- Sixt victime d'une cyberattaque. Après Ucar, c'est au tour du loueur de voitures Sixt d'être ciblé par une cyberattaque. Dans un message, le groupe a indiqué avoir détecté des « irrégularités informatiques » le 29 avril 2022 et enclenché des mesures de sécurité pour remédier à cet incident confirmé par la suite comme étant bien une attaque informatique. « De nombreux systèmes centraux de Sixt, en particulier le site Web et les applications, ont été maintenus opérationnels », a expliqué l'entreprise. « Des perturbations passagères, notamment dans les centres de relation clients et les agences sélectives, sont susceptibles de se produire à court terme ».

- Apple trie ses applications obsolètes. Depuis 2016, date clé lançant le processus d’amélioration de l’App Store, 3 millions d’applications ont été évincées. Un doute persiste sur la date à laquelle la firme a prévenu les développeurs concernant ce nettoyage. La semaine dernière, un développeur a partagé un courriel d'Apple l'avertissant que son application serait supprimée si elle n'était pas mise à jour dans les 30 jours, cette dernière n’ayant pas été mise à jour depuis plus de deux ans. Après cette révélation, la firme a clarifié sa politique et affirme désormais que les développeurs disposeront de plus de temps pour mettre à jour leurs applications si nécessaire - jusqu'à 90 jours. Apple a également fait passer le seuil de deux ans à trois ans. Cela devrait donner aux développeurs un peu de répit et permettre aux anciennes applications populaires de rester dans la boutique pendant des années après leur dernière mise à jour.

- Elon Musk veut nettoyer Twitter. Alors que le milliardaire vient de faire l’acquisition de Twitter, ce dernier veut sévir contre les soi-disant « robots spammeurs » dits « spambots ». Seul bémol : en faisant cela, il réduirait de moitié ses propres abonnés, selon l'outil d'audit Twitter SparkToro. Ces robots sont des comptes automatisés qui imitent l’activité de personnes réelles sur Twitter mais sont également programmés pour agir de façon malveillante. La sécurité est un défi auquel Twitter s’essaie depuis des années et il est difficile d’imaginer comment Elon Musk pourrait résoudre ce problème. En attendant, ses promesses n’ont fait qu’augmenter sa cote de popularité et, ironiquement, son nombre d’abonnés, qu’ils soient réels ou non.