Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 6281 à 6290.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(19/10/2010 13:50:09)
L'Isen ouvre un concours accessible aux lycéens
L'Institut supérieur de l'électronique et du numérique (Isen) s'est associée à six établissements de la Fédération d'écoles supérieures d'ingénieurs et de cadres (Fesic) et au réseau des grandes écoles Esiee pour créer un concours d'admission qui vise les lycées. A Partir de cette année, les futurs bacheliers qui veulent intégrer l'Isen (à Bitche, Brest, Lille, Orléans, Toulon ou Rennes), devront s'inscrire au Concours Puissance 11 via le portail www.admission-postbac.fr. Cet examen amplifiera la visibilité de l'école et offrira un accès plus simple aux lycéens qui trouveront les programmes de l'Institut sur le même portail que la majorité des formations proposées en France. L'admission au concours consiste en une évaluation de dossier, de même que des épreuves écrites communes qui auront lieu à la mi mai 2011 dans 42 centres d'épreuves en France et à l'étranger. 1 600 places sont offertes aux candidats qui souhaiteraient passer ces épreuves.
Des exigences pédagogiques communes
La Fesic, réseau d'établissements privés associatifs de l'enseignement supérieur français, rassemble 27 grandes écoles d'ingénieurs et de management. Créée il y a 40 ans, elle a pour mission de mutualiser les expériences et les pratiques de chacune des écoles pour faire évoluer leurs formations, promouvoir l'ensemble des écoles et les représenter auprès des pouvoirs publics. Les établissements appartenant à la fédération ont des exigences pédagogiques communes: internationalisation des cursus, développement de la recherche, coopération avec les entreprises et les divers acteurs de l'enseignement supérieur. Le réseau rassemble les écoles suivantes : CPE Lyon, EPMI, Escom, Eseo, HEI, ISEP, ESIEE Amiens, et ESIEE Paris.
L'Esiee Paris est un établissement d'enseignement créé et géré par la CCIP dans le cadre de sa mission d'enseignement. Il forme des ingénieurs qui se prédestinent aux carrières des sciences et technologies de l'information et de la communication, et des cadres tournés vers les fonctions de management dans les entreprises de technologies avancées.
Illustration : l'Isen Brest (crédit photo : D.R.)
SuccessFactors ajoute un outil de calcul RH au cloud
SuccessFactors, le spécialiste des solutions RH on demand, a annoncé la disponibilité d'un outil de calcul au sein des services cloud qui permet aux utilisateurs de comparer des contenus d'analyse provenant de différentes sources, avec les données générées par sa suite logicielle dédiée aux ressources humaines et par d'autres applications SaaS (software as a service). Cette fonction est devenue possible depuis l'acquisition, tout juste révélée, du vendeur danois YouCalc spécialisé en business intelligence. L'achat, dont les termes n'ont pas été rendus public, est le dernier en date effectué par SuccessFactors et fait suite aux acquisitions d'Informer et de CubeTree.
La suite Business Execution Software de SuccessFactors contient déjà un riche éventail de modules couvrant des domaines aussi larges que la gestion des rémunérations, la formation des employés, la gestion des objectifs ou la planification des effectifs. Le nouveau service Calculator permettra aux utilisateurs d'effectuer des analyses de leur activité en temps réel, y compris de simuler des scénarios en combinant différents paramètres, et estimer par exemple le taux de satisfaction des employés en fonction de l'évolution du carnet de commandes de la part de clients potentiels.
Connexion à des bases de données SQL
La technologie YouCalc travaille en mémoire et sait extraire des données en temps réel à partir d'autres systèmes, ce qui signifie qu'il n'est pas nécessaire pour les clients de stocker ces données dans un espace particulier. Selon SuccessFactors, qui a déjà construit un certain nombre d'applications analytiques spécialisées pour Salesforce.com, Google Apps, SugarCRM et d'autres systèmes, ces outils sont faciles à utiliser et ne nécessitent pas de mobiliser du personnel informatique. YouCalc peut également se connecter à des bases de données SQL, des serveurs Web, des sites FTP et des services Web via SOAP (Simple Object Access Protocol) et REST (Representational State Transfer).
