Flux RSS

Administration de systèmes

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

304 documents trouvés, affichage des résultats 51 à 60.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(20/01/2011 14:55:28)

Les appliances de datawarehouse de Microsoft-HP signent-elles la fin de Neoview ?

Lancée il y a plusieurs années, du temps où Mark Hurd était à la tête de HP, la plateforme Neoview destinée à la gestion des datawarehouses (entrepôts de données) n'a jamais réussi à gagner du terrain de manière marquante sur ce marché. Les appliances Microsoft-HP annoncées mercredi, viennent s'ajouter à la gamme de produits HP Enterprise Data Warehouse pour SQL Server commercialisés depuis novembre 2010. Les nouveaux matériels combinent les logiciels de Microsoft avec le hardware HP. Notamment un Data Warehouse Entreprise destiné aux petites et moyennes entreprises, un Business Decision Appliance for BI (business intelligence) et une plate-forme de messagerie pour Microsoft Exchange. Un autre matériel destiné à la consolidation des bases de données est également en cours de finalisation.

Même si HP n'a manifestement pas renoncé aux appliances dans sa stratégie produits, il semble que Neoview « appartienne déjà au passé, » selon James Kobielus, analyste chez Forrester Research. Il estime que cette solution a connu plusieurs difficultés. D'une part, les prix de HP sont restés « beaucoup trop élevés » ces dernières années, explique-t-il. De même, si Neoview n'est pas une plate-forme mal architecturée, « celle-ci n'a pas été vraiment conçue avec une technologie différente », estime le consultant. Des produits concurrents comme Oracle Exadata apportaient certaines innovations telles qu'un système de cache reposant sur de la mémoire flash. HP n'a pas non plus vraiment présenté Neoview comme ne solution sur laquelle ses partenaires pourraient développer des applications dédiées, complète le consultant.

Un produit voué à disparaître


Pour Curt Monash, analyste chez Monash Research, Neoview n'est rien d'autre qu'un lamentable échec. «  Il est évident que le produit n'a jamais bien fonctionné », explique-t-il. « Une fois placé dans le monde entier au sein du premier cercle de clients fidèles à HP, qui ont accepté d'essayer le produit, il n'y a plus eu de signe visible dans l'évolution des ventes, et voilà un certain temps que d'autres vendeurs n'identifient plus Neoview parmi leurs concurrents. »  Dans le secteur des bases de données analytiques, « les nouveaux produits ne se distinguent par rien d'autre que le prix et la performance, » ajoute Curt Monash. « Les vrais éléments de différenciation se bonifient avec la maturité du produit. Donc, lorsqu'un produit est lancé, s'il n'est pas au bon prix et pas assez performant, il n'apporte rien de plus. » « Je serais étonné de voir de nouvelles ventes ou des campagnes de marketing pour Neoview » soupçonne le consultant. Le porte-parole d'HP n'a pas souhaité commenter ces analyses. (...)

(17/01/2011 10:22:25)

650 terminaux légers mobiles chez Santé Service

Cette livraison de terminaux légers sera achevée mi-février. Santé Service impose le client léger, donc l'absence de disque dur pour éviter toute perte de dossier médical ou de quelque information confidentielle que ce soit en cas de perte ou de vol. L'Itium Mobile compte également une application, Vodafone mobile connect, pour assurer les connexions distantes.

Santé Service est une association qui gère depuis 1958 une activité d'hospitalisation à domicile en Ile-de-France. Elle a connu Psion, puis les terminaux légers de NEC. Mais NEC a arrêté cette activité, la fabrication comme la maintenance. Santé Service s'est donc tournée vers d'autres fournisseurs, testant leurs matériels. Une vingtaine de terminaux Itium Mobile de Impact ont ainsi subi l'examen de passage. Avec succès. Entre temps, Impact technologies adoptait un mode indirect, le constructeur a passé le lead à OpenID.

Santé Service garde la haute main sur le service proposé. L'association est dotée de la plate-forme d'administration fournie par Impact Technologies (Itium administration) qui lui permet de gérer elle-même  les 650 terminaux et d'assurer la confidentialité des données échangées. C'est le protocole Microsoft TSE qui est utilisé.

Crédit photo : Client léger Itium Mobile open45 d'Impact Technologies

(...)

(23/11/2010 11:01:50)

Une architecture IBM pour accélerer la vitesse d'exécution des applications analytiques

Sur la conférence Supercomputing 2010 (13-19 novembre, Nouvelle-Orléans), IBM a annoncé avoir créé une architecture distribuée exploitant une technologie de système de fichiers réparti deux fois plus rapide que celles qui existent actuellement et qui comprend des techniques avancées de suivi des réplications de données (*).

Dénommée GPFS-SNC (pour General Parallel File System-Shared Nothing Cluster), cette architecture est conçue pour offrir une disponibilité élevée au travers de technologies avancées de clustering. Prasenjit Sarkar (en photo), ingénieur spécialisé dans le stockage des applications analytiques pour la branche recherche d'IBM (un collaborateur adoubé 'master inventor' par Big Blue), a expliqué à nos confrères de Computerworld que ce système montait en puissance de façon linéaire. Si un système de gestion de fichiers à 40 noeuds offre un débit de 12 Go par seconde, un système à 400 noeuds atteindra un débit de 120 Go/s, donne-t-il en exemple.  « C'est une bande passante très rentable, 1 Mo/s par dollar. Alors que si vous essayez d'obtenir la même chose avec un réseau de stockage, c'est beaucoup plus coûteux ».

Chaque noeud de l'architecture est auto-suffisant


La nouvelle architecture est conçue pour la prise en charge d'applications analytiques à haute performance et pour le cloud computing. Prasenjit Sarkar décrit GPFS-SNC comme une technologie où chaque noeud ou serveur x86 standard dispose de ses propres métadonnées, de son propre cache, et de ses outils de stockage et de gestion de données, tout en accédant aussi, en même temps, à chaque autre noeud dans la grappe à travers des ports Gigabit Ethernet.

« Ce que nous avons fait, contrairement au système de gestion de fichiers de Google [GFS**], qui a un noeud de domaine unique, c'est que nous avons distribué chaque aspect du système : les métadonnées, l'allocation, la gestion du verrouillage et la gestion des tickets (token management), explique-t-il. Même si vous détachez un rack de serveurs de la grappe, l'ensemble pourra néanmoins continuer à travailler ». En ne partageant rien (d'où la mention « sharing nothing cluster » figurant  dans le nom de la technologie), poursuit Prasenjit Sarkar, il devient possible d'atteindre de nouveaux niveaux de disponibilité, de performance et de montée en puissance avec le système de fichier en grappe. Chaque noeud dans l'architecture GPFS-SNC est également auto-suffisant. Les tâches sont divisées entre ces ordinateurs indépendants et aucun d'entre eux n'a besoin d'en attendre un autre, précise l'ingénieur d'IBM.

GPFS-SNC supporte Posix


Le code GPFS-SNC supporte aussi Posix, qui permet à un large éventail d'applications traditionnelles de fonctionner au-dessus du système de fichiers, et d'exécuter à la fois les opérations de lecture et d'écriture. « Vous pouvez ouvrir un fichier, lire un fichier, puis faire des ajouts et remplacer n'importe quelle section. Avec le système de fichier distribué Hadoop de Google, vous ne pouvez pas faire d'ajout à un fichier, ni réécrire une section. Vous êtes donc assez limité », pointe le master inventor d'IBM.

GPFS-SNC supporte la totalité des fonctionnalités de stockage de données pour l'entreprise, telles que la sauvegarde, l'archivage, la capture instantanée d'images (snapshot), la gestion du cycle de vie de l'information, le data caching, la réplication de données en réseau étendu et la mise en place de politiques de gestion. L'architecture dispose d'un nom de domaine logique unique, ce qui permet de transférer les machines virtuelles entre des noeuds d'hyperviseurs.

« Ainsi, par exemple, dans notre grappe, vous pouvez faire tourner Hadoop aussi bien qu'une base de données DB2 en cluster ou des bases de données Oracle, explique encore Prasenjit Sarkar. Nous pouvons de ce fait utiliser un système de fichier générique pouvant être exploité par une grande variété d'utilisateurs. »

Big Blue vise les applications Hadoop MapReduce


IBM n'a pas précisé quand le système de fichiers GPFS-SNC sortirait de ses laboratoires pour arriver sur le marché. En revanche, Prasenjit Sarkar a indiqué que lorsqu'il serait disponible, il viserait trois domaines : les entrepôts de données (datawarehouses), les applications Hadoop MapReduce et le cloud computing.

« Le cloud n'est pas naturellement une architecture parallèle, mais nous y trouvons des machines virtuelles sur chaque noeud d'hyperviseurs et de nombreux noeuds d'hyperviseurs en parallèle. Chaque machine virtuelle accède à son propre stockage de façon indépendante par rapport aux autres VM. Par conséquent, vous obtenez de nombreux accès parallèles au stockage ».

L'actuelle technologie GPFS d'IBM est au coeur des systèmes haute performance du constructeur américain, Information Archive, Scale-Out Network Attached Storage (SONAS) et Smart Business Compute Cloud. La capacité de la future GPFS-SNC à exploiter en temps réel des applications Hadoop sur un cluster a valu à IBM une distinction dans la catégorie « storage challenge » lors de la conférence Supercomputing 2010.

(*) Les tests ont été faits avec les benchmarks MapReduce sur un cluster de 16 noeuds avec quatre disques SATA par noeud pour comparer GPFS-SNC (pour General Parallel File System-Shared Nothing Cluster) et HDFS (
Hadoop Distributed File System).

(**) Google File System (GFS) est un système de gestion de fichiers développé par Google pour ses besoins. Il est conçu pour fournir un accès fiable aux données en s'appuyant sur d'importantes grappes de serveurs.

Illustration : Prasenjit Sarkar, ingénieur spécialisé dans le stockage des applications analytiques pour la branche recherche d'IBM (crédit photo : IBM)
(...)

(15/11/2010 17:40:38)

Enterasys lance un outil d'administration des datacenters virtuels

Enterasys Networks, filiale de Siemens Enterprise Communications, a dévoilé cette semaine un outil de management qui apporte une visibilité, de même que des fonctions d'automatisation et de contrôle aux ressources hébergées dans des centres de données virtuels. Le DCM (Data Center Manager) est la composante clé d'une stratégie relative aux datacenters, annoncée au début de l'année par l'éditeur. Celle-ci repose aussi bien sur l'intégration de partenariats auprès de plusieurs fournisseurs, que sur les capacités d'administration de ses commutateurs. « DCM est l'outil d'administration des commutateurs d'Enterasys qui fournit de la visibilité sur les différentes briques serveurs,  stockages et applications dans des environnements physiques et virtuels », a indiqué le constructeur. La solution fournit des informations à l'aide d'un outil qui suit et dresse un historique des mouvements d'une machine virtuelle, donnant aux utilisateurs l'assurance de la bonne allocation des ressources.

Regrouper des machines virtuelles selon différents rôles

Brocade et Cisco sont également capables de faire de même avec leurs solutions d'administration des datacenters et des  commutateurs. Le premier, grâce à  une offre baptisée Automatic Migration of Port Profiles, le second via un service qui est un composant intégral de sa plate-forme d'accès serveur/commutateur/réseau baptisée United Computing System (UCS). Les capacités de DCM et de ses produits concurrents donnent aux administrateurs informatiques la possibilité de regrouper des machines virtuelles selon différents rôles. La solution détecte les enregistrements et l'authentification des machines virtuelles, le contrôle d'accès, les tâches d'administration pour VLAN, les classe et la qualité des services, et enfin le contrôle du trafic du réseau. En utilisant le service d'Enterasys, les équipes IT peuvent avoir une vue du serveur virtuel et de l'environnement réseau. Un processus d'allocation unifié permet d'automatiser des règles individuelles sur des données variées au sein de fabric du commutateur.

La solution d'Enterasys fonctionne avec les produits de virtualisation des serveurs pour Citrix, Microsoft et VMware. Le logiciel est disponible dès à présent en deux versions : l'une basique, limitée à 10 hyperviseurs ESX de Vmware ou XenServer de Citrix et 100 machines virtuelles sur le réseau. La seconde, plus avancée, supporte jusqu'à 50 ESX ou XenServer pour 1 000 machines virtuelles.

(...)

(05/11/2010 14:14:57)

Virtualiser avant de passer à Windows 7 ?

La virtualisation des bureaux, des applications et des fonctions utilisateurs peut potentiellement contribuer à pousser les utilisateurs vers une machine tournant sous Windows 7, et résoudre au passage les problèmes de compatibilité des applications. Toutefois, la mise en place des projets de virtualisation prend du temps et engendre un coût non négligeable - même si Microsoft a décidé de baisser le prix de la licence Windows pour les postes de travail virtuels -, si bien que les revendeurs informatiques auront à estimer au plus juste les avantages et les inconvénients d'une telle offre.

Sur son blog Windows, Microsoft ne dit cependant pas grand-chose, à part mettre en avant de manière très positive les avantages de la virtualisation du bureau pour l'entreprise. « À mesure que les clients migrent vers Windows 7, la plupart choisissent d'adopter les technologies de virtualisation, » écrit Rich Reynolds, le directeur général de Microsoft Windows. « Cela permet aux responsables informatiques de simplifier le déploiement, la migration et la gestion de leurs environnements de travail. Cela permet aussi d'offrir plus rapidement un service, de centraliser et de sécuriser les données. Cela rend enfin les applications et les fonctions utilisateurs disponibles indépendants de tout paramétrage local. » Celui-ci ajoute que « ces avantages peuvent aider les utilisateurs à se familiariser plus facilement et plus rapidement avec Windows 7, si bien que nous recommandons à tous nos clients passant sous Windows 7 de voir dans quelle mesure la virtualisation de bureau peut contribuer positivement à leur migration. »

Une offre vaste

Évidemment, Microsoft pousse ses propres produits de virtualisation pouvant aller de pair avec Windows 7. L'éditeur a notamment récemment mis à jour Microsoft Enterprise Desktop Virtualization qui améliore la compatibilité avec les applications existantes et offre plus d'options pour faire tourner des applications web nécessitant l'usage d'un Internet Explorer 6 dépassé. « La virtualisation de bureau rendra les tâches plus faciles à travers ses technologies. Par exemple, les outils de virtualisation de Microsoft permettent de séparer le bureau en plusieurs niveaux : la Session Utilisateur, les applications, et l'OS, » écrit encore le directeur général de l'éditeur. Par ailleurs, Win 7 intègre un mode XP et la technologie Virtual PC pour faire tourner des systèmes d'exploitation plus anciens.

Cependant, dans le domaine de la virtualisation de bureau, Microsoft se trouve face à plusieurs concurrents de taille, et il est peu probable que l'éditeur parvienne à dominer ce marché, de la même manière qu'il domine celui des systèmes d'exploitation. Ses plus grands concurrents, Citrix et VMware, offrent tous deux, des logiciels aussi bien que des applications de virtualisation de bureau. Par ailleurs, constatant que de nombreux clients rencontraient des problèmes pour faire migrer leurs applications depuis d'anciennes versions Windows vers Seven, Vmware a déjà mis à jour cette année son logiciel de virtualisation d'applications ThinApp pour faciliter la transition. Mais Citrix XenDesktop et VMware ThinApp sont loin d'être les seules alternatives à Microsoft. Des fournisseurs comme Dell KACE K2000 Deployment Appliance, AppSense Environment Manager, Liquidware Labs ProfileUnity, Parallels Desktop Upgrade to Windows 7, Tranxition Migrate7, Viewfinity User Migration, Zinstall XP7, Ghost et Altiris de Symantec, proposent tous des solutions professionnelles ou grand public pour aider les utilisateurs à passer sur une plate-forme virtuelle pour accueillir Windows 7.

(...)

(05/11/2010 11:25:49)

Windows 7 s'installe progressivement dans les entreprises

Forrester Research vient de publier une étude intitulée Updated 2010 : Windows 7 Commercial Adoption Outlook qui, comme son nom l'indique, porte sur le taux d'adoption de Windows Seven en entreprises de toutes tailles. Elle est menée menée auprès d'environ 700 décideurs IT dans le monde. La dernière version du système d'exploitation de Microsoft a, un an après sa sortie, un taux de pénétration supérieur à Vista, la version précédente datant de quatre ans. L'échec de Vista et le relatif succès de Seven ne doit pas cacher que la base installée en Windows XP reste largement majoritaire : 75% des postes de travail utilisent cette « vieille » version du système de Microsoft contre 10% pour Seven et 7% pour Vista.

L'étude du cabinet Forrester se penche ensuite sur les plans de migration. Presque plus personne n'envisage une étape Vista mais, par contre, 46% des entreprises planifient une migration vers Seven dans les douze mois, 8% envisageant la manoeuvre à plus long terme. 34% pensent migrer mais sans pour autant envisager de planifier la chose.

Windows reste majoritaire sur les postes de travail

De plus, le quasi-monopole de Microsoft dans les systèmes d'exploitation pour micro-ordinateurs se porte bien : 1% seulement des entreprises envisagent de passer à une autre famille de systèmes d'exploitation, 5% ne se prononçant pas sur la pertinence d'une migration après examen de celle-ci et 2% préférant attendre la version suivante. Windows 7 serait aujourd'hui déployé sur 31% des nouveaux ordinateurs achetés par les entreprises, contre seulement 1% l'année dernière.

Selon Forrester Research, le remplacement des machines obsolètes par des PC récents (donc livrés avec Win 7 OEM) est l'une des causes majeures de cette évolution constatée, la fin du support de XP pouvant en être une autre. Le cabinet précise que les entreprises trouvent un avantage direct à la migration mais sans préciser lequel.
(...)

(03/11/2010 11:11:31)

Vallourec privilégie un outil dédié pour la gestion de son parc informatique

Vallourec réalise et vend des tubes industriels. Avec 18 600 collaborateurs, il est présent dans 20 pays et dispose de 8 500 postes de travail répartis dans une quinzaine de pays. Jusqu'à récemment, le groupe ne disposait que d'outils hétérogènes à travers le monde pour recenser son parc informatique, tant sur le plan logiciel que matériel. Il en résultait une vision non satisfaisante de ses actifs et des discussions plus difficiles avec les fournisseurs, notamment les éditeurs de logiciels.

En décembre 2009, le groupe industriel choisit donc de déployer une solution unique de gestion de son parc, en l'occurrence BDNA Discover, au niveau mondial. La société a privilégié un produit dédié au lieu d'un module d'un PGI afin de disposer d'un outil complet et fiable. Un des aspects importants du produit pour justifier son choix a également été la capacité de détection des actifs (pas d'agent à installer sur les postes de travail, catalogue important de produits supportés...) et la richesse des rapports publiés.

Ces rapports sont reconnus par les éditeurs de logiciels comme des preuves de l'état du parc logiciel et cela facilite les discussions commerciales sans la présomption de culpabilité de piratage fréquente chez les éditeurs. Le coût du projet n'a pas été dévoilé, de même que les effets concrets sur les négociations tarifaires avec les fournisseurs.

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >