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Applications métier
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(30/10/2008 08:53:38)
Markess : 47% des entreprises ont dématérialisé leurs factures en 2008
En 2008, 47% des entreprises privées et des administrations ont opté pour la dématérialisation de leurs factures, selon une étude réalisée par Markess International. Elles numérisent tout ou une partie de leurs factures entrantes ou sortantes. Pour les autres, 25% envisagent le même type de démarche d'ici à 2010, 21% n'ont rien prévu mais s'y intéressent et 7% n'y prêtent aucune attention. Le secteur privé est légèrement en avance sur le public, 52% des 200 entreprises interrogées avaient déjà sauté le pas en 2008 (contre 45% un an plus tôt). Le marché est essentiellement porté par la distribution et certaines industries (automobile, agro-alimentaire), mais la dématérialisation gagne de plus en plus de terrain dans des secteurs où les volumes de factures manipulées sont importants : les télécommunications, les services d'utilité publique (eau, gaz, électricité...), le transport et la logistique. La banque et l'assurance commencent à rattraper leur retard. Toutes les tailles d'organisations sont concernées. Les grandes (plus de 2000 salariés) sont les plus matures puisque 75% ont choisi de dématérialiser leurs factures. Mais 38% des PME se sont aussi laissées tenter, mais à un rythme moins soutenu que ce que le cabinet prévoyait il y a deux ans. Un meilleur suivi des factures et de séduisantes perspectives d'économies L'automatisation des processus comptables et financiers est la première raison qui motive les organisations dans cette voie de la dématérialisation (89%). Elle leur permet de suivre tout le cycle de vie de la facture et de vérifier si les processus de fabrication et de validation sont respectés. La perspective de réaliser des économies vient en deuxième position (76% des organisations interrogées). La dématérialisation réduit les coûts liés aux frais administratifs et aux ressources humaines ainsi qu'à l'archivage physique. Enfin, 53% soulignent enfin une accélération des processus de facturation. [[page]] Pour les factures sortantes, la liste des motivations est légèrement différente : 74% des organisations évoquent d'abord la réduction des coûts (traitement, production, relance pour le règlement, gestion des litiges, archivage...), 58% le besoin exprimé par leurs clients et 49% un service à forte valeur ajoutée à destination de la clientèle (outils de reporting, suivi et historique des factures, accès à des informations détaillées et personnalisées...). Dans les deux cas (factures entrantes/sortantes), le coût reste un motif incontournable, d'autant que grâce à la dématérialisation des factures les organisations peuvent rentabiliser des investissements logiciels déjà consentis pour d'autres projets, comme les transactions EDI (échange de données informatisées). Contrairement à d'autres projets informatiques, le retour sur investissements est relativement rapide. Pour 75% des organisations interrogées il n'excède pas les 12 mois. Des projets le plus souvent accompagnés par les éditeurs et les intégrateurs Pour les sociétés encore réfractaires à l'idée de la dématérialisation des factures, Markess International a relevé trois freins principaux: un volume de données à traiter insuffisant pour justifier un tel investissement, un cadre légal et réglementaire trop complexe et contraignant ou la résistance au changement des salariés. D'autant, dans ce dernier cas, que dématérialisation avec automatisation... et donc avec une diminution de la main d'oeuvre. Enfin, selon le cabinet, la plupart des projets sont accompagnés par deux prestataires, un éditeur mais aussi un intégrateur comme Accenture, Capgemini, Euriware, Ineum ou encore Logica. (...)
(27/10/2008 15:43:04)Autodesk en passe d'acheter les technologies 3D de Softimage
Fidèle à sa stratégie de croissance externe, l'éditeur de logiciels de création multimédia et de PLM Autodesk annonce vouloir s'offrir Softimage. Il vient en effet de signer un accord avec Avid Technology pour le rachat de la quasi-totalité du groupe Softimage. Avid avait lui-même acheté l'éditeur à Microsoft en 1998. La transaction devrait se monter à 35 M$ en espèces. Par cette opération, Autodesk enrichit encore son catalogue de technologies 3D dont il fait désormais sa vitrine. Le Canadien Softimage est spécialisé dans le développement de ce type d'environnements pour le cinéma, la télévision et les jeux vidéo. L'acquisition soutiendra en premier lieu la stratégie de jeux d'Autodesk et servira de complément à son offre de produits de divertissement numérique et de communications visuelles. Mais depuis le début de l'année, l'éditeur s'emploie aussi à travailler àproposer une plus grande synergie au niveau des outils 3D entre son entité « media et divertissement » d'un côté, et ses autres activités à destination de l'industrie par exemple. Autodesk Media et Divertissement propose des solutions d'animation, d'effets visuels, de montage, de finition et d'étalonnage des couleurs pour le marché de la 3D. En toute logique, il devrait donc continuer de développer et de commercialiser la principale gamme de produits de Softimage, tout en intégrant certaines des technologies dans les prochaines versions de ses propres solutions. Parmi les logiciels qui intéressent Autodesk se trouvent : l'animation 3D Softimage XSI (modélisation, animation, rendu et développement 3D), Softimage Face Robot pour la création et l'animation de visages 3D, le système avancé SOFTIMAGE Cat d'animation de personnages pour 3DS Max d'Autodesk et l'outil d'interopérabilité Softimage Crosswalk. (...)
(27/10/2008 10:28:29)Sage recrute et forme des consultants ERP
« Nous avions besoin d'un écosystème plus large pour notre ERP X3 et notre suite financière FRP » indique Christophe Letellier, directeur général de la division moyennes et grandes entreprises de Sage. L'éditeur a donc étendu à quarante le nombre de ses intégrateurs certifiés. Dix autres sont en cours de signature. Un intégrateur, Micropole Univers, et une SSII, Logica, ont même fait de X3 leur ERP de référence. Pour ces partenaires intégrateurs, Sage a lancé plusieurs initiatives et d'abord, en termes de gestion de compétences. L'éditeur a mis en place, au mois de juin dernier, des certifications spécifiques. Fin septembre, 116 consultants étaient certifiés chez les partenaires intégrateurs de Sage. 170 consultants internes de Sage le sont également. Le programme « Partenaires puissance Sage » permettant de recruter et de transformer des spécialistes de comptabilité et finance en consultants informatiques ERP (sur 2 000 heures de cours, deux tiers de la formation se font sur le consulting, un tiers sur le produit). X3 se développe à l'international [[page]] X3 se développe également à l'international. Depuis début septembre, il est distribué en Allemagne, le plus grand marché d'Europe. Au total, 35 pays le commercialisent. C'est un vecteur de développement pour Sage. Contrairement aux autres produits de Sage qui sont, pour des raisons fiscales et réglementaires, essentiellement nationaux, X3 peut être facilement adapté à des marchés étrangers. L'offre a été développée en France par une équipe R&D de 270 personnes réparties sur Annecy, Bordeaux, Grenoble, Paris, Sophia-Antipolis. Les équipes chargées de X3 et FRP comptent au total 800 personnes en France et 500 à l'étranger. X3 enrichi avec des offres d'autres éditeurs Pour accroître les fonctionnalités de X3, Sage a aussi décidé d'intégrer les produits d'autres éditeurs très spécialisés. C'est ainsi que Assetium fournit sa solution de PLM (product lifecycle management), Osis des outils de manufacturing system, et PréActor une solution de gestion de planning. X3 fait aussi appel aux solutions de GED de ReadSoft et de Docubase. Ces nouvelles fonctions seront disponibles en 2009 avec la nouvelle version de X3. Celle-ci permettra également de recourir davantage aux services web et comprendra une gestion d'entrepôts et une partie RH. La suite financière FRP bénéficiera elle aussi d'une nouvelle version. (...)
