Google ajoute un outil de localisation low-code à Maps. Nommé Quick Builder, il aide les entreprises à découvrir et à déployer les API recommandées pour les solutions de cartographie et de géolocalisation dans divers secteurs. Sur Google Maps, il permet de « créer un code personnalisé, prêt pour la production », comme l'explique Matt Brightman, chef de produit de la plate-forme Google Maps, dans un billet de blog. Trois modèles ont ainsi été créés : Locator Plus (aide les utilisateurs à trouver l'emplacement physique d'une entreprise), Address Selection (fonction d'autocomplétion pour le remplissage de formulaires en ligne, alimentée par l'API Place Autocomplete de Google) et Neighborhood Discovery (visualiser ce qu'il y a dans un quartier). Ces modèles sont disponibles dans la section Maps Platform de la Google Cloud Console.

- Hacker One lève 49 M$. Juste après Yogosha en France, c'est cette fois au tour de Hacker One aux Etats-Unis de lever des fonds. Egalement positionné dans les services de bug bounty, ce dernier a réalisé un tour de table (serie E) qui lui a permis de récolter 49 millions de dollars. Cela porte le montant global des investissements levés depuis la création du groupe à 160 millions de dollars. Ce tour a été mené par GP Bullhound avec la participation des investisseurs existants, incluant Benchmark, NEA, Dragoneer Investment Group et Valor Equity Partners. Dans un communiqué, le groupe précise qu'il compte utiliser le financement pour investir dans la recherche et le développement et étendre ses activités de go-to-market.

- L’Autorité de la concurrence va évaluer le cloud. Plus exactement, elle a décidé d’évaluer la question concurrentielle du secteur du cloud. Concrètement, l'institution va organiser autour de l’été, une large consultation publique visant à réunir les observations de l’ensemble des parties prenantes. A l’issue de cette consultation, elle rendra les conclusions définitives de son enquête sectorielle début 2023. Cette analyse est aussi l’occasion pour l’organisme de se doter d’une équipe pluridisciplinaire (juristes, datascientist et économistes), provenant du service de l’économie numérique créé en 2020.