Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 10181 à 10190.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(02/10/2009 16:29:30)

Open World Forum : L'Inria crée un centre de recherches sur l'Open Source

Cecill est heureuse de vous présenter son petit frère, Cirill, né lui aussi au sein de l'Inria. Invité à s'exprimer par les organisateurs de l'Open World Forum (qui se tient les 1er et 2 octobre à Paris), Michel Cosnard, PDG de l'établissement public, a en effet annoncé la création d'un Centre d'innovation et de recherche en informatique sur le logiciel libre (Cirill). Dans un communiqué, l'Inria explique que le logiciel libre a un rôle de plus en plus important à jouer dans le développement de la société numérique, mais qu'il faut l'étudier sous tous ses aspects : "Le logiciel libre est un objet complexe qui recouvre plusieurs dimensions aux logiques éventuellement contradictoires : il peut ainsi être à la fois un vecteur de la diffusion scientifique et un objet de recherche, un vecteur du transfert technologique et un objet industriel." En matière d'Open Source, l'Inria a déjà un long historique. Ses chercheurs ont publié plusieurs logiciels, et l'organisme lui-même a participé à la création du consortium ObjectWeb en 2002 (avec Bull et France Telecom), puis à l'élaboration d'une licence Open Source adaptée au droit français, Cecill (CEA, CNRS, Inria Logiciel Libre), en 2004. Conçu comme un centre d'expérimentation ayant vocation à accueillir des partenaires de tous horizons, le Cirill sera piloté par Roberto Di Cosmo, professeur à l'université Paris VII, bien connu du milieu de l'Open Source pour avoir cofondé l'Aful et co-signé l'ouvrage "Le hold-up planétaire : la face cachée de Microsoft". Le centre ouvrira ses portes début 2010. (...)

(02/10/2009 16:29:20)

Open World Forum : OW2 se rapproche de l'Américaine OSA

Après avoir tissé des liens ces dernières années avec la Chine et le Brésil, OW2 se rapproche aujourd'hui d'un partenaire nord-américain. Le consortium, né de la volonté de Bull, l'Inria et France Telecom (sous le nom ObjectWeb), a en effet profité de l'Open World Forum pour annoncer son intention de fusionner avec l'Open Solutions Alliance (OSA), association américaine de promotion des solutions Open Source. Pour OW2, cela représente une opportunité de rendre ses projets plus visibles sur le marché américain, et donc d'étendre de façon substantielle sa communauté d'utilisateurs et de contributeurs. L'OSA avait quant à elle déjà un fort tropisme européen, puisque plusieurs de ses membres sont basés ou ont leur origine sur le Vieux Continent. Et l'organisme avait récemment mis en place un chapitre européen, annoncé lors de Solutions Linux. Les deux consortiums expliquent leur fusion par une grande complémentarité, géographique d'abord, mais aussi en termes de focus, puisque OW2 apporte une forge importante et une grande visibilité dans le secteur public, tandis que l'OSA, fondée par des acteurs de l'Open Source commercial, est plus versée dans le marketing. (...)

(02/10/2009 16:29:26)

Open World Forum : L'important, ce sont les standards ouverts

Forum mondial de rencontres de gens du Libre, l'Open World Forum (1er et 2 octobre à Paris) a évidemment fait la part belle aux représentants du secteur public, historiquement grand promoteur de l'Open Source. Jeudi matin, Jean-Louis Missika, adjoint au maire de Paris chargé de l'innovation, de la recherche et des universités, est venu témoigner du soutien de Paris à la cause des logiciels libres, suivi par Jean-Baptiste Roger, conseiller technique en charge des NTIC au Conseil régional d'Ile de France, qui a confié son ambition de faire de sa région "la première en Europe en matière d'Open Source". En ce vendredi matin, des représentants venus notamment du Brésil, de Grande-Bretagne, d'Allemagne et des Pays-Bas sont venus enrichir le débat. Et ont cette fois insisté sur le pragmatisme, et l'intérêt de promouvoir avant tout les standards ouverts. Pour Pim Bliek, monsieur standards et logiciels ouverts des Pays-Bas, le coût n'est qu'un facteur secondaire dans le choix de l'Open Source. "Cela a un intérêt dans le long terme, a-t-il dit, mais même si c'était à coût équivalent, le choix des standards ouverts resterait." Il a donné l'exemple de la migration des données des citoyens déménageant d'un endroit à l'autre : "avant, il fallait imprimer tout le dossier, aujourd'hui, cela peut se faire électroniquement." Une incitation européenne l'interopérabilité et au partage de code Karel de Vriendt, qui dirige l'IDABC (Interoperable delivery of european e-government services to public administrations, businesses and citizens), organisme mis en place par la Commission européenne pour encourager l'interopérabilité et le partage entre les collectivités publiques européennes, a abondé dans ce sens. "Les administrations dépensent des millions dans des logiciels faits sur mesure", a-t-il indiqué. Pour lui, cette gabegie peut se résorber par le recours à des standards ouverts, facilitant l'interopérabilité. Puis vient le partage de code, pour éviter de dépenser de l'argent à faire la même chose que le voisin. C'est en combinant ces deux facteurs que l'Open Source devient un choix évident. Florian Schiessl, qui conduit la migration de la ville de Munich aux logiciels Open Source, n'a pas dit autre chose, quand il estime que le fait de s'appuyer sur des standards ouverts et du code ouvert donne la possibilité à tout le monde d'apporter sa pierre à l'édifice. Il aura aussi contribué à la réflexion sur les retours d'expérience en expliquant qu'il n'y a pas d'obstacle technique que l'Open Source ne puisse surmonter. Le seul problème est en fait culturel : il faut surmonter la peur du changement que cela induit chez les utilisateurs. (...)

(02/10/2009 11:43:19)

Dominique Cerutti quitte la tête d'IBM Europe du Sud et de l'Ouest pour Nyse Euronext

Dominique Cerutti quittera IBM en fin d'année pour rejoindre Nyse Euronext. Entré en 1987 chez Big Blue, il y exerçait les fonctions de directeur général Europe du Sud et de l'Ouest. Chez Nyse Euronext, il deviendra CEO adjoint et responsable de la technologie en remplacement de Jean-François Théodore. A ce titre, Dominique Cerutti, comme précisé dans le communiqué de Nyse Euronext, il supervisera la technologie et l'IT et sera responsable des opérations, des relations clients et de la position concurrentielle en Europe de l'entreprise. (...)

(25/09/2009 16:45:30)

Participer au 4ème SOA Forum sur l'agilité du système d'information

Le 6 octobre prochain, la quatrième édition du SOA Forum 2009 organisé par LeMondeInformatique.fr, CIO et Réseaux-Télécom.net élargit le débat en en abordant les sujets de la maitrise des coûts et de l'amélioration de la réactivité des systèmes d'information. Comment faire en sorte que les architectures orientées services ou SOA tiennent leur promesse d'enrichissement de l'informatique par l'expérience des métiers ? Comment bénéficier de la souplesse inédite apportée par le Cloud Computing et le SaaS afin de fournir les bons outils au bon moment aux équipes métiers ? Qu'apportent les méthodes agiles dans le cadre SOA ? Grâce aux concours d'experts et aux témoignages de décideurs IT, cette journée conférence proposera des présentations et des débats autour des gains attendus de l'agilité du système d'information. Henry Peyret de Forrester Research entamera la journée en présentant une étude sur "Les enjeux et les tendances en matières de SOA/Cloud Computing/Saas". Il sera suivi par la présentation des meilleures expériences en matière de SOA/BPM notamment avec Laurent Mondemé, Business Enterprise Architect d'Air France, Christophe Astier Chief IT Architect chez Air France, Laurent Giraud responsable Stratégie et Pilotage de l'Architecture chez Bouygues Telecom, Christophe Juillet, Adjoint au responsable architecture chez EDF, William El Kaim Lead IT Architect chez Carlson Wagonlit Travel et Tanguy Couery de Jardiland. Les technologies de Mash up seront également traitées via les témoignages de SMABTP et du groupe Mornay ainsi que les premiers retours d'expérience sur le Cloud présentés avec Joannès Vermorel, PDG de Lokad (utlisateur du Cloud Azure de Microsoft), Henri Pidault DSI de la Compagnie des Alpes (pour les outils Cloud de Google), et Philippe Honigman, PDG de Ftopia (utlisateur du Cloud d'Amazon). Enfin, un volet traitera du mariage des méthodes de développement agiles et de leur usage dans une vision SOA, en particulier avec Frédéric Gauchey, responsable des flux marchandises amont chez le groupement des Mousquetaires. Réservée aux DSI, Directeurs informatiques, Responsables d'infrastructure, Architectes de SI, Managers IT et Chefs de projet, cette conférence gratuite se tiendra le 6 octobre 2009 à l'Automobile Club de France, place de la Concorde à Paris. Pour vous plus d'informations et vous inscrire une seule adresse: Forum Agilité du Système d'information Le Monde Informatique.fr/CIO (01/10/2009 17:21:54)

Open World Forum : Les DSI parlent aux DSI

Nouveauté de cette année à l'Open World Forum, plusieurs sessions de la première journée, jeudi 1er octobre, ont été consacrées à un Open CIO Summit animé par des DSI pour des DSI. C'est l'occasion, explique Valérie Humery, DSI de Car & Boat Medias et membre de l'ANDSI (Association nationale des directeurs de systèmes d'information), de discuter entre DSI convaincus et sceptiques des avantages et dangers liés aux logiciels libres. Sans aucune arrière-pensée commerciale : "détendons-nous, on ne va rien nous vendre", a dit Valérie Humery en préambule. Néanmoins, à l'issue de la première session, il était clair que les entreprises souhaitant aller davantage sur le chemin de l'Open Source allaient devoir s'appuyer sur des prestataires, qu'il s'agisse de développement, de conseil, d'aide à la gestion du changement, de formation... Comme l'ont très bien dit les participants de la table ronde, Open Source ne veut pas dire zéro coût. Pour les décideurs IT rassemblés en cette occasion, l'usage de briques IT Open Source n'est pas un problème en soi. Comme l'a expliqué le représentant de la société d'assurances Aviva Europe, cela présente même de gros avantages dans la mesure où l'entreprise peut ainsi intégrer des composants répondant parfaitement à ses besoins, sans avoir à acheter, cher, une solution surdimensionnée. En revanche, ils reconnaissent être prudents sur les choix à effectuer, et n'ont pas vraiment d'outils pour évaluer la pérennité d'un logiciel ou d'une communauté. Autre souci, il n'est guère aisé de procéder à des remplacements ciblés, en laissant subsister par exemple un serveur d'applications propriétaire et en en migrant certains vers des équivalents libres. "Cela obligerait à avoir deux groupes de compétence". Un bel effet de levier lors des négociations tarifaires Bien entendu, les convaincus ont fait état des économies réalisées grâce à l'utilisation de logiciels libres. Justin Ziegler, par exemple, DSI de PriceMinister, est persuadé que le site dont il est cofondateur n'aurait pu atteindre en 9 ans la place de deuxième site de e-commerce en France (en termes d'audience) s'il ne s'était pas appuyé sur des logiciels Open Source. Il a ainsi expliqué avoir dès le départ opté pour le serveur d'applications Open Source JBoss, "belle alternative à WebLogic qui coûtait les yeux de la tête", ou mis en oeuvre des fonctions avancées ou des modules d'extension d'Apache (comme le cache de données ou la compression des pages Web) afin "d'éviter l'achat de serveurs spécialisés très coûteux". Côté SGBD, sa culture Oracle l'a convaincu de partir sur 8i, d'autant qu'à l'époque les alternatives n'étaient pas légion. Aujourd'hui, lui a-t-on demandé, pourquoi ne pas migrer ? Parce que ce serait un projet purement technique, sans intérêt a priori pour le métier. La même question a obtenu la même réponse des participants de la table ronde. On a beau être convaincu par l'Open Source, il ne s'agit pas d'être dogmatique. Ce qui compte avant tout, ce sont les gains pour le métier. Si migration il y a, ont conclu les DSI, elle doit avoir lieu à l'occasion d'une refonte. En attendant, la simple possibilité de pouvoir migrer vers une solution libre suffit à donner un bel effet de levier lors des négociations tarifaires avec les éditeurs propriétaires ! (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >