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(07/01/2010 12:05:09)

En France, le BPO reste encore mal vu

Malgré la crise économique, le BPO ne décolle toujours pas en France. Cette crise est pourtant l'occasion pour les entreprises de réduire leurs coûts et de se concentrer sur leur coeur de métier. Des arguments rêvés en faveur de l'externalisation, en particulier en faveur du BPO. Les prestataires répètent d'ailleurs ces arguments en boucle. « Mais cette répétition ne me convainc pas, note Ludovic Melot, auteur d'une étude sur ce sujet pour le cabinet Précepta. Le BPO en France ne décolle toujours pas et ce, pour deux raisons principales : une résistance historique des entreprises et la peur des conséquences sociales ». Les exemples abondent. Celui récent d'Alcatel et de Wipro par exemple. Tollé syndical, grèves, pression de l'opinion et des politiques. Résultat : le contrat a exclu la France. Les filiales françaises des entreprises anglo-saxonnes en revanche passent facilement au BPO. Souvent avec des prestataires également anglo-saxons (par exemple Accenture ou Logica) Mais les grands comptes français restent toujours aussi réticents. L'externalisation totale fait peur en France. Precepta voir pourtant deux brèches se créer : le BPO spécialisé avec des acteurs également spécialisés et les Centres de services partagés. Pour le moment, cette externalisation spécialisée porte en France essentiellement sur les services de support marketing (centres d'appel) ou sur la paie. Les différentes estimations qui portent le BPO à 2 milliards d'euros en France en 2009 oublient d'ailleurs que 40% de ce chiffre est constitué par des centres d'appels (« cela n'a rien de déshonorant mais ne constitue pas vraiment une nouveauté commente Précepta). Des spécialistes viennent concurrencer les SSII, Precepta cite les cabinets d'audit ou d'expertise comptable, ceux de recrutement, les sociétés d'affacturage. [[page]] En revanche, la création de Centre de services partagés a convaincu selon Ludovic Melot la totalité du CAC 40 voire du SBF 120, donc des grandes entreprises françaises. Il s'agit d'entreprises qui gardent en interne une prestation mais la centralisent. Par exemple, la comptabilité ou la paie, dispersées dans des dizains de centres ou de filiales en France sont regroupées dans un seul centre. Avantages : une réduction des coûts, une meilleure visibilité, des grincements de dents moins forts. Mêmes si la mise en place prend du temps et coûte cher, ce type de prestation est plus facile en France qu'une externalisation totale ou même partielle. En fait, conclut Ludovic Melot, le BPO ne décolle pas en France parce que les prestataires sont mal adaptés. Les offres sont souvent des décalques d'offres présentées à l'international (les deux SSII qui ont le plus calqué leur modèle sur le modèle anglo saxon, Stéria et Cap ne sont pas parvenus à compenser ainsi la chute de leur division conseil et intégration). Les acteurs même français ne s'adaptent pas à la demande. Or, celle-ci est fondée sur des critères bien précis : la peur du risque social, la méfiance vis-à-vis des grands contrats globaux, la préférence pour une externalisation qualitative plutôt que quantitative, une barrière culturelle voire linguistique. Autant de critères qui vont à l'encontre des thèses de grands spécialistes mondiaux qui veulent des contrats globaux, une externalisation offshore, des contrats sur plusieurs années. La multiplication des CSP montre pourtant que les entreprises françaises sont prêtes pour ce type de démarche, mais pour le moment en interne ! Preuve que c'est moins le principe que l'offre qui est en cause. (...)

(08/12/2009 17:40:24)

IBM offre les services de Tivoli en ligne aux entreprises de taille moyenne

IBM a décidé de proposer les fonctions de Tivoli, sa solution d'administration de systèmes, sous la forme d'un service hébergé. Cette offre vise les entreprises qui pourraient être davantage tentées par une formule d'abonnement que par le déploiement du produit en interne. Tivoli Live Monitoring Services doit permettre à une équipe informatique de garder l'oeil sur 25 à 500 ressources IT (serveurs, systèmes d'exploitation, machines virtuelles et applications). Sur réception d'une alerte, ils seront avertis qu'une application montre des signes de faiblesse, qu'un serveur risque de manquer de mémoire ou qu'une page Web met un peu trop de temps à s'afficher. Le service Il existera en deux versions. La première a recours à des agents pour surveiller les systèmes d'exploitation, les machines virtuelles et les applications de type base de données ou serveur de messagerie (tels que Microsoft Exchange, par exemple). Elle revient à 58 dollars par mois pour chaque ressource surveillée. La deuxième offre ne comprend pas d'agents. Sa tarification démarre à 44 dollars par ressources et par mois, pour la surveillance d'équipements matériels, d'OS, de sites Web et la gestion d'alertes SNMP. Pour les deux versions, IBM facture des frais de mise en place de 6 500 dollars par client. Disponible dans plusieurs pays, mais pas encore en France En option, le fournisseur propose un service de reporting, pour un tarif mensuel de 15 dollars par ressources. Cet historique des données est utile pour faciliter les opérations de dépannage et prévoir les besoins en ressources. Ce service de surveillance en ligne repose sur les solutions Tivoli Monitoring 6.2.1, Tivoli Monitoring for Microsoft Applications 6.2 et Tivoli Composite Application Manager for Applications 6.2. Bien qu'IBM vienne tout juste de l'annoncer, cette offre de service est en fait opérationnelle depuis le mois dernier aux Etats-Unis, selon un blog interne. Elle est également disponible dans un certain nombre de pays à travers le monde : Canada, Royaume-Uni, Australie, Hong-Kong, Scandinavie... Pour l'instant, elle n'est pas encore accessible en France, mais il est prévu qu'elle soit étendue à davantage de pays en 2010. IBM propose déjà plusieurs de ses produits sur Amazon Web Services et la semaine dernière, il a installé son offre Tivoli Monitoring sur le cloud EC2 d'Amazon afin d'assurer une surveillance de ses logiciels qui s'exécutent sur ce service. Interrogé sur l'offre Tivoli Express déjà proposée par ailleurs aux PME, IBM a reconnu qu'il n'avait peut-être pas fait aussi bien qu'il aurait voulu. Pour Michael Coté, analyste de RedMonk, l'un des défis pour IBM sur son offre Tivoli, c'est effectivement de pouvoir descendre dans des entreprises de taille moins importante. Parmi les petits éditeurs offrant déjà des services de monitoring des ressources IT en ligne figurent des acteurs comme Accelops, InteQ, et ManageEngine (entité de Zoho). Microsoft et BMC Software développent aussi des services. (...)

(07/12/2009 09:41:49)

Le Cigref et Capgemini Consulting publient une étude sur la création de valeur par les SI

Le Cigref vient de publier avec Capgemini Consulting un livre blanc intitulé « L'information : prochain défi pour les entreprises » sous-titré « pratiques de création de valeur par les SI et leur usage : cartographie 2009 ». Tirant un bilan des pratiques, ce livre blanc enfonce beaucoup de portes déjà ouvertes, notamment suite aux études précédentes menées depuis 2002 par le Cigref en collaboration avec le cabinet Mc Kinsey sur la « valeur d'usage » des SI. Mais tout est question de maturité : ce qui peut paraître évident dans une entreprise « mature » peut être une innovation des plus audacieuses ailleurs. L'exemple typique concerne la valeur des données : selon l'étude ayant servi de base au livre blanc, seulement 37% des entreprises pensent que l'usage qu'elles font des SI et de l'information représente un atout concurrentiel. Il reste donc 63% d'entreprises à convaincre d'une évidence... Pour le Cigref, il y a un lien évident entre la position du DSI dans l'organigramme (plus ou moins près de la tête de son organisation) et la maturité vis à vis de la valeur ajoutée du SI. Et si 82% des entreprises du secteur privé ont, selon l'étude, été concernées par un plan de réduction des SI, cette opération a souvent été l'occasion pour le DSI de démontrer son utilité et donc de défendre ses positions. Dans tous les cas, l'excellence technique est le minimum minimorum de ce que l'on attend de la DSI. Ce qui est en place doit fonctionner avec un niveau de service conforme aux attentes. La valeur d'usage ne vient qu'après. Ce livre blanc se décompose en cinq parties : modèles d'analyse de la valeur d'usage des SI et de l'information ; trois positionnements régissent la maturité des pratiques de la fonction SI ; l'usage de l'information, un terrain de progrès important pour les entreprises ; industrialisation, innovation et usage : des sujets dont les pratiques sont fortement différenciées ; perspectives de création de valeur pour les entreprises. De nombreux diagrammes et tableaux présentant les résultats de l'étude préalable enrichissent l'ouvrage. (...)

(24/11/2009 10:46:07)

La première promotion d'ingénieurs z/OS de la zAcademy a été certifiée par IBM

IBM a certifié la première promotion de la zAcademy, un cycle d'enseignement mis au point par le constructeur en partenariat avec Sogeti et La Banque Postale. Pour cette première édition, ce sont 10 professionnels de la SSII et de la banque qui ont été formés et certifiés en tant qu'ingénieurs systèmes z/OS. Le programme, qui s'est étalé de décembre 2008 à novembre 2009, a consisté en « un parcours théorique et pratique spécialisé dans les technologies mainframes et appliqué au domaine de la banque ». De fait, les grands systèmes ne sont pas franchement les plus prisés par les jeunes générations, et la pyramide des âges nécessite un certain renouvellement, comme l'explique dans un communiqué Philippe Blin, DSI de La Banque Postale. Il s'agit pour lui d' « offrir des perspectives d'évolution, organiser la transmission du savoir-faire des experts partant à la retraite, investir sur la formation des jeunes ingénieurs... » Le partenariat est formé pour une durée de trois ans. La deuxième session de formation commencera en janvier prochain. (...)

(18/11/2009 16:59:03)

Participer à notre conférence sur l'amélioration de la performance de son SI

Le 26 novembre prochain, LeMondeInformatique.fr, CIO et Réseaux-Télécom.net vous proposent de réfléchir à l'amélioration des performances de votre SI. Aujourd'hui, comme hier d'ailleurs, chaque euro investi dans le système d'information doit contribuer à atteindre les objectifs que l'entreprise s'est fixée. Pour vous aider à améliorer la performance de votre SI nous vous invitons à découvrir les pratiques et les outils mis en place par des responsables IT et des consultants pour connaître les vrais coûts des services informatiques, gérer l'achat de prestations et recourir la sous-traitance dans les meilleures conditions ou bien mesurer les apports réels aux métiers ? Parmi les participants aux tables rondes seront notamment présents François Blanc, DSI de Valeo, Pascal Buffard, Directeur des opérations de Axa France, Patrick Hereng, DSI du groupe Total, Didier Lambert, ancien président du Cigref et ancien DSI d'Essilor ou encore Alain Moustard, DSI de Bouygues Telecom. Réservée aux DSI, Directeurs informatiques, Responsables d'infrastructure, Architectes de SI, Managers IT et Chefs de projet, cette conférence gratuite se tiendra le jeudi 26 novembre 2009 de 8h30 à 13h à l'Automobile Club de France, place de la Concorde à Paris 8ème. Pour plus d'informations rendez-vous à cette adresse et pour vous inscrire suivez ce lien. (...)

(28/10/2009 15:55:40)

Pour la gestion des risques et la réduction des coûts, IDC plaide pour un système de stockage unifié

Invitée à donner son opinion sur l'avenir du stockage lors du salon SNW Europe (Storage Networking World) de Francfort les 27 et 28 octobre 2009, Carla Arend, analyste du cabinet IDC, a défendu une vision du marché animé par deux axes. Le premier concerne la gestion du risque, notamment juridique. Cela implique un fort besoin de « gestion de la conformité » avec les réglementations nationales ou trans-nationales (comme les impacts hors Etats-Unis de la loi Sarbanes-Oxley). Le second relève de la désormais classique réduction des coûts et accroissements de l'efficience des investissements consentis. Selon IDC, la croissance du marché ralentit : le cabinet n'attend que +6% en 2009 contre 10,5% en 2008. Malgré tout, la croissance est donc toujours là. En effet, le marché du stockage bénéficie de mauvaises pratiques, qui doivent disparaître, mais aussi de l'inflation continue des volumes de données. Les entreprises ont souvent à assurer des migrations de systèmes en archivant l'ancien. Conserver ainsi les anciens systèmes a-t-il réellement un sens ? Pas toujours... Le premier problème, en matière de stockage, reste cependant que les entreprises archivent encore tout et n'importe quoi un peu n'importe comment sans réelle hiérarchie alors même que les différents types de supports ont chacun leurs caractéristiques, leurs coûts plus ou moins élevés et leur rapidité d'accès plus ou moins importante. Globalement, le volume de données stockées par les entreprises ne cesse pas d'augmenter. La pente de l'augmentation n'est cependant pas uniforme. Les données structurées classiques (PGI...) et leurs réplications ont ainsi une croissance assez limitée. A l'inverse, le non-structuré classique (e-mail...) et surtout les dépôts de contenus, notamment multimédias, explosent. Or, bien souvent, les systèmes de stockage ne concernent qu'une seule des fractions des données stockées, interdisant de fait une optimisation des supports. IDC plaide pour un système de stockage unifié avec des systèmes plus ou moins coûteux, avec une administration automatisée, notamment concernant la gestion de la répartition entre les supports. Selon le cabinet, quatre questions clés doivent être posées : par où commencer une réforme du stockage, doit-on choisir une standardisation ou une fédération de systèmes, quel doit être la règle de répartition entre les différents types de stockage et enfin quels sont les besoins métiers se traduisant en terme de stockages ? (...)

