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(10/11/2010 15:51:13)
Gartner : les ventes mondiales de mobiles en forte hausse
Selon Gartner, 417,08 millions de téléphones mobiles se sont vendus dans le monde de juillet à septembre, contre près de 309 millions lors de la même période en 2009 (+35%). Cette croissance est étroitement liée aux bonnes ventes des smartphones. Ces terminaux se sont écoulés à 80,5 millions d'exemplaires au cours du troisième trimestre, soit une progression de 96% sur un an. « Ce trimestre a vu des ventes record pour les smartphones d'Apple et Android » explique Carolina Milanesi, analyste chez Gartner. « La part d'Apple sur ce marché a dépassé celle de Research In Motion (RIM) en Amérique du nord, et pointe au second rang derrière Android, dont les volumes ventes ont aussi progressé rapidement, devenant le deuxième système d'exploitation mobile au monde ».
Nokia, un leader très fragile
Dans le classement global de constructeurs de téléphones, c'est toujours Nokia qui domine très largement les ventes. La firme finlandaise a écoulé pas moins de 117,46 millions de mobiles au troisième trimestre. Mais sa part de marché est en baisse : 28,2%, contre 36,7% lors du même trimestre en 2009. Le trio de tête est toujours complété par le duo sud-coréen Samsung (17,2%) et LG (6,6%), tandis qu'Apple pointe désormais au quatrième rang mondial, avec près de 13,5 millions d'iPhone vendus de juillet à septembre (3,2% de parts de marché). RIM a vendu pour sa part 11,9 millions de BlackBerry (contre 8,52 millions il y a un an), et fait mieux que Sony Ericsson (10,34 millions d'unités, contre 13,4 millions un an plus tôt). Motorola est septième (8,96 millions), HTC septième (6,5 millions contre 2,6 millions il y a un an). Les fabricants chinois ZTE et Huawei complètent le top 10.
Android, l'OS qui monte
Dans le classement des OS mobiles sur le marché des smartphones, c'est la plateforme Symbian, utilisée en grande partie par Nokia, qui est leader avec 29,5 millions de ventes. Mais là-aussi, les parts de Symbian fondent rapidement : 36,6% du marché au troisième trimestre 2010, contre 44,6% un an plus tot. La plateforme Android de Google, qui anime les smartphones de nombreuses marques (Samsung, LG, Sony Ericsson, Motorola, HTC, etc.), a réalisé le bond le plus spectaculaire. 20,5 millions de Google Phone ont été écoulés au troisième trimestre, contre 3,5 millions un an plus tôt. Android est deuxième du classement. Un smartphone sur quatre vendus dans le monde tourne sous cette plateforme. iOS d'Apple est troisième, et devance RIM et les terminaux sous Microsoft Windows Mobile.
Gartner table sur une croissance de 30% des ventes de téléphones mobiles pour l'ensemble de l'année 2010.
Microsoft pousse Hyper-V pour combler son retard dans le cloud privé
Microsoft a conclu un partenariat avec six grands fournisseurs de solutions matérielles pour proposer des architectures de référence qui aideront les entreprises à construire des clouds privés de type IaaS (Infrastructure-as-a-Service). Dell, Fujitsu, Hitachi, Hewlett-Packard, IBM et NEC sont les principaux partenaires de ce programme baptisé Hyper-V Fast Track Cloud qui propose des plates-formes prédéfinies et certifiées pour assembler et configurer plus rapidement des clouds privés reposant sur les solutions de l'éditeur.
L'annonce fait partie d'un certain nombre de nouvelles initiatives de Microsoft pour offrir davantage de soutien aux entreprises intéressées par le déploiement de clouds reposant sur la technologie Hyper-V, et ce en interne ou via un prestataire de services informatiques. Rappelons que Hyper-V est l'hyperviseur de type 1 livré avec Windows Server 2008 R2, pour installer plusieurs machines virtuelles sur un serveur physique.
"Nous pensons que ce programme va accélérer le déploiement des projets clouds. Microsoft a une position unique sur le marché du cloud computing avec ses plates-formes, ses infrastructures et ses liens avec de nombreux partenaires », nous a précisé lors de cette annonce Jérôme Trédan, directeur de la division serveurs chez l'éditeur de Redmond. « Une des bases de ce programme a été le lancement de l'offre reposant sur la plate-forme HP BladeSystem Matrix (voir lien). Le programme d'engagement Hyper-V Fast Track Cloud étend aujourd'hui cette base à 80% des constructeurs présents en France. »
Des architectures de référence pour aller plus vite
Pour chacun des six partenaires, Microsoft propose une architecture de référence ainsi que la documentation technique pour installer les logiciels. Par exemple, le HP Cloud Fondation pour l'architecture Hyper-V montre comment intégrer les équipements et les logiciels BladeSystem Matrix (serveurs stockage et réseau), System Center et Windows Server 2008 R2 Hyper-V dans un cloud privé.
Les architectures de référence sont censées régler toute une série de problèmes de mise en oeuvre comme la façon dont les couches réseau et stockage vont travailler ensemble, combien de machines virtuelles peuvent être déployées sur un serveur physique et enfin comment opérer le basculement avec les systèmes existants. Les architectures de référence de Dell, HP et IBM ont été dévoilées lors de la conférence Microsoft TechEd à Berlin et celles des autres fournisseurs le seront dans les prochains mois.
En plus de Fast Track, la société a également commencé à sélectionner les prestataires qui seront capables de fournir des services cloud reposant sur la technologie Hyper-V dans le cadre du programme Hyper-V Cloud Service Provider. A ce jour, l'éditeur a accrédité plus de 70 fournisseurs, dont Agarik et Linkbynet en France. Mathieu Demmor, responsable marketing chez ce dernier prestataire, nous a expliqué vouloir adresser le marché des TPE-PME avec ses offres clouds privés Hyper-V. « Une offre infrastructure pour des budgets serrés qui démarre à 550 € HT par mois pour une instance virtuelle web et une disponibilité de 99,5% et passe à 1470 € HT par mois pour 4 machines virtuelles avec une dispo de 99,75%. »
Un effort indispensable pour suivre et rattraper Vmware
Microsoft propose des formations à ces prestataires et intégrateurs pour accompagner les projets de clouds privés chez les clients. Un ensemble de guides, Hyper-V Deployement Guides, sont également fournis pour mettre en place des clouds privés avec une grande variété d'équipements.
Pour les intégrateurs travaillant pour le compte d'entreprises, Microsoft propose un programme baptisé Hyper-V Cloud Accelerate, qui aidera les intégrateurs à mettre en place des systèmes de test et à déployer des systèmes de production. Les conseils et les partenaires de Microsoft accompagneront le mouvement. « "Les nouveaux programmes sont probablement nécessaires pour aider Microsoft à vendre Hyper-V et System Center comme des pièces de base pour les clouds internes », a souligné Derrick Harris, analyste chez GigaOm, sur son blog. « Le principal compétiteur sur le marché des hyperviseurs pour le cloud est Vware, qui a fait un excellent travail marketing pour pousser ses produits de virtualisation en tant que solution pour les clouds. Considérant le leadership significatif de VMware sur le marché et les esprits, Microsoft a besoin d'accompagner les utilisateurs vers sa technologie Hyper-V-est-connecté-au-cloud» si elle veut combler l'écart. "
L'éditeur de Redmond a annoncé ces services au cours de sa conférence TechEd Europe, qui se tient cette semaine à Berlin.
Crédit photo : D.R.
Passeport Avenir s'engage en faveur des jeunes issus de milieux modestes
Très peu de bacheliers technologiques et de diplômés de BTS industriels issus de milieux modestes connaissent les classes préparatoires ; un nombre encore inférieur ose franchir le pas et s'inscrire dans ces filières. Pour pallier le déficit d'accès de ces étudiants au cursus prépa/grande école, l'association Passeport Avenir (ex-Cercle Passeport Télécoms) a souhaité mettre en place des interventions de sensibilisation auprès des lycéens de premières et de terminales STG et STI, ainsi qu'auprès d'étudiants des BTS industriels. Ce projet est conçu en étroite collaboration avec le Ministère de l'Education Nationale qui, après avoir participé au travail de réflexion de l'association, a permis de cartographier les lycées prioritaires en les accompagnant tout au long du déploiement.
