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(27/06/2007 18:42:08)

CodingTeam : une nouvelle forge pour logiciels libres

CodingTeam est une forge, c'est-à-dire un système de gestion de développement collaboratif dédié aux logiciels libres. La première version stable vient de sortir. CodingTeam permet la présentation, la gestion et le développement collaboratif de projets de logiciel libre. Il propose des outils prêts à l'emploi pour les développeurs qui désirent présenter et gérer leurs applications sur un site francophone. Coding Team propose les fonctionnalités suivantes : - Un espace de téléchargement - Un système de wiki - Un outil de suivi des bogues - Un espace de présentation d'images et de copies d'écran - Un système de publication d'actualités, agenda et notes du projet - Un forum lié au projet - Un dépôt Subversion (SVN) à la demande L'enregistrement s'effectue pour l'instant sans conditions préalables et il est immédiat. Il suffit de s'inscrire en remplissant un formulaire, le projet est créé et disponible en quelques minutes. Chaque projet dispose de forums, en plus du forum de discussion générale de CodingTeam. Aucune limite n'est fixée pour le chargement des fichiers relatifs aux projets, mais le site ne propose pas d'hébergement pour l'exploitation des projets. CodingTeam est une alternative francophone aux systèmes SourceForge, Savannah ou LibreSource. (...)

(27/06/2007 18:41:32)

Eclipse Europa : lancement simultané de 21 projets

La Fondation Eclipse a commencé aujourd'hui le lancement coordonné de nouvelles versions de 21 de ses projets Open Source. Ce lancement annuel, baptisé Eclipse Europa, représente 17 millions de lignes de code, des contributions provenant de 310 développeurs à travers 19 pays. Le code complet de ces projets sera disponible le 29 juin. Selon la Fondation, Europa marque une étape importante dans la stratégie d'Eclipse pour fournir une plateforme de développement commune pour les applications embarquées, clients riches, Internet riches et serveurs. Les fonctionnalités de la release Europa incluent : - Eclipse Equinox, une implémentation du framework OSGi 4 qui, selon la Fondation, pourrait faciliter le développement d'applications serveur s'exécutant dans le runtime Equinox. - Des fonctionnalités de reporting avancées pour les applications Java dans l'outil Eclipse Business Intelligence and Reporting Tool. - La première technologie venant du projet Eclipse SOA Tools Project. - Des fonctionnalités de collaboration qui supportent la collaboration basée sur les tâches pour les équipes de développement dans Eclipse Mylyn (anciennement Mylar) - Un nouvel IDE pour le développement en Ruby dans le projet Eclipse Dynamic Language Tool Kit. Eclipse Europa est le deuxième lancement simultané de projets de la Fondation Eclipse. L'année dernière, Eclipse Callisto lançait 10 projets pour 7 millions de lignes de code. Bien qu'Europa soit le plus gros lancement jamais réalisé par Eclipse, il n'intègre pas tout ce que pourrait proposer la Fondation., comme ATF (Ajax Toolkit Framework), RAP (Rich Ajax Platform) ou encore PHP IDE. Selon la Fondation, ces projets pourraient faire partie de la prochaine grosse release appelée Ganymede, prévue en 2008. (...)

(27/06/2007 18:40:41)

