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(20/02/2009 16:13:54)

Le secteur public peut enfin réserver 15% de ses marchés high tech aux PME

Les PME innovantes peuvent enfin être mises en avant et favorisées dans les marchés publics. Le décret d'application de l'article 26 de la loi du 4 août 2008 de modernisation de l'économie (LME) vient d'être publié. Cette disposition autorise les ministères, collectivités territoriales et entreprises publiques à réserver 15% de leurs marchés de haute technologie à de petites et moyennes entreprises innovantes. Sont concernés par ces dispositions les marchés ayant pour objet l'achat de travaux, de fournitures et de services qui font appel « au dernier état de l'art des technologies ou des connaissances en science et en ingénierie à la date du lancement de la procédure de passation du marché public ». Pour le Comité Richelieu, association de PME innovantes, à l'origine du Pacte PME de mise en relation avec les grandes entreprises et administrations, il s'agit d'une avancée essentielle. Outre la possibilité de mettre en place une politique volontariste vis-à-vis des petites entreprises ayant développé des technologies avancées, le Comité Richelieu souligne l'importance de maintenir l'accès des PME à la commande publique dans le contexte actuel. Dix-sept grands comptes publics ont déjà signé le Pacte PME. (...)

(19/02/2009 12:55:51)

L'éditeur français Oslo Software reçoit 740 000 euros du réseau Finaréa

Créé en 2001, l'éditeur lyonnais Oslo Software vient d'obtenir un financement de 740 000 euros du réseau Finaréa pour renforcer ses équipes commerciales autour de sa solution Dreams (Dynamic resource allocation and management suite) et poursuivre son développement en France et à l'international. Sa technologie complète les outils de gestion de processus métiers (BPM) et de gestion des événements complexes (CEP) par l'allocation des ressources humaines ou matérielles à des tâches, de façon dynamique et en temps réel, en fonction des contraintes et de la prise en compte d'événements imprévus. Sa solution est en particulier mise en oeuvre par les industriels qui veulent améliorer leur qualité de service ou réduire le délai de mise sur le marché de leurs produits. Oslo Software a également développé des solutions adaptées à l'optimisation des processus dans les centres d'appels ou dans les services d'assistance aux utilisateurs. Réseau Finaréa, axé sur les petites enterprises Le réseau Finaréa met en relation des investisseurs avec les entrepreneurs de petites structures. Il a également vocation à accompagner les choix stratégiques des petites entreprises auquel il apporte ainsi un soutien financier. A son comité d'investissement figurent notamment Paul Henri Bénoit, chargé du financement des entreprises au Conseil régional d'Ile-de-France, et Marie-Claude Taillandier, responsable du crédit aux entreprises au sein d'Oséo. En septembre dernier, Oslo Software, co-fondé et dirigé par Emmanuel Gonon, avait déjà levé 2,7 M€ auprès de Script Capital, Capitalaira et NGI. Egalement directeur technique de la société, Emmanuel Gonon a été l'an dernier finaliste du prix du jeune dirigeant organisé par Ivy Executive Search, cabinet de recrutement de cadres exécutifs. (...)

(16/02/2009 16:06:17)

Facebook ne vaudrait pas 15 Md$ mais quatre fois moins

Facebook, habituellement loué pour la célérité de son développement économique, aurait été surévalué. En octobre 2007, Microsoft s'était offert 1,6% du capital du réseau social. L'éditeur de Windows avait déboursé pour cela 240 M$, contribuant ainsi à valoriser Facebook à 15 Md$. Il apparaîtrait cependant que cette somme est largement supérieure à la réalité : Facebook ne vaudrait que 3,7 Md$. L'histoire commence en 2004, lorsque les trois fondateurs de ConnectU, un autre réseau social, accusent Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook et leur ancien camarade de classe, d'avoir exploité leur propre idée de site communautaire. Les protagonistes en appellent à la justice américaine puis, en avril 2008, parviennent à un accord amiable avec le jeune milliardaire. Si les termes de cet arrangement devaient rester confidentiels, on sait aujourd'hui qu'ils portaient sur un règlement de 20 M$ en numéraire plus un lot de 1,25 million d'actions Facebook estimé entre 11 M$ et 45 M$, selon la valeur du titre : 9 $ (l'estimation de Facebook) ou 36 $ (le prix payé par Microsoft en 2007). Après avoir vainement tenté d'obtenir un dédommagement plus important, les plaignants estiment que l'affaire mérite d'être close. Le cabinet d'avocats qui avait défendu leurs intérêts se fend alors d'un article, dans une brochure, clamant fièrement la victoire face à Facebook. Le texte relate notamment que les juristes sont parvenus à soutirer quelque 65 M$ au réseau social. Le secret liant les parties au procès est déjà légèrement éventé. Il va alors perdre tout mystère avec la découverte d'un journaliste d'Associated Press. Quand celui-ci met la main sur un document au format PDF rédigé par le tribunal californien ayant instruit l'affaire, il réalise qu'un simple copier/coller dans un éditeur de texte permet de faire apparaître certaines mentions dissimulées dans le papier d'origine. En particulier, la somme versée par Facebook aux plaignants y est détaillée. C'est là que l'on réalise que les 1,25 million d'actions ne valent que 11 M$, soit 8,8 $ par titre. Une valeur très inférieure au prix payé par Microsoft en 2007 et qui ramène la valeur du site à 3,7 Md$. Bien loin des 15 Md$ annoncés à la surprise générale quand le géant de Redmond avait pris sa participation. Alors que Facebook vient de fêter ses cinq ans d'existence, sa valeur vient donc d'être divisée par quatre. (...)

(06/02/2009 17:48:15)

Pour Nathalie Kosciusko-Morizet, la démarche du numérique doit se fonder sur les usages

Le Forum Netexplorateur a convié la toute nouvelle secrétaire d'Etat chargée de la Prospective et du développement de l'économie numérique, Nathalie Kosciusko-Morizet, à clore sa première journée. La manifestation, qui s'est tenue les 5 et 6 février au Sénat, propose aux décideurs politiques et économiques de découvrir les nouveaux usages du numérique et de rencontrer ceux qui les développent dans le monde entier. La ministre a tenu à souligner l'importance d'une démarche autour du numérique fondée sur les usages et non sur les seules technologies. Rappelant que l'histoire d'Internet, celle des SMS ou encore celle du mobile en Afrique, s'étaient construites à partir de ce que les utilisateurs ont bien voulu en faire, elle a souligné des initiatives telles que Wizzit. Cette banque mobile à destination des populations défavorisées d'Afrique du Sud a reçu le grand prix Netexplorateur 2009 à l'occasion du forum. La ministre a poursuivi sur le thème des usages en évoquant son prochain voyage en Corée du Sud, où elle compte bien observer justement les usages du numérique dans cette population qui « regarde la télé toute la journée dans le métro ». Ce même pays, elle l'a rappelé, construit aussi non loin de Séoul New Songdo City, la ville du futur. « Les quatre directions les plus porteuses : la consommation, les transports, les usages liés au maintien du lien social et la domotique » [[page]]Pour Nathalie Kosciusko-Morizet, il faut désormais aller, d'une part, vers un Internet participatif, et d'autre part, vers davantage de liens entre Internet et les communications mobiles. « Les quatre directions les plus porteuses sont la consommation, les transports, les usages liés au maintien du lien social et la domotique, a précisé la ministre. Chacun de ces usages a vocation à se généraliser. Il y a lieu d'être enthousiaste, mais aussi prudent et modeste. » Enthousiaste, parce que la France possède l'infrastructure idoine. Prudent et modeste parce que si le numérique doit sans conteste participer à la croissance, il ne faut pas se complaire dans la « techno béatitude ». « L'innovation industrielle peut jouer un rôle décisif, a ajouté la ministre. L'investissement dans des applications numériques au service des personnes, par exemple, créera des emplois et de la richesse tout en répondant à un besoin social réel. » « Il y a des gisements de croissance incroyables. Mais si nous attendons du développement de l'économie numérique qu'il contribue à la sortie de crise, il faut comprendre que cela doit être au delà d'Internet et des télécoms, mais que cela doit impliquer l'Etat, chaque PME, chaque famille... » Des outils pour accompagner les start-up vers l'international Sur la question particulière des start-up du numérique français qui peinent souvent à se développer, Nathalie Kosciusko-Morizet a rappelé les deux problèmes identifiés par le gouvernement. D'une part, la difficulté à trouver des crédits pour grossir, et d'autre part, la difficulté à se tourner vers l'international. La ministre pense que le plan France Numérique 2012 pourrait être étoffé sur le sujet. Elle ajoute qu'il n'existe pas suffisamment de lieux pour proposer des outils idoines à ces jeunes entreprises. Nathalie Kosciusko-Morizet évoque ainsi l'incubateur de Télécom ParisTech qu'elle a visité le 29 janvier dernier. Mais elle estime aussi que le soutien aux nouvelles technologies ne devrait pas être réservé aux écoles d'informatique et télécoms. Le développement du numérique n'est pas forcément technologique. (...)

(06/02/2009 16:26:29)

Le fondateur de MySQL quitte finalement Sun

Après des mois d'hésitations, il est temps de tourner la page. Michael « Monty » Widenius, l'un des cofondateurs de MySQL, a annoncé hier sur son blog qu'il quitte son poste au sein de Sun pour fonder sa propre société, Monty Program Ab. Il faut dire que depuis le rachat de MySQL par Sun il y a un an, les relations entre les cofondateurs et leur nouvel employeur n'étaient pas au beau fixe. Ainsi, dès septembre dernier, après la sortie de MySQL 5.1, Monty Widenius avait déjà envisagé de démissionner . On sait désormais que les dirigeants de Sun l'ont convaincu de rester trois mois de plus pour assurer le développement de MySQL. Pendant ce temps, son compère David Axmark a claqué la porte de Sun en précisant : "Je déteste les règles que je dois suivre, mais je répugne également à les enfreindre. Il serait donc mieux pour moi de quitter mon poste, et de travailler avec MySQL et Sun sur une base moins formelle." Les trois mois de sursis s'étant transformés en sept mois sans changement, Monty Widenius jette aujourd'hui l'éponge. Il regrette principalement que le développement de MySQL Server n'ait pas été réellement ouvert, sans faire de différenciation entre le travail interne à Sun et celui des développeurs extérieurs. Malgré tout, il reconnaît que « Sun était le meilleur acquéreur possible pour MySQL ». Sa nouvelle société, Monty Program Ab, entend se concentrer exclusivement sur des projets Open Source. Elle se consacrera notamment au moteur de stockage transactionnel Maria. Certains développeurs ayant travaillé sur ce projet rejoindront la nouvelle société, tandis que d'autres resteront chez Sun, sans que cela freine leur collaboration. (...)

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