Dématérialiser tous les processus et les optimiser en un temps record sans créer de silos reposant sur des technologies obsolètes. Voici un des challenges relevé par l'émergence des technologies low et no-code. Aujourd'hui, les opérations de digitalisation des processus en entreprise n'aboutissent pas systématiquement à un résultat satisfaisant. Cela peut s'expliquer en partie par les silos générés lors d'approches d'implantation d'une organisation ou à l'occasion de développement de logiciels.

Or, les silos sont extrêmement difficiles à maintenir et à faire évoluer. Sans compter que les logiciels utilisés à leurs créations (les silos) ne dialoguent généralement pas entre eux. Dans ce cas de figure, l'entreprise doit trouver un moyen de dématérialiser l'ensemble de ces processus mais cela passe bien souvent par une multitude d'applications qui devront elles-mêmes être maintenues et upgradées. Dès lors, pour répondre à la complexité de l'organisation et de ses processus, auxquels s'ajoutent des spécificités locales et réglementaires, les entreprises (90% d'entre elles) ont recours à une multitude de solutions.

Une digitalisation à grande échelle, 100% interconnectée

Le Gartner, d’après une étude de 2021, identifie par ailleurs deux technologies d’avenir : le low/no-code et l’ERP composable, c’est-à-dire modulaire. De plus, selon ce cabinet d’études, 80% des nouveaux applicatifs pourraient être créés sur des plateformes low/no-code en 2024. Cependant, ces deux technologies sont-elles si éloignées ? Ne pourraient-elles pas converger vers une seule et même solution ? C’est notre idée ! Pour nous, le low/no-code sur architecture d’ERP, tel que nous l’entendons, se compose à l’infini, brique par brique, afin d’arriver à une solution puissante, répondant à tous les besoins.

Avec le low/no-code sur architecture d’ERP, les solutions produites par l’entreprise sont tout de suite hébergées au bon endroit de la plateforme, au cœur des processus. Ainsi, avec cette technologie du low/no-code sur architecture d’ERP, il est possible d’intégrer au sein d’un même processus une multitude d’applications verticales qui lui sont liées, comme par exemple : une application de gestion des ventes au sein de l’environnement de la gestion des relations client et des ventes… Le low/no-code sur architecture d’ERP a donc cet avantage de permettre d’interconnecter tous les modules qui composent un ERP, de la production à l’expérience client en passant par toutes les fonctions de back office. Les silos sont dès lors intégralement supprimés. 

Une solution technologique sur architecture d’ERP dispose de plusieurs avantages qui lui offrent une puissance démultipliée. D’une part, elle se maintient de manière unifiée (ses évolutions sont incrémentales). D’autre part, elle ne crée aucun silo (les développements spécifiques ne sont plus nécessaires). Autrement dit, chaque brique cherchant à adresser un besoin métier dans le cadre d’un processus métier s’implémente dans la plateforme de façon disruptive, contrairement au low/no-code classique.

Les atouts du low/no-code pour la DSI : maintenance et sécurité mutualisée, maximale et en temps réel

Tous ces fameux silos, qu’ils soient 1000 ou 4000, dès l’instant où ils sont migrés sur la plateforme low et no-code sont tous maintenus automatiquement de manière mutualisée. De plus, cette technologie est auto-apprenante dans la mesure où plus elle intègre de nouveaux besoins métiers, plus elle est capable de s’adapter de façon itérative (c’est-à-dire par simple évolutions). L’entreprise qui choisit donc de faire appel à cette technologie bénéficie alors d’un écosystème en constante évolution aux capacités perpétuellement mise à jour.

Concernant la sécurité des données, l’équation s’inverse là aussi. Une plateforme low et no-code offre une approche mutualisée dès la mise en production des applications. Elle prend en compte les exigences de tous les clients et offre donc à chacun le plus haut niveau de protection. Cette sécurisation est intrinsèque à la plateforme pour tous les applicatifs. La plateforme et ses émanations sont automatiquement sécurisées en termes de RGPD, structure de données, failles de sécurité ou de cryptage.

En résumé, avec le low/no-code, les experts métier gérant leurs processus visualisent en 24h (suite à une séance de design thinking) les prototypes des applications qu’ils souhaitent développer. Puis, ils identifient instantanément ce qui reste à faire, simplifiant d’autant la phase de spécification. Ainsi, ils obtiennent une application qui gère le processus au complet 20 fois plus rapidement que toutes les autres méthodes qui, elles, hélas, créeront toujours des silos.