Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 4671 à 4680.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(10/03/2011 17:14:11)
Salon Serious games : Les jeux pédagogiques gagnent les entreprises
Selon une récente étude de l'Idate le marché des serious games, qui représente actuellement 1,5 milliards d'euros, pourrait atteindre les 10 milliards d'euros d'ici 2015. Reposant sur le support du jeu vidéo, ces solutions permettent de transmettre tout message ou enseignement sans lien avec le divertissement, explique Julien Alvarez, chercheur et consultant indépendant dans ce domaine. D'abord créé par l'armée américaine pour promouvoir ses valeurs et élargir son recrutement, le serious game n'a réellement pris son essor qu'à partir de 2002, en marge du secteur du jeu vidéo. Porté en France par une cinquantaine d'entreprises conceptrices, selon l'estimation de Julien Villedieu, délégué général du syndicat national du jeu vidéo (SNJV), ce secteur encore jeune représenterait actuellement quelques dizaines de millions d'euros dans l'Hexagone. « L'immersion dans un univers virtuel favorise l'implication des participants et optimise l'ancrage pédagogique de la formation », explique Vincent Stanlislawiak, directeur marketing et commercial de Qoveo, un éditeur lyonnais qui a développé des parcours d'apprentissage interactifs sur un mode ludique. L'utilisation de ce type d'outill permet au collaborateur d'accéder à des ressources pédagogiques en entrant dans la peau d'un personnage qui devra franchir plusieurs obstacles au cours des différentes étapes de la formation. « Le serious game fonctionne selon une logique qui consiste à gagner des points et à passer différents niveaux », précise le dirigeant. « C'est tout bénéfice pour les participants qui se forment tout en y trouvant du plaisir. »
Une pédagogie où l'élève fabrique son propre savoir
Côté applications, ces jeux à caractère pédagogique sont utilisés par les entreprises pour soutenir leurs actions de communication, présenter leurs métiers aux personnes nouvellement embauchées ou pour simuler des entretiens. Ils répondent aux besoins des forces de vente et sont particulièrement appréciés par la jeune génération. Pour Philippe Delanghe, directeur des ventes et du marketing de l'éditeur Uni-learning, ces jeux de simulation donnent lieu à une pédagogie innovante, qui adresse des problématiques difficiles à traiter en présentiel (formation fondée sur la présence en salles de cours) ou en e-learning classique. Il considère que la pédagogie d'un serious game est constructiviste, par opposition à une pédagogie objectiviste où le savoir est mis en forme par un expert puis mémorisé. « En s'appuyant sur ce type de modules, l'élève est en mesure de fabriquer son propre savoir », expose t-il. « Il pourra suivre un cours en ligne qui lui expliquera quel est son métier, répondre à des questions sur sa fonction tout en gagnant des points, s'engager dans une conversation virtuelle avec un client ou un collègue, le renseigner et le convaincre. Le serious game lui permettra d' explorer virtuellement son espace de travail, d'interagir avec de multiples personnages, et de prendre les bonnes décisions pour marquer des points. »
Toutefois, si ces solutions prennent une part de plus en plus importante dans le milieu professionnel, les PME y sont encore peu sensibilisées en raison de leur coût. En effet, il faut compter entre 50 à 100 000 euros pour le développement d'un module d'une heure de formation. C'est pourquoi les serious games remportent du succès auprès de grands groupes industriels, comme l'Oréal, Renault, Carrefour, la Société Générale ou encore BNP-Paribas.
(...)
La mise à jour sécurité d'Android infectée
Symantec a trouvé une application nommée « Android Market Security Tool » qui est une version reconditionnée de la mise à jour officielle et qui porte le même nom. Cette application vise à éliminer le malware DroidDream sur des terminaux contaminés. La fausse mise à jour envoie des SMS à un serveur de prise de commande et de contrôle, écrit Mario Ballano, membre de Symantec. Cette application a été retrouvée sur un MarketPlace chinois non autorisé. Le code est en cours d'analyse, mais « ce qui est intriguant, c'est que le code de la menace semble être basée sur un projet hébergé sur Google Code et sous licence Apache, » précise le blogeur.
Cette fausse mise à jour montre l'intérêt croissant que portent les pirates pour Android. Il faut dire que les chiffres récents du Gartner montrent une forte croissance de ventes de smartphones sous cet OS mobile (67 millions vendues en 2010).
Des mises à jour difficiles à effectuer
La semaine dernière, Google a pris l'initiative rare d'imposer « Android Market Security Tool Mars 2011 » sur les terminaux atteints par le malware DroidDream. Généralement, cette opération de mise à jour est prise en charge soit par les constructeurs mobiles, soit par les opérateurs sont responsables. Le correctif ne fait pas que colmater la faille qui a permis d'infecter les smartphones, mais supprime aussi les logiciels malveillants, indique dans un blog Timothy Armstrong, un analyste junior sur les malware auprès de Kaspersky Lab.