Pour Ray Wang, analyste chez Altimeter Group, YouCalc est «un outil astucieux pour effectuer l'analyse et la BI au sein du Cloud » et représente «une amélioration notable de la solution proposée par SuccessFactors, en particulier en matière de planification de scénarios et d'outils de prévision. » « SuccessFactors aurait également pu se tourner vers d'autres vendeurs de solutions de BI en SaaS, comme PivotLink, Birst ou GoodData, » estime-t-il. « La compétition entre vendeurs de solutions de gestion du capital humain (HCM) va sans doute continuer à susciter des partenariats avec ce type d'entreprises, mais leur valeur restera attractive, » a ajouté Ray Wang. « De fait, de nombreux petits acteurs HCM (Human Capital Management) ne disposent pas des ressources financières nécessaires pour réaliser des acquisitions comparables à celle de YouCalc, mais les plus grands comme Taleo et Ultimate Software pourraient emboîter le pas, » a-t-il déclaré. « Aussi, SuccessFactors et Taleo sont elles-mêmes des cibles pour des acheteurs potentiels, » a-t-il ajouté.
Les outils Calculator de SuccessFactors ne sont toutefois pas immédiatement disponibles. Une première version limitée est prévue pour le début de l'année prochaine.
CIO PDF 25 : Réduire la séparation entre la DSI et les métiers
« Cette expression me rend fou » constate Bill Blausey, DSI d'Eaton Corporation, important fabricant d'onduleurs qui a réalisé 12 milliards de dollars de chiffre d'affaires en 2009 et qui emploie 70 000 personnes dans le monde. « Je corrige mon équipe s'ils l'utilisent. Nous sommes tous trop étroitement liés pour utiliser des termes qui créent une séparation » précise-t-il.
Comme le dira n'importe quel groupe de personnes marginalisé, le langage que ces personnes utilisent pour se décrire a un impact puissant sur la manière dont le groupe est perçu. Mais changer de vocabulaire n'est qu'une étape. La construction d'une relation et de métriques ont aussi des rôles à jouer dans l'acceptation d'un paradoxe : (...)
Lisez la suite dans CIO.PDF 25
Trimestriels Ares : Une éclaircie en trompe l'oeil
La SSII Arès n'est toujours pas tirée d'affaire. Certes, elle a généré 27,9 M€ de revenus au titre du premier semestre 2010, soit une hausse de 6,7% à période comparée de son exercice 2009 (réalisé d'avril à septembre). Mais, son résultat opérationnel reste bien ancré dans le rouge à -5,6 M€, bien que la situation se soit améliorée comparé aux pertes opérationnelles de 9,3 M€ enregistrées l'an passé. Le résultat des activités conservées s'établit quant à lui à -5,5 M€ contre +19,7 M€ en 2009, la SSII ayant alors bénéficié d'abandons de créances consentis dans le cadre de son plan de continuation homologué en mars 2009. Au final, le résultat net part du groupe atteint -8,9 M€ contre +18,7 M€ entre avril et septembre 2009.
Une solution sous la forme d'un rachat ?
Ces éléments comptables ne sont pas de nature a renforcer les capitaux propres du groupe. A l'issue du premier semestre 2010, ceux-ci s'élèvent à -18,6 M€. En outre, il y a fort à parier que la situation ne s'améliore pas au second semestre puisque Arès anticipe un résultat net part du groupe de -11 M€ sur l'ensemble de l'exercice en cours. De fait, la SSII ne manque pas de préciser qu'elle « continue d'examiner toutes les solutions qui lui permettraient d'améliorer rapidement sa structure financière et de pérenniser son activité » Un rachat pourrait-t-il faire partie de ces solutions ? Le journal Le Revenu semble pencher dans ce sens. Dans un article daté du premier octobre sur son site web, l'hebdomadaire indique que, selon ses informations, un concurrent étudierait actuellement le rachat de Groupe Arès. Ce qui pourrait expliquer la suspension du titre le 30 septembre. Celle-ci a toutefois repris le 18 octobre. (...)
