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(31/03/2006 17:37:48)
Ilog tend la main aux utilisateurs métiers avec Jrules 6.0
Ilog a annoncé la semaine passée le lancement d'ILOG JRulesTM 6.0, la dernière version de son Système de Gestion de Règles Métier. Selon l'éditeur, JRules 6.0 permet la gestion complète des règles métier sur tout leur cycle de vie, et fournit un environnement de création de règles distinct et facile d'utilisation pour les utilisateurs métier. Le produit permet aussi la synchronisation des règles à la demande entre utilisateurs métier et équipes informatiques, apporte des améliorations de performances ainsi qu'une cinquantaine d'autres nouvelles fonctionnalités. Comme nombre d'éditeurs d'outils techniques, l'une des volonté d'Ilog avec Jrules 6.0 est d'ouvrir l'accès du produit aux utilisateurs métiers, une tendance déjà observé sur le marché des outils de développements avec les outils de modélisation de processus. Le module RuleCare dote les utilisateurs métier de leur propre interface web et d'un environnement de création et de modification de règles distinct, bien que synchronisé avec la fonction informatique (qui dispose quant à elle du module RuleTech). Rulecare incorpore notammen tdes assistants et des modèles pour faciliter le travail des utilisateurs métier.Il propose également des outils de test et de simulation pour évaluer la pertinence opérationnelle d'une modification de politique avant son déploiement, des outils pour créer et stocker des scénarios métier réutilisables et les exécuter avec des règles métier données, permettant de tester des scénarios dans un mode de simulation « si-alors ». Jrules 6.0 est disponible immédiatement auprès de l'éditeur. (...)
(31/03/2006 17:37:10)Technologie : l'évaluation des compétences informatiques en question
Comment mesurer les connaissances d'un ingénieur en matière de systèmes d'information ? Les formations sont-elles adaptées aux besoins professionnels ? Le 10 avril, les informaticiens et les acteurs de l'industrie informatique sont invités au ministère de la recherche pour participer à une conférence-débat qui abordera ces questions. Cette manifestation est organisée par l'association TopDev, en partenariat entre autre avec le Cigref (club informatique des grandes entreprises françaises), le Syntec informatique et la Commission des titres de l'ingénieur, autour du lancement prochain (en janvier 2007) d'un futur système d'évaluation des compétences informatiques,IS Able. Cet outil mis au point par TopDev a pour ambition de servir de « Toefl » de l'informatique, du nom du célèbre examen d'anglais qui sert à estimer son niveau de langue. Son objet serait de pouvoir mesurer la capacité d'un ingénieur à appréhender les problématiques relatives aux systèmes d'information. Il servirait par exemple à s'assurer qu'un responsable métier possède les connaissances nécessaires pour assurer la maîtrise d'ouvrage d'un projet de systèmes d'information et de choisir une SSII pour le réaliser. Plus généralement, certaines entreprises y verraient le moyen d'accroître globalement le niveau de leurs collaborateurs et de simuler leur créativité, selon Chrystel Coassin, président de TopDev. IS Able pourrait aussi servir à mesurer les compétences des jeunes ingénieurs à l'issue de leur formation, et indirectement à évaluer les cursus proposés. Ces questions seront débattues lors de la conférence, ainsi que les axes d'évaluation sur lesquels devrait porter ce futur questionnaire. Une intervention sur l'histoire du développement informatique est également prévue, ainsi qu'un bilan chiffré sur les métiers et les compétences attendues du secteur. (...)
(31/03/2006 17:36:47)Technologie : Azlan accroît sa couverture et son offre avec Global Knowledge
Les informaticiens de Bourgogne et de l'Est de la France pourront bientôt profiter de l'offre d'Azlan Formation - aujourd'hui Global Knowledge suite à son rachat par ce groupe américain le 10 mars dernier. Le groupe de formation spécialisé dans les réseaux devrait habiliter deux nouveaux centres d'enseignement informatique à délivrer ses cursus certifiants sur Cisco, Citrix, IBM Software, Linux, Microsoft et Novell à Dijon puis à Strasbourg ou à Nancy (le choix final n'est pas encore arrêté enter ces deux villes) d'ici à quelques semaines. Cette démarche lui permettra de compléter sa couverture du territoire national aujourd'hui réalisée via sept centres ( un à paris, six en province). Azlan va parallèlement étoffer l'offre de ses relais régionaux grâce au catalogue de Global Knowledge. Il compte y décliner les cursus de formation dits « génériques » conçus par l'américain pour accompagner les cours purement liés à l'utilisation d'une technologie. Celui-ci a en effet monté près de 360 cursus de ce type qui complète la soixantaine mis au point par Azlan notamment en introduction aux technologies. Désormais, « nos établissements vont faire profiter à leurs clients des cours de méthodes et de gestion de projet de Global Knowledge, ainsi que ses enseignements sur les fondamentaux des réseaux, les bases de données et le développement » explique Chadli Tabib, Directeur Général de Azlan Training. (...)
(31/03/2006 17:39:20)BEA travaille à modulariser les services de WebLogic
BEA vient d'indiquer avoir entamé des travaux visant à modulariser les services de son serveur d'applications WebLogic dans le but de leur permettre de fonctionnement de manière indépendante avec les frameworks Open Source. Connue sous le nom de « Backplane », la technologie de modularisation retenue par BEA doit permettre à certaines fonctions de WebLogic, comme les services Web, le support de JMS et de JDBC, de devenir indépendantes de WebLogic. Backplane en serait actuellement au simple stade de concept et il n'est pas encore certain que l'éditeur puisse l'appliquer à la prochaine version de son serveur d'applications, la version 10. Il y a peu, BEA a déjà manifesté ses ambitions d'ouverture en présentant WebLogic Console pour Tomcat, un module d'administration pour WebLogic supportant le conteneur de servlets Java open source Tomcat d'Apache. (...)
(31/03/2006 17:33:24)Forrester: .Net dépasse J2EE, mais Java reste le langage de développement le plus populaire
La dernière étude sur les plates-formes et langages de Forrester confirme la domination de .NET et J2EE, sur le marché, mais aussi leur inaptitude à éliminer leurs concurrents, notamment les technologies de scripting comme PHP et Perl, mais aussi la pile de technologies LAMP (Linux Apache MySQL PHP, ainsi qu'une foule de technologies verticales. Selon Forrester, une des surprise de l'étude est la partition croissante du marché entre utilisateurs .Net et J2EE. Ainsi seules 17% des entreprises interrogées lors de l'étude (869 répondants interrogés en Novembre 2005 aux Etats-Unis et en Europe) utilisent simultanément .Net et J2EE. Si .Net domine J2EE en popularité (44% contre 35 %), Java reste le langage de développement le plus populaire dans les entreprises (39% des interrogés l'utilisent) devant Visual Basic.Net (37%), Visual basic (19%), C# (19%) et Cobol (16%). Il est à noter que selon Forrester les entreprises qui ont choisi J2EE restent largement ouvertes à d'autres langages de développement que Java, ce qui n'est pas forcément le cas des sociétés ayant adopté .Net qui restent très liées aux langages Microsoft et notamment Visual basic. (...)
(31/03/2006 17:40:09)Sécurité : Alcatel se rallie au NAP de Microsoft
Alcatel vient de se rallier à la technologie NAP( Network Access Protection) de Microsoft et a annoncé son intention d'adapter ses équipements à la technologie censé faire son apparition avec Windows Vista. NAP est la technologie développée par Microsoft pour permettre aux administrateurs de restreindre l'accès d'une machine au réseau si certains de ses composants logiciels essentiels (antivirus, pare-feu...) ne sont pas à jour, ou si certains correctifs critiques n'ont pas été appliqués. NAP est l'alternative de Microsoft au NAC (Network Admission Control) de Cisco (NAC), même si les deux sociéts se sont engagées à rendre interopérables leurs technologies. (...)
(31/03/2006 17:30:59)Antitrust : le gouvernement américain s'invite à Bruxelles
Les représentants américains ont rendu visite aux collaborateurs de Neelie Kroes, la commissaire à la concurrence. Ils auraient également rencontré le vice-président de la Commission et commissaire aux entreprises et à l'industrie Gunter Verheugen, et Charlie McCreevy, chargé du marché intérieur et des services. Les mandataires américains leur ont remis un document, qui a également été distribué aux ambassades européennes, dans lequel Washington se dit préoccupé par la façon dont Microsoft est traité. L'éditeur s'est en effet fréquemment plaint, au cours des derniers mois, que la Commission lui refusait le droit de se défendre loyalement. Il a, par ailleurs, accusé l'exécutif communautaire d'avoir noué des "contacts secrets" avec ses principaux concurrents tout en niant son droit d'accès à des documents présentés comme essentiels pour la défense. Des concurrents qui devaient d'ailleurs être auditionnés ce 31 mars. Il serait ainsi question qu'Oracle, IBM, Novell ou encore Red Hat viennent expliquer en quoi la documentation technique publiée par le mis en cause ne suffit pas pour assurer l'interopérabilité de leurs produits avec ceux de Microsoft. S'ils indiquent être présents à Bruxelles simplement pour "prendre garde que tout se déroule normalement", le mémo remis par les représentants du gouvernement des Etats-Unis précise : "nous prenons garde de ne pas prendre position sur la véracité des accusations portées par Microsoft, mais si elles étaient avérées cela engendrerait de sérieuses préoccupations". Selon Jonathan Todd, le porte-parole de Neelie Kroes, ce n'est pas la première fois que le gouvernement américain intervient dans l'action antitrust intentée contre Microsoft : "la décision de mars 2004 (NDLR : qui établissait l'amende de 497 M$) a été précédée d'une activité politique frénétique". (...)
(31/03/2006 17:40:40)Jboss n'est pas à vendre dans l'immédiat, selon Marc Fleury
Dans un entretien donné à notre confrère eweek, Marc Fleury, PDG de Jboss, a déclaré qu'il n'avait pas l'intention de vendre sa société. Du moins à court terme. Il a y deux mois, les rumeurs d'un rachat de Jboss par Oracle avaient enflammé le marché. Mais s'étaient éteintes aussi rapidement, sans réaction de la part de Jboss. Dans cet entretien, Marc Fleury a indiqué qu'il ne commenterait pas ces rumeurs. Mais livre toutefois quelques indications sur la situation actuelle de l'éditeur. Ainsi, Il n'exclut pas avoir besoin d'un appui financier. « Nous sommes une petite entité dans la cour des grands, et le jeu est bien d'ordre financier », il confie à Eweek. Et d'ajouter que, « pour mener à bien sa mission, Jboss pourrait avoir besoin de capitaux ». Tout en restant très flou quant aux sources éventuelles de ses capitaux -peut-être « d'une société plus importante »-, il rejète en bloc tout rapprochement vers BEA ou IBM. Mais toujours sans mentionner Oracle. Joint par la rédaction, Marc Fleury s'est refusé à tout commentaire. (...)
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