Profession : développeur Second Life

Alors que les concepts du Web 2.0 ont encore du mal à être digérés, notamment par les services marketing des éditeurs, on parle déjà de Web 3.0 : web sémantique, RIE (Rich Immersive Environment) ? Nul ne peut prédire de quoi sera faite la prochaine génération. Cependant, Second Life préfigure ce que pourrait être l'interface d'un futur Web, un espace-temps entièrement virtuel. Au delà des polémiques sur ses aspects sociaux, politiques, philosophiques ou moraux, Second Life représente aujourd'hui une opportunité économique pour les développeurs. Il existe un véritable écosystème Second Life. Bien que tous les biens et services dans Second Life soient virtuels, l'argent est réel et la propriété intellectuelle revient aux créateurs. Tout ce que l'on crée dans ce monde virtuel peut être converti en argent réel. En 2006, les Résidents de Second Life ont dépensé 200 millions de dollars. Les clients potentiels sont des clients loyaux. On estime que les Résidents passent en moyenne 40 heures par mois dans Second Life, soit 10% de plus que le temps passé par mois devant la télévision par les Américains. Second Life est plus une expérience sociale qu'un environnement de jeu : 50% des résidents sont des femmes. On considère qu'une activité sur le Web qui attire autant les hommes que les femmes est un business prometteur. Du point de vue du programmeur, la plateforme Second Life présente un pouvoir d'attraction énorme. La possibilité de créer des objets qui possèdent un dynamisme crédible est sans commune mesure avec ce que l'on peut faire en Ajax ou dans d'autres applications Web. On pourrait en schématisant définir la plateforme Second Life comme un immense simulateur exécutant un nombre potentiellement gigantesque d'automates finis. L'environnement de scripting contrôlant l'exécution de ces automates finis est un langage ressemblant au langage C, appelé Linden Scripting Language (LSL). Première visite : la page consacrée aux développeurs sur le site de Second Life. On y découvre tout d'abord l'incroyable écosystème des développeurs Second Life : des sociétés proposant des projets clés en main, des consultants, des développeurs individuels, privés... Puis on y découvre les différentes API proposées par Linden : protocoles réseau, documentation REST, change Linden Dollar/devises réelles, etc. Pour développer pour Second Life, il faut bien sûr être un Résident et s'immerger. Un concept intéressant est qu'ici, le développeur évolue à la fois dans l'application et dans l'IDE. En pressant le bouton Build en haut de l'écran, on passe en mode développement et on invoque l'IDE. On ne peut créer des objets qu'en utilisant les outils intégrés à Second Life, bien que des rumeurs circulent sur la possibilité d'importer des modèles externes. Cependant, il est possible de créer des animations externes avec Avimator et de les importer ensuite dans le Second Life. On peut utiliser l'éditeur fourni dans l'IDE de construction des objets, qui permet la colorisation syntaxique, ou utiliser un éditeur de textes externes (des plugins existent pour plusieurs éditeurs populaires). Second Life dispose d'un véritable modèle objet. Le monde virtuel est constitué d'une banque de serveurs, chaque serveur a la charge de gérer les objets, les terrains, les avatars et de s'assurer que les clients connectés au serveur sont mis à jour correctement. Chaque serveur coordonne l'interaction entre les avatars et les objets. Un objet n'a pas la possibilité de réagir tout seul aux autres avatars ou objets, il doit avoir été scripté pour prendre vie. Créer un objet vivant combine deux disciplines : la création d'objet et le scripting d'objet. Il n'y a pas de restriction sur les types d'objets que l'on peut scripter. Tout élément visuel, depuis la forme jusqu'à la texture peut être scripté. Tout objet ou avatar est en fait un ensemble de polygones, simples ou liés entre eux. Un clic droit sur un polygone (un prim en langage Second Life) fait apparaître un menu circulaire avec les différents comportements autorisés ou créés via scripting. Pour se familiariser ou explorer l'API Second Life, on pourra consulter le LSL Wiki. Le magazine américain Dr. Dobbs a créé un site dédié aux développeurs Second Life regroupant news, blogs, forums, etc. : Dr. Dobbs Life 2.0. Une conférence développeurs a même été organisée fin avril-début mai, Life 2.0 Summit. On y a vu notamment Grady Booch d'IBM, cofondateur d'UML, parler de Second Life en tant qu'environnement collaboratif pour le développement logiciel. De toute évidence, Second Life est plus qu'un jeu. C'est un nouveau monde d'opportunités pour créer des objets beaux et utiles. Alors, développeur Second Life, ça vous tente ? (...)

