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(19/02/2010 11:54:34)

Focalisés sur le business, les DSI de la distribution sont peu sensibles aux sirènes du cloud

A travers le monde, les DSI du secteur de la distribution sont plus nombreux à estimer que leur budget va monter (26%) que ceux qui pensent qu'il va baisser (21%), même si la majorité vote pour la stabilité (53%). C'est le premier enseignement de l'enquête Global Retail CIO Survey 2010 (voir fiche technique ci-dessous). Le deuxième concerne la nature des investissements et des préoccupations. Très clairement, leur préoccupation est avant tout : « comment faire plus de business ? ». Au coeur de la réponse, on trouve une meilleure gestion des promotions (36% des répondants envisagent une mise à niveau de leur solution), l'amélioration de la gestion automatique des réassorts (30%), l'optimisation de l'assortiment (29%), la mise à niveau des communications marketing par des voies électroniques (28%) et des sites web transactionnels (27%). De nouveaux systèmes devront aussi être mis en place dans les prochains mois : une gestion de la relation client multi-canal (42% des répondants, preuve que cela reste donc un souhait dans beaucoup de cas), un système de fidélisation et d'adaptation du marketing en fonction des habitudes d'achat (38%), le M2M, un outil d'optimisation des promotions et des démarques (respectivement 32% et 31%). A l'inverse, les DSI de la distribution sont poliment indifférents à des concepts comme le cloud computing (60% des répondants n'utilisent pas et n'envisagent pas d'utiliser) ou le développement coopératif des produits (49%). (...)

(11/02/2010 11:38:49)

Le CFTL veut promouvoir un test logiciel de qualité

Le CFTL (le Comité Français des Tests Logiciels) organise le 30 mars 2010 à Paris la deuxième édition de la Journée Française des Tests Logiciels. 200 spécialistes y sont attendus pour assister à des conférences sur l'organisation et le management des tests mais aussi à des retours d'expériences. Selon le CFTL, le coût du développement d'un logiciel se compose pour 30 à 50% du coût des tests. Une certification à trois étages Le CFTL, créé en 2004, est le chapitre français de l'ISTQB (International Software Testing Qualification Board). Ce dernier est présent dans 47 pays et a certifié 130 000 spécialistes du test logiciel. Le CFTL en a, pour sa part, certifié 740 en France au niveau « fondation » (la base) dont 140 sont ensuite parvenus au niveau « avancé ». Le niveau « expert », troisième et dernier, est en cours de définition. Le niveau « avancé » requiert cinq ans d'expérience dans le test et la réussite à trois modules distincts : le management des tests, les tests fonctionnels et les tests techniques (sécurité, maniabilité, maintenabilité, performance, résistance au stress...). Les accréditations réalisées par les différents chapitres de l'ISTQB sont similaires et donc valides sur le plan international. Le CFTL accrédite aussi les formations délivrées par des centres qui, en revanche, ne sont pas autorisés à faire passer les accréditations. En France, il y a aujourd'hui cinq centres accrédités au niveau « fondation » : Knowledge Department, EGL, Ps.testware, Acial et Kereval. Seul le premier est accrédité au niveau « avancé ». Il est par contre autorisé de s'auto-former pour passer en « candidat libre » les examens d'accréditation. A l'inverse, Bernard Homès, président du CFTL, déplore : « il n'y a pas (ou très peu) de formation aux tests de logiciels dans les écoles d'ingénieurs en France. » 190 sociétés ont appuyé des démarches de formation et de certification de leur personnel (Air France-KLM, SNCF, HSBC, MMA, Société Générale...) dont une vingtaines d'éditeurs de logiciels et de SSII. Le test des logiciels : une valeur ajoutée sur le marché de l'off-shore Si les tests de logiciels servent à améliorer la qualité de ces derniers, ils peuvent aussi constituer une valeur ajoutée sur le marché... de l'off-shore. C'est ainsi que pour se distinguer d'acteurs bien implantés, notamment l'Inde, des pays plus proches du David que du Goliath en informatique mettent en place des politiques nationales de formation et de certification de leurs spécialistes du développement. C'est notamment le cas de la Malaisie et de l'Egypte selon le CFTL. Les Malaisiens étant formés par des Français, la Malaisie sera d'ailleurs l'invitée d'honneur de la deuxième édition de la Journée Française des Tests Logiciels. (...)

(10/02/2010 14:18:14)

La Cour des comptes pointe le retard dans la dématérialisation des feuilles de soins

Le rapport 2010 de la Cour des Comptes pointe qu'il reste encore des gisements d'économies grâce à la dématérialisation à réaliser à la sécurité sociale. Pour la Cour des Comptes, le dispositif SESAM Vitale n'a pas encore atteint son plein potentiel. L'assurance maladie a encore reçu 150 millions de feuilles de soins papier en 2009, ce qui représente une dépense évitable de 200 millions d'euros par an. Un satisfecit est cependant accordé à la CNAM TS. Plus de 1,1 milliard de feuilles de soins sont traitées de façon électronique chaque année contre 330 millions en 2001 et 904 millions en 2005. Leur nombre continue de progresser de 3,8 % sur les neuf premiers mois cumulés de 2009. Le remboursement des soins est assuré en quelques jours sans autres formalités ni coûts d'affranchissement. Selon la CNAMTS, le traitement d'une feuille de soins électronique ne coûte que 0,27 € en moyenne, contre 1,74 € pour une feuille de soins papier reçue par la Poste. Il en résulte une économie de 1,5 milliard environ par an (hors dépenses informatiques spécifiques, dont le montant total ne peut être isolé). Les professionnels libéraux trainent encore des pieds Ceci dit, pourquoi 150 millions de feuilles de papier circulent encore ? La Cour répond que si les assurés doivent être incités à ne pas oublier leur carte Vitale et les services informatiques à améliorer encore leur fiabilité, ce sont surtout les professionnels libéraux de santé qui sont en cause. En 2008-2009, pas moins de 41% des spécialistes, 27% des généralistes, 24% des dentistes, 22% des infirmiers et 20% des masseurs kinésithérapeutes n'émettaient en effet encore aucune feuille de soins électronique. La solution ? Mettre à l'amende ces personnels de santé encore réfractaires selon la Cour. Elle rappelle que c'est donc bien tardivement que l'article 53 de la loi du 21 juillet 2009, dite « Hôpitaux, patients, santé, territoires », a prévu la mise en oeuvre, qui aurait dû intervenir au 1er janvier 2010, d'une contribution à la charge des professionnels de santé refusant la délivrance de feuilles électroniques. Cette contribution serait de nature à optimiser l'usage du système SESAM Vitale, mais à condition qu'elle soit fortement dissuasive. La Cour refuse de considérer comme valables les excuses avancées telles que les problèmes pratiques évoqués par certains professionnels (utilisation d'un lecteur portable de carte Vitale en cas de soins à domicile, professionnels de santé trop âgés pour s'informatiser, assurés ne disposant pas de carte Vitale). Ces points ne sont plus de nature à empêcher la généralisation de la carte Vitale affirme la Cour qui veut que la contribution devienne effective sans plus tarder. [[page]] Un parc applicatif hétérogène et inégale Par ailleurs, la Cour réagit à la CNAMTS qui déclare que 99,99% des télé-transmissions sont réussies. La Cour indique que ce taux ne comprend pas les situations où la télé-transmission n'a pu être mise en oeuvre. Quant au solde très faible de 0,01%, il représente cent mille tentatives d'envoi échouant encore chaque année. Ces échecs résultent d'incompatibilités ponctuelles comme de l'hétérogénéité des postes de travail des professionnels. L'ancienneté de certains de leurs logiciels comme la qualité inégale des mises à jour et de la maintenance qui leur incombent sont à l'origine de nombreux dysfonctionnements. Ces logiciels font certes l'objet d'une validation initiale sous la responsabilité de l'agent comptable de la CNAMTS, mais leurs évolutions et mises à jour sont rarement testées. La Cour rappelle qu'il existe un nombre élevé d'éditeurs (plus de 150) et de logiciels médicaux (plus de 300). De tout cela résultent des anomalies techniques et des risques de captation de données confidentielles. Avec plusieurs années de retard, la définition d'une nouvelle configuration de référence est maintenant en bonne voie. Des temps de réponse plus rapides devraient apporter des gains de temps. Pourquoi les médecins sont-ils réfractaires ? La Cour rappelle les enseignements d'une étude à base d'entretiens réalisée en 2007 pour la caisse primaire d'assurance maladie de Paris auprès de 16 médecins peu ou prou réfractaires à SESAM Vitale. Elle avait confirmé que l'on peut les classer en : - « insoumis / révoltés», qui affichent une franche hostilité vis à vis d'un système qu'ils perçoivent comme allant à l'encontre de leur éthique médicale ; - « conservateurs / traditionalistes », qui refusent l'informatique et tout changement dans leur culture «papier et oral», avec la peur d'une technique non maîtrisée et du «virtuel» ; - « prudents», qui, très «experts» avec leur système et leurs logiciels informatiques très performants, refusent d'être déstabilisés par une télétransmission risquant d'entraîner un remaniement, voire un renouvellement, de leurs outils actuels ; - « calculateurs », qui ne veulent pas investir dans un système qui (selon eux) ne leur offre ni avantages, ni bénéfices - mise en avant d'une raison économique qui peut cacher des motivations plus obscures ; - « débordés », qui n'ont pas de temps à consacrer à l'installation du système de télétransmission ou à sa maintenance (RV à prendre, choix du matériel, hotline...). (...)

(01/02/2010 10:00:15)

LeMondeInformatique.fr recherche un chef des informations

Rattaché à la rédaction en chef, vous prendrez en charge les missions suivantes : - Participation à l'élaboration du contenu éditorial du site, - Sélection et répartition du traitement des sujets d'actualité entre les journalistes de la rédaction, - Supervision de la production d'actualités, - Suivi de la rédaction des Newsletters Pour occuper ce poste, vous êtes nécessairement passionné(e) par les nouvelles technologies, l'ingénierie du logiciel et l'écosystème informatique. Vous faites preuve d'autonomie, de réactivité, de rigueur et d'un grand sens des responsabilités dans votre travail. Vous disposez d'excellentes aptitudes rédactionnelles, et maîtrisez la langue anglaise (notamment technique). Vous avez impérativement déjà assumé des fonctions comparables (chef des informations ou rédacteur en chef adjoint) au sein d'une rédaction dédiée à l'univers des technologies de l'information/nouvelles technologies (pendant 3 à 5 ans minimum). Votre expérience de l'encadrement vous permet d'établir un relais avec votre équipe, et de seconder le rédacteur en chef dans les missions qu'il vous confie. Ce poste est à pourvoir à Puteaux (92), et comprend des déplacements occasionnels en France ou à l'étranger. Les fonctions de chef des informations sont éligibles à la Carte de presse, et aux avantages associés. Salaire à négocier selon profil. Merci d'adresser vos candidatures par mail incluant CV, lettre, prétentions et idéalement références) à l'adresse suivante : sleblal@lemondeinfomatique.fr (...)

(13/01/2010 09:29:32)

Intergraphic 2010 : la plateforme de mise en page EMX couvre l'impression et le Web

Après avoir créé le logiciel Edition Manager pour modifier des documents QuarkXPress à partir d'un simple navigateur Web, la société française MG Production a développé une solution de mise en page entièrement accessible en mode hébergé. L'offre Edition Manager Xtend (EMX), que l'on peut voir en ce moment sur le salon Intergraphic 2010 (12-14 janvier, Palais des Congrès, Paris), est destinée à créer des contenus qui pourront être imprimés, publiés sur le Web ou adaptés aux téléphones mobiles (par le biais d'un export en XHTML). Elle a été conçue pour affranchir ses utilisateurs du recours à des logiciels de PAO qui s'installent sur les postes de travail (tels que XPress ou InDesign). L'éditeur s'adresse tout particulièrement aux départements marketing des grandes entreprises qui sont amenés à faire collaborer un grand nombre d'utilisateurs autour de documents et contenus (brochures, fiches techniques, catalogues...) à amender, enrichir ou localiser pour différents pays. Un module de workflow sert à contrôler les multiples contributions (service juridique, traducteur...) et à suivre l'avancée des documents. Néanmoins, le coût de la solution, entre 100 et 80 euros par utilisateur et par mois pour les cent premiers utilisateurs, la met également à la portée des PME. Un fichier PDF ou Postscript pour l'imprimeur Si le logiciel EMX ne couvre bien sûr pas la palette d'outils d'un QuarkXPress ou d'un InDesign, Philippe Traveilly, le directeur commercial associé de MG Production, considère qu'on y trouve « 70 à 80% des fonctionnalités majeures » utilisées dans ces solutions de PAO. Si nécessaire, ajoute-t-il, certains utilisateurs (l'infographiste, par exemple) feront appel en complément à leurs outils de dessin ou de retouche photo habituels. Philippe Traveilly insiste sur la facilité d'utilisation d'EMX, capable de gérer les contraintes de l'impression offset avec, à l'arrivée, le fichier PDF ou Postscript requis par l'imprimeur (les polices de caractères Open Type sont stockées sur le serveur). Selon cet ancien professionnel de l'imprimerie, la prise en main d'EMX, sans problème pour les familiers des logiciels de PAO, ne demandera que deux heures de formation aux novices. Parmi les clients de l'éditeur figurent déjà le constructeur automobile PSA, avec 850 utilisateurs du logiciel, et Havas, qui compte entre 130 et 140 utilisateurs. [Au Canada, MG Production est par ailleurs en cours de négociation avec un groupe international qui prévoit le déploiement de quelque 3 600 utilisateurs.] Partenaire de Sefas, spécialiste de l'éditique EMX s'utilise à partir d'un navigateur Internet Explorer 6.7 ou Firefox 3.5.x pour Mac ou PC. Il stocke séparément la mise en page et les contenus. L'élaboration de gabarits, conservés dans la base de données documentaire, permet à tout utilisateur de créer un document en respectant les contraintes graphiques, tant de l'impression offset que de la publication Web. Le document s'élabore dans un mode Wysiwyg offrant à l'affichage une présentation identique à celle qui sera imprimée ou publiée. La solution EMX comporte une médiathèque intégrée qui, sous peu, permettra de gérer aussi les vidéos. Si les clients ont déjà constitué une photothèque, elle pourra être récupérée dans EMX. Les documents peuvent être liés à des données (liste de prix, ou coordonnées de clients par exemple) gérées dans le système d'information de l'entreprise. « Nous sommes partenaires de spécialistes de l'éditique comme Sefas », précise d'ailleurs Philippe Traveilly. Les serveurs sur lesquels EMX est installé sont gérés par MG Production et hébergés dans le datacenter français d'Equinix, situé à Saint-Denis. (...)

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