L'intervention de Google met en exergue les problèmes d'Android sur la façon d'être mis à jour. « En raison de la nature d'Android dans son état actuel, il est très difficile et coûteux de pousser les mises à jour de sécurité comme vous le feriez sur un système d'exploitation comme Linux ou Windows, » explique Timothy Armstrong. « Contrairement à l'iPhone, qui installe les correctifs via iTunes ou Windows Mobile qui utilise ActiveSync, Android fonctionne presque entièrement en mode over the air (via les ondes radios) » conclut le consultant.
(...)
SAP précise ses plans pour des applications métiers in-memory
En informatique in-memory, les données sont déplacées hors de l'espace de stockage traditionnel pour être exécutées dans la mémoire vive. Ce qui permet des gains en performances pour la lecture des données. Le moteur de SAP chargé de gérer le traitement des données en mémoire vive a été conçu par Hasso Plattner, le co-fondateur du géant informatique, et se trouve au coeur de l'HANA (High-Performance Analytic Appliance) livré par SAP l'an dernier.
« Parmi les applications in-memory que SAP a prévu de commercialiser cette année, on trouve un outil destiné à aider les services opérationnels et marketing à travailler ensemble plus efficacement, » selon SAP. « Un autre logiciel doit permettre aux personnes travaillant dans le secteur financier d'analyser les créances d'un client et déterminer, en fonction d'éléments actuels et de l'historique du compte, quel type d'escompte ils peuvent accorder. Une troisième application aura pour objet de fournir des analyses pour les compteurs intelligents, » détaille SAP. L'entreprise envisage également de remodeler ses applications de Trade Promotion Management(Gestion des promotions Commerciales) et son application Cash and Liquidity Management pour la gestion des liquidités et de la trésorerie en leur appliquant la technologie in-memory. Surtout, ces annonces viennent dans la continuité de projets déjà annoncés par SAP, comme ce logiciel d'analyse spécialisé destiné à fonctionner avec un client ERP, duquel il pourra extraire des données en temps réel. L'entreprise avait annoncé la sortie d'une première version de son logiciel de planification des effectifs Strategic Workforce Planning, à la fin de l'année dernière.
SAP n'a pas l'intention de positionner son moteur in-memory pour inciter les clients à un remplacement complet de leur base de données principale, en général un produit Oracle proposé par la plupart des revendeurs SAP. Mais cela pourrait changer à mesure que la technologie s'améliore. Pour l'instant, la stratégie de SAP en matière d'applications in-memory consiste à proposer à la vente des produits que les clients semblent désireux d'acquérir, comme cela a été le cas avec les produits de BI (business intelligence) dont les ventes sont restées soutenues pendant toute la période de récession mondiale.
Illustration principale : Hasso Plattner, co-fondateur de SAP (...)(10/03/2011 15:38:44)Safari et IE, 1eres victimes du concours de piratage Pwn2Own, Chrome snobé
Safari d'Apple et Internet Explorer 8 (IE) de Microsoft ont était les premières victimes du concours Pwn2Own, qui a démarré lors de la conférence sur la sécurité CanSecWest, à Vancouver. Chaque année, cette compétition met au défi et récompense des spécialistes du piratage de se confronter aux navigateurs Internet des différents éditeurs.
Une équipe de la société française de sécurité Vupen a ainsi gagné 15 000 dollars et un MacBook Air après avoir exploité une vulnérabilité non corrigée de Safari. La mise à jour réparant 62 vulnérabilités sur la version 5.0.4 de Safari et publiée juste avant l'ouverture du concours, n'aura pas servi à grand-chose car Vupen a réussi malgré tout à pirater le navigateur.
En ce qui concerne IE, il s'agit d'un chercheur indépendant, Stephen Fewer qui a utilisé 3 failles de sécurité pour percer IE 8 sur Windows 7. Aaron Portnoy, responsable de l'équipe sécurité d'HP Tipping Point et organisateur du Pwn2Own a été impressionné par le travail de Stephen Fewer. « Il a utilisé trois failles seulement pour contourner ASLR et DEP, mais aussi échapper au mode protégé. C'est quelque chose que nous n'avions pas vu au Pwn2Own auparavant. » L'ASLR (address space layout randomization), méthode aléatoire d'adressage et le DEP (Data Execution Prevention) doivent réduire les risques de vulnérabilités et de leur exploitation. Le mode protégé d'IE est la « sandbox », qui isole le navigateur.
