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(07/10/2011 10:16:31)

Témoignage : Avec la suite TalentSoft, Clarins pilote ses RH en mode SaaS

Clarins cherchait à gérer ses processus de formation, de recrutement, de rémunération et d'évaluation de façon intégrée, tout en bénéficiant d'une solution souple et évolutive.
Pour supprimer ses circuits papiers, en particulier ceux se rapportant aux formulaires d'évaluation, le groupe de cosmétique avait d'abord opté pour un ERP traditionnel, mais l'expérience s'était révélée malheureuse. Au final, Clarins  s'est tourné vers la suite logicielle TalentSoft en mode SaaS pour gérer le cycle complet de sa gestion des ressources humaines.
« Nous souhaitions dématérialiser nos entretiens d'évaluation papiers et nous avions choisi un outil beaucoup trop rigide qui ne s'adaptait pas à nos besoins, », confie Sébastien Biessy, directeur du développement RH de Clarins. « Nous manquions de ressources internes pour gérer le projet avec un ERP qui ne nous permettait pas de monter en version et qui nous a fait perdre pas moins de 10 000 CV !  Nous avons donc décidé d'en rester là et de rechercher une solution à la fois souple, adaptable et qui soit hébergée en mode SaaS. Partant de là, nous avons lancé un appel d'offres, à l'issue duquel une short list de cinq éditeurs  a été établie. Nous en avons retenu trois, et au final, notre choix s'est finalement porté sur la suite de TalentSoft ».

locaux clarins

Illustration: Locaux Clarins. Crédit photo : Clarins

Des équipes davantage suivies et mieux évaluées

La solution logicielle développée par TalentSoft est actuellement en cours de déploiement.  Clarins l'utilise pour réaliser ses plans de formation, ses entretiens annuels et ses  revues de salaires (qui portent sur les augmentations de la rémunération des collaborateurs)  La partie recrutement, de même que les profils en ligne, les « mini-CV »   (qui synthétisent les compétences et l'expérience professionnelle des salariés), les fiches collaborateurs ( comportant des éléments sur la rémunération) de même que les fiches carrières (qui alimentent les revues de salaires) sont pour l'heure en cours d'installation.

« Une solution de gestion des talents intégrée constitue le matériau de base des entreprises», considère Alexandre Pachulski, directeur général produits de TalentSoft. « En s'y appuyant, les responsables des ressources humaines disposent d'un meilleur outil de suivi de leurs équipes et les managers sont en mesure de les évaluer de façon plus qualitative ».

Des graphiques pour identifier les axes de progrès

De leurs côtés, les collaborateurs sont informés de l'actualité RH via  le module « Mon actu » et peuvent communiquer sur leurs expériences et leurs savoir-faire via l'application « Mon profil », à la manière d'un réseau social. Les résultats de leurs évaluations sont également mises à la disposition des collaborateurs qui peuvent, en outre, exprimer leurs souhaits de formation et de mobilité géographique ou fonctionnelle, tout en  visualisent le statut de leurs demandes dans l'outil « Mes actions ».

De leur côté, les responsables des ressources humaines ont la possibilité d'identifier les axes de progrès prioritaires individuels ou collectifs en consultant des graphiques ou en s'appuyant sur des statistiques. Ils peuvent également suivre l'évolution des  plans de formation grâce à la présence de tableaux de bord.

La suite de GPEC de TalentSoft n'a pas nécessité de formations spécifiques. « Nous avons présenté l'outil à nos collaborateurs à l'occasion d'un point sur les RH, » précise le directeur du développement RH de Clarins. « Lors de sa démonstration, nous avons joint un didacticiel qui n'a pas soulevé de difficultés particulières. ». Pour le dirigeant, la gestion des carrières est entrée dans une phase de mutation. « Elle nécessite de s'appuyer sur un outil informatique, qui n'est peut-être pas la solution miracle mais qui constitue une solution souple pouvant s'adapter à ce que nous sommes et qui inspire une relation de confiance », conclut Sébastien Biessy.  


