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(07/01/2010 14:15:58)

Les pays émergents prêts à payer pour des produits "verts" selon une étude Accenture

Les marchés émergents seraient-ils (beaucoup) plus soucieux de l'environnement que les autres ? C'est ce que fait ressortir une étude réalisée par le cabinet de conseil Accenture menée auprès de consommateurs chinois et américains. Le rapport, publié mardi, montre que «pratiquement tous les consommateurs chinois (98%), contre seulement 43% des consommateurs américains » sont prêts à payer plus cher des produits «verts», respectueux de l'environnement. C'est le cas notamment des produits électroniques. La société de conseil commente cette disparité entre consommateurs chinois et américains en déclarant : " c'est l'un des résultats les plus surprenants de notre recherche." Une préoccupation amenée à se renforcer D'autres pays en développement partagent la volonté de la Chine de payer plus pour des produits à faible impact environnemental. Dans l'ensemble, 84% des personnes interrogées dans les pays émergents ont indiqué qu'elles étaient disposées à payer davantage pour des matériels « verts », contre 50 % pour les autres. Le rapport ne précise pas pourquoi les consommateurs de pays comme la Chine et l'Inde sont plus sensibles à ce facteur et pourquoi ils accepteraient de payer plus cher pour des produits plus écologiques. Cependant, nous savons que des pays émergents comme la Chine devront absorber une grande partie des déchets électroniques du monde et supporter les coûts sanitaires et environnementaux liés au traitement de ces déchets. C'est sans doute pour cette raison que «les consommateurs de ces pays ont clairement manifesté leur intérêt pour des produits ayant un effet moins nocif sur l'environnement », indique le rapport. Les préoccupations concernant le développement durable ne sont pas prêtes de disparaître. Les entreprises d'électronique grand public doivent répondre à la demande des consommateurs en intensifiant leurs efforts pour rendre ces produits compatibles avec les nouvelles nécessités environnementales. (...)

(07/01/2010 12:22:00)

Nokia reste le meilleur élève de la classe verte de Greenpeace

A l'occasion du CES 2010, Greenpeace met à jour son rapport sur l'engagement Green IT des entreprises électroniques. Alors que certains régressent et que d'autres en font aucun effort, Nokia conserve confortablement sa première place dans le classement Greenpeace des entreprises éco-responsables. Avec une moyenne de 7,3/10, le Finlandais fait toutefois moins bien que lors du dernier classement paru en septembre dernier où il avait obtenu 7,5/10. Il a perdu des points sur sa politique énergétique, regrette l'ONG. Sony Ericsson passe de la 3ème à la 2ème place avec une moyenne de 6,9/10. La marque gagne des points pour l'élimination des produits toxiques mais peine encore à en gagner avec à sa politique de recyclage.Surprise de ce nouveau classement, Samsung passe de la 3ème place à la 5ème, ex-aequo avec Apple, LG Electronics, Sony et Motorola. Greenpeace sanctionne le Coréen pour son manque d'initiatives en matière d'élimination de produits néfastes pour l'environnement. Du coup Toshiba remonte de la 5ème à la 3ème place récoltant les fruits de sa politique d'élimination des produits toxiques. La firme est toutefois attendue au tournant par l'association environnementale qui espère que d'ici avril prochain, elle aura notamment abandonné l'usage du PVC dans la fabrication de ses produits.
Depuis son entrée dans le classement l'an dernier, le fabricant de consoles Nintendo ne décolle pas de sa dernière place.

Le classement écologique des marques high-tech
Rang Marque Note
1 Nokia 7.5
2 Sony Ericsson 6.9
3 Toshiba 5.3
4 Philips 5.3
5 Apple 5.1
6 LG Electronics 5.1
7 Sony 5.1
8 Motorola 5.1
9 Samsung 5.1
10 Panasonic 4.9
11 HP 4.7
12 Acer 4.5
13 Sharp 4.5
14 Dell 3.9
15 Fujitsu 3.5
16 Lenovo 2.5
17 Microsoft 2.4
18 Nintendo 1.4
(...)

(07/01/2010 12:05:09)

En France, le BPO reste encore mal vu

Malgré la crise économique, le BPO ne décolle toujours pas en France. Cette crise est pourtant l'occasion pour les entreprises de réduire leurs coûts et de se concentrer sur leur coeur de métier. Des arguments rêvés en faveur de l'externalisation, en particulier en faveur du BPO. Les prestataires répètent d'ailleurs ces arguments en boucle. « Mais cette répétition ne me convainc pas, note Ludovic Melot, auteur d'une étude sur ce sujet pour le cabinet Précepta. Le BPO en France ne décolle toujours pas et ce, pour deux raisons principales : une résistance historique des entreprises et la peur des conséquences sociales ». Les exemples abondent. Celui récent d'Alcatel et de Wipro par exemple. Tollé syndical, grèves, pression de l'opinion et des politiques. Résultat : le contrat a exclu la France. Les filiales françaises des entreprises anglo-saxonnes en revanche passent facilement au BPO. Souvent avec des prestataires également anglo-saxons (par exemple Accenture ou Logica) Mais les grands comptes français restent toujours aussi réticents. L'externalisation totale fait peur en France. Precepta voir pourtant deux brèches se créer : le BPO spécialisé avec des acteurs également spécialisés et les Centres de services partagés. Pour le moment, cette externalisation spécialisée porte en France essentiellement sur les services de support marketing (centres d'appel) ou sur la paie. Les différentes estimations qui portent le BPO à 2 milliards d'euros en France en 2009 oublient d'ailleurs que 40% de ce chiffre est constitué par des centres d'appels (« cela n'a rien de déshonorant mais ne constitue pas vraiment une nouveauté commente Précepta). Des spécialistes viennent concurrencer les SSII, Precepta cite les cabinets d'audit ou d'expertise comptable, ceux de recrutement, les sociétés d'affacturage. [[page]] En revanche, la création de Centre de services partagés a convaincu selon Ludovic Melot la totalité du CAC 40 voire du SBF 120, donc des grandes entreprises françaises. Il s'agit d'entreprises qui gardent en interne une prestation mais la centralisent. Par exemple, la comptabilité ou la paie, dispersées dans des dizains de centres ou de filiales en France sont regroupées dans un seul centre. Avantages : une réduction des coûts, une meilleure visibilité, des grincements de dents moins forts. Mêmes si la mise en place prend du temps et coûte cher, ce type de prestation est plus facile en France qu'une externalisation totale ou même partielle. En fait, conclut Ludovic Melot, le BPO ne décolle pas en France parce que les prestataires sont mal adaptés. Les offres sont souvent des décalques d'offres présentées à l'international (les deux SSII qui ont le plus calqué leur modèle sur le modèle anglo saxon, Stéria et Cap ne sont pas parvenus à compenser ainsi la chute de leur division conseil et intégration). Les acteurs même français ne s'adaptent pas à la demande. Or, celle-ci est fondée sur des critères bien précis : la peur du risque social, la méfiance vis-à-vis des grands contrats globaux, la préférence pour une externalisation qualitative plutôt que quantitative, une barrière culturelle voire linguistique. Autant de critères qui vont à l'encontre des thèses de grands spécialistes mondiaux qui veulent des contrats globaux, une externalisation offshore, des contrats sur plusieurs années. La multiplication des CSP montre pourtant que les entreprises françaises sont prêtes pour ce type de démarche, mais pour le moment en interne ! Preuve que c'est moins le principe que l'offre qui est en cause. (...)

(07/01/2010 11:05:32)

Huawei affiche une insolente croissance

( Source EuroTMT ) L'année 2010 a à peine commencé, et Huawei a déjà fait ses comptes pour 2009. L'année qui vient de s'achever s'est révélée, une fois encore, brillante pour le principal équipementier télécoms chinois, malgré la crise économique et la forte réduction des investissements enregistrés chez les opérateurs. Selon les chiffres qu'il a communiqués à Interfax China et à Light Reading, Huawei revendique en effet un montant record de prises de commandes de plus de 30 milliards de dollars et un chiffre d'affaires effectif de 21,5 milliards. Des commandes en progression de 29% Par rapport à 2008, les prises de commandes augmenteraient ainsi de 29 % et les revenus de 17 %. Certes ces taux de croissance marquent un tassement par rapport aux années précédentes. En 2008, il affichait un bond de 46 % pour les commandes et une progression de 45 % pour ses revenus. Mais ils demeurent à un niveau très élevé, alors que la plupart des analystes estiment que le marché des équipements télécoms a dû enregistrer une baisse de l'ordre de 10 % en 2009. Cette bonne santé de Huawei tranche singulièrement avec les difficultés rencontrées par les grands équipementiers occidentaux. A l'issue des neuf premiers mois de 2009, les revenus de Nokia étaient en recul de 27 % et ceux d'Alcatel-Lucent de 7 %. Seul Ericsson affichait une petite hausse de 4 %. Huawei s'est hissé au niveau des meilleurs Pour mesurer le chemin parcouru par Huawei, quelques chiffres suffisent. En 2002, l'équipementier pesait dix fois moins lourd qu'aujourd'hui puisqu'il ne réalisait alors que 2,1 milliards de dollars de ventes et ses commandes ne s'élevaient qu'à 2,7 milliards. Surtout, le succès de Huawei ne s'explique plus seulement par des prix faibles, obtenus grâce à ses usines et ses équipes chinoises. Alors que la plupart des grands équipementiers ont externalisé en Chine de larges pans de leur fabrication, Huawei s'est aussi hissé technologiquement au niveau des meilleurs, comme l'ont confirmé les nombreux contrats qu'il a pu gagner l'an dernier, notamment dans la toute nouvelle technologie LTE (Long Term Evolution) destinée à équiper les réseaux mobiles à haut débit, et également baptisée 4G. Illustration : stand Huawei sur un salon (D.R) [[page]] Huawei a ainsi décroché, l'an dernier, un gros contrat dans la 4G avec Telenor, battant Ericsson et Nokia Siemens Networks. C'est aussi d'ailleurs le cas pour ZTE qui revendique un rôle de leadership dans l'évolution des technologies PON (réseaux optiques passifs pour les réseaux FTTH). Et si Huawei s'est bien comporté en 2009, il le doit aussi au soutien obtenu auprès des opérateurs mobiles chinois. La part de chiffre d'affaires venu de l'étranger dans ses commandes est en effet tombée à 53 % en 2009, contre plus de 70 % en 2008. Cela provient à la fois de l'effet de la contraction des dépenses des opérateurs occidentaux et du nouveau cycle d'investissement des opérateurs mobiles chinois qui déploient leurs réseaux 3G et favorisent, dans leurs commandes, les équipements chinois. Une bonne année 2010 se profile Huawei a aussi indiqué qu'il s'attendait, pour 2010, à une hausse de 20 % de ses prises de commandes (à 36 milliards), sans donner toutefois une prévision de ses ventes. Mais cette première publication de ses chiffres pour 2009 (qui doit être confirmée et précisée en avril prochain lors de la publication officielle de son rapport annuel) devrait conforter Huawei dans son nouveau statut de numéro deux mondial des équipements télécoms, une place arrachée à Nokia Siemens Networks dès la fin du troisième trimestre 2009. Incertitudes sur Alcatel-Lucent Si Huawei affiche une santé insolente, la situation, du moins à court terme, d'Alcatel-Lucent continue d'inquiéter des analystes financiers. Selon une étude de Soleil Securities Group, l'équipementier franco-américain pourrait manquer ses objectifs de ventes et de résultat opérationnel au quatrième trimestre 2009, en raison d'une nouvelle baisse des dépenses chez ses principaux clients durant ce trimestre, ainsi qu'en raison de reports de projets en Chine. Cependant, pour conclure l'analyste se dit plutôt confiant dans l'avenir d'Alcatel-Lucent, en raison notamment de ses performances dans le marché des routeurs IP. (...)

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