Les seniors adoptent le e-commerce
Internet, catalogue, mobiles... Acheter à distance n'est pas un problème pour 71% de consommateurs qui ont passé commande au cours des douze derniers mois. Au total, cela concerne 34,6 millions de Français. Plus de la moitié d'entre eux (58%) ont choisi le web pour faire leurs emplettes, une proportion en hausse de sept points depuis 2008, soit 3,7 millions de consommateurs gagnés.
Si la Toile s'est imposée comme un canal d'achat incontournable, elle est aussi devenue le seul moyen pour 43% de Français de faire du shopping. Pourtant, ils n'étaient encore que 28% en 2008.Dans l'univers de la vente à distance, l'achat de vêtements est largement plébiscité (43%), devant les voyages (39%), les livres, CD et DVD (36%) ainsi que l'informatique (36%).
Une hausse aussi du m-commerce
La croissance de la vente à distance ne devrait pas s'arrêter là puisque 25% des consommateurs n'ayant jamais acheté à distance se disent prêts à franchir le pas. L'arrivée de nouvelles offres devrait également aider le secteur à accélérer sa croissance. Ce serait le cas des médicaments sans ordonnance ainsi que des lunettes de vue et des lentilles qui intéresseraient respectivement 9% et 7% des acheteurs à distance.De son côté, le M-commerce, c'est-à-dire les achats via Internet sur téléphone portable, se développe petit à petit avec deux fois plus de consommateurs concernés par rapport à 2008. Aujourd'hui, 4% des Français y adhèrent.
Si le catalogue a longtemps incarné le succès de la vente à distance, il est désormais envisagé plutôt comme un moyen pour s'informer des nouveautés et des promotions par 46% de Français, devant les courriers électroniques (40%). Aux yeux des consommateurs, il s'agit d'un outil indispensable dont la disparition pourrait conduire 25% d'entre eux à ne plus commander à distance.
Cette enquête a été menée auprès d'un échantillon représentatif de 1.005 personnes âgés de 18 ans et plus. (...)
Google Search Appliance indexe la suite Apps
Google Search Appliance, solution de recherche pour les entreprises qui s'utilise avec le moteur de recherche Google est désormais capable d'aller chercher, d'indexer puis d'extraire des données stockées dans des Apps d'entreprises hébergées dans une suite de communication et de collaboration. Ces capacités ont été rendues possible grâce à un composant baptisé Cloud Connect, qui relie le système Search Appliance à des sites web publics, comme le populaire service de microblogging Twitter, a indiqué, hier, la firme de Mountain View. Capables de toucher les Google Apps d'une entreprise, les données s'étendent au sein des Search Appliance qui incluaient déjà des applications à la demande, des outils de gestion de documents, des bases de données, des serveurs Web, des intranets et des fichiers.
Localiser des experts dans des domaines spécifiques
Le dispositif Search Appliance est prévu pour être utilise par les employés, les clients et les partenaires à condition que leur entreprise leur en autorise l'accès. Les utilisateurs pourront profiter de ces évolutions grâce à un logiciel gratuit qu'ils téléchargeront sur leurs équipements. D'autres améliorations portent sur la capacité à trouver des personnes connectées à une requête , ce qui autorise la localisation d'experts dans des domaines spécifiques. En outre, le système Search Appliance est désormais paramétrable par les administrateurs : il leur est en effet possible de filtrer les résultats de recherche, en fonction de modifications de métadonnées, ce que Google nomme la navigation dynamique.
Cette évolution permet également d'aller chercher, puis d'indexer des données dans un environnement Microsoft SharePoint 2010.
Ray Ozzie, évangéliste du cloud, quitte Microsoft
L'architecte logiciel en chef de Microsoft, Ray Ozzie, quitte le navire en faisant valoir ses droits à la retraite. Nous n'avons pas de plans pour le remplacer a simplement indiqué le PDG de l'éditeur de Remond, Steve Ballmer, qui a écrit une note aux employés de la société, également publié sur le site Internet maison. Steve Ballmer est resté vague sur la date exacte de départ de Ray Ozzie. Il va rester « un certain temps », pour assurer la transition entre les équipes et les projets en cours explique le PDG de Microsoft. « Pendant cette évolution et avant qu'il se retire, il se concentrera ses efforts dans le domaine plus large du divertissement où Microsoft a de nombreux investissements en cours, at-il dit.
L'éditeur n'a pas l'intention de le remplacer. « Le rôle de l'ASC [Chief Software Architect] était unique et je ne vais pas remplir ce rôle après le départ de Ozzie Ray » précise Steve Ballmer et d'ajouter « il a joué un rôle crucial dans la bascule vers le cloud et nous a correctement positionné pour le succès futur ». Le dirigeant rappelle la note « Internet Services Disruption » écrite il y a 5 ans et qui « a stimulé la réflexion de la société et a aidé à catalyser nos efforts sur le cloud. » Dans cette note, Ray Ozzie a déclaré que Microsoft avait besoin d'orienter son activité vers un nouveau modèle de services financés par la publicité et les logiciels. « Ce modèle a le potentiel pour avoir un impact fondamental sur la manière dont nous et les autres développeurs fabriquons, livrons et monétisons des innovations ». Azure, la Plateform as a Service (PaaS) de Microsoft, est l'exemple de ce type de produits prôné par Ray Ozzie. Cette orientation s'est ensuite étendue à des versions hébergées de produits tels que SharePoint, Exchange et Office Communications.
Une réorganisation fatale
Mais peu après le lancement d'Azure, la société s'est réorganisée et les destinées de la plate-forme sont passées sous la direction de Bob Muglia, qui s'occupait de l'activité Server et and Tools Business. À l'époque, certaines personnes se demandaient quel serait le rôle de Ray Ozzie dans l'entreprise une fois Azure hors de son contrôle. Il a rejoint Microsoft en 2005 comme agent technique en chef lorsque le géant du logiciel a acquis sa compagnie, Groove Networks. Il était surtout connu à l'époque pour être l'un des créateurs de Lotus Notes. Il a été une grande force de Microsoft, car il était un des représentants de l'époque des spécialistes en informatique, qui ont grandi avec les premiers ordinateurs. Lorsque Bill Gates a démissionné, Ray Ozzie a été logiquement pressenti pour le remplacer comme architecte logiciel en chef.
L'ASC a une fois estimé qu'il avait accumulé 10 000 heures derrière un ordinateur depuis sa deuxième année au collège. Il est né la même année que Gates et ils avaient tous deux connus leurs premières expériences avec l'informatique en utilisant des ordinateurs GE sous Time Sharing.
Crédit Photo : D.R
(...)(19/10/2010 11:17:33)Monster réitère ses journées virtuelles de recrutement
Monster, spécialiste de la gestion de carrière en ligne, lance la troisième édition des Monster edays, ses journées virtuelles de recrutement. Jusqu'au 29 octobre, les candidats peuvent postuler en ligne et de façon interactive, avec les entreprises 24h/24 et 7j/7, partout en France ou à l'international. Grâce à des vidéos intégrées aux annonces, ils ont la possibilité de découvrir, de l'intérieur, l'environnement de travail des recruteurs. Des chats (vidéo et texte), faisant office d'entretiens d'embauche, autorisent la communication en direct avec des responsables d'entreprises de différentes agences régionales. Des outils permettent également aux employeurs de suivre les visites et les candidatures sur le stand et d'accéder à la base de CV qualifiée de Monster. « A la différence des salons traditionnels, cette formule permet aux exposants de toute région d'être visibles sur un plus grand laps de temps », expose Laurence Bricteux, directrice du marketing chez Monster, et d'ajouter : de leur côté, les postulants peuvent envoyer leurs questions quelque soit l'endroit où ils se trouvent, se promener dans les allées, visualiser les stands des exposants, postuler aux offres, et rebasculer à tout moment vers notre site d'offres d'emploi. »
Accéder à des candidatures de qualité
Cette année, la manifestation, qui compte sur 110 000 visiteurs uniques, accueille une quinzaine d'entreprises de tous les secteurs, dont celui de l'IT, représenté par des éditeurs (Cegid, Microsoft, NeoSoft), des SSII (Cella, CSC) et des fabricants de périphériques sans fil pour téléphonie mobile (comme Parrot). Au menu, des postes couvrent différents profils correspondant à tous niveaux d'expérience et de qualification, en région parisienne, en province, comme à l'étranger. Pour CSC, il s'agit de la seconde participation. "Nous souhaitions renouveler l'opération car elle nous a permis d'accéder à des candidatures de qualité que nous n'avions pas pu toucher par la voie des petites annonces", témoigne Sophie Vandermeersch, responsable du recrutement chez CSC. Pour elle, cette formule établit également un lien de proximité avec les candidats, au travers des chats, ce qui n'est pas possible lors des salons traditionnels, du fait d'un fort afflux de visiteurs.
La SSII compte donc sur le côté interactif de la manifestation pour l'aider à réaliser 500 embauches d'ici la fin de l'année, dont une majorité de profils expérimentés pour des postes situées en Ile-de-France. "Etre présent sur ce type de salon revient moins cher - soit entre 5 000 à 15 000 euros NDLR- que de passer par un cabinet de recrutement", considère la représentante de CSC. "Cette formule a également pour avantage de renforcer notre visibilité et d'attirer des candidats qu'on n'a pas l'habitude de toucher", indique t-elle.
Restait la formation à l'outil, seule ombre au tableau lors des précédentes éditions. Cette année, l'accompagnement semble avoir été réalisé bien en amont par Monster. "Un tour d'horizon sur les nouveautés proposées dans le cadre de cette édition a été effectuée" précise Sophie Vandermeersch. Plusieurs heures ont notamment été consacrées au fonctionnement des stands, aux questionnaires adressés aux candidats et à la mise en ligne de témoignages.
(...)
Les RH se mettent au Web 2.0
CarlaBella, éditeur de solutions d'automatisation de la gestion des temps et des dépenses des collaborateurs, et la start-up PersonAll annoncent le lancement d'un réseau social d'entreprise et de gestion des processus RH. Celui-ci offre aux collaborateurs de l'entreprise un accès centralisé à un ensemble de formulaires : demandes de remboursement de frais, d'achat, de congés, etc. Grâce au fonctions intégrées de workflow, ces documents sont automatiquement soumis à la validation de leurs responsables.
Automatiser la gestion des temps et des dépenses
Les équipes peuvent également consulter différentes sources d'informations externes et internes à leur société depuis ce portail, de même que les bases de connaissances accumulées au sein de l'entreprise. « Cette plate-forme est un outil d'échange d'informations basé sur les technologies qui ont fait le succès des réseaux sociaux, précise Bruno Gibert, directeur du marketing et des partenariats de CarlaBella et d'ajouter : «Grâce à un système de tag, les collaborateurs peuvent créer des groupes de travail en se tenant parallèlement informés des données sur lesquels ils travaillent. De leur côté, les directions des ressources humaines ont la possibilité d'automatiser et d'optimiser la gestion des temps et des dépenses des collaborateurs en se connectant à un seul et même espace. »
Le portail PersonAll est disponible immédiatement. Son coût s'élève à une quinzaine d'euros par utilisateur
(...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |