Jugé coupable de préjudice d'image et de réputation, Free a été condamné à verser 300 000 euros de dommages et intérêts, plus 100 000 euros pour frais de procédure, à SFR. Dans une interview à Capital en aout 2012, Xavier Niel, le patron de Free, avait pointé les subventions de terminaux de l'opérateur, notamment les offres Carré Rouge, et indiqué que les taux de crédit à la consommation pratiqués lui semblaient prohibitifs. A la différence de ses concurrents, Free ne subventionne pas les téléphones mobiles mais propose des offres de crédit dissociés des abonnements. Free a annoncé son intention de faire appel cette décision.