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(10/08/2011 09:28:32)
Semestriels Archos : Le constructeur renoue avec les bénéfices
Avec 71,7 millions d'euros (ME) pour son 1er semestre, Archos a multiplié son chiffe d'affaires (CA) de 135%. L'explosion du marché des tablettes explique ce bond spectaculaire. Plus intéressant, Archos a retrouvé le chemin des bénéfices avec un résultat opérationnel courant de 5 ME (contre -1,8 au 1er semestre 2010), et un résultat net de 1,7 ME contre -3,2. La marge brute du groupe Archos ressort à 16,8 M€ soit un taux de marge de 23,4 % contre 22,9 % sur le premier semestre 2010.
La 3G en option à partir de septembre
Par région, Archos explose littéralement en Asie grâce à une activité en marque blanche initiée depuis Hong Kong. Le groupe recherche des distributeurs en Inde, il a commencé à vendre au Brésil et indique avoir « renforcé son réseau en Chine engageant des relations avec les groupes Hisap et Digital China, deux distributeurs locaux majeurs ». En Europe il a signé avec des filiales de CarPhone Warehouse et avec SFR en France.
Côté innovations, la société s'apprête à commercialiser, à partir de fin septembre, une nouvelle génération de produits, la Génération 9 (connectivité 3G en option grâce à une clé qui s'insère dans les tablettes G9 et par des versions à mémoire flash ou à disque dur de 250 Go). Une nouvelle gamme d'accessoires sera mise sur le marché au 3ème trimestre pour les utilisateurs de produits Android. Par ailleurs, la société entend développer son activité dans le « B to B » avec des distributeurs spécialisés.
(...)
Une start-up met au point un disque optique inusable
La start-up Millenniata et LG prévoient de commercialiser prochainement un disque optique et un graveur compatible (lecture/écriture) destiné à stocker films, photos et autres données pour toujours. Ces informations seront lisibles avec tout type de lecteur DVD ou Blu-ray actuels. Le support, nommé M-Disc, pourrait, selon Millenniata, être successivement plongé « dans de l'azote liquide et de l'eau bouillante » sans subir la moindre altération. Il bénéficie d'ores et déjà de l'aval du département de la Défense américain (DoD) qui a testé sa résilience et l'a comparé aux principaux disques optiques concurrents.
Le PDG de Millenniata, Scott Shumway, n'a pas voulu révéler le matériau utilisé pour fabriquer ces nouveaux disques, indiquant simplement que le support était constitué d'une substance « naturelle », avec des qualités « proches de la pierre ». Selon lui, c'est cette substance qui permet au M-Disc de ne pas subir de dégradation au fil du temps. Comme les DVD et les disques Blu-ray, les plateaux du M-Disc sont constitués de plusieurs couches. Mais, à la différence des anciens supports, il n'y a pas de couche réfléchissante, ni de dye, la couche magnétique liquide. Au cours du processus d'enregistrement, le laser « imprime » des creux dans le substrat naturel. « Une fois que cette empreinte est réalisée, elle est définitive », a déclaré le PDG de Millenniata. « Le M-Disc peut être lu sur n'importe quelle machine capable de lire un DVD et il est rétro-compatible. C'est à dire qu'il ne faut pas de lecteur particulier pour le lire. Il faut juste une machine spéciale pour la gravure », a t-il précisé.
Au-delà du partenariat avec LG
Ainsi que l'a indiqué Scott Shumway, même si Millenniata a conclu un partenariat avec LG pour le lancement d'un premier lecteur M-Disc début octobre, tout fabricant de lecteur de DVD sera en mesure de produire des machines M-Disc par simple mise à niveau du firmware de leur produit. Millenniata dit qu'elle pourra également produire des disques Blu-ray à partir de cette technologie. Pour l'instant, son support peut stocker la même quantité de données qu'un DVD, soit 4.7Go. Cependant, l'écriture se fait seulement en 4x ou 5.28MB/sec, soit la moitié de la vitesse des lecteurs DVD actuels. « C'est sûr que, si nous pouvons passer aux 8X, ce serait mieux. Mais le 4x nous convient pour l'instant », a déclaré Scott Shumway, ajoutant que ses ingénieurs travaillaient à augmenter les vitesses d'enregistrement.
