Selon lui, l'industrie doit se positionner au-dessus de la vague du cloud et s'assurer que la prochaine génération d'infrastructures soit construite de manière à être orientée vers les clients plutôt que vers les fournisseurs. Selon lui, le verrouillage s'opère de différentes manières, en particulier par l'impossibilité de répartir les charges de travail entre différents clouds, la difficulté de sortir les datas d'un cloud spécifique, ce qui impose le recours de manière sous-jacente à une plate-forme de virtualisation choisie par le fournisseur.

Red Hat concentre une grande partie de ses efforts sur le premier de ces problèmes. Jim Whitehurst  a élaboré « un programme de certification assurant aux entreprises qu'elles pourront répartir la charge de travail sera utile ». Un aspect très important pour l'entreprise, puisque cette année, Red Hat a travaillé essentiellement sur la certification des partenaires cloud. « S'assurer que les charges de travail sont mobiles dans le nouvel environnement basé sur le cloud est essentiel » explique le responsable et d'ajouter « et c'est de cela que s'occupe le Premier Cloud Provider Program. »

Annoncé l'an dernier, le programme de certification des services clouds a été mis en route et inauguré par Amazon Web Services, premier fournisseur de cloud à être certifié. «Nos clients peuvent soit exécuter leurs programmes au sein de leurs centres de calcul, soit déplacer la charge de travail chez l'un des multiples prestataires de cloud... et nous les aiderons à le faire et l'hénbergeur les y aidera » indique le PDG de Red Hat.