Illustration : Sebastien Biessy, directeur du développement RH de Clarins. Crédit photo : Clarins



(...)

(06/10/2011 10:19:11)

SAP va promouvoir la co-innovation avec ses clients

Tous les ans, la convention annuelle de l'USF (le club des utilisateurs francophones de SAP) est un moment fort pour toute la communauté des clients de l'éditeur. Les 5 et 6 octobre, la convention 2011 s'est réunie au Palais des Congrès de Strasbourg avec un millier de participants. Ceux-ci ont pu participer à 78 ateliers dont 7 internationaux en Anglais (avec traduction simultanée), animés par les 48 commissions thématiques du club (dont l'ex-club BO), et 8 conférences plénières. Ils ont aussi pu visiter un village de 66 partenaires de l'écosystème SAP. Enfin, SAP et l'USF ont officialisé un partenariat permettant de lancer une véritable co-innovation entre l'éditeur et ses clients, pour un bénéfice mutuel.

La complicité affichée contraste singulièrement avec la pas si ancienne guerre de la maintenance. Comme quoi les clients ont tout intérêt à s'organiser pour se faire entendre, si nécessaire en frappant fort, pour ramener les fournisseurs à des pratiques plus positives. La maturité de la relation USF-SAP et le dynamisme du club ne se retrouvent pas dans les autres communautés autour des grands fournisseurs, comme Oracle ou Microsoft par exemple.

Le risque au coeur de la convention

La thématique générale de cette convention était l'appréhension des risques au delà de la seule sécurité informatique. Alain Juillet a ainsi animé une plénière sous l'aura de son impressionnant CV : fils de Pierre Juillet, ancien patron de la DGSE, ancien haut responsable auprès du Premier Ministre pour l'intelligence économique, président du Club des Directeurs de la Sécurité d'Entreprise (CDSE), président de l'Académie de l'Intelligence Economique... Il a ainsi insisté sur le rôle de prévention (donc d'anticipation des crises) et de protection du directeur de la sécurité. Il a surtout regretté le manque de concentration des entreprises sur le problème de la sécurité, surtout de leur patrimoine immatériel : « les responsables métier n'ont pas toujours conscience de la valeur des informations qu'ils traitent pour des agresseurs. Les rapports de stage se vendent 15 à 50 euros sur Internet et sont de vraies mines d'or ».

L'ère numérique supprime la hiérarchie

Comme, après lui, le sociologue Stéphane Hugon, il a attiré l'attention sur les évolutions culturelles fortes qui ont actuellement lieu en lien avec l'émergence de la société numérique. Jadis, même en cas de grèves dures voire violentes, la règle était la protection de l'outil de travail au sens le plus large. Aujourd'hui, la malveillance interne n'est plus exceptionnelle en lien avec les remises en cause du modèle hiérarchique au profit du modèle participatif. Désormais, l'individu attend une reconnaissance propre et revendique une identité sans lien avec son emploi. Le chef comme l'expert doivent reconnaître une égalité avec les autres participants : il y a échange et non plus parole divine descendante.

Malgré tout, Nicolas Sekkaki, DG de SAP France et Maghreb, a voulu tempérer : « les entreprises doivent faire confiance aux nouvelles générations comme les Anciens nous ont fait confiance. Elles savent comment le numérique, par exemple les réseaux sociaux, ont transformé leur vie et comment les entreprises peuvent en tirer profit. Le monde change rapidement, les cycles de projets doivent donc être plus courts. »

C'est dans cette logique qu'a été définie le nouveau partenariat entre l'éditeur et les clubs utilisateurs à travers le monde. Il s'agit pour SAP de coller au plus vite et avec la plus grande réactivité possible aux besoins de ses clients.


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Les clubs seront ainsi appelés à collaborer à l'évolution des produits de l'éditeur dans un programme à trois étages. Celui-ci a été testé en Allemagne et est aujourd'hui étendu à la France, à la Grande Bretagne et aux Pays-Bas. Le niveau le plus ancien est aussi le plus élevé. Rebaptisé « customer advisory council », il s'agit d'associer les clients aux grandes orientations stratégiques de l'éditeur. La roadmap produits est une source régulière de conflits entre les clients et les éditeurs. La transparence et l'écoute seront désormais, pour SAP, les règles au travers de la « customer engagement initiative ».

Une méthodologie stricte pour gérer les besoins des clients

Enfin, le plus concret des niveaux est aussi le plus original. Le « customer connection » consiste à gérer les mille demandes régulières de petites améliorations fonctionnelles. L'expérience allemande a ainsi généré en un an une centaine d'améliorations.

Les sujets seront ouverts tour à tour, par petits groupes, afin d'éviter un encombrement et un désordre peu compatibles avec l'esprit SAP. Le calendrier des sujets (par exemple : le secteur de la distribution, les modules décisionnels...) sera connu d'avance afin que les clubs d'utilisateurs puissent organiser en amont la collecte des désirs des entreprises. Sur une période de 6 à 8 semaines par sujet, les clubs collecteront les demandes de leurs membres et les déverseront dans une base mondiale. Cette période sera une phase également de discussion pour constituer un consensus au travers de « votes ». Par ailleurs, cinq clients dans le monde (dont un leader) doivent s'engager à être des co-créateurs actifs et notamment à tester les modifications réalisées par SAP.

Une fois la première phase achevée, SAP a quatre semaines pour finaliser l'étude d'impact des modifications demandées. Si la remise en cause est trop profonde, la modification pourra ainsi être renvoyée vers les niveaux supérieurs (roadmap, stratégie). Au terme de cette phase, SAP indique pour chaque demande si oui ou non le développement demandé va être réalisé. Si c'est non, la raison du rejet sera précisée. En cas de réponse positive, le développement sera livré en version de production dans les six mois.

SAP, agent recruteur de l'USF

Les clubs d'utilisateurs devenant de fait les interlocuteurs uniques de SAP dans les demandes d'évolutions des produits, le rôle de ceux-ci se trouve ainsi accru et institutionnalisé. Une telle attitude est une première pour un fournisseur informatique.

Dans les prochains jours, la direction de SAP France va envoyer un courrier postal à tous ses clients pour expliquer la démarche. Ce courrier sera suivi de vagues de courriels. Chacune de ces communications intégreront l'indication d'un contact auprès de l'USF. De la même façon, chaque nouveau client de SAP se verra indiquer un contact de l'USF et décrire la procédure de co-innovation. La maturité et la complicité entre l'USF et SAP ne peut qu'étonner après les épisodes difficiles des dernières années. Les engagements pris par l'éditeur sont particulièrement forts. Il restera donc à juger sur pièce de leur effectivité. (...)

(06/10/2011 10:44:59)

OpenWorld 2011 : Oracle annonce son cloud public et un réseau social

Avec la disponibilité générale des applications Fusion, disponibles en mode licence classique, mais également fournies comme un service en ligne, Larry Ellison, PDG d'Oracle, a officialisé hier à San Francisco l'annonce d'un cloud public. « Puisque nous avons une suite applicative qui fonctionne dans le cloud, je pense qu'il nous en faut un », a-t-il plaisanté après être revenu sur les six années investies dans le redesign de la couche middleware Fusion et la réécriture de la centaine de modules de Fusion Applications (Finance, gestion du capital humain, projets, achats, supply chain management, CRM...).

Il s'agit ici à la fois d'une plateforme PaaS (plateform as a service) et SaaS (software as a service) hébergée et gérée par Oracle. « Tout le monde a un cloud, il nous en faut un », a surenchéri le PDG en mettant les rieurs de son côté. « Mais le nôtre est un peu différent : il est basé sur des standards de l'industrie et supporte une interopérabilité complète avec les autres clouds et avec vos datacenters sur site parce que nous partageons tous les mêmes standards ».

Services de base de données et services Java

Au premier niveau du cloud, on trouve un service de base de données et  un service Java. Sur un second niveau, Oracle propose ses applications Fusion. « Vous pourrez prendre n'importe quelle base Oracle existante et la migrer vers le cloud, a assuré Larry Ellison. Vous pouvez aussi la ramener chez vous si vous voulez ou encore, la porter vers le cloud d'Amazon, et faire l'aller-retour autant de fois que vous voulez. Tout est portable parce que tout ce que nous faisons est standard. »

De même pour le service Java proposé. L'entreprise qui souhaite étendre son application par l'ajout de briques développera celles-ci en Java afin de pouvoir les porter dans tous les environnements supportant Java. « Cela peut être Amazon ou le cloud IBM », suggère le PDG d'Oracle. 

« Méfiez-vous des faux clouds ! »

« En revanche, n'essayez pas de l'amener sur la plateforme Salesforce.com, cela ne fonctionnera pas. Même avec le rachat d'Heroku qui propose une version dérivée de Java. » Le matin même, Marc Benioff, le PDG de Salesforce.com, avait convié les journalistes dans un café proche du centre de conférences pour se plaindre de l'annulation, par Oracle, du keynote qu'il devait donner sur OpenWorld 2011. L'intervention de Salesforce.com avait été déplacée au lendemain, soit après l'annonce du cloud public d'Oracle, comme on le comprend maintenant. Pour cette fois, l'avantage est donc allé à Larry Ellison qui ne s'est pas privé d'entonner le couplet habituellement réservé à Marc Benioff.

Oracle public cloud VS Salesforce.com

« Méfiez-vous des faux clouds », a ainsi lancé le PDG d'Oracle, reprenant à son compte le fameux slogan de son ancien collaborateur. « Quelqu'un de très célèbre dans le monde du cloud l'a dit : Méfiez-vous des faux clouds ! Quel bon conseil ! », a lancé Larry Ellison. « De fait, il y a une énorme différence entre les vrais et les faux clouds. » Et de rappeler les standards de l'industrie sur lesquels le sien s'appuie : outre Java, BPEL pour l'intégration, XML et les web services. « Salesforce utilise Apex. Si vous utilisez Apex pour développer une application, vous restez dans Salesforce. Vous pouvez y entrer, mais pas en sortir ». La salle de quelque 10 000 personnes n'a pas boudé son plaisir à cette évocation, Marc Benioff ne perdant pas lui-même une occasion d'aller sur ce terrain.

Oracle cède lui aussi au réseau social

Larry Ellison a aussi évoqué la sécurité et expliqué que les données de chaque client étaient gérées dans une virtuelle machine séparée. « Pas de multi-tenant, mais des bases de données séparées et sécurisées. Le multitenancy était une bonne solution il y a dix ans. Maintenant, vous pouvez disposer de ressources à la demande parce que l'environnement est virtualisé ». Les services communs proposés dans le cloud public d'Oracle incluent la gestion des ressources, l'isolation des données, la sécurité, l'intégration et l'échange de données, la recherche de virus, la gestion des listes blanches, ainsi que des services centralisés de surveillance des applications. Dans son cloud, Oracle va aussi donner accès à des bases d'informations, comme celle de Dun & BradStreet.

Oracle Social Network
Les fonctions de réseau social sont intégrées aux applications Fusion.

Enfin, le PDG a également annoncé l'arrivée d'un réseau social intégré à ses applications Fusion. Une évolution que l'éditeur n'avait originellement pas inclus dans ce projet mais rendue nécessaire par l'adoption de ces modes de communication. L'accueil réservé au réseau social Chatter, de Salesforce.com, n'a peut-être pas non plus été étranger à l'arrivée de ces fonctions dans le cloud d'Oracle. (Mise à jour) Pour l'instant, seules les offres Fusion CRM et Fusion HCM sont disponibles dans le cloud. Le réseau social et les services Java et de base de données ne le sont pas encore, mais on peut s'enregistrer en ligne pour être alerté quand ils le seront. Pour en savoir plus sur les fonctionnalités proposées (Fusion CRM, Fusion HCM, Social Network, service Java, service Database) : http://cloud.oracle.com

Sur OpenWorld 2011, Larry Ellison a terminé sa conférence en réalisant lui-même, seul sur scène, une démonstration d'une application de CRM dans le cloud, sur tablette et sur PC, en prenant largement appui sur les nouvelles fonctions de réseau social.

La tarification du cloud public d'Oracle sera basée sur un abonnement mensuel et chaque service pourra être acquis indépendamment des autres.

Oracle public cloud

Illustration principale : Larry Ellison, PDG d'Oracle, sur OpenWorld 2011 lors de l'annonce de son cloud public (crédit : MG)

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(05/10/2011 09:46:38)

OpenWorld 2011 : La vision stratégique d'Oracle se fait attendre

Dans sa conférence inaugurale, Larry Ellison a présenté une nouvelle appliance baptisée Exalytics et dédiée à l'analyse de données. Un produit fort similaire à l'offre de SAP et de son boîtier HANA. Exalytics est basée sur du matériel Sun et équipé d'un téraoctet de RAM et d'un processeur Intel Xeon E7-4800 à 40 coeurs. S'appuyant sur le traitement des données en mémoire (in-memory) et le parallélisme, elle permet des gains en performance importants (facteur 20) pour l'analyse de données et le reporting par rapport à des serveurs standard. Idéalement employée conjointement avec l'appliance Exadata database machine, Exalytics peut analyser les données d'une base relationnelle, mais aussi des données non structurées (DB2, Netezza, SAP warehouse).

Pour les données non structurées justement, Oracle a poursuivi sur sa lancée lundi en annonçant une Big Data Appliance. Comme les autres systèmes optimisés d'Oracle (Exadata datables machine, Exalogic pour les applications, Exalytics pour la bi), le boîtier combine "les avantages du prix du disque, des IOs de la mémoire flash et la vitesse du DRAM", a souligné Thomas Kurian, Executive VP Product Development d'Oracle. En ce qui concerne plus spécifiquement le traitement de grands volumes de données non structurées (le big data), l'appliance présentée lundi supporte Hadoop, ainsi que des outils Hadoop et un "Hadoop Loader" facilitant l'intégration des données non structurées réduites dans une base Oracle. L'appliance "big data" est également munie d'une base Oracle noSQL.

Mark Hurd promet du "contexte"

Suite à la présentation-vedette de Larry Ellison dimanche soir, les commentaires sur la toile étaient plutôt maussades. Vu l'essor du touche-à-tout Oracle et ses attaques contre Google/Android et HP, beaucoup attendaient que la société donne une vision générale de sa stratégie. Des espoirs déçus, Larry Ellison offrant une conférence plutôt technique focalisée sur les produits et les nouveautés. Les échos pour le moins mitigés ont toutefois fait réagir la société, Mark Hurd, Président d'Oracle, ayant promis lundi d'apporter "du contexte". A suivre.

ICTJournal.ch (...)

(05/10/2011 08:45:42)

Le gouvernement choisit Steria pour son SIRH interministériel

Il y a presque deux ans, l'ONP (Opérateur National de Paye) choisissait le consortium en charge de la création du système interministériel de paye, en l'occurrence celui composé de Accenture et Logica avec l'éditeur HR Access. C'est maintenant le SIRH interministériel qui vient d'être attribué, toujours sur la base HR Access, mais cette fois à la SSII française Steria.

Le marché est d'une durée prévue de quatre ans pour un montant ferme de neuf millions d'euros, sans compter les tranches optionnelles. Il comprend autant la construction du système que sa maintenance. Steria construira et entretiendra les référentiels de données associés au SIRH.

Le SI Paye interministériel sera alimenté par les divers SIRH de chaque ministère. Son usage est obligatoire. Par contre, le SIRH interministériel sera, lui, optionnel et pourra être choisi ou pas par chaque ministère. Sept ministères devraient le choisir, dont deux pilotes (Ministère de la Culture et Ministère des Sports). Son objet est de gérer des sujets aussi divers que la gestion des compétences, celle des formations, des affectations (et mouvements)...

A terme, l'ONP sera opérateur SaaS pour ce SIRH au bénéfice des ministères utilisateurs avec leurs spécificités.

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(04/10/2011 10:05:33)

Gestion de projet en mode SaaS pour 3 hôpitaux du 93

CHU 93 est un groupement hospitalier constitué des hôpitaux Avicenne (Bobigny), Jean Verdier (Bondy) et René Muret (Sevran). Il a regroupé les services techniques de ses membres. Ce service s'occupe de la maintenance, des appareils bio-médicaux et des travaux à faire sur chaque site.

Or le service technique unifié ne comporte plus que trois personnes et un responsable qui circule sur chacun des sites, à raison d'un site donné fixe chaque jour de la semaine. Il en résulte que ce responsable ne peut pas disposer des documents et informations disponibles dans chaque site lorsqu'il n'y est pas présent. Cela pouvait fortement retarder le traitement de devis.En effet, les devis parviennent le plus souvent par fax ou e-mail et étaient traités manuellement sur place. A cela s'ajoutait la nécessité d'accéder aux plans réalisés sous Autocad d'Autodesk pour l'ensemble des sites.

Pour partager les informations entre les trois sites de manière sécurisée afin que le responsable puisse accéder à l'ensemble des informations concernant son service partagé quelque soit le site sur lequel il se trouve, le CHU 93 a opté pour une solution de gestion de projets en mode SaaS. Par définition, cette solution, Global One de PI3C, est accessible et partagée sur les trois sites. Le CHU 93 y gère tout le cycle de traitement des devis ainsi que le référentiel unique partagé de plans. Le coût du projet n'a pas été dévoilé.
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(28/09/2011 11:00:48)

CIO.PDF 42 : Le SaaS est une opportunité

Le SaaS bouscule les manières de penser. Le phénomène ne fait que commencer et les déploiements montent en puissance. Reste que le défi principal demeure inchangé comme le rappellent les directeurs financiers : « comment faire aboutir les projets informatiques dans les délais et au coût prévu une fois que l'on a signé avec un prestataire ? » Le Cloud n'apporte toutefois qu'une partie de la réponse à cette question récurrente depuis que l'informatique existe.

Bousculer les habitudes, cela peut aussi être de présenter une femme novice en politique à la députation... avec succès. CIO.PDF 42 présente le cas de Laure de La Raudière, une ancienne manager IT. Une petite anecdote qu'elle nous a confiée : Laure de La Raudière était à la division Grands Comptes de France Télécom au moment de la négociation du premier contrat d'externalisation globale au niveau mondial des télécoms en France. Il s'agissait du projet Telios du Crédit Lyonnais, en 1995-1997, c'est à dire à l'époque du grand incendie du siège social.

Nos confrères de CIO Etats-Unis nous ont fourni trois témoignages de DSI de grands groupes. Ceux-ci rapportent la manière dont ils établissent leur stratégie et leurs développements pour fournir un environnement mobile durable.

Enfin, dans le domaine des jeux sociaux, le service marketing, les concepteurs et les informaticiens coopèrent afin de comprendre le comportement des joueurs. C'est ce que décrivent Olivier Mathieu, vice-président Publishing de Iscool et Thomas Cabrol, Data miner de la même société.

Lire CIO.PDF 42
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