(17/10/2008 16:47:11)SAP ouvre une place de marché pour les solutions de ses partenaires
A l'occasion de sa conférence technologique TechEd de Berlin (14-16 octobre), SAP a annoncé l'ouverture d'une place de marché, SAP EcoHub, permettant de rechercher, par secteurs d'activité, des solutions partenaires certifiées qui s'appuient sur ses applications de gestion intégrées et les complètent. Ce canal de distribution permet d'entrer directement en contact avec les fournisseurs de ces offres afin d'obtenir démonstration, compléments d'informations et propositions commerciales. Les solutions sont réparties sur vingt-quatre secteurs d'activité (automobile, produits de consommation, high tech, chimie, télécommunications, santé, secteur public, sciences de la vie, services professionnels...). On peut aussi effectuer ses recherches par catégories d'applications : PGI, gestion de production, gestion de la relation client, des fournisseurs, des actifs, du cycle de vie des produits ou de la chaîne logistique. SAP EcoHub fournit un accès aux communautés constituées autour des applications de l'éditeur allemand : SAP Developer Network (SDN), Business Process Expert (BPX) et la communauté Business Objects. SAP investit dans le réseau d'intégration d'entreprises de Crossgate Sur TechEd Berlin, SAP a par ailleurs annoncé qu'il avait investi dans la société Crossgate AG qui a constitué un réseau d'intégration permettant aux entreprises de rester connectées avec leurs partenaires en utilisant leur mode de communication habituel (EDI, Web, télécopie, courriel, RFID, GPS, SMS). Crossgate, qui propose des services de facturation et de signature électroniques et d'automatisation de processus, a développé pour les utilisateurs d'applications SAP un service 'on demand', B2B 360°, qui leur permet d'établir une communication électronique directe avec quelque 40 000 partenaires. (...)
(16/10/2008 16:47:47)Convention des utilisateurs SAP francophones : l'éditeur défend sa maintenance majorée
Pour les 900 clients de SAP qui viennent de se réunir à Tours (15-16 octobre), la convention annuelle de l'USF (utilisateurs de SAP francophones) a abordé deux sujets majeurs : l'intégration de l'éditeur Business Objects au catalogue de SAP et la hausse du tarif des contrats de maintenance. Suite à la nervosité des clients de SAP sur la décision récente de l'éditeur de majorer le coût de son support, le Sugen, qui réunit la plupart des clubs SAP à travers le monde, a lancé en septembre une enquête pour sonder les utilisateurs sur cette évolution. Toutefois, les résultats, encore en cours de consolidation, ne seront communiqués par les clubs nationaux que début novembre. L'offre BW sera maintenue au moins quinze ans Lors de son intervention, Pascal Rialland, DG de la filiale française de SAP, a préféré longuement détailler le rachat de Business Objects, peu conflictuel, et ne consacrer que quelques minutes au sujet plus délicat de la maintenance. La fusion juridique entre BO et SAP a eu lieu en février 2008. SAP a rapidement voulu rassurer ses clients sur l'avenir de son propre module décisionnel BW et sur le futur de son offre en matière de décisionnel. La business intelligence sera clairement développée désormais uniquement sur BO, qui gardera sa transversalité et sa capacité à se connecter à des produits non-SAP, mais BW sera maintenu au moins quinze ans, permettant ainsi une migration en douceur au fil des besoins métier réels. Beaucoup de clients estiment ne pas utiliser à fond la maintenance standard [[page]] La disparition, le premier janvier prochain, de l'offre de maintenance dite « standard » à 17% du coût initial des licences et son remplacement d'office par une offre à 22%, dite « enterprise support », passe plus difficilement. Même si Pascal Rialland a voulu démontrer à quel point la mariée était belle : des conseillers accessibles en permanence 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, une prise en charge sous une heure avec un premier correctif sous quatre heures en cas de besoin, un engagement de niveau de service pour la solution SAP installée... Sans préjuger des futurs résultats de l'étude du Sugen, beaucoup de clients disent déjà ne pas utiliser tout ce que leur apporte l'offre « standard ». Ils estiment donc que l'augmentation de services est inutile pour eux et qu'elle génère un surcoût important. Devant la presse, le DG de SAP France a voulu se justifier davantage en mentionnant que certains clients, visiblement inconscients, ne voulaient pas couvrir convenablement par une maintenance de bon niveau leur installation SAP alors même que celle-ci était critique pour leur activité, obligeant (moralement ?) SAP à délivrer un service non-payé en cas de crash. Les mesures d'économie de SAP sans impact sur les clients, assure Léo Apotheker [[page]] En fin d'après-midi de cette première journée, Léo Apotheker, co-PDG de SAP, a su avoir recours à la magie d'un verbe séducteur pour apaiser les tensions Leo Apotheker a su avoir recours à la magie d'un verbe séducteur en fin de première journée pour apaiser les tensions sans vraiment apporter d'information nouvelle. Il a beaucoup insisté sur l'absence d'impact pour les clients de SAP des mesures d'économies décidées au sein de l'éditeur (dont des mesures sur l'emploi) et sur la solidité de l'entreprise. Rendant également un hommage appuyé à « l'écosystème SAP », Léo Apotheker a défini le réseau de partenaires de l'éditeur comme une des raisons de son succès. Après tout, il est vrai que, dans un écosystème, il y en a qui mangent et d'autres qui sont mangés, surtout si leur activité de maintenance est assurée par un éditeur en mal de prestations complémentaires pour justifier ses augmentations de tarif. « L'ancienne maintenance ne correspondait plus à notre monde » A propos de la nouvelle maintenance, Léo Apotheker a souligné qu'elle proposait une couverture globale de la « plate-forme » SAP, y compris les applicatifs non réalisés par SAP (notamment les personnalisations). « L'ancienne maintenance, celle de l'époque de R/3, ne correspondait plus à notre monde où la flexibilité et la complexité sont la règle » a-t-il indiqué. Et la nouvelle maintenance comprendra un outil qui tracera les impacts des patchs afin de ne pas obliger à des tests de non-régression complets à chaque évolution ou correction mineures. Mais cette approche « un seul service pour tout le monde » fait beaucoup grincer des dents parmi les utilisateurs et les dirigeants de l'USF ne se cachent pas de leur souhait d'un retour de l'éditeur à une variété dans son offre de maintenance, pour s'adapter aux besoins de chaque client. (...)
(16/10/2008 15:47:13)Trimestriels : la crise n'épargne pas Cegid
A l'instar d'autres acteurs IT, l'éditeur de progiciels de gestion intégré Cegid voit ses résultats baisser au cours du troisième trimestre de l'année. Le chiffre d'affaires est en léger repli à 53,8 M€ contre 54,2 M€ un an avant (-0,75%). Sur neuf mois, le CA parvient tant bien que mal à se maintenir à 169 M€ (+1,3%). Le pôle matériels et installations est toujours en déclin (-6% pour le trimestre). Sur neuf mois, ce pôle a vu ses revenus passer de 17,9 M€ à 14,5 M€, soit une baisse de 19%. L'activité licences et services d'intégration auparavant rentable enregistre également une baisse de l'ordre de 6% au cours du troisième trimestre. Les autres services (conseil, formation et déploiement) continuent de progresser. Les rachats expliquent la baisse des résultats [[page]]L'éditeur lyonnais explique ces résultats par un « ralentissement de l'activité au mois de septembre et des décalages de décisions et d'investissements » ainsi que par les derniers rachats qu'il a réalisés (VcsTimeless pour se conforter dans la distribution et Civitas dans les collectivités territoriales et les établissements publics). L'éditeur estime que sur l'ensemble de l'année son excédent brut d'exploitation (Ebitda) ne devrait pas souffrir des remous économiques, sans toutefois donner de chiffres. (...)
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