(27/06/2007 17:53:27)

HP Software France change de directeur

La branche logicielle d'HP vient de désigner Christophe Bouchardeau à la tête d'HP Software France. Anciennement directeur général de Mercury France (racheté en juillet 2006 par HP), ce dernier avait notamment participé au développement de solutions permettant d'optimiser le capital applicatif existant dans les grandes entreprises. Sa mission consistera désormais à développer des solutions de BTO (optimisation des technologies et des services informatiques) pour le compte d'HP. Christophe Bouchardeau a débuté sa carrière chez ADP GSI (un éditeur de solutions de gestion des ressources humaines), avant de rejoindre Apple Computer. Il a également occupé diverses fonctions au sein de Sybase (dont la direction commerciale), et il est le co-fondateur de TempoSoft, un éditeur français spécialisé dans les logiciels de workforce management. (...)

(27/06/2007 17:09:30)

Les succès à tiroir de Windows Vista

Alors que Microsoft ouvre des sites dédiés à la promotion de la dernière version de Windows, la question la plus fréquemment posée sur le site des partenaires britanniques de Microsoft est de savoir si l'on peut "downgrader" de Vista à XP. Là est tout le paradoxe. Si Vista a été livré en meilleur état que XP, l'OS souffre d'autres handicaps. Les drivers ne sont pas tous là et l'OS réclame beaucoup plus de ressources que son prédécesseur. Au point d'exiger souvent une machine haut de gamme. De plus, Vista entraîne des changements tous azimuts. Dans ce contexte, Microsoft s'essaye à accélérer la cadence. Autrement dit à lutter contre la passivité ambiante. Beaucoup d'efforts sont consacrés à dénigrer l'excuse d'attendre la SP1 de Vista pour migrer. Les habitudes (bonnes ou mauvaises, c'est selon) prises avec XP sont difficiles à oublier. Malgré le retour en arrière de constructeurs comme Dell qui re-commercialisent XP auprès des PME sur un pied d'égalité avec Vista, Microsoft n'a pas rallongé au-delà de la fin 2007 la vie commerciale de XP. Pourtant, la question de savoir si disposer d'une licence Vista permet d'installer XP est la question la plus posée auprès des partenaires Microsoft en Grande-Bretagne. (...)

(27/06/2007 16:52:29)

Le HPC met l'industrie high-tech en émoi

Une nouvelle source de revenus privilégiés se profile à l'horizon pour l'industrie informatique. En effet, IDC indique que le segment des serveurs HPC (High-performing Computing ou calcul haute performance) connaît une croissance de près de 20% par an. Selon Earl Joseph, chef du département HPC chez IDC, ce marché devrait générer md$ de revenus en 2007 et croître de 19,2%. Cette croissance s'expliquerait selon lui par un coût de revient plus faible par rapport aux super-calculateurs, alors que dans le même temps les performances de ces serveurs dédié se sont accrues. Si les utilisateurs s'y intéressent, notamment pour traiter les données de leurs outils décisionnels, les fabricants semblent eux aussi avoir un regain d'intérêt pour ces techniques. Ainsi, SGI fait un retour remarqué sur ce marché avec le lancement de serveurs lames dédiés. Son offre, le SGI Altix ICE 8200, peut contenir jusqu'à 128 processeurs quadricoeurs dans un même rack pour délivrer, selon la société, une puissance de calcul de 6 teraflops. Ce système est livré avec SuSE Linux Entreprise Server 10 et des outils maison pour faciliter le calcul haute-performance sous Linux. Le tout pour un prix de départ d'environ 350 000 dollars. Pour HP et Microsoft, qui ont déjà tous deux une offre sur ce secteur, l'intérêt est plutôt de séduire de nouveaux clients. Pour cela, les deux sociétés ont décidé de promouvoir dans un même package, les serveurs HPC d'HP et le Windows Computing Cluster Server (CCS) 2003. Ils ont même convaincu l'éditeur Ansys de porter ses logiciels d'aide à la conception Ansys 11 et Flunet 6.3 sur cette plateforme. Enfin, Intel a lancé deux technologies pour aider à la mise en place d'une grappe de calcul. La première, Intel Cluster Ready, fournit des spécifications de compatibilité en logiciels et matériels pour pouvoir rapidement assembler une grappe en fonction des besoins et répliquer à l'identique une autre grappe existante. La deuxième, Intel Connects Cable, vise à remplacer les câbles de cuivre dans les ports d'entrée/sortie par des matériaux plus légers et plus courts, pour permettre des échanges de données plus rapides d'un serveur à l'autre. (...)

(27/06/2007 16:28:11)

Premières arrestations massives pour phishing en France

Une cinquantaine de personnes ont été interpellées hier mardi 26 juin pour avoir usurper l'identité d'internautes à des fins d'escroquerie bancaire (phishing), selon le site Internet de l'Express. Le préjudice a été évalué à plusieurs centaines de milliers d'euros indique lexpress.fr, citant l'OCLTIC (l'Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication), qui a mené les arrestations. Comme une classique opération de phishing - mais sans précédent en France -, le modus operandi de l'escroquerie reposait sur l'obtention des données bancaires des internautes en se camouflant derrière des mails usurpant l'identité de banques ou d'organismes postaux. Les opérations ont été menées simultanément dans plusieurs régions de France et des Dom-Tom et ont mobilisé quelque 150 policiers. Selon de sources policières, il s'agirait d'un vaste réseaux international, « ayant des ramifications dans les pays de l'Est ». Les 50 personnes arrêtées sont actuellement en garde à vue. (...)

(27/06/2007 16:05:48)

Formation professionnelle : divergences inquiétantes entre salariés et hiérarchie

L'enquête sur la réforme de la formation professionnelle menée par la Cegos auprès des salariés et des DRH, 3 ans après la promulgation de la loi du 4 mai 2004, fait état de perceptions différentes de la part des salariés et de leur hiérarchie. Premier enseignement : une bonne appropriation des dispositifs permettant d'appliquer la réforme par les DRH. D'ailleurs, ils y voient le moyen de mieux anticiper les évolutions, de développer les compétences opérationnelles, ainsi que l'employabilité et l'adaptation des salariés. De plus, période et contrats de professionnalisation font souvent l'objet d'une négociation d'entreprise et sont mis en oeuvre dans plus d'une entreprise sur deux. En outre, 71% des entreprises déclarent que leur pratique a changé en matière de recours aux fonds mutualisés. Enfin, grâce à la réforme, la formation est entrée dans le champ de la négociation : 27% des entreprises ont signé un accord et 11% prévoient de le faire, même si une grande disparité interbranche perdure. Des salariés avant tout à la recherche d'une stratégie individuelle : le DIF au coeur du débat Second enseignement : 54% des salariés déclarent rechercher des formations qualifiantes ou diplômantes. Les premières raisons invoquées pour se former sont la progression professionnelle, l'employabilité et la professionnalisation. Comme en 2006, 76% d'entre eux se déclarent prêts à se former hors temps de travail et 53% des répondants considèrent que la réforme leur permet d'être plus concernés qu'avant pour ce qui a trait à leur développement professionnel, 82% estimant que le DIF est une opportunité « très » ou « assez » intéressante. En ravanche, la confiance des DRH dans la réforme et le DIF comme un moyen de « favoriser le développement des compétences tout au long de la vie » diminue depuis 2003 (de 81% à 69%), alors que dans le même temps celle des salariés augmente (de 81% à 89%). Et finalement, l'enquête monte la défiance des salariés vis-à-vis de leur hiérarchie, alors que le droit du travail les a dotés d'un outil intéressant : seuls 41% d'entre eux pensent que l'entreprise va prendre en compte leurs besoins et souhaits de formation et indiquent qu'ils ne se sentent ni suffisamment informés, ni accompagnés par leur manager dans la construction de leur parcours professionnel ou la formulation de leur demande de DIF. [[page]] Cette situation est analysée par Hubert Barkate, président d'Adhara, qui connaît bien le problème puisqu'il propose des formations « spéciales DIF » dans son catalogue et milite pour que ce droit soit reconnu comme bénéfique, à la fois pour les entreprises et les salariés. « Même si certaines entreprises ont pris les devants et bien mesuré les enjeux du DIF, grand nombre de PME et plus encore de TPE ne disposent d'aucun service spécifique à la formation et ne sont donc pas encore armées pour faire face au DIF », indique-t-il. Un risque financier « apocalyptique » pour l'entreprise qui oublierait la mise en oeuvre du DIF Et de développer le triple risque auquel s'exposent les entreprises qui ne prennent pas en compte le DIF : « Tout d'abord, il y a un risque social en cas de non information des salariés. Ils sont en droit de se demander pourquoi dans le cadre même de leur entreprise ils n'ont pas été informés. Ensuite, un risque de désorganisation opérationnelle plane sur l'entreprise. Nous n'imaginons peut-être pas ce que 20 heures cumulables sur 6 ans peuvent représenter si elles ne sont pas « consommées ». Une PME de 14 salariés qui n'aurait pas incité la mise en place d'actions de formation dans le cadre du DIF aura, au bout de cette période, une « dette » en heures de formation représentant une année de travail d'un salarié ! Ce scénario « apocalyptique » viendrait cannibaliser tous les effets bénéfiques escomptés pour l'entreprise et pour le salarié. Enfin, il existe un risque financier car le budget formation pour l'entreprise risque d'exploser. Non seulement le volume d'heures de formation augmente puisque le DIF s'ajoute aux formations du plan, mais si trop de salariés cumulent leurs droits, les dépenses peuvent être très importantes à terme. La même PME de 14 salariés qui n'aurait formé aucun de ses salariés dans le cadre du DIF aurait, au bout de 6 ans, à financer 1 680 heures de formation ! » L'alerte d'Hubert Barkate n'est pas un fantasme. L'enquête de la Cegos révèle en effet qu'une majorité de salariés a une stratégie de capitalisation : 70% ont l'intention de cumuler leur droit annuel sur plusieurs années, et 30% de le prendre au fur et à mesure. Aux entreprises de montrer la voie pour tenter d'inverser la tendance afin d'éviter le bouillon financier annoncé ! (...)

(27/06/2007 13:07:25)

Sun ajoute le cluster à OpenSolaris

Sun commence à donner le code des configurations cluster de Solaris à la communauté OpenSolaris. Il faudra 18 mois avant que l'intégralité des 2 millions de lignes de code soit proposée en CDDL (Common Development and Distribution Licence), la licence libre version Sun. Dans un premier temps, Sun fournira les modules nécessaires pour faire passer des applicatifs en haute disponibilité. Sont prévus ceux pour les containers en environnement virtualisé, pour WebLogic de BEA et pour le SGBD PostgreSQL. En revanche, Sun déclare avoir des inquiétudes légales pour les modules concernant des produits comme Oracle ou IBM WebSphere. Ils ne seront donc pas proposés en Open Source. La deuxième vague de donation, promise pour décembre, portera sur Solaris Cluster Geographic Edition qui gère les configurations multisites. Le coeur de la technologie cluster de Solaris fera partie de la dernière vague, dans 18 mois. (...)

