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Société
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(19/11/2007 11:27:24)
Des ateliers de l'Apec pour faire carrière à l'étranger
Pour les cadres, et notamment les informaticiens, qui souhaitent faire carrière à l'étranger, l'Apec organise, du lundi 19 novembre au 30 novembre, la quatrième édition des Semaines internationales. Ces rencontres, qui se déroulent dans les centres Apec de 12 grandes villes de France (Nantes, Nancy, Strasbourg, Marseille, Lyon, Bordeaux, Lille, Orléans, Paris, Besançon, Toulouse, Grenoble) permettent de s'informer sur les opportunités professionnelles à l'étranger, et d'échanger avec des experts du marché de l'emploi à l'international : parmi les pays présentés, l'Inde, les pays européens, les pays d'Europe centrale et orientale, les pays du Maghreb et Québec. Un atelier "mobilité internationale" propose aux participants de valider la pertinence de leurs projets, les informe sur les sources et lieux d'information, les sensibilise aux aspects juridiques et financiers et donne les pistes qui permettront de valoriser leur expérience, lors de leur retour en France. Des sessions thématiques sur le CV en anglais, les statuts et la protection sociale figurent également au programme de ces journées. Des présentations sur les aides à l'embauche et le volontariat de solidarité à l'international sont également effectuées par la Direction régionale du commerce extérieur et le Comité de liaison des ONG. Les visiteurs pourront en outre assister à des conférences en présence de spécialistes (consulat, ambassade, chambre de commerce internationale, organismes étrangers de l'emploi...). Objectifs : identifier les compétences demandées, connaître les techniques de recherche et comprendre les usages professionnels à l'étranger. A Paris, les Semaines internationales auront lieu du 26 au 30 novembre, au Centre Apec, 96 bd Richard Lenoir, dans le 11ème arrondissement, pour le Danemark, Québec, le Benelux, la Grande-Bretagne, les pays du Maghreb et la Suisse. (...)
(16/11/2007 15:11:47)En Europe, les entreprises autorisent l'utilisation d'outils perso au bureau
C'est en Europe que les entreprises semblent les plus enclines à autoriser l'utilisation en interne de matériels ou de logiciels non fournis par leurs soins. Une étude mondiale publiée par IDG Research, pour le compte d'Unisys, montre en effet que près de la moitié des entreprises européennes (48%) permettent de telles pratiques, allant même jusqu'à apporter leur support technique si besoin est. Un taux élevé, en comparaison avec les entreprises d'Amérique du Sud (17%) ou d'Amérique du Nord (10%). Pour les auteurs de l'étude, ce phénomène va de pair avec le développement du télétravail, puisque 47% des entreprises qui admettent autoriser ces pratiques, comptent un grand nombre de télétravailleurs dans leurs équipes. Mais c'est surtout l'avènement du Web 2.0 et l'utilisation par de nombreux salariés d'outils de collaboration, comme la messagerie instantanée, les blogs, wikis et autres réseaux sociaux comme Facebook, appréciés par certaines directions, qui ont modifié les comportements des salariés. Pour Paul Bevan, directeur des études de marché pour l'externalisation chez Unisys, cette tendance à utiliser des outils personnels, à des fins professionnelles, devrait aller en s'accentuant. « Les entreprises font pression sur leurs collaborateurs pour qu'ils soient toujours plus rapides et plus agiles dans l'exécution de leurs tâches, commente t-il. Or, on observe que les salariés sont beaucoup plus productifs, lorsqu'ils utilisent des outils avec lesquels ils se sentent à l'aise. L'utilisation d'outils personnels, notamment les technologies du Web 2.0, constitue donc un challenge important pour les entreprises. Aux directions informatiques et aux équipes dirigeantes des entreprises d'en faciliter l'utilisation. » (...)
(14/11/2007 17:00:01)2008, l'année du paiement sans contact
Dédié à la carte à puce et l'identification, Carte 2007 (jusqu'au 15 novembre au Parc des Expositons de Paris-Nord Villepinte) est placée cette année sous le signe du paiement sans contact. En effet, si la France en est à ses premiers balbutiements, il existe, selon Eurosmart, plus de 45 millions de cartes de paiement ou de porte-monnaies électroniques de paiement dans le monde. Le Japon, avec son standard FeliCa, est déjà bien installé, avec notamment 50 % des téléphones mobiles commercialisés actuellement dôtés de puces sans contact et d'antennes radio-fréquences. Aux Etats-Unis, Visa avec PayWay et MasterCard avec PayPass ont déjà mis en circulation plus de 20 millions de cartes. Avec les porte-monnaies électroniques Moneo sans contact distribués dans certaines universités, et le projet Pegasus qui concernent 1000 usagers et 200 clients à Strasbourg et Caen, la France semble bien en retard. Un marche dans les starting-blocks Pourtant, en se promenant dans les allées du salon, il est facile de voir que les obstacles techniques sont levés. Les fabricants français - Gemalto, Oberthur et Sagem en tête - ont tous une offre étoffée de puces (hybride contact/sans contact, bi-coeur avec une partie dédiée à la téléphonie et l'autre au paiement sans contact, etc...) et de lecteurs. Xiring a même lancé son CL Watcher, un petit étui métallique qui empêche le vol d'argent sur une carte sans contact et affiche le montant réel de la transaction. Sur un plan pratique, les principaux obstacles sont en passe d'être levés. « Les opérateurs télécoms ont abandonné l'idée de se faire payer sur la transaction, explique Jacques Scion, responsable mobilité chez Gemalto. Ils se contentent de mettre en place l'infrastructure pour les banques. » Contre une redevance non communiquée. Et d'ici la fin de l'année, un standard validé par l'ETSI devrait définir les spécifications pour des téléphones dotés d'antennes sans fil. Ce qui permettra de proposer un plus grand choix aux clients que les prototypes actuels de Sagem, LG, Motorola et Nokia. « Ainsi, nous aurons au début 2008, les premiers pilotes massivement déployables et, en deuxième partie de l'année, une généralisation des paiements par téléphones mobiles, » estime Jerôme Scion. L'association Eurosmart partage, au niveau mondial, son optimisme puisque sur les 4 285 000 000 cartes qui sont, selon elle, en circulation cette année, 543 000 000 sont dotées de capacités sans contact. Et elle s'attend à 60 millions de cartes de paiement sans contact - intégrées dans un téléphone ou non - pour l'an prochain, contre les 45 millions actuels. A lire aussi : Panorama des usages de la carte sans contact dans le monde (PDF) (...)
(13/11/2007 17:10:19)Toujours plus d'abonnés haut débit en France
Avec 14 250 000 d'abonnés au haut débit, la France se situe au sixième rang mondial du nombre total d'abonnés par pays selon le dernier rapport de l'OECD (Organisation for Economic Co-operation Dvelopment), derrière les Etats-Unis, le Japon, l'Allemagne, la Corée et le Royaume-Unis. Elle est en revanche beaucoup moins bien placée en taux d'équipement par habitant. Treizième, derrière le Danemark qui arrive en première position suivi des Pays bas, de la Suisse, de la Corée, etc., la France atteint un total de 22,5% d'habitants abonnés au haut débit, l'essentiel étant connecté en ADSL (21,4%), le restant étant du câble (1,1%). Selon l'OECD, la fibre est quasiment absente en France et c'est précisément la faible utilisation de cette technologie et le marché peu développé du câble qui explique cette 13ème position car, coté ADSL, la France figure en 3ème position derrière l'Islande et la Finlande. Avec une croissance de 4,68% de la pénétration du haut débit sur l'année dernière, la France se situe encore parmi les bons élèves de l'OECD (8ème place) mais toujours derrière les pays européens tels que l'Irlande (6,60%), l'Allemagne (6,10%) ou encore la Suède (6,05%). En d'autres termes, plutôt bien lotie en haut débit, la France n'en accuse pas moins un retard sur nombre de ses voisins européens, devançant en revanche les Etats-Unis qui n'enregistre que 22,1 % d'abonnés au haut débit. Le prix de l'abonnement au haut débit explique probablement en partie ces bons résultats européens puisqu'on retrouve les mêmes pays dans le peloton de tête des abonnements les moins chers : 31,18 dollars en moyenne et par mois pour un abonnement en Finlande, 32,22 en Allemagne, etc. La France arrive en huitième position avec 36,70 dollars mais elle est, en revanche, beaucoup mieux placée sur le coût au Mbits/s : deuxième avec 0,33 dollars derrière le Japon (0,13 dollars) et devant la plupart de ses voisins européens. Des chiffres qu'il convient toutefois de relativiser en tenant compte du pouvoir d'achat propre à chacun de ces pays. (...)
(13/11/2007 09:30:48)La publicité en ligne, un marché convoité mais limité
A l'occasion du Forum des médias, qui s'est déroulé ce week-end à Monaco, Maurice Levy, patron de Publicis, a mis en garde les annonceurs contre l'engouement du marché publicitaire sur Internet. D'après le Financial Times, « beaucoup trop de gens élaborent des projets basés sur la publicité en ligne. Ils pourraient être déçus, car il n'y a pas assez d'argent pour tout le monde », a déclaré le patron du premier groupe publicitaire français. En d'autres termes, le web 2.0 pourrait bien connaître le même avenir que l'Internet des années 1990-2000. Depuis quelques mois, les ténors du secteur multiplient les investissements dans la publicité en ligne. Microsoft a injecté 250 M$ dans Facebook. AOL a racheté Quigo pour améliorer sa régie publicitaire. MySpace, Yahoo puis Facebook se sont dotés d'outils de publicité comportementale. (...)
(12/11/2007 16:48:29)Forum des pôles de compétitivité : 5000 PME impliquées
En progrès mais peut mieux faire : les états-majors des pôles de compétitivité ont tous à coeur d'illustrer le rapprochement tripartite entre les grands comptes, les PME et le monde de la recherche, par la percée de dizaines de projets R&D labellisés. Et subventionnés. Le forum qui s'est tenu le 9 novembre à Sophia Antipolis a permis à la direction générale des entreprises (DGE) de souligner, au delà des deux milliards d'euros déjà mobilisés incluant fonds privés et publics (423 projets soutenus par le Fonds unique interministériel et Oseo, 242 projets sélectionnés par l'Agence nationale de la recherche), l'importance à accorder à l'accompagnement des PME dans cette dynamique de collaboration. A commencer par les aspects juridiques (propriété intellectuelle, accords de confidentialité et de consortium) et fiscaux qui, dès l'émergence d'une idée de projet, doivent être pris en compte. « Pensez au Crédit Impôt-Recherche », assénait Fabrice Leroy, responsable de la mission Pôles de compétitivité au Minefe (ministère de l'Economie, des Finances et de l'Emploi). La loi de finances 2008 prévoit en effet pour les PME une remise d'impôt de 30% jusqu'à 100 ME investis en R&D (de 50% la première année). Plan d'action spécial PME, confrontation PME et grands comptes, projets flash à réaliser dans l'année, prospecteurs allant sur le terrain repérer les projets potentiels, mobilisation des instances professionnelles (réseaux existants de PME) : les efforts déployés par les instances dirigeant les pôles pour intensifier les contacts (et plus si affinités) entre PME et grands services de R&D sont bien réels. Pour autant, dans l'afflux de projets qui a motivé plus de 5000 PME à rejoindre les pôles les concernant, les failles de l'organisation du tissu économique national et régional n'en sont que plus apparentes. Ont été évoqués lors du 3ème forum des pôles organisé par la Fondation Sophia Antipolis : d'une part, l'insuffisance du positionnement à l'international de ces initiatives de collaboration R&D, qui induit, notamment, que moins d'un dossier sur sept soumis à un guichet européen (dont le programme-cadre, PCRD) décroche une subvention ; d'autre part, l'éternel constat de sous-capitalisation des PME. Certains bons projets n'ont pu être retenus lors des appels du fonds interministériel, du fait qu'ils impliquaient une mise de fonds disproportionnée par rapport aux fonds propres des PME concernées. La prise de relais - par un capital-risque dûment intéressé par cette émergence de projets - est encore loin d'être assurée. (...)
(12/11/2007 12:44:44)Le réseau sans-fil de la Silicon Valley en panne faute de financement
Comme dans beaucoup de villes américaines, le gigantesque projet de réseau sans fil de la Silicon Valley est en rade. Il semblerait en effet que le consortium en charge du projet baptisé Silicon Valley Metro Connect n'ait pas réussi à réunir les fonds nécessaires à son déploiement. Un souci de financement qui masque toutefois des problèmes autrement plus complexes. L'expérience de ces dernières années montrerait en effet que les réseaux municipaux sans fil intéressent peu ou prou les utilisateurs, selon les analystes du marché. Mais c'est surtout la complexité de mise en oeuvre qui freine réellement ces projets. Le « Silicon Valley Metro Connect » prévoyait en effet de relier 2,4 millions d'utilisateurs à Internet, soit de couvrir les 40 communes de la péninsule (environ 4000 kilomètres carrés) avec un réseau large bande. Le déploiement du réseau global était estimé à 200 millions de dollars. Il impliquait des acteurs tels que Cisco pour l'équipement, l'opérateur Azulstar Networks, IBM pour l'intégration ou encore Seakay, un organisme public destiné à soutenir le secteur non-marchand. Pour chaque commune, qui disposait déjà de ses propres équipements et technologies, toute la question est de savoir sur quel modèle économique et quelles technologies l'offre va reposer. La complexité du projet provient de l'absence de consensus technologique parmi les partenaires, de la taille du projet et des problèmes politiques inévitables dès lors qu'on cherche à mettre d'accord un consortium de partenaires impliquant 40 communes. Après l'enthousiasme du lancement, on a vu apparaître un désintérêt de la part des partenaires technologiques il y a cinq mois, qui semble aujourd'hui se confirmer. Les investisseurs souhaitent en effet avoir la preuve que le projet peut être mené à bien en mettant en place deux sites de tests (Palo Alto et San Carlos) mais ne veulent pas, par ailleurs, débourser un centime pour financer cette phase pilote du projet, peu convaincus de l'intérêt d'un vaste réseau. Bref, le « Silicon Valley Metro Connect » tourne en rond et a peu de chance d'aboutir si personne ne cède du terrain. (...)
(09/11/2007 18:41:07)La nouvelle stratégie publicitaire de Facebook fait grincer des dents
L'annonce de la nouvelle plate-forme publicitaire de Facebook n'a pas manqué de susciter des réactions plus ou moins indignées, voire virulentes, de la part des internautes et des associations de défense de la vie privée. Il faut dire qu'avec son outil « complètement innovant, très puissant, et jamais vu ailleurs » (comme l'a lui-même qualifié Mark Zuckergerb, P-dg de la société), Facebook propose à ses annonceurs un accès direct vers les informations concernant ses membres, afin de les aider à mieux cibler leurs campagnes publicitaires. Facebook n'est pas le premier réseau social à avoir mis en place une plate-forme de « publicité comportementale ». Ses concurrents MySpace et Yahoo l'ont devancé de quelques semaines. Mais chez Yahoo (qui recense 12 millions de visiteurs uniques par mois), on se défend de tout amalgame entre les deux modèles : « notre stratégie publicitaire est très différente de celle de Facebook », explique ainsi Christophe Pelletier, le responsable de la communication. Une publicité comportementale à plusieurs niveaux Yahoo ne vend pas à ses annonceurs les informations concernant ses membres. Les informations qu'il récolte avec les cookies (c'est-à-dire les publicités sur lequel l'internaute a cliqué, les mots clés tapés et les pages visitées sur Yahoo) sont stockées, analysées et exploitées uniquement en interne. « Ces données servent ensuite à créer des profils, à qui nous diffusons les publicités que nous jugeons les plus pertinentes », explique encore Christophe Pelletier. Yahoo précise par ailleurs que, depuis le lancement de cette plate-forme publicitaire interactive, un bandeau rouge placé en bas de chaque page avertit les membres de la présence de ces cookies et lui propose, s'il le souhaite, de les désactiver. Chez Facebook, le principe de cookies « récolteurs d'informations » est le même. Mais à la différence de Yahoo, les partenaires annonceurs de Facebook peuvent eux-mêmes (moyennant finances) piocher à leur guise dans les informations glanées à propos des membres du site communautaire (date de naissance, lieu de résidence, loisirs, études, activités professionnels, sites visités...), afin de les exploiter. Autre différence de taille, chez Yahoo, les annonces publicitaires « ciblées » sont envoyées uniquement à l'utilisateur profilé. Chez Facebook, si l'utilisateur clique sur la bannière publicitaire, elle sera automatiquement transmise à l'ensemble de son réseau d'amis, un peu à la manière d'un virus. Une pratique à la limite de la légalité [[page]] Selon le New York Times, une loi concernant la protection de la vie privée pourrait remettre en question la nouvelle plate-forme publicitaire de Facebook. Cette loi, qui date de cent ans, stipule que tout personne « dont le nom, l'image, les informations personnelles ou la voix sont utilisés dans un but commercial sans son consentement écrit peut intenter un procès en justice pour réclamer des dommages et intérêts ». Facebook se défend évidemment contre cette accusation, arguant que cette loi est brandie dans un contexte beaucoup trop général. De son côté, Andrew Frank, analyste pour le cabinet d'études Gartner, estime pour sa part que « chaque membre est libre de déterminer les informations qu'ils souhaite rendre publiques ou pas », sous-entendu, lors de son inscription. Sauf que le système de Facebook va plus loin. Sa plate-forme (et plus particulièrement une application baptisée « Beacon ») est capable de suivre les déplacements des utilisateurs, même lorsqu'ils se rendent sur d'autres sites. Et cela, peu de membres le savent. D'après nos confrères du Point, le Center for Digital Democracy, une société qui lutte pour que la protection de la vie privée soit renforcée, aurait d'ores et déjà demandé à la Federal Trade Commission (FTC-Commission fédérale sur le commerce) d'enquêter sur les pratiques publicitaires de Facebook, mais également sur celles de MySpace. (...)
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