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(01/04/2011 12:59:00)

Le minitel au secours de l'Hadopi

La commission Hadopi serait en passe de publier une proposition qui, si elle était retenue par le gouvernement, résolverait le problème de la déconnexion Internet forcée des entreprises prises en flagrant délit de téléchargement illégal d'oeuvres protégées par le droit d'auteur. Déjà victimes d'une surconsommation de bande passante par des salariés mal intentionnés ne voulant pas risquer leur droit à se connecter de chez eux, certaines entreprises sont de nouveau victimes en étant sanctionnées en lieu et place de ces voyous.

La nouvelle autorité administrative indépendante a été sensibilisée au risque important pour l'économie nationale si trop d'entreprises, mal sécurisées, se retrouvaient ainsi privées de l'usage d'Internet, désormais au coeur de l'activité économique.

La Hadopi voudrait donc que ces entreprises, après autorisation spéciale et suivi de stages de sensibilisation par les dirigeants (sur le modèle des stages de récupération des points de permis de conduire), puissent être dotées de terminaux dédiés, placés dans des bureaux sécurisés, et connectés à 1200 bauds (contre 4000 fois plus en ADSL classique). De plus, la connexion serait facturée au temps passé à raison de plusieurs euros la minute, cela afin de limiter l'usage au strict nécessaire.

Selon l'autorité administrative indépendante, un tel niveau de connexion est suffisant pour les usages professionnels mais interdit de fait le piratage d'oeuvres artistiques.

poisson2011

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(01/04/2011 12:30:16)

Windows Phone 7 totalise 11 500 applications en un an

Un an après avoir montré pour la première fois la plateforme Windows Phone, à MIX10, et annoncé que les outils de développement étaient gratuits, Microsoft fait un petit bilan en quelques chiffres. C'est le responsable de l'équipe Windows Phone 7 de Microsoft, Brandon Watson (en photo), qui l'a publié hier. Il annonce en douze mois un million et demi de téléchargement des outils de développement pour l'environnement mobile, constitués de Visual Studio Express et Expression Blend 4 pour Windows Phone. Pour autant, cela ne constitue pas, évidemment, un nombre équivalent de développeurs. Ceux-ci sont évalués à 36 000 par l'éditeur qui prend ici en considération les membres de sa communauté AppHub évoluant autour de Windows Phone et Xbox 360.

Quant au volume d'applications, Microsoft l'évalue à 11 500. Brandon Watson promet ici que l'éditeur se concentre sur la qualité et non sur la quantité et que ce nombre n'a pas été artificiellement gonflé, par exemple par l'ajout de la catégorie « fonds d'écran » [wallpapers] ou encore par le dédoublement d'applications proposées en plusieurs langues.

« C'est bien d'avoir une plateforme remplie d'applications, mais la majorité des développeurs auxquels nous parlons veulent gagner de l'argent », reconnaît Brandon Watson. Selon lui, 7 500 de ces applications sont payantes, tandis que 1 100 d'entre elles génèrent des revenus aux développeurs par le biais de la publicité. Ils seraient nombreux, selon le collaborateur de Microsoft, à attendre plus de revenus de la plateforme de Microsoft que de celles des concurrents, « malgré le fait que nous ne pouvons pas encore déterminer précisément le nombre de terminaux qui seront vendus ». Ces derniers ne sont commercialisés que depuis quatre mois.

44% des applications payantes peuvent être essayées

Toujours selon Brandon Watson, les clients téléchargent en moyenne douze applications par mois. Il donne aussi le temps moyen de certification d'une application pour le développeur : 1,8 jour, selon lui. Que l'on obtienne son laisser-passer ou que l'on échoue, une répons est donnée en quelques jours, et pas au bout de plusieurs semaines ou mois. 62% des logiciels obtiennent leur certification dès leur première soumission. « Lorsque l'on fournit aux développeurs des indications claires sur ce que l'on attend d'eux et de leur application, on peut s'attendre à ce que ce processus soit rapide », justifie le directeur de Windows Phone.

Sur l'ensemble des applications payantes de la place de marché, 44% dispose d'une version d'essai, les développeurs s'appuyant sur l'API Trial. On propose aux acheteurs d'essayer avant d'acheter. Un pourcentage est particulièrement mis en avant par Microsoft : celui des développeurs enregistrés qui ont publié. Ils sont 40% de l'ensemble à avoir déjà livré une application ou un jeu. « Bon, 60% n'ont pas encore publié », reconnait Brandon Watson, mais jugeant cela particulièrement enthousiasmant si l'on considère la production que l'on peut s'attendre à voir arriver. Encourageant, le responsable de Windows Phone 7 livre un dernier chiffre. Il suffit d'une seule idée pour se lancer dans la construction d'une application qui pourrait toucher des millions de personnes ou simplement... quelques amis.

Illustration : Brandon Watson, responsable de l'équipe Windows Phone 7 (source : Microsoft)

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(01/04/2011 12:06:30)

Google met à jour son outil d'analyse de performances web

Auparavant présentée comme une extension de Firefox et connue sous le nom de Page Speed, la version en ligne de l'outil développé par la firme de Mountain View a été baptisée Page Speed Online. Accessible sur le site Google Labs depuis n'importe quel navigateur, la solution aide les responsables de site à analyser les données et les performances des pages web sur smartphone, et à obtenir des suggestions pour créer des pages plus rapidement. En annonçant cette mise à jour, Google prend en compte le paradigme croissant des smartphones dans l'industrie des PC.  En raison de la capacité CPU relativement limitée pour les applications mobiles et de la croissance rapide de l'usage de ces outils, le fait de pouvoir comprendre et optimiser la performance de ces équipements est encore plus critique que pour le desktop, ont déclaré Andrew Oates et Richard Rabbat, de l'équipe Page Speed dans un billet de blog.

Selon eux, les recommandations liées aux applications mobiles offrent des bonnes pratiques qui vont au-delà de ce qui est préconisé pour les navigateurs de bureau. Les meilleures pratiques en matière d'équipements mobiles incluent l'élimination des pages du cache et la réduction des JavaScript lors du chargement de la page, deux facteurs qui participent actuellement au ralentissement des pages sur mobiles, considèrent les membres de l'équipe de Google.

Le service Page Speed a d'abord été lancé en juin  2009. Page Speed Online sera quant à lui alimenté par le SDK de Page Speed.

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(01/04/2011 11:26:21)

Les Français plus économes en matière de communications électroniques

Un possesseur de téléphone mobile passe en moyenne 2h20 d'appel chaque mois, d'après des données publiées jeudi 31 mars par l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) concernant le dernier trimestre 2010. 162 SMS sont envoyés, un chiffre en hausse de 52,5% par rapport au quatrième trimestre 2009.

Sur une ligne fixe, l'Arcep a calculé un trafic mensuel sortant de 4h39 par ligne. Une donnée qui monte à 5h18 pour les possesseurs de box internet où les appels vers les fixes sont souvent gratuits.

Des utilisateurs plus économes

Les Français réalisent des économies sur leurs abonnements, constate en outre l'Arcep. La facture mensuelle d'une ligne fixe a ainsi atteint 35,6 euros hors taxes fin 2010 (-1,4%). Pour les clients mobile, la chute s'élève à 2,2% pour atteindre 26 euros hors taxes. Ceux-ci optent davantage pour le forfait mensuel avec un taux global de 70% d'abonnements à une telle formule.

Enfin, le téléphone fixe domine encore le mobile avec un volume de 29,74 milliards de minutes contre 26,75 milliards.

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(01/04/2011 10:48:09)

Annuels SQLI : Entre dynamisme et reconquête

Avec 170,1 millions d'euros en 2010, SQLI réalise un exercice en forte progression. La SSII affiche +8,4% de croissance organique, +10% de croissance totale. Une forte dynamique commerciale et une rigueur de gestion (contrôle des frais généraux et remontée du taux d'activité)  expliquent cette performance, relève la société.

La rentabilité est plus difficile à cerner. Le résultat opérationnel courant est redevenu positif avec +2,6 ME (contre -1,6 sur 2009), le résultat net, part du groupe est négatif à -1,8ME (contre -3,1 un an auparavant). L'entreprise a lancé un plan à trois ans avec trois idées principales : rationaliser son périmètre, réorganiser l'entreprise, développer une offre à valeur ajoutée. L'exercice 2011 est placé sous le signe de la reconquête, dont ce serait « l'an 1 ».

Dominique Chambas remplace Yahya El Mir comme Président non exécutif, tandis que Julien Mériaudeau est confirmé comme directeur général.  La société va évoluer vers une structure à directoire et conseil de surveillance.

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(01/04/2011 10:46:21)

Nokia analyse la fracture mobile mondiale

Le fabricant de mobiles Nokia a publié sur son blog un diagramme composé à partir de chiffres rendus publics récemment par l'Union Internationale des Télécommunications (UIT), et montrant la répartition par zones géographiques des abonnés mobiles dans le monde.

En Europe, on compte treize mobiles pour dix individus, soit un abonnement pour 0,8 personne.  « Dès qu'on enlève les très jeunes et les très âgés, on se rend compte qu'un très grand nombre d'individus possèdent soit deux téléphones, soit une clé internet, soit un système GPS qui nécessite une carte SIM, soit une tablette », explique Nokia sur son blog.

