axe plutôt pragmatique auquel les intéressés semblent plutôt sensibles si l'on en croit l'afflux de candidatures à Nantes pour les quatre sessions déjà organisées depuis avril sur ce thème. « Preuve, s'il en est besoin, que l'information ne suffit pas, et que le Fafiec est bien dans son rôle d'organisme paritaire, et de conseil de proximité, avec ces actions d'accompagnement et de mise en situation adaptées à la situation des entreprises », plaide le responsable de la communication du Fafiec. (...)

(30/05/2007 11:02:29)

Information Builders renforce l'intégration de WebFocus avec Excel

L'éditeur de solutions d'analyse décisionnelle Information Builders, connu pour l'intégration de son logiciel de reporting WebFocus avec MS Excel, vient encore de renforcer ses liens avec le tableur de Microsoft. Annoncé à l'occasion de sa conférence utilisateur à Las Vegas la semaine passée, son nouveau plug-in Quick Data est un fichier additionnel pour Excel. Il permet de connecter directement le tableur au moteur de reporting de WebFocus. Il donne ainsi accès à quelque 300 adaptateurs iWay pour combiner dans un même rapport, et à partir d'Excel, des informations gérées par les diverses applications et bases de données cohabitant dans tout système d'information. L'outil s'intègre avec Excel Query. Information Builders a par ailleurs annoncé un moteur de diffusion d'alertes qui, combiné avec le bus de service d'iWay Software, permettra d'intégrer à des processus la capacité d'adresser à des utilisateurs désignés des informations en temps réel en fonction d'événements particuliers. (...)

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