La dernière attaque de " Code rouge " http://www.weblmi.com/daily/2001/0731/coderouge.htm , virus vers autoréplicant visant le site de la Maison Blanche, aurait entraîné l'infection de quelques 175 000 ordinateurs. Soit presque deux fois moins que lors de sa précédente attaque http://www.weblmi.com/daily/2001/0724/virule.htm , le 19 juillet dernier. Pour éviter d'être atteintes, les autorités américaines ont cependant été obligées de fermer temporairement une partie de leurs sites.
Microsoft, dont une faille dans les serveurs web IS 4.0 et 5.0 est exploitée par Code rouge, estime qu'un grand nombre de sites, parmi les 6,5 millions concernés, s'est immunisé en utilisant la rustine http://www.microsoft.com/technet/treeview/default.asp?url=/technet/security/bulletin/MS01-033.asp développée par l'éditeur.
Les spécialistes de la sécurité affirment cependant que le caractère cyclique de Code rouge en fait un problème durable.
Déjà, le ministère britannique de l'intérieur lance une mise en garde contre une variante encore plus virulente du virus qui serait apparue samedi.