Chrome ne fait pas recette, les OS mobiles si
A priori, le navigateur Chrome intéresse moins les experts en sécurité que les OS mobiles comme Blackberry OS, Android, iOS et Windows Phone 7. En effet, malgré les 20 000 dollars de récompenses, peu d'équipes ont décidé de se porter candidat pour pirater le navigateur de Google. Seules deux équipes s'étaient pré-enregistrées pour le concours sur Chrome Moatz Khader et un ou plusieurs chercheurs connus sous le nom « Team Anon » (les candidats peuvent rester anonymes s'ils le souhaitent).
En l'absence de combattants, Google Chrome pourrait être déclaré invincible pour la troisième fois consécutive depuis l'existence du concours Pwn2Own.
Le bureau virtuel VMWare View arrive sur l'iPad
Même s'il domine le marché de la virtualisation, VMware a pris du retard sur plusieurs fronts par rapport à ses concurrents, notamment pour porter sa solution de bureau virtuel sur tablette. Mais l'éditeur de Palo Alto est en train de rectifier le tir, puisque désormais l'entreprise propose sur l'App Store d'Apple un client VMware View pour l'iPad. « Nous travaillons sur cette solution depuis le milieu de l'année dernière, » explique Pat Lee, qui dirige le département des utilisateurs finaux chez VMware. De la même manière que Microsoft travaille dur pour adapter Windows aux tablettes construites sur le modèle de l'iPad (sur base ARM donc), VMware reconnaît avoir eu des difficultés à faire fonctionner Windows en mode virtuel sur la tablette d'Apple. « Windows n'est vraiment pas simple à manipuler, » a confirmé Pat Lee.
En interne, les ingénieurs de VMware se sont servis du client View iPad pour corriger les bugs, et les développeurs produits se sont donnés beaucoup de mal pour adapter l'expérience utilisateur de l'iPad à Windows. « Nous avons passé beaucoup de temps à développer les modalités d'usages pour être sûr de retrouver la saveur d'iOS, » a ajouté le responsable de VMWare. Un écran aide les utilisateurs et montre comment effectuer un clic droit (il faut utiliser deux doigts) et comment faire une cliquer-glisser. Pour ceux qui préfèreraient utiliser un pavé tactile de type PC, VMware fournit un trackpad virtuel qui peut s'afficher sur l'écran. « Nous avons souhaité offrir un environnement aussi logique que possible, » explique encore Pat Lee.
Des solutions déjà disponibles chez les concurrents
VMware utilise le protocole PCoIP pour déployer les bureaux distants et affirme que le View Client assurera une connexion sécurisée avec les bureaux hébergés sur des serveurs distants. VMware estime que, pour l'instant, la demande en bureau virtuel n'est pas assez importante sur les tablettes tournant sous Android pour motiver le développement rapide d'un client pour le système d'exploitation mobile de Google. L'éditeur indique que l'application View pour iPad est gratuite pour les clients qui payent déjà 150 ou 250 dollars par licence.
L'annonce de VMware arrive presque un an après la disponibilité du Receiver de Citrix pour iPad, qui donne accès aux applications Windows et à des postes de travail virtuels aux clients se connectant avec la tablette d'Apple. Parallels, avec son application de bureau pour iPad, a aussi largement devancé VMware. Et Citrix Receiver est déjà disponible pour les smartphones Android et iPhone. Cependant, pour VMware, les smartphones ne disposent pas d'écrans suffisamment larges pour offrir un espace de travail adéquat. « Avec un écran de 3,5 pouces, on passe son temps à pincer et à zoomer pour faire les choses les plus simples, » commente Pat Lee. « Le bon facteur de forme, c'est la tablette ! » VMware promet par exemple un accès instantané aux bureaux Windows depuis l'iPad, ainsi que le support des claviers Bluetooth.
Un hyperviseur pour smartphones à venir
Si VMware a pris du retard dans son offre de bureaux virtuels pour l'iPad, et se retrouve derrière Citrix pour proposer un hyperviseur client bare-metal, l'éditeur a peut-être une longueur d'avance dans la fourniture d'hyperviseurs pour smartphones. VMware met au point une solution de virtualisation pour les terminaux Android qui pourront faire tourner simultanément deux OS, l'un pour une utilisation professionnelle et l'autre pour un usage personnel par exemple. LG a déjà annoncé qu'elle proposerait le premier smartphone Android supportant VMware dans le courant de 2011.
Mais le domaine où l'éditeur californien réussit le mieux, c'est, bien sûr, celui des produits de virtualisation pour serveurs virtuels et des logiciels de gestion et d'optimisation des ressources informatiques. Cette semaine VMware a annoncé un outil de gestion de virtualisation serveurs, vCenter Operations, qui, selon l'éditeur, doit simplifier la gestion des machines virtuelles en offrant aux équipes opérationnelles plus de visibilité sur l'environnement virtuel. « Les précédents outils de gestion ciblaient plutôt les équipes chargées de l'infrastructure, » a déclaré Rob Smoot, directeur du marketing pour les produits de gestion. Les clients risquent d'être un peu perdus face à l'offre d'outils de gestion offerts par VMware et des vendeurs tiers, mais, selon Chris Wolf, analyste chez Gartner, « c'est justement la raison pour laquelle vCenter Operations est si important. C'est la première étape vers la création d'une plate-forme de gestion consolidée, » explique-t-il. « VMware accomplit un travail difficile qui est celui de construire une offre véritablement intégrée, et il faut s'attendre à ce que ce produit, quand il sera prêt, soit rapidement adopté par la base d'utilisateurs de VMware. »
Cloud computing : Les 10 tendances clefs selon IDC
Dans cette étude, le cabinet d'études IDC insiste particulièrement sur les questions de sécurité. Selon Eric Domage, directeur de recherche pour les produits et services de sécurité européenne chez IDC, "La sécurité est un inhibiteur à long terme pour l'adoption du cloud. Les entreprises y vont malgré les questions de sécurité, le défi est pour elles de garder le contrôle sur les données ». Pour sa part, David Bradshaw, directeur de recherche pour le SaaS et les services européens de cloud chez IDC scrute l'impact chez les différents : "les entreprises clientes cherchent des moyens par le cloud d'accroître leur flexibilité tout en réduisant leurs coûts, tandis que de nombreux fournisseurs, notamment les éditeurs de logiciels, se battent pour placer leurs offres cloud sur le marché avant qu'il ne soit trop tard."
Le top 10 des prévisions d'IDC pour le marché européen des logiciels de cloud en 2011forme le classement suivant :
1. Les éditeurs de logiciels devront intensifier leurs efforts pour devenir des acteurs du cloud en Europe.
2. Le SaaS va transformer les directeurs IT en gestionnaires de processus et d' approvisionnement.
3. L'essor du cloud local permettra d'accélérer l'adoption du SaaS en Europe centrale et méridionale.
4. Des modèles économiques de grossistes en cloud vont apparaîtrent.
5. Le traitement des données en gros volume deviendra un cas d'utilisation clés pour la BI en cloud.
6. Le cloud basé sur des plate-formes de réseaux sociaux va devenir de plus en plus important.
7. Les questions de sécurité, de conformité, de SLA, et d'emplacement des données ne seront pas résolues en 2011.
8. La sécurité du Cloud fait disparaître plus de barrières que prévu.
9. La gouvernance du cloud gagnera en importance, mais cette question n'entravera pas la croissance.
10. L'aspect infrastructure va gagner en importance.
300 applications sur Google App Marketplace
Une année après son lancement, la plate-forme en ligne Apps Marketplace de Google offre quelque 300 applications réparties selon 11 catégories, annonce l'éditeur californien. Dernièrement, la boutique s'est notamment enrichie d'une série de programmes éducatifs. Lors de son lancement, le site ne comptait que 50 applications.
Rappelons qu'Apps Marketplace permet aux utilisateurs de Google de profiter de nombreux services et produits, notamment des applications intégrées à Google Apps.
(...)(10/03/2011 10:15:15)Eléa ouvre un bureau dans l'Isère
Eléa concentre son activité sur la distribution et l'intégration d'ERP propriétaires, Divalto en particulier, et Open Source comme Open ERP. Alors que le siège lyonnais regroupe des grands comptes parmi ses clients (La Redoute, Carrefour, la SNCF...), le bureau de Gières travaille principalement pour de petites sociétés telles que des papeteries et des maisons d'édition.
La création récente de cette antenne iséroise s'inscrit dans la stratégie globale de développement d'Eléa qui a aussi récemment ouvert un centre technique à Tunis avec deux collaborateurs. La société de conseil et de services s'est en outre dotée d'une entité visuelle revue et d'un nouveau site web.
Annuels Vision IT Group : Croissance modeste en 2010
A périmètre comparable, Vision IT Group a réalisé une croissance organique de 0,5% en 2010, avec un chiffre d'affaires (CA) de 106,4 millions d'euros (ME). En tenant compte de la croissance externe la progression est de 31%. Vision IT a en effet procédé à plusieurs acquisitions sur l'exercice : GFI Informatik, SCS gmbh, Qwise, les deux premières en Allemagne, la troisième aux Pays-Bas. Ces trois sociétés ont généré 21 ME de CA sur 2010.
Pour 2011, Vision IT entend profiter largement de la reprise. Signe de confiance, la société a mis en chantier 400 recrutements, sur toute l'Europe. L'objectif de CA s'élève à 120 ME.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |