Pour Donald Trump, aucun sujet n'est tabou et tout peut être remis en cause du jour au lendemain. Cette fois, c'est au tour de l'agence indépendante de surveillance de la vie privée et des libertés civiles (Privacy and Civil Liberties Oversight Board aka PCLOB) de faire les frais de l'impétuosité du 47e président américain. Selon le New York Times - tenant ses sources de trois personnes proches du dossier -  l'administration Trump a demandé mardi soir à trois de ses membres - Sharon Bradford Franklin (la...