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(16/05/2008 12:56:44)
Annuels Risc Group : un chiffre d'affaires porté par les dernières acquisitions
Risc Group, fournisseur français de solutions de sécurité informatique, publie les résultats de ses douze derniers mois d'exercice fiscal. Exceptionnellement celui-ci n'est pas annuel, mais durera 15 mois pour s'achever fin juin 2008. Risc Group achève donc ces douze mois sur un chiffre d'affaires en hausse de 63%, à 64 M€ (+25% à périmètre constant). Le secteur des PME est particulièrement dynamique en France : en 12 mois, il a pratiquement été multiplié par dix, en générant un chiffre d'affaires de 14,71 M€, contre 1,45 M€ un an plus tôt. Cette montée en puissance est notamment le fruit des acquisitions de Backup Avenue, spécialisée dans la sauvegarde, en juillet 2007, puis d'Ornis (un opérateur de services informatiques) deux mois plus tard ainsi que d'Itemos (toujours dans le secteur de la sauvegarde en ligne). A elles trois, ces sociétés ont généré un chiffre d'affaires de 6,5 M€, uniquement en France. En France, Risc Group a enregistré une croissance de 70%. L'activité de la SSII se divise en deux pôles : un pôle historique TPE (regroupant Risc Security et Itemos) et un nouveau pôle dédié aux PME et aux grands comptes, piloté par Ornis et Back Avenue. A l'international, la progression est légèrement plus modeste, mais reste très forte (+51%), sauf en Allemagne, en repli de 8%. La SSII possède également des filiales en Belgique, Italie, Espagne et Suisse. Le groupe envisage d'étendre sa couverture internationale, notamment en Europe de l'Ouest et de l'Est. (...)
(16/05/2008 12:45:35)Indice Keljob.com : en avril, près de 82 000 offres concernaient l'informatique et les télécoms
Depuis décembre 2007, l'indice de mesure des offres diffusées sur Internet publié par le site d'emploi Keljob.com ne cesse de croître : gagnant 79 points supplémentaires. Il a ainsi augmenté de 27% en seulement quatre mois. Du coup, le volume des offres d'emploi publiées sur la Toile a progressé dans l'ensemble des filières professionnelles étudiées par le spécialiste de l'emploi. Bien qu'en léger recul, la fonction informatique et télécoms maintient sa première place sur le marché de l'emploi en ligne, avec 16,3% des offres : en avril dernier, un peu plus de 81 800 postes concernaient les informaticiens et les spécialistes télécoms. En toute logique, le volume des offres déposées sur les sites d'emplois spécialisés a progressé de 11%, au cours du mois précédent. (...)
(16/05/2008 11:34:15)Yahoo lance officiellement SearchMonkey
Les résultats de recherches de Yahoo sont désormais ouvertes à la personnalisation. Annoncé en février dernier, SearchMonkey, moteur de recherche personnalisable de Yahoo, a officiellement été lancé hier. Il permet à des parties tierces (développeurs, webmasters ou même tout internaute) d'enrichir la fiche de leur site ou de leur blog sur la page de résultats du moteur de recherche de Yahoo. Grâce à une série d'API, ils pourront ainsi rajouter des photos, une brève présentation, des liens, un prix ou encore un numéro de téléphone. Entièrement gratuit et sécurisé par un login et un mot de passe, ce service repose sur une technologie open source. Yahoo affirme qu'un module peut être créé en moins de dix minutes. Les internautes ne sont pas en reste. Dans les semaines qui viennent, ils pourront choisir les informations qu'ils souhaitent voir figurer dans les résultats (ne pas afficher les photos par exemple). Le but de Yahoo est évidemment d'attirer plus d'internautes et de multiplier le nombre de clics, en proposant toute une panoplie d'informations pertinentes, et d'augmenter sa part de marché. Cela paraît judicieux, mais comme nous l'indiquions il y a trois mois, il y a le revers de la médaille : si l'internaute trouve directement sur la page de résultats l'information qu'il cherchait (une adresse par exemple), il est possible qu'il s'en contente et quitte tout bonnement le site. (...)
(16/05/2008 11:08:48)Annuels Avanquest : des ambitions sur Internet sur fond de pertes
2007 sera un mauvais crû pour Avanquest. L'éditeur clôt une année 2007 mouvementée, ponctuée par trois rachats (Nova, Emme et Software Paradise), qui s'achève sur un chiffre d'affaires de 116,2 M€ et une perte de 1,2 M€. « Sans se réfugier derrière des excuses, nous pouvons invoquer la chute du dollar et de la livre, ainsi que les méventes dans le secteur grand public », commente le PDG Bruno Vanryb. A elle seule, la chute du dollar a un impact de 2 M€ sur l'exercice. Le PDG souligne que la société a toujours su réagir. En 2002, par exemple, elle était parvenue à vendre tout ce qui n'était pas logiciels, son activité de base, soit le tiers de son chiffre d'affaires, ce qui lui a ensuite permis d'enchaîner trois exercices bénéficiaires. Aujourd'hui, Avanquest veut passer massivement à la vente sur le Web. Cela inclut la vente proprement dite, mais également d'autres notions comme le marketing viral. L'ouverture du mode SaaS Pour le secteur entreprise, qui représente 22% de l'activité (dont 15% en Grande-Bretagne), ce passage à davantage de ventes sur Internet aura une conséquence forte. C'est par ce canal que le groupe, à partir de sa filiale anglaise Software Paradise, souhaite vendre aux entreprises dans toute l'Europe. Une démarche qui sera accompagnée par une équipe de télévendeurs, par la création d'un catalogue et par l'ouverture du mode SaaS (software as a service) permettant d'utiliser des logiciels en ligne sur abonnement. L'objectif est clair, « nous voulons faire d'Avanquest la boutique en ligne de référence », souligne Bruno Vanryb. Une communauté d'utilisateurs[[page]] L'éditeur/revendeur compte également sur le mélange de plusieurs phénomènes apparus sur Internet (notamment grâce au Web 2.0) pour refondre sa stratégie : la gratuité (l'éditeur se rémunère en général par les mises à jour après la vente gratuite), le téléchargement, le système d'abonnements aux logiciels en ligne, les blogs, le phénomène des portails et celui des communautés. Ces tendances observées sur le Web se traduiront dans la politique d'Avanquest. La société va créer une communauté d'utilisateurs (pour devenir le « Facebook du monde du logiciel »), en matière de portails. Elle va s'adresser aux entreprises, créer un système de vente en mode SaaS après des tests menés avec Earthlink (un spécialiste des TPE) aux Etats-Unis. Enfin, 80% des ventes devraient se faire en téléchargement. Concernant sa stratégie globale, la société table d'abord sur sa réelle internationalisation. C'est l'un des rares éditeurs français implanté durablement aux Etats-Unis, où il a débuté en 1996 avec un seul salarié pour réaliser aujourd'hui 45% du chiffre d'affaires total du groupe. Avanquest s'implante également en Asie. Sur 2008, l'éditeur compte réaliser 115 à 120 M€ de chiffre d'affaires sur 2008, avec un résultat opérationnel entre 4 et 6%. (...)
(16/05/2008 06:49:43)Carl Icahn veut renouveler le conseil d'administration de Yahoo
Accusant le conseil d'administration de Yahoo d'avoir été irresponsable en déclinant l'offre de rachat faite par Microsoft, le milliardaire Carl Icahn est passé à l'action. Il a envoyé au président du conseil d'administration Roy Bostock une lettre proposant 10 nouveaux membres (y compris lui) pour renouveler totalement le conseil lors de la prochaine assemblée générale en juillet prochain. Carl Icahn avait clairement laissé entendre qu'il chercherait à peser de tout son poids à l'occasion du prochain vote, au travers d'un 'proxy fight' (bataille de mandats). Il dit ainsi avoir rassemblé 59 millions de parts et d'options, et demandé à la FTC (ministère américain du Commerce) son feu vert pour racheter 2,5 Md$ d'actions de Yahoo - sachant que la capitalisation boursière du moteur de recherche est de 38,6 Md$. Carl Icahn avait déjà pesé lors du rachat de BEA par Oracle Dans sa lettre, Carl Icahn indique qu'il préfère les perspectives offertes par une acquisition par Microsoft à celles, qu'il juge « exagérément optimistes », que Yahoo peut offrir en restant indépendant. En revanche, il n'aborde pas un point préoccupant : le fait que Microsoft prétende désormais qu'une fusion ne l'intéresse plus. L'éditeur de Redmond n'a de son côté pas commenté l'initiative de Carl Icahn. Des analystes cités par Reuters expliquent que Jerry Yang, le patron de Yahoo, aura plus de mal à sortir des griffes de Carl Icahn que de celles de Steve Ballmer. Pour mémoire, c'est lui qui avait fait pression sur le conseil de BEA pour accepter la proposition de rachat d'Oracle, après que ce dernier avait officiellement retiré son offre. (...)