(27/06/2007 12:57:51)

Apecnext : la V2 se décline autour de l'ultra-personnalisation et l'interactivité

La deuxième version d'Apecnext, plateforme de gestion de carrières, devrait être lancée par l'Apec. Outre un renforcement du lien homme machine, elle abolit, d'une manière originale, les barrières classiques qui s'érigent devant le candidat qui s'intéresse à la gestion de sa carrière. Lancé en 2006 sur le site de l'Apec, Apecnext est un programme personnalisé par le candidat qui peut s'inscrire (gratuitement) à ce service. Tous les cadres (mobiles ou non) sont susceptibles d'en être les utilisateurs : ceux à la recherche d'un premier ou d'un nouvel emploi, ceux en veille sur le marché du travail ou encore ceux en réflexion sur leur avenir professionnel et qui se demandent s'ils ne vont pas évoluer dans un autre secteur. En renseignant quelques éléments comme le profil, le secteur d'activité et l'expérience, le candidats inscrit recevait jusqu'alors, tous les 15 jours, une newsletter personnalisée : par exemple l'emploi dans le secteur concerné avec courbes et évolutions du marché, un zoom sur les métiers en devenir ou les domaines en développement, les entreprises qui recrutent, un agenda avec les salons ou les chats à venir, des interviews de spécialistes... Le tutoriel : apprendre à argumenter, à décoder une annonce et se poser les bonnes questions pour évoluer « Lorsque nous avons lancé Apecnext l'an dernier, nous savions déjà qu'il y aurait une évolution du service qui se décline avec trois nouveautés », indique Olivier Guilhaume, directeur du marketing au sein de l'Apec. « Nous sommes présents sur tous les métiers et nos spécialistes ont été consultés pour rendre l'outil vraiment efficace. » Le service est toujours gratuit pour les candidats-internautes inscrits qui veulent évoluer dans leur carrière. Les trois nouveautés que commencent à recevoir les personnes inscrites à Apecnext sont les dossiers, les tutoriels et les autodiagnostics. Les dossiers se présentent sous forme de thèmes complets, avec une mise scène graphique. Les tutoriels permettent par exemple l'apprentissage de l'argumentation pour convaincre, toujours dans son secteur d'activité. C'est une véritable formation à distance qui repose sur l'idée que le candidat doit se mettre à la place du recruteur et évaluer un profil qui lui est proposé. « Cette méthode est éprouvée dans les ateliers de l'Apec. Mais le candidat qui préfère s'exercer chez lui peut bénéficier de notre expertise, » poursuit Olivier Guilhaume. Les tutoriels sont également conçus pour décoder les annonces, penser à la gestion de carrière. L'autodiagnostic, pour réaliser soi-même son bilan de compétences L'autre grande nouveauté est « l'autodiagnostic » qui offre la possibilité via des tests, des quizz, de questions extrêmement précises, de partir sur une démarche de mobilité et donc, de pouvoir à tout moment établir son bilan de compétence. Les résultats apparaissent sous forme de graphiques, de courbes, de textes courts. A partir de cette analyse, l'outil propose des pistes pour travailler tel ou tel aspect de sa personnalité, énonce les lacunes détectées et propose des pistes pour y remédier. Le résultat est impressionnant car cette méthode passe au crible tous les aspects « métier » du candidat. Pour l'heure et jusqu'en septembre, les candidats inscrits à l'Apecnext vont pouvoir bénéficier de ces trois outils supplémentaires. Six fois dans l'année, ils auront l'occasion de travailler sur d'autres dossiers, de découvrir de nouveaux tutoriels et des aspects complémentaires à leur auto-diagnostic personnalisé. Les cabinets de replacements et de bilans de compétences vont se trouver face à une concurrence réelle. Quant aux nouveaux inscrits, ils pourront bénéficier de ces services dès la rentrée mais dès leur inscription, ils pourront apprivoiser Apecnext via les newsletters et autres kits de personnalisation. Enfin Olivier Guilhaume livre qu'en 2008, une V3 d'Apecnext devrait voir le jour et poursuivre la logique de l'évolution : les utilisateurs d'Apecnext pourront commenter par téléphone leurs résultats avec un consultant spécialisé et trouver les meilleures solutions pour faire évoluer leur carrière. (...)

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