A long terme, Millenniata vise aussi le marché de l'archivage de données, affirmant que entreprises spécialisées dans ce domaine n'auront plus à se soucier de la température ou de l'humidité dans les espaces de stockage. « Tous les supports actuels sont sujets à la dégradation. Jusqu'à présent, la seule technologie permanente pour stocker des informations, c'est le papier et le crayon ! », a encore déclaré le PDG de Millenniata.
Testé par un département de la Défense américaine
En 2009, un département de la Défense, le Naval Air Warfare Weapon de China Lake, en Californie, a voulu numériser de l'information pour la conserver de façon permanente. Il a alors testé le M-Disc de Millenniata, en même temps que les disques optiques de cinq autres vendeurs, à savoir Delkin Devices, Mitsubishi, JVC, Verbatim et MAM-A. « Aucun média de Millenniata n'a subi de dégradation de ses données ». Au contraire, tous les supports des autres marques ont montré de fortes augmentations des erreurs en lecture de données après une période de mise à l'épreuve. « Beaucoup de disques étaient tellement endommagés qu'ils ne pouvaient plus être reconnus comme DVD par l'analyseur de disque », indique un rapport du Ministère de la Défense.[[page]]
Les supports optiques enregistrables comme les CD, les DVD et les disques Blu-ray, sont constitués de couches de polycarbonate collées ensemble. Chaque couche contient un matériau réfléchissant avec, par dessus, une couche intégrant un substrat organique transparent, le dye. Pendant l'enregistrement, le laser atteint la couche de dye et la brûle. Le colorant transparent devient opaque pour chaque bit de donnée gravé. Un laser de faible puissance peut alors lire ces bits, en traversant la couche transparente jusqu'à la couche réfléchissante ou par un mode d'absorption au niveau de chaque « pit ». Avec le temps, les DVD subissent un délaminage, les couches de polycarbonate sont séparées, avec pour conséquence une oxydation et des problèmes de lecture des données. La couche de colorant, organique, peut également se fissurer au fil du temps. Des températures élevées et l'humidité accélèrent ce processus.
Des lecteurs M-Ready
Même si l'industrie du DVD affirme que ses produits peuvent durer de 50 à 100 ans, selon le National Institute of Standards and Technology (NIST), les DVD peuvent s'endommager après « plusieurs années » dans des environnements ordinaires. Le NIST recommande que les DVD soient stockés dans des lieux où l'humidité moyenne se situe entre 20% et 50%, et où la température ne descend pas en dessous de 20 degrés Celsius. Gene Ruth, directeur de recherche chez Gartner, dit ne pas avoir entendu parler de problèmes de longévité avec le DVD. Et, s'il admet qu'un DVD laissé sur le tableau de bord d'une voiture peut se dégrader, le support atteste en général d'un assez bon bilan. Néanmoins, le chercheur pense qu'il existe un marché dans le domaine de l'archivage à long terme pour un produit comme le M-Disc, notamment dans certaines industries comme l'aéronautique, la santé et les services financiers, qui ont besoin de conserver des données à vie, voire au-delà.
Millenniata et LG se sont entendus pour mettre la technologie M-Ready dans la plupart de leurs lecteurs DVD et Blu-ray. Selon Scott Shumway, la livraison des premiers produits commencera le mois prochain et ils devraient arriver chez les revendeurs début octobre. « Nous avons estimé qu'il était important de commencer à produire ce disque avec un constructeur important, qui disposait déjà de ses propres produits et d'un firmware », a déclaré le PDG de Millenniata. Contrairement aux DVD, proposés en packs de 10, 25, 50 ou 100, les M-Disc seront disponibles à l'unité, ou par deux ou trois, pour un prix inférieur à 3 dollars le disque.
La start-up courtise aussi les fabricants de systèmes dans le monde de l'archivage d'entreprise. « Nous travaillons avec de gros réseaux de distribution pour lancer le produit », a confié Scott Shumway. « Mais en même temps, nous lançons le M-Disc dans le réseau grand public de Fry Electronics, de façon à ce que les utilisateurs puissent voir le M-Disc et se mettre à cette technologie. »
Supercalculateur pétaflopique Blue Waters : IBM et le NCSA arrêtent le projet
Du fait de problèmes complexes imprévus et d'un coût trop élevé, IBM et le National Center for Supercomputing Applications (NCSA) de l'Université de l'Illinois ont décidé, d'un commun accord, d'abandonner leur projet de construire un supercalculateur pétaflopique pour les États-Unis.
C'est en 2008 qu'IBM avait démarré un contrat nommé « Blue Waters » pour développer un supercalculateur sur quatre ans. Ce projet de 208 millions de dollars est arrivé à son terme le 6 août dernier. IBM devait livrer la première version du système autour de l'année prochaine. Mais la technologie innovante finalement développée par le constructeur était beaucoup plus complexe que prévue et nécessitait un soutien financier et technique très conséquent, au-delà de ce que Big Blue avait initialement prévu, ont expliqué les deux partenaires dans une déclaration commune. « Le NCSA et IBM ont cherché ensemble plusieurs solutions pour maintenir la participation d'IBM dans le projet, mais n'ont pas réussi à trouver un terrain d'entente, satisfaisant pour chacun, sur la voie à suivre. »
IBM rend les sommes reçues et NCSA le matériel
La firme dirigée par Sam Palmisano va restituer l'argent reçu à ce jour pour le projet et le NCSA va rendre le matériel à IBM. Mais les deux parties ont promis de travailler ensemble sur de futurs projets pétaflopiques. « C'est rare d'entendre dire que les montants allouée pour un projet sont restitués, surtout dans le cas de contrats gouvernementaux », a déclaré Rick Doherty, directeur de Envisioneering Group, une société de recherche en marketing et d'évaluation dans le domaine des technologies.
Financé par la National Science Foundation et l'Université de l'Illinois, le projet Blue Waters avait pour but de construire super-ordinateur sur la base d'un processeur Power7 capable de réaliser 10 puissance 15 (un million de milliards) d'opérations à virgule flottante par seconde, soit un petaflop. S'il avait été achevé, il se serait placé dans les premiers au classement semestriel Top 500 des supercalculateurs les plus puissants au monde. Le NCSA pensait offrir aux chercheurs la possibilité d'utiliser son supercalculateur pour effectuer des simulations complexes, des modélisations ou encore pour mener des travaux très gourmands en calcul pour la physique, les sciences des matériaux, la météorologie, la biologie et d'autres domaines encore.
Un abandon qui n'est pas si surprenant
Pour certains, l'abandon du contrat n'est pas tout à fait surprenant. « IBM a engagé beaucoup de ressources dans le projet », a affirmé Rick Doherty. Big Blue, qui a fourni des logiciels, du matériel et du personnel pour mener à bien le projet, escomptait récupérer une partie de son investissement en vendant des technologies qu'elle développait pour le programme. Finalement, sa stratégie s'est avérée trop onéreuse. « Ce n'était pas un choix rentable pour IBM », a estimé le directeur d'Envisioneering Group.
L'autre défi auquel IBM et le NCSA ont peut-être également été confronté, c'est de devoir faire face à un paysage technologique en permanente évolution. « Le domaine pétaflopique et les 'big data' aujourd'hui, c'est un peu l'équivalent de la recherche sur les voyages spatiaux il y a 40 ans, inconnu et sauvage », a expliqué Rick Doherty. Au cours des quatre dernières années, « les performances techniques ont explosé », jusqu'à parvenir à faire passer la puissance de calcul à l'échelle du pétaoctet, « avec l'utilisation de GPU (processeurs graphiques) à faible énergie », a ajouté Rick Doherty. « Le programme Blue Waters nécessitait sans doute d'être redéfini pour mettre à profit ces nouvelles évolutions ». Mais ces adaptations ont fait « grimper le coût de réalisation au-delà de ce que IBM pouvait supporter », estime-t-il. IBM n'a pas souhaité s'exprimer à ce sujet en dehors du cadre de la déclaration faite conjointement avec le NCSA.
Illustration : projet Blue Waters (crédit : NCSA)
Les services clouds d'Amazon et Microsoft touchés par la foudre à Dublin
La foudre a provoqué une panne d'électricité dans des datacenters appartenant à Amazon et Microsoft, dimanche à Dublin (Irlande) provoquant des interruptions dans les services cloud proposés par ces deux fournisseurs. La foudre a frappé un transformateur, déclenchant une explosion et un feu qui a provoqué la panne, selon les explications communiquées par Amazon à 10 :41 AM PDT (Pacific Daylight Time) dans son tableau de bord renseignant sur l'état de son service (http://status.aws.amazon.com/). En situation normale, les générateurs de secours se seraient mis en route sans que l'on s'en aperçoive, mais l'explosion a également endommagé certains de ces dispositifs.
A 1:56 PM PDT, le courant avait été rétabli sur la plupart des équipements du réseau, ce qui a permis à Amazon de se concentrer sur la remise en service des instances de son cloud EC2 (Elastic Compute Cloud) et des volumes de son service de stockage EBS (Elastic Block Storage). Mais le fournisseur a reconnu deux heures plus tard qu'il ne l'avait pas fait aussi vite que prévu. « En raison de l'importance de la panne de courant, un grand nombre de serveurs EBS ont nécessité des interventions manuelles avant que les volumes puissent être restaurés... ». Même si un grand nombre de ces volumes devaient être restaurés au cours des heures suivantes, le fournisseur s'attendait à ce que l'ensemble du processus prenne 24 à 48 heures. Pour l'accélérer, Amazon a commencé à ajouter davantage de capacités EBS.
Du côté de Microsoft, ce sont les clients européens de la suite de productivité BPOS qui ont été affectés par la panne d'électricité. Mais les services ont été rétablis pour tous les utilisateurs à 5:45 PM PDT, a précisé par e-mail un porte-parole de la société à nos confrères d'IDG News Service.
Les convaincus du cloud public ne s'inquiètent pas
La société néerlandaise Layar, dont la plateforme de réalité augmentée tourne sur le cloud d'Amazon depuis 18 mois, compte parmi les clients touchés par l'interruption. « J'ai suivi sans interruption #AWS sur Twitter et consulté nos tableaux de bord AWS. C'était frustrant. Il n'y avait rien d'autre à faire qu'attendre, a confié Dirk Groten, directeur technique de Layar, sur un billet posté autour de minuit entre dimanche et lundi, heure locale.
Contacté lundi matin par IDG News Service, Dirk Groten a indiqué que son service était reparti et qu'il restait convaincu par les services cloud. N'importe quel datacenter peut être interrompu à la suite d'une panne d'électricité. Il était évident qu'Amazon travaillait d'arrache-pied pour restaurer le service, mais les informations que l'hébergeur fournissait ne correspondaent pas toujours avec ce que constatait réellement Layar, a néanmoins admis Dirk Groten. Il a ajouté qu'il attendait qu'Amazon publie un rapport définitif sur l'incident, en incluant ce qu'il prévoyait de faire à l'avenir pour prévenir que des problèmes similaires se produisent de nouveau.
D'autres problèmes de connectivité sur EC2 ont été communiqués lundi soir 8 août, aux Etats-Unis cette fois, dans le nord de la Virginie, suspendant temporairement différents sites web et services utilisant l'infrastructure de cloud AWS (Amazon Web Services). L'incident, qui n'aurait pas excédé une trentaine de minutes, illustre néanmoins l'un des risques du modèle, évoqué par les détracteurs du cloud public qui souhaitent conserver la maîtrise de l'infrastructure. En avril dernier, déjà, Amazon a dû faire face à une interruption de service qui a perturbé certains services, parmi ses clients (aux Etats-Unis, en particulier, mais pas seulement -EC2 compte également des utilisateurs en France, notamment).
Illustration : le service Health Dashboard d'AWS (crédit Amazon)
CA rachète WatchMouse, spécialisé dans la supervision en mode SaaS
CA Technologies annonce qu'il a racheté Watchmouse B.V, un éditeur de solutions de supervision en mode SaaS, pour un montant non communiqué. Les solutions WatchMouse s'appuient sur une infrastructure mondiale comptant plus de 60 stations de supervision dans plus de 40 pays. Cette technologie réplique les transactions réalisées par de véritables utilisateurs situés à différents emplacements afin d'offrir une vision exacte de la performance et la disponibilité des applications.
WatchMouse renforcera plus particulièrement l'offre CA Application Performance Management (APM) pour offrir aux grandes entreprises des options supplémentaires et davantage de flexibilité pour gérer leurs applications au sein de la même plate-forme d'administration. La technologie WatchMouse renforcera également la stratégie « IT Management-as-a-Service » de Nimsoft - un éditeur de solutions intégrées d'administration racheté par CA en mars 2010 - en permettant à ses clients de superviser les temps de réponse de tous types de services métier, du data center jusqu'au cloud.
La solution WatchMouse sera commercialisée comme une fonctionnalité autonome pour Nimsoft Monitor afin d'offrir aux entreprises un moyen flexible de superviser - de l'extérieur du pare-feu - leurs applications cloud et traditionnelles. Elle apporte également à Nimsoft Monitor des outils d'analyse détaillée des causes source d'éventuels problèmes, afin de rétablir plus efficacement les sites web offrant des performances dégradées.
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Twitter s'offre le site de partage Bagcheck
Le site de micro-blogging Twitter vient d' acquérir Bagcheck, un service en ligne qui permet aux internautes de créer des listes de sujets qui les intéressent, tels que les appareils photos qu'ils ont utilisés ou leurs remèdes favoris contre le rhume, pour ensuite les partager avec d'autres. On ne savait pas encore très bien au moment de l'annonce comment Bagcheck s'inscrivait dans la stratégie de Twitter, mais il apparaît que, grâce à ce rachat, l'entreprise peut désormais compter sur les talents d'ingénieur de Sam Pullara, l'un des co-fondateurs de Bagcheck, anciennement responsable technologique chez Yahoo.
Troisième rachat de l'année pour Twitter
Le site Bagcheck restera opérationnel, du moins pour l'instant, mais « comme pour toute acquisition, les choses peuvent évoluer », a indiqué l'entreprise dans un billet de blog. Les conditions de l'acquisition n'ont pas été divulguées, et Twitter n'a pu être joint pour commenter cette information. L'autre co-fondateur de Bagcheck, Luc Wroblewski, qui a également travaillé auparavant chez Yahoo, a quitté l'entreprise pour travailler sur « un projet important »
En plus de laisser ses membres partager et commenter leurs listes, Bagcheck dispose d'une dimension commerciale. Lorsque les gens créent des listes, ou « sacs virtuels », comme les appelle le site, chaque entrée comporte un lien qui renvoie vers un site de e-commerce où d'autres personnes peuvent acheter le même article.
Bagcheck est l'une des quelques acquisitions réalisées par Twitter cette année. En mai, le site de micro-blogging avait racheté la société de publicité en ligne AdGrok et s'était emparé le même mois de TweetDeck, un service de gestion des comptes.
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Internet mobile : Forte progression du nombre de connexions au niveau mondial
Fin 2011, le nombre de connexions à Internet via une plateforme mobile va atteindre les 5,6 milliards (+11% en un an) à travers le monde, générant 314 milliards de dollars de revenus (+22,5%) selon le cabinet de conseil Gartner. Le nombre de connexions (téléphones, tablettes...) et de données échangées ne cessent de croitre, entrainant le développement d'une économie de plus en plus importante. A terme, Gartner prévoit que le nombre total de connexions mobiles devrait atteindre 7,4 milliards en 2015, pour des revenus globaux de 552 milliards de dollars. Pour Jessica Ekholm, analyst chez Gartner, "le trafic des données mobiles va encore progresser de manière significative tant que les offres vont tendre vers le haut débit et que les gens vont continuer de migrer vers les smartphones et les tablettes multimédias."
Gartner a déterminé quatre principales raisons à la hausse du trafic : la progression du nombre de connexions, le développement de l'accès haut-débit, la démocratisation des smartphones et des applications liées.
Illustration : Crédit phoro : SVLuma/shutterstock.com
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