(16/05/2008 10:11:27)Pas de déduplication pour les VTL d'IBM
IBM vient d'annoncer sa nouvelle bibliothèque de bandes virtuelles, le Virtualisation Engine TS7530, qui sera commercialisée officiellement à partir du 8 juin. Moins que ses nouvelles fonctionnalités, ce qui intrigue le plus dans ce nouvel ajout à la gamme VTL d'IBM (le premier depuis son lancement en décembre 2005) est l'absence de déduplication. IBM est pourtant partenaire de longue date de FalconStor, qui intègre cette technique dans ses logiciels et il vient également de racheter Diligent, un spécialiste de la déduplication. Pour Charlie Andrews, directeur marketing produit d'IBM System Storage, ce choix s'explique simplement par la prudence : « Nous voulons être sûrs que nous l'installerons correctement. Pour nous, il y a encore tellement de problèmes potentiels autour de cette technologie que nous ne sommes toujours pas satisfaits en termes de fiabilité, de performance et de cohérence. » Pour réduire le poids des données stockées, IBM a préféré la compression matérielle avec un ratio de l'ordre de 2:1 contre les 20:1 généralement obtenus avec la déduplication. Le TS7530 utilise des disques SATA d'un tera-octet, et supporte jusqu'à 4 096 bandes virtuelles. Sa capacité maximale est de 1,7 peta-octet non compressés ou de 3,4 peta-octets compressés. Il sera commercialisé à partir de 251 000 dollars. (...)
(16/05/2008 09:30:17)Les Européens regrettent le gaspillage lié aux impressions sans se juger responsables
Les salariés européens prennent conscience de l'enjeu environnemental lié au gaspillage du papier utilisé pour l'impression et ont globalement diminué leur consommation en 2007. Pourtant, s'ils estiment que leur entreprise a encore des progrès à faire, ils se déclarent souvent étrangers à ce gâchis. Ce sont les principales conclusions d'une enquête réalisée conjointement par Lexmark et Ipsos auprès de 5676 salariés de 13 pays européens. Avec 31 pages imprimées quotidiennement par chaque salarié de l'UE, la consommation moyenne de papier a reculé de trois pages en 2007. Notons cependant les disparités selon les pays : alors que la Suède fait figure de bon élève (22 pages par jour et par personne), l'Espagne atteint 41 pages, soit cinq de plus qu'au cours de l'année précédente. La France se situe légèrement au-dessous de la moyenne européenne avec 28 pages (contre 31 en 2006). C'est la faute des collègues Cette diminution globale de la consommation est à mettre en parallèle avec les préoccupations environnementales : 90% des salariés se disent conscients des conséquences fâcheuses du gaspillage et plus de la moitié jugent trop élevé le nombre d'impressions inutiles réalisées dans leur entreprise. [[page]]Pourtant, ils sont nettement moins nombreux à s'estimer responsables de cette gabegie (27% au niveau européen), préférant accabler leurs collègues de travail. En France, par exemple, 60% des salariés regrettent la quantité de papier gaspillée sur leur lieu de travail, mais seuls 30% d'entre eux pensent y contribuer. Et de l'autre côté des Pyrénées, 19% considèrent qu'ils impriment trop alors qu'ils sont 48% à pointer du doigt la consommation de leur entreprise. Au-delà de la prise de conscience écolo, la maîtrise de la consommation de papier a évidemment un intérêt pécuniaire pour les entreprises. C'est pourquoi 49% ont modifié leur politique d'impression en 2007, en encourageant leurs salariés à recourir au recto-verso (dans 20% des entreprises ayant adapté leur stratégie d'impression l'an passé) ou en obligeant les salariés à s'identifier avant d'imprimer un document (12%). Curieusement, l'encouragement à imprimer moins, qui constitue pourtant la mesure la plus évidente, n'est formulé que dans 42% des entreprises. (...)
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