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(07/07/2006 18:15:59)

Palme d'or Wimax : Maxtel, Bolloré Télécom et HDRR

L'Arcep a rendu son verdict. Les lauréats qui viennent de gagner leurs autorisations d'exploitation des fréquences Wimax sont : Maxtel (13 régions), Bolloré Télécom (12 régions), HDRR (11 régions), SDH (2 régions). Six Conseils régionaux pourront également jouir de la bande de 3,4-3,6 GHz : l'Alsace, l'Aquitaine, la Bourgogne, la Bretagne, la Corse et le Poitou-Charentes. En Guyane, France Télécom et Guyatel ont obtenu une licence chacun. A Mayotte, ce sont France Télécom, Guétali Haut Débit et STOI Internet. L'opérateur historique n'obtient de licence en frontal que dans les TOM. « Cela est dû à sa position actuelle sur le marché fixe et mobile. Sur le critère de concurrence, France Télécom était mal placé », explique Jacques Douffiagues, membre du Collège de l'Arcep. « Par ailleurs, il s'est engagé sur un nombre nettement moindre de sites par rapport à Bolloré », renchérit-il. « Enfin, France Télécom n'a pris aucun engagement ferme de mise à disposition des fréquences non utilisées », assène Garielle Gauthey, également membre du collège, en précisant que c'était un critère important. France Télécom n'est pas le seul « perdant » de la course aux licences Wimax. Clearwire France avait postulé sur 18 régions. Comium, InterGSM.net, Shaktiware et e-Qual avaient candidaté sur 5 régions métropolitaines. Ces acteurs repartent bredouilles, ou presque. « Le paysage que nous présentons aujourd'hui est un classement. Il n'est pas figé », insiste Gabrielle Gauthey. « Nous allons faire parvenir aux candidats retenus des autorisations d'utilisation des fréquences. Ils pourront se désister. A ce moment-là, c'est le troisième candidat qui bénéficiera de la fréquence », rappelle-t-elle. Enfin, les acteurs qui ne figurent pas en premier plan pourront se voir céder les fréquences non utilisées. Ils pourront aussi profiter des offres de gros que proposeront certains de leurs confrères. (...)

(06/07/2006 12:03:22)

OpenWengo défie les étudiants pour des vacances studieuses mais libres

La communauté de développement OpenWengo, parrainée par la jeune filiale du groupe Neuf Cegetel, Wengo, lance un concours cet été - l'OpenWengo Code Camp - pour faire avancer des projets de développement Open Source. Les inscriptions sont ouvertes jusqu'au 9 juillet. Il s'adresse à des étudiants qui devront choisir un thème de travail parmi les projets en cours ou à venir, intégrés au concours. Les amateurs d'Open Source devraient trouver leur bonheur, estime OpenWengo, étant donné la diversité des projets inclus qui vont de la création d'un éditeur d'interface XUL (langage de description d'interfaces graphiques basé sur XML créé par la fondation Mozilla) au portage du moteur VoIP openWengo sur des plates-formes embarquées telles que la PSP de Sony. La liste et le formulaire d'inscription sont disponibles sur le site web d'OpenWengo. Les jeunes retenus pour participer au concours seront guidés et encadrés dans leurs développements par des contributeurs au projet. Ces contributeurs se prononceront à la fin de l'été sur les résultats obtenus. Les jeunes qui auront atteint leurs objectifs se verront récompensés d'une somme de 3500 euros. Les tuteurs toucheront de leur côté 500 euros. Cette initiative s'inscrit pleinement dans la philosophie de Wengo qui, dès son démarrage en janvier 2005, a opté pour un développement de son logiciel de communication VoIP WengoPhone, sous licence GPL. Le projet OpenWengo fédère des développeurs de l'ensemble de la communauté Open Source qui souhaitent faire évoluer les fonctionnalités de son logiciel. (...)

(06/07/2006 09:21:57)

Bruxelles ouvre une consultation publique sur le RFID

La Commission européenne ouvre une consultation publique en ligne sur la technologie de puce radio RFID (Radio Frequency Identification) (*). Selon l'exécutif européen, cette opération vise à "s'assurer que la croissance du RFID renforcera, ou non, la compétitivité des entreprises européennes et améliorera, ou non, la qualité de vie des citoyens, tout en veillant à la préservation de leurs droits, notamment celui de la vie privée". La Commission compte évaluer l'impact que pourrait avoir la technologie sur la vie courante et en analyser également les éventuels freins. En outre, cette consultation doit également lui permettre de se positionner face à l'adoption du RFID en Europe. Doit-elle ou non intervenir, et si oui, dans quelle mesure. Les 39 questions abordées par le sondage sont organisées autour de thèmes liés à l'utilisation générale du RFID, à la sécurité et à la vie privée, à l'interopérabilité et aux standards, et enfin à la bande de fréquence. La consultation restera ouverte jusqu'au 17 septembre 2006. Les commentaires recueillis seront ensuite soumis à un groupe d'experts et de décisionnaires dès octobre. (*) Le document est intitulé "The RFID Revolution: your voice on the Challenges, Opportunities and Threats" Pour en savoir plus La consultation en ligne (en anglais) (...)

(04/07/2006 12:44:44)

L'UFC Que Choisir dénonce les tarifs du roaming

L'UFC-Que Choisir s'en prend, chiffres à l'appui, aux tarifs du roaming pratiqués par les opérateurs européens. Alors que la Commission européenne multiplie les sorties sur la nécessaire régulation des montants des appels d'itinérance (transitant par plusieurs opérateurs), et que les opérateurs ont timidement annoncé une baisse de leurs tarifs, l'association française entre dans la danse et dénonce un marché "complètement verrouillé depuis 1999" et dans lequel le prix des communications a "littéralement explosé alors même que les coûts de revient supportés par les opérateurs allaient en décroissant". L'UFC estime que les marges appliquées par les opérateurs atteignent le montant colossal de 80 % et que les trois acteurs français de la téléphonie mobile - Orange, SFR et Bouygues - ont perçu 735 M€ de revenus pour la seule année 2004 grâce aux tarifs s'appliquant aux touristes européens en voyage en France. Des tarifs "complètement déconnectés de la réalité économique". Pour remédier à cet état de fait, l'association préconise deux pistes à suivre. La première repose sur la création d'un appel intra-européen : un Européen en voyage dans un des Etats de l'Europe pourrait ainsi émettre et recevoir des appels dans ce pays à un tarif plafonné à 0,466 €. L'autre mesure prévoit la mise en place d'un appel local européen : il concerne cette fois les appels passés au sein du pays où voyage l'abonné européen et doit être, selon l'UFC, proche du prix payé pour un appel local. Si ces mesures avaient été mises en place en 2004, l'association de consommateurs estime que les opérateurs auraient facturé 392 M€ en moins à leurs abonnés. Tout en conservant des niveaux de rentabilité élevés. (...)

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