(27/10/2009 14:33:21)

Avec Deep Security, Trend Micro renforce les options de sécurité pour la virtualisation

Trend Micro a dévoilé une version de son logiciel Deep Security, servant à la fois de pare-feu et de système de protection pour le serveur VMware ESX. L'éditeur a ajouté une fonctionnalité de virtualisation au niveau de l'hyperviseur pour protéger plusieurs machines virtuelles fonctionnant sur un même serveur. Auparavant, Deep Security fonctionnait uniquement dans le système d'exploitation invité de la machine virtuelle comme « une enveloppe de sécurité autour de la machine virtuelle », explique Mohamed Wael, Vice président de Trend Micro. Désormais avec Deep Security 7.0, nous offrons également une plateforme virtuelle qui utilise l'interface de programmation VMsafe de VMware. Les responsables informatiques peuvent aussi utiliser le pare-feu/IPS (Système de prévention des intrusions) au niveau de l'hyperviseur. « Les clients veulent une solution unifiée, mélangeant et rassemblant », estime Mohamed Wael. Les utilisateurs ont la possibilité de déployer le pare-feu/ISP Deep Security depuis la console Deep Security ou depuis le VMware Center. A l'origine, Deep Security n'était qu'une start-up canadienne créée par Mohamed Wael. Elle appartient depuis moins d'un an à Trend Micro, qui poursuit ses efforts pour améliorer la sécurité de son data-center. Neil MacDonald , analyste en sécurité chez Gartner, a signalé lors d'un symposium sur la protection des machines virtuelles, que Trend Micro était connu plutôt comme un éditeur traditionnel d'antivirus. Toutefois, il salut l'initiative de l'éditeur à proposer aux entreprises davantage d'alternatives pour sécuriser leur environnements virtualisés. Il a ajouté que Trend Micro pourrait jouer le rôle de trublion dans ce marché, déclarant qu'il appréciait que les éditeurs multiplient les initiatives. La sortie de Deep Security 7.0 comme une plate-forme d'applications virtuelles jette les bases pour ajouter plus de fonctionnalités de sécurité, telles que des capacités contre les virus, dans les futures versions, selon Trend Micro. La solution Deep Security de Trend Micro 7.0, sera commercialisée en novembre, à partir de 2.000 dollars. (...)

(27/10/2009 08:38:47)

5 conseils pour passer sans souci de XP à Seven

1 - Il est impossible de mettre à jour Windows XP vers Seven directement. L'OS n'a pas été conçu pour cette opération. Les différences entre Windows XP et Windows 7(dans le noyau, les registres, les pilotes, etc.) sont trop importantes. Il est de toutes manières plus propre de reformater et installer un OS neuf, comme le recommande les experts et Microsoft. Votre machine n'en sera que plus performante et plus robuste. 2 - En fait, il est bel et bien possible de passer Windows de XP vers Windows 7... mais en passant par Vista. Un PC pas trop vieux sous Windows XP a généralement été livré avec un DVD de Vista pour passer du premier vers le second. Il suffit ensuite, avec le DVD de Windows 7 cette fois, de gravir un échelon supplémentaire et d'installer Seven. Si l'opération est théoriquement possible, nous vous la déconseillons cependant vivement. Vous perdrez une à deux heures pour un résultat qui n'est guère optimal. 3 - N'oubliez pas Windows 7 Upgrade Advisor pour vos pilotes. Si votre machine date des années 90, vous risquez d'avoir du mal à trouver des pilotes compatibles avec vos périphériques et cartes graphiques. Néanmoins, Windows 7 Upgrade Advisor Tool scanne les machines et reconnait les principaux composants et logiciels. Il indique les compatibilités et donne des recommandations pour résoudre les petits soucis. 4 - Pensez à Windows 7 Easy Transfer pour conserver vos données personnelles à l'abri lors de la migration de XP à 7. L'application migwiz.exe se trouve sur le DVD de Windows 7 dans le répertoire Support\Migwiz. Lancez-le depuis Windows XP pour sauvegarder tous les fichiers personnels vers un support externe. Une fois Seven installé, importez vos fichiers sauvegardés vers le profil Windows 7. Mais attention, cette migration ne semble pas fonctionner d'un système XP -en 32 bits- vers un système Windows 7 -en 64 bits-. 5 - Les logiciels de sécurité pour XP ne seront probablement plus compatibles avec Seven. Le système de protection étant radicalement différent, les pare-feu, antivirus, anti-logiciels espions seront inefficaces. La bonne nouvelle, c'est que Windows 7 est suffisamment sophistiqué pour se passer temporairement de ces outils. La sécurité a été améliorée avec le nouveau pare-feu, Windows Defender et la sortie de l'antivirus Microsoft Security Essentials. Mais attention, ce dernier n'est pas installé en standard, il est nécessaire de le télécharger sur le site de Microsoft. (...)

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