Partenariats avec 12 entreprises du secteur des NTIC
Les interventions seront menées conjointement par des tuteurs volontaires, des professeurs des classes préparatoires et des enseignants des grandes écoles partenaires Pour sa première année, un projet amont est mis en place dans 5 académies pilotes : Aix-Marseille, Créteil, Bordeaux, Paris, Versailles. Il s'étendra progressivement dans les années à venir aux autres académies où Passeport Avenir est présent . Ce programme est né en 2005 à partir d'une conviction : les entreprises ont un rôle à jouer pour faciliter l'accès des jeunes issus de milieu modeste au monde professionnel, faire percevoir les enjeux au delà des études, susciter des vocations, accompagner et donner confiance. 12 entreprises du secteur des NTIC - Alcatel-Lucent, Ericsson France, Gemalto, Nokia Siemens Networks France, Orange, SFR, Devoteam, Accenture, Sagemcom, Qualcomm France, Atos Origin France, Capgemini - se sont associées au ministère de l'Education Nationale, au ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche et au Secrétariat d'Etat à la Politique de la Ville pour déployer, sur tout le territoire, un accompagnement, à la fois humain et matériel, Les entreprises IT partenaires mobilisent un réseau de cadres volontaires, les tuteurs, pour accompagner les élèves et étudiants.
Crédit photo: Passeport Avenir
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Déduplication intensive chez Fleury Michon avec une solution Quantum
Courant 2008, les procédures de sauvegarde se sont révélées dépassées par rapport aux attentes des utilisateurs et une refonte s'imposait. En effet, la croissance du volume de données était de 10% par an et la fenêtre de sauvegarde atteignait ainsi 11 heures. Avec le décalage horaire transatlantique, la disponibilité des données n'était plus suffisante. Une restauration pouvait ainsi prendre une journée. Les anciennes procédures reposaient uniquement sur des librairies de bandes anciennes. De plus, les volumes disponibles étaient sur la voie de la saturation.
Une déduplication d'un facteur 23
La SSII Scasicomp de Nantes a commencé, en 2008, par analyser les besoins. Il s'agissait en effet de définir quelles données devaient être sauvegardées avec quelles fréquences et quelles disponibilités. Sur sa recommandation, le groupe agro-alimentairen a choisi une architecture de sauvegarde sur disque s'intégrant en toute transparence dans l'architecture technique existante, doublée d'une sauvegarde hebdomadaire sur bandes destinées à être systématiquement externalisées. Cette architecture a été opérationnelle courant été 2009.
Tant du point de vue matériel que logiciel de gestion de la sauvegarde, Fleury Michon a choisi Quantum : une appliance Dxi 7500 fournissant une capacité utile de 11 To (extensible à 220 To), une robotique Scalar 50 avec 2 lecteurs LT04 et un outil de déduplication. La sauvegarde elle-même est gérée par NetBackup de Symantec. La fenêtre de sauvegarde a été divisée par trois pour atteindre les 4 heures. 100 Go de base de données peuvent être restaurées en une heure. La déduplication des datas a atteint un facteur 23 en quelques mois : 80 To de données sont ainsi sauvegardées dans un volume de 3,5 To au sein de l'espace de 11 To disponible. Le coût du projet n'a pas été révélé.
Le groupe Aoste passe sur un SIRH en mode SaaS
Il a opté pour l'offre en mode SaaS du groupe Cegid, YourCegid RH, intégrée par IBM. Cette offre couvre l'ensemble du périmètre RH/paie, le mode service réglant tous les problèmes soulevés par Aoste. L'outil est assez souple pour permettre l'évolution d'un salarié en cours de mois tout en gérant automatiquement les aspects comptables induits. De plus, le groupe dispose d'une plate-forme décisionnelle RH intégrée sous Business Objects pour réaliser les reportings de gestion requis en se basant sur des modèles pré-paramétrés.
Le coût du projet n'a pas été précisé.
Syntec numérique table sur 3% de croissance en 2011 pour les logiciels et services
Né en 1970, le Syntec Informatique change de nom pour laisser place au Syntec Numérique. Un évènement attendu. Depuis l'élection de Guy Mamou-Mani comme président et d'une nouvelle équipe de direction, au mois de juin dernier, le syndicat des SSII et des éditeurs souhaitait se donner une nouvelle image et mieux promouvoir la profession et les entreprises TIC françaises en général.
Le Syntec Numérique devait également regrouper d'autres syndicats professionnels. L'Afdel se fait tirer l'oreille, elle préfèrerait une Fédération professionnelle regroupant des syndicats restés indépendants, l'Acsel (représentant les acteurs du e-commerce) n'est pas encore tentée. Pour l'instant, seul le Geicet a répondu à l'invitation. Ce Geicet (Groupement européen de l'ingénierie du conseil en technologie) représente 70 000 salariés qui s'ajoutent aux 350 000 formés par les adhérents de l'ex Syntec Informatique. Ils rejoindront plutôt le collège conseil en technologie (celui de l'informatique scientifique), l'un des trois grands collèges avec celui des éditeurs et celui des SSII. Au passage, Cisco France adhère au nouveau syndicat.
Les logiciels et services de nouveau positifs
Ce chapître « mariage » une fois refermé, le Syntec Numérique a ouvert, lors de sa conférence semestrielle, son Grand livre des comptes (*) pour exprimer un semblant d'optimisme. La situation s'améliore, mais dans de faibles proportions. Le PIB de la France avait chuté de 7,9% en 2009, il baisse de 1,6% en 2010. Par comparaison, les logiciels et services, qui s'affichaient à la baisse en 2009, de 4%, redeviennent positifs à +1%. Encore s'agit-il d'une moyenne, suivant les secteurs et les tailles d'entreprises, les pourcentages sont évidemment variables.
Les plus performants, les éditeurs, ont atteint 2% de croissance en 2010. Les logiciels d'infrastructures se placent en tête, avec +3%, les logiciels applicatifs en retrait avec +1%. Les logiciels embarqués sont également à 3%, mais représentent une plus faible part de ce marché. « On revient de loin », commente Bruno Vanryb, patron d'Avanquest et président du collège « éditeurs ». Il garde néanmoins la nostalgie des croissances d'antan. La profession reste en effet très en retrait par rapport à 2008. Un programme d'action spécifique aux éditeurs sera présenté, dans le cadre de Syntec Numérique, le 15 novembre prochain, afin de les dynamiser.
L'infogérance applicative en tête
Les SSII sont plus en retard que les éditeurs. « 2010 n'a rien à voir avec 2009 » analyse Olivier Vallet, directeur général de Stéria et Président du collège SSII, « mais les services informatiques ne sont qu'à +0,5% de croissance moyenne sur l'année ». C'est l'infogérance, surtout applicative, qui arrive en tête des activités avec +2%, l'infogérance d'infrastructures se place à +1%, les projets, l'intégration, le développement et l'assistance technique sont à +0,5%, le conseil stagne à 0% (contre -8% en 2009).
Troisième secteur d'activité, le conseil en technologie, avec +2%, retrouve des couleurs surtout aux 2ème et 3ème trimestres. La R&D externalisée se situe à +2%, l'informatique scientifique technique et industrielle à +1%. 79% des répondants constatent une hausse des appels d'offres, mais 20% seulement les voient augmenter en taille. Comme partout, l'optimisme est relatif.
3% de hausse prévue pour 2011
Très attendue, la projection sur 2011, fait apparaître une prévision de 3% de hausse pour les logiciels et systèmes. Là encore l'optimisme reste prudent, et les chiffres variables suivant les métiers. La croissance monterait à 4% pour les éditeurs, resterait à 1 / 1,5 % pour les SSII. Les questionnaires envoyés par IDC à 300 DSI, montrent que 49% des répondants prévoient une hausse de leurs dépenses externes sur 2009, et 53% sur 2011. Les intentions à la baisse sont de 37% en 2009 et 27% pour 2011. Des écarts qui montrent une intention de recourir d'avantage aux prestations des adhérents du Syntec Numérique, mais avec des écarts faibles, d'une année à l'autre, incitant à la prudence. La rédaction a également traité les prévisions de recrutement de Syntec Numérique d'ici la fin de l'année.
(*) Les chiffres du Syntec Numérique sont issus d'une enquête menée par IDC au mois d'octobre 2010.
Illustration: Guy Mamou-Mani, président de Syntec numérique. Crédit photo: Syntec numérique
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Devoteam affiche des revenus en hausse de 7%
Avec 358,4 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA) sur les neuf premiers mois de l'année, Devoteam a progressé de 7%. La marge d'exploitation progresse de 2%, à 19,3 ME. Pour le seul 3ème trimestre, Devoteam enregistre un bond de 10,5 % à 118,2 ME de son CA, de 7% à 6,3 ME de sa marge d'exploitation.
Sur les marchés extérieurs, Devoteam est en croissance trimestrielle en Espagne, en Italie, en Turquie et en Russie. La situation est plus difficile en Europe du nord, Danemark, Norvège, Royaume-Uni.
Pour l'ensemble de l'année 2010, l'objectif est toujours de 485 à 490 ME en chiffre d'affaires, toutefois, le groupe se refuse à toute prévision pour l'exercice 2011.
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