Du général au particulier, les chiffres changent


Le tableau est radicalement différent en Afrique: pour dix personnes, seulement quatre téléphones sont disponibles, ce qui équivaut à un abonnement SIM pour 2,4 personnes. Mais en considérant le continent entier, on se fait une idée trop optimiste de la situation: le taux de pénétration du téléphone portable est beaucoup plus bas dans les régions rurales pauvres de l'Afrique.

« Etudier les données correspondant à des régions immenses implique que les extrêmes de la pénétration du mobile ne sont pas aussi clairement visibles que lorsqu'on examine les données pays par pays », précise le constructeur finlandais. « Il y a évidemment une différence énorme entre le nombre de mobiles par personne à New York et Asunción au Paraguay, à l'autre bout de l'Amérique; ou entre Dubaï et Khartoum, pour prendre deux villes des Etats Arabes, mais une moyenne continentale ne la montrera pas ».

Selon les Indicateurs du développement dans le monde de la Banque mondiale, 60,84% de la population mondiale avaient un abonnement mobile en 2008.

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(01/04/2011 10:31:44)

Annuels Smile : Un futur avec le sourire et à la bourse

« Des résultats dus avant tout à notre positionnement, nous sommes sur l'intégration de services Open Source au sens large, un mouvement fort qui défie la crise, nous explique Marc Palazon (*), Président du directoire de Smile, cette crise a d'ailleurs amené les clients, en réduisant leurs coûts, à se tourner encore plus facilement vers l'open source ».

Smile table sur son métier d'intégrateur. « Un métier particulier dans le monde Open Source, il faut une connaissance très pointue du produit. Nous avons les sources, donc nous travaillons à l'intérieur même du produit, alors qu'un intégrateur classique va travailler autour du produit (intégration, paramétrage, éventuellement développements), avec l'éditeur de ce produit ».

Smile à l'international

Autres particularités, Smile a un spectre très large de compétences : e-commerce, ERP, mobilité ; la société se développe aussi bien en région qu'à l'international. Outre ses agences, Lyon, Nantes et Bordeaux, son siège à Paris, Smile a fait l'acquisition de deux agences de SQLI, à Montpellier et à Aix. A l'international, la société plante également des jalons : Barcelone, Kiev, Genève, Casablanca et Amsterdam. L'Ukraine et le Maroc ne sont pas voués au nearshore, au Maroc c'est 50/50 entre nearshore et traitement des clients locaux, 70/30 en Ukraine.

Créé il y a vingt ans, par 4 ingénieurs (centraliens et Sup Elec) la société vise un CA compris entre 60 et 70 ME en 2014. Les 4 fondateurs,  Marc Palazon, et les managers, sont au capital, rejoints par un fonds d'investissement : Edmond de Rothschild investment Partner. 2014 devrait être également l'année de l'entrée en bourse.

(*) Entré en 2000 chez Smile comme développeur, Marc Palazon est devenu chef de projet, puis directeur de projet, directeur commercial en 2004, finalement Président du directoire en janvier 2007.

Illustration: Marc Palazon

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(01/04/2011 10:14:38)

Les acteurs du e-commerce s'inquiètent des récentes règles européennes

Le Parlement européen a révisé le 24 mars dernier la réglementation du commerce sur Internet qui inquiète les professionnels de ce secteur. Les changements qui suscitent le plus de réticences concernent l'allongement du délai de rétraction des acheteurs, qui passerait de 7 jours à 2 fois 14 jours, soit quasiment un mois.

Ce dispositif implique ainsi que les produits pourraient être remboursés à l'acheteur avant même que le vendeur les ait récupéré, et donc avant de découvrir dans quel état ils se trouvent. De plus, pour tout achat supérieur à 40 €, le vendeur sera tenu de rembourser les frais de retour des produits, en plus des frais de livraison et des produits eux-mêmes.

Autre point délicat : les e-commerçants implantés dans l'Europe des 27 devront accepter de livrer dans ces conditions dans tous les pays de l'union, en étant capables d'utiliser les 25 langues et les 7 monnaies existantes.« Cela pourrait coûter très cher aux acteurs du e-commerce, quelle que soit leur taille,» explique François Momboisse, Président de la FEVAD (Fédération de la Vente à Distance) et par ailleurs en charge du Développement Internet à l'international de la FNAC.

Les matériels high-tech en tête de liste...

