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(04/04/2011 12:43:43)
L'Institut Telecom recrute 400 ingénieurs R&D
L'Institut Télécom cherche à recruter 400 ingénieurs R&D d'ici la fin de l'année. L'établissement d'enseignement supérieur et de recherche entend intégrer 12 enseignants-chercheurs pour des postes de maître de conférences en SI d'entreprise, en sécurité de l'information et des SI, en économie de l'innovation, et en informatique/ réseaux L'école ouvre en parallèle 150 postes d'ingénieurs et 250 offres à des doctorants pour les activités de ses laboratoires de recherche dans les régions Ile de France, Bretagne, Nord et Provence-Alpes-Côte d'Azur. Les domaines des postes proposés correspondent au compétences que l'Institut Télécom regroupe en sciences et technologies de l'information et de la communication : réseaux de communication, électronique, optique, communications numériques, traitement du signal et des images, traitement des connaissances, analyse de données et statistiques, etc.
Intervenir sur des projets financés par les entreprises ou par l'Etat
Les candidats seront des jeunes diplômés titulaires d'une thèse ou des profils expérimentés. Ceux qui sont intéressés par des postes d'enseignants peuvent postuler jusqu'au 25 avril, pour une prise de fonction en septembre. Pour les autres catégories, le recrutement s'effectuera tout au long de l'année. Les ingénieurs R&D viendront renforcer les équipes existantes de recherche de l'Institut constituée de 650 enseignants- chercheurs, de 950 doctorants, et de 300 ingénieurs, techniciens et administratifs. Ils participeront au développement de plate-formes de recherche, dans le cadre de contrats passés avec les entreprises ou de projets financés par les agences comme l'ANR, les fonds gouvernementaux et européens, les pôles de compétitivité et les collectivités locales.
Les offres sont localisées sur les campus de Brest (pour Télécom Bretagne), d'Evry (pour Télécom SudParis et Télécom Ecole de Management), et de Paris (pour Télécom ParisTech).
Illustration: Crédit photo: Institut Télécom
(...)
Windows SBS Essentials 2011 se complète de services en ligne pour les PME
Microsoft fait évoluer sa solution serveur taillée pour les besoins des petites entreprises, une offre que l'éditeur commercialise à 95% via ses partenaires OEM. Après la version Windows Small Business Server (SBS) 2011 qui vise les PME gérant jusqu'à 75 postes (fournie aux constructeurs en décembre 2010) arrive maintenant en RTM [release to manufacturers] Windows Small Business 2011 Essentials pour les structures comptant au maximum 25 postes. Elle présente la particularité d'associer des logiciels installés localement (mise en réseau des PC, partage de fichiers et d'impression) à des fonctions de messagerie et de collaboration accessibles en ligne. Les fabricants de matériel devraient la livrer à partir du mois de mai sur leurs serveurs destinés à ce segment de marché. Elle est destinée à des PME qui ne disposent généralement pas en interne de compétences IT, ou tout au moins de ressources dévolues au système informatique. Pauline Maillard, chef de produit Windows Server chez Microsoft France, rappelle qu'elle se veut donc « simple d'utilisation, très configurée » et qu'elle dispose d'assistants pour faciliter l'installation (malgré tout souvent faite par un partenaire intégrateur) et de procédures de sauvegarde automatiques des PC et des serveurs. Un accès à distance est également prévu pour accéder au réseau depuis son domicile ou à partir d'un smartphone.
Pas de sauvegarde en ligne des données locales
Aux côtés des outils habituels de partage de fichiers, SBS Essentials 2011 donne accès aux services d'Exchange et de SharePoint proposés au sein des Online Services, ce qui permet aux petites PME de bénéficier d'une sécurité hébergée sur leur messagerie et leurs applications en intranet. En revanche, du côté des données gérées localement et conservées sur les PC, la sauvegarde automatique reste elle-aussi locale. Microsoft préconise de la faire sur un disque dur USB externe. L'enregistrement des fichiers locaux se fait deux fois par jour, vers midi et 23 heures, avec notification en cas de problème. A noter qu'il est possible de supporter aussi les postes de travail sous Mac OS. Le partage des fichiers via Samba permet de récupérer les informations de mise à jour des postes Mac.