Concrètement, les professionnels craignent notamment des dérives et une utilisation abusive de ces nouveaux droits des consommateurs. En l'état, ces règles permettraient en effet une « location gratuite » des produits. Et les produits high-tech pourraient être les premiers concernés, depuis les ordinateurs portables, les smartphones, ou les tablettes, en passant par les téléviseurs. « L'Allemagne oblige ainsi depuis 2002 les vendeurs à prendre en charge les frais de réexpédition : le résultats est que le taux de retour y est deux à trois fois supérieur à celui que l'on connaît en France », précise François Momboisse.

Selon lui, il reste possible de modifier ces règles. Les 27 pays concernés ont deux mois pour réagir et demander à la Commission Européenne de corriger le tir. Dès le 29 mars, la FEVAD a été reçue par le cabinet du ministre de l'Industrie, Eric Besson. « Les pouvoirs publics français prennent la mesure des dégâts que cela pourrait causer à la filière du e-commerce, qui est en forte expansion et qui créée des emplois, estime François Momboisse. Ces règles ont été conçues sans que les professionnels du secteur soient consultés et sans que les associations de consommateurs aient demandé des évolutions aussi radicales ».

Enfin, un groupe spécifique a été créé au début de cette semaine pour faire pression sur l'Etat français (Touche pas à ma e-boutique). Il a réuni plus de 700 membres en trois jours et devrait en compter largement plus de 1 000 la semaine prochaine. Créé en marge de l'action de la FEVAD, ce groupe a notamment pour objectif de recueillir le plus grand nombre de signatures pour sa pétition contre la nouvelle réglementation européenne.

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(01/04/2011 11:52:51)

Au coeur de la Silicon Valley : Retour chez Zoho (Part 3)

Un an après notre rencontre avec Zoho, le marché des applications SaaS se porte bien et les offres se sont étoffées chez les géants comme Google, SalesForce.com et même Microsoft. De son coté, Zoho qui propose 25 applications en lignes (base de données CloudSQL, CRM, facturation, outils bureautique et collaboratif) revendique aujourd'hui 50 000 clients et 4 millions d'utilisateurs.

« Nous avons construit nos logiciels comme des produits et non pas comme des services. Par exemple, tout est compris dans notre tableur mais pour optimiser la réactivité de l'application tous les composants ne sont pas chargés en même temps mais appelé en fonction des besoins de l'utilisateur. C'est notre sauce secrète, nous ne sommes pas Open Source. Notre plate-forme repose sur un framework et une base de donnée utilisés par toutes les applications. Nous sommes bien sûr multi-tenant mais cela a été très dur à faire » explique Sridhar Vembu. Encore une fois dans la vallée (voir FaceBook et BlackBlaze) , Zoho ne recourt pas à la virtualisation sur ses serveurs hébergés dans des datacenters en Chine et en Inde.

«  Nous utilisons des serveurs animés par une version simplifiée de Linux. Moins vous avez de software, meilleur est la sécurité. Et à contre courant de la mode actuelle dans la vallée, nous n'utilisons pas le framework Ruby mais du Python pour certaines choses et du JavaScript coté clients ». Zoho propose également une place de marché  qui regroupe 300 modules à greffer sur les 25 applications de base : TeamWork Task Manager, My Money Manager ou encore du CRM.

Des modules complémentaires


Parmi les nouveautés proposées par la compagnie, citons CRM for call centers pour la gestion des appels et l'intégration contextuelle des services Zoho dans les applications en ligne . On peut ainsi partager ses emails pour recouper des informations sur des clients dans l'application CRM. « Nous croyons à cette intégration contextuelle pour apporter une vraie plus-value à nos clients » assure Sridhar Vembu. Lucide,  ce dernier avoue volontiers qu'il manque encore certaines choses à son portefeuille applicatif notamment dans la suite collaborative.

Un autre axe de développement est la verticalisation des applications pour répondre aux besoins de certains métiers comme les médecins, les avocats... « Zoho réalise des développements spécifiques pour des clients mais beaucoup de développement sont nécessaires pour répondre à certains besoins ; nous ne sommes pas encore prêt, nous recherchons des partenaires qui maitrisent ces métiers ». Fort à propos, le CEO met en avant Medical Mind, un produit développé par sa femme, à destination des médecins et Charm pour accompagner le suivi des enfants autistes.

A la question de savoir si Zoho proposera un jour un ERP online, Sridhar Vembu répond simplement que la société se concentre sur la question... Rappelons pour conclure que Zoho est en fait une déclinaison de SoHo (Small office, Home office). Une déclinaison car le nom de domaine SoHo étant inaccessible, Sridhar Vembu a judicieusement baptisé sa compagnie du nom de Zoho  pour la lancer sur le web.

Illustration principale :  Raju Vegesna, évangéliste, et Sridhar Vembu, CEO de Zoho

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