SQL Server 2008 R2 avec le Complément Premium
Les PME souhaitant aller plus loin et mettre en place des applications métiers (comptabilité, suivi de clientèle...) qui requièrent la base SQL Server pourront acquérir le complément Premium qui apporte SQL Server 2008 R2 et Windows Server 2008 R2. Pauline Maillard rappelle qu'en France, selon les estimations de Microsoft, 40% des PME ayant entre 5 et 50 PC ne sont pas équipées de serveurs. C'est un terrain que l'éditeur compte bien explorer pour placer notamment ses offres hybrides en annonçant mettre, notamment avec les fonctions en ligne, « les technologies des grandes entreprises à la portée des petites ». Jusqu'à présent, sur Online Services, 1,2 million de postes ont été commercialisés en France, toutes entreprises confondues (soit 1 100 clients dont 600 nouveaux depuis l'été dernier), principalement sur la messagerie (plus de 90%), reconnaît la filiale française. Viennent ensuite les fonctions de communication unifiée Lync, puis les outils de collaboration qui demandent il est vrai davantage de paramétrage. Dans le cadre de l'offre SBS Essentials, la mise en oeuvre de ces fonctions constituera d'ailleurs un domaine d'intervention pour les intégrateurs. (...)
Ventes de tablettes : 22 millions en Europe en 2011 selon IDC
Pas de menace sur la domination d'Apple en 2011
La firme de Cupertino n'aura toutefois plus les coudées aussi franches que par le passé. En effet, si nombre de fabricants ont vite emboîté le pas d'Apple pour lancer leurs produits, certains d'entre eux ont préféré attendre la sortie de la version 3.0 d'Android (Honeycomb) avant de venir s'y frotter. De fait, Samsung faisait jusqu'ici figure de seul concurrent sérieux d'Apple, même si Archos, Viewsonic ou encore Elonex étaient aussi déjà présents. Avec l'arrivée d'Android 3.0, IDC s'attend à ce que des constructeurs de PC traditionnels tels qu'Acer ou Asus se lancent également dans la bataille et que Samsung améliore ses positions avec la lancement de la Galaxy Tab 2 (écran 10 pouces). HP et RIM devraient également entrer rapidement sur le marché des tablettes médias avec leurs systèmes d'exploitation respectifs Web OS et BlackBerry OS.
Résultat de l'accroissement de la concurrence, le prix de vente moyen des tablettes devrait significativement baisser à l'avenir. Cette compétition se jouera entre fabricants d'une part, mais également entre canaux de distribution. La grande distribution qui fut à l'origine de la majorité des ventes de tablettes en 2010 va en effet devoir entrer en compétition avec les revendeurs en téléphonie mobile dans les trimestres qui viennent. Le retard de ces derniers s'explique en bonne partie par la prudence des opérateurs. Ayant fait l'expérience de l'avènement des smartphones, Orange, SFR, Bouygues telecoms et leurs homologues en EMEA ont soigneusement étudié le business model à mettre en place sur le segment des tablettes médias pour capter des revenus issus des services d'accès mobile.
La pénétration des tablettes en entreprises profiterait à Windows
Ce nouveaux paysage qui se dessine devrait permettre au marché des tablettes médias d'atteindre 22 millions d'unités en EMEA d'ici la fin de l'année 2011, selon IDC. D'autant que les tablettes médias suscitent l'intérêt des entreprises qui ne devraient toutefois pas supplanter les particuliers dans leur rôle de principaux acquéreurs de ces produits. Certaines d'entre elles y voient un outil particulièrement bien adapté à leurs forces de ventes ou à des usages spécifiques. L'intérêt des organisations est une aubaine pour Windows puisque les produits devront être compatibles avec l'OS de Microsoft largement dominant dans le monde professionnel. Ce qui explique que certains fabricants développent des tablettes fonctionnant sous cette plate-forme. Pour parvenir à conquérir le monde professionnel, les fabricants devront bien répondre aux besoins des entreprises, tant en terme de matériel et d'OS que de mise à disposition d'applications adaptées. Le coût du support et de la gestion des tablettes constituera aussi un facteur clés de succès. En dépit des incertitudes sur la direction que vont prendre les entreprises, IDC prévoit déjà que les livraisons de tablettes en EMEA s'élèveront à 60 millions d'unités en 2015.
Des offres verticales chez Colt
Depuis le 1er janvier dernier, l'opérateur télécoms Colt s'est réorganisé en trois divisions : CES (Colt enterprise services), CCS (Colt communication services), et DCS (Data center services). La première traite des services managés et plus généralement de tous les produits et services pour les grands comptes. Elle travaille en direct. La deuxième s'adresse aux PME, plutôt aux grandes PME, avec des services de gros (« wholesale ») et des produits spécifiques destinés aux PME. Elle est issue de la fusion des divisions « PME » (qui était dirigée par Richard Blaustein, l'ancien patron France) et « wholesale » (dirigée par François Eloy) et travaille uniquement en indirect. La troisième se met en place et permettra de vendre de l'espace dans les centres de données de Colt.
«Au delà de l'organisation par pays, ces « business unit » sont complètement intégrées», note François Eloy, vice-président exécutif (au plan corporate) de la nouvelle division CCS. Annoncée au mois d'octobre dernier, cette réorganisation doit « stimuler la croissance de l'entreprise, accroître sa performance et améliorer l'efficacité de ses différentes branches», remarque le patron mondial Rakesh Bhasin. Une charge exceptionnelle de 35 à 40 millions de livres a été passée pour réussir cette réorganisation qui doit entraîner une économie annuelle récurrente d'environ 20 millions d'euros.
Une majorité d'agents commerciaux
La division CCS, la seule qui vende en indirect, travaille aujourd'hui avec deux canaux. D'un côté les carriers, de très gros opérateurs comme Orange, AT&T, BT ou SFR. Ils vendent essentiellement des offres d'accès sur la boucle locale. L'autre canal est plus composite. Il comprend à la fois des agents commerciaux et des revendeurs. Les premiers, et c'est l'originalité de Colt, représentent l'essentiel de ce canal. Colt compte 600 agents dont une centaine en France.
Ce deuxième canal va connaître une profonde mutation. Actuellement, il commercialise des services et va se tourner vers de nouvelles offres en préparation. Des offres verticales, disponibles pour le réseau avant l'été. François Eloy cite plusieurs secteurs comme la santé, les jeux en ligne, les médias. Des offres qui nécessiteront de recourir à de nouveaux partenaires, des VAR sectoriels, d'une certaine taille. «Très offensif, le responsable de Colt souligne : nous avons une place à prendre sur ces marchés».
Colt propose également ses offres de manière différente, avec le concept Smart Office, qui permet au client de moduler les différents services proposés : accès, voix, sécurité, sauvegarde.
La CNIL sous le coup de la création du poste de Défenseur des droits
Au passage, la CNIL (Commission Nationale Informatique et Libertés) est aussi affectée à plusieurs niveaux. Tout d'abord, le quotidien des contrôles de la CNIL dans les entreprises et administrations est modifié par les articles 7 et 8 de la loi n° 2011-334. Les contrôles sont ainsi mieux encadrés et respectent désormais les principes généraux des procédures judiciaires, notamment l'intervention du juge des libertés et de la détention pour les mesures atteignant aux locaux que la CNIL veut visiter contre l'avis de l'occupant. Ce point était objet de litiges. Les articles 2 à 5 réorganisent la formation contentieuse prononçant les sanctions.
Une moindre indépendance
L'organisation et la composition de la CNIL sont donc également affectées. Ainsi, le nouveau Défenseur des Droits s'y invite soit directement soit via un représentant (article 1 de la même loi) en tant que dix-huitième membre.
Elu en son sein, le président de la CNIL ne pourra plus être un élu. L'article 4 dispose en effet : « La fonction de président de la commission est incompatible avec toute activité professionnelle, tout mandat électif national, tout autre emploi public et toute détention, directe ou indirecte, d'intérêts dans une entreprise du secteur des communications électroniques ou de l'informatique. La durée du mandat de président est de cinq ans. »
Or, parmi les membres actuels de la CNIL, il y a 2 députés, 2 sénateurs, 2 membres du Conseil économique, social et environnemental, 2 conseillers d'État, 2 conseillers à la Cour de cassation, 2 conseillers à la Cour des comptes et 5 personnalités qualifiées désignées par le Président de l'Assemblée nationale (1 personnalité), le Président du Sénat (1 personnalité), et le gouvernement par décret (3 personnalités).
Mise en disponibilité pour les fonctionnaires
Si un fonctionnaire ou un magistrat devient président, il devra donc être mis en disponibilité. Un élu devrait démissionner mais, en tel cas, il perdrait de fait son mandat de membre de la CNIL puisque les deux sont liés.
Cette disposition pourrait accroître l'indépendance de l'institution mais, de fait, va privilégier les « personnalités qualifiées » non-professionnelles et nommées discrétionnairement.
Les décisions de la CNIL s'imposant autant aux entreprises privées qu'aux administrations et collectivités, cette modification des relations de pouvoirs en son sein ne seront pas sans conséquences sur les exigences relatives aux systèmes d'information et aux fichiers de données personnelles.
La fin programmée d'Etebac accélère la migration vers l'IP
Cette fois, plus rien ne pourra sauver les protocoles-dinosaures qui traînent encore parfois dans les SI d'entreprises, et pas seulement des PME. Le 30 septembre 2011 signera l'arrêt définitif de l'Etebac (Echanges TElématiques BAnques Clients), en lien avec l'arrêt du réseau X25 de France Télécom, Transpac. Ce dernier eut son heure de gloire à l'époque du Minitel triomphant. Le réseau Etebac constitue encore aujourd'hui le lien entre 90 000 entreprises et leurs banques, notamment pour la monétique (cartes bancaires).
La migration vers les réseaux IP est bien sûr engagée depuis longtemps avec des protocoles comme Swiftnet ou Ebics. Mais les derniers retardataires risquent de se retrouver fort marris le 1er octobre 2011 s'il ne peuvent plus rien encaisser par carte bancaire, même si c'est dans un lointain établissement provincial.
Etebac n'est capable de transmettre des données que via des fichiers textes dans des formats à largeurs fixes franco-français comme CFONB 120 et CFONB 240. Ces formats sont eux aussi amenés à disparaître assez rapidement, même s'ils pourront toujours être transférés pendant quelques temps, sur support amovible par exemple.
A l'inverse, Swiftnet et Ebics sont autant capables de transférer des formats textes à largeurs fixes que des formats XML, notamment celui des fichiers du système européen Sepa, ISO XML 20022.
Une petite revue de détail s'impose donc pour les DSI avant qu'il ne soit trop tard. La suppression des dernières poches Etebac est, évidemment, le bon moment pour supprimer aussi les créations de fichiers dans un format CFONB. Une bonne pratique serait d'accompagner un passage à Swiftnet ou Ebics d'une migration au format ISO XML 20022.
Crédit photo : D.R. (...)
Moins de plaintes contre les opérateurs télécoms
L'Afutt a enregistré un total de 4 800 plaintes contre 5 761 en 2009 dans les secteurs d'Internet, du téléphone fixe et du mobile (voix et données). Le tout alors que les abonnements se multiplient avec une hausse de 5,4% pour l'Internet et 5,9% pour le mobile.
Malgré une chute des plaintes de 28%, Internet regroupe tout de même 46% des plaintes. Il est suivi de 41,7% pour le mobile. Ce dernier joue néanmoins toujours les mauvais élèves avec une hausse des litiges de 3,1%, due notamment au développement des abonnements données. Le téléphone fixe poursuit sa décrue avec 12%. La facturation demeure le premier poste de conflit (29%). Il précède l'exécution du service à hauteur de 28% et le contrat (18%).
Site : www.afutt.org
Crédit photo : D.R. (...)(04/04/2011 11:00:57)Le Hannover Messe ouvre ses portes
En 2011, la Hannover Messe regroupera 13 salons professionnels différents consacrés aux divers secteurs des technologies de pointe. Plus de 4 500 innovations y seront présentées, dans les domaines de l'énergie, de la mobilité et de l'automatisation. La formation et les parcours professionnels sont également au coeur de l'événement. Le CeBIT, actuellement le plus gros salon au monde consacré aux technologies de pointe, a débuté au sein du Hannover Messe.
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