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Applications métier

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(30/04/2008 16:20:22)

SAP ralentit le déploiement de son offre Business ByDesign pour PME

Sans doute déçu par son chiffre d'affaires trimestriel en baisse de 22% (contre une hausse de 14% l'an dernier), SAP prend des mesures et lève le pied sur le déploiement de son offre Business ByDesign. L'allemand fondait pourtant de nombreux espoirs sur cette version en mode SaaS de son ERP, réservée aux PME. Il ne pourra donc pas en obtenir le C.A. espéré d'un milliard de dollars d'ici à 2010. Douze à dix-huit mois supplémentaire seront nécessaires pour y arriver. A son grand dam, SAP ne devrait pas non plus conquérir plus de 1000 clients avec ce service avant la fin de l'année. Il va en effet concentrer ses efforts sur les six pays dans lesquels se trouvent ses premiers clients les plus productifs. Le déploiement dans les autres régions attendra l'année prochaine. Par ce biais, l'éditeur devrait réduire son investissement dans Business ByDesign de 100 M€ pour le ramener dans une fourchette de 75 à 125 M€. Cette opération devrait aussi redynamiser la marge opérationnelle tombée à 14,6% au premier trimestre contre 20,2 l'an dernier. SAP espère aussi pouvoir maximiser le ROI de l'offre en réutilisant des innovations et des technologies déjà présentes dans ses autres produits. (...)

(18/04/2008 09:41:30)

Tibco Spotfire s'ouvre un peu plus aux applications composites

Un an après son rachat par Tibco, Spotfire livre une mise à jour de sa solution d'analyse de données, désormais dénommée Tibco Spotfire 2.1 et dotée de nouvelles interfaces de programmation (API) pour étendre les capacités d'applications composites (mash-up). Comme prévu, l'éditeur est resté autonome vis-à-vis de son acquéreur, tant au niveau de l'organisation que du développement et cette version ne comporte encore aucune intégration avec les outils de gestion des processus métiers de Tibco. Rappelons que ce dernier avait motivé son rachat de Spotfire par son intention d'ajouter des capacités d'analyse de données au sein des processus métiers. Chargement des données en mémoire Placé par le Gartner parmi les éditeurs visionnaires du marché du décisionnel, Spotfire met en avant ses capacités de visualisation interactive et de manipulation rapide des données, ces dernières étant rapatriées en mémoire sur le poste client. Une démarche qui rapproche son offre de celle d'un éditeur comme le Suédois Qlikview, dont le logiciel fait depuis quelques mois une percée sur le marché. L'application de Spotfire peut être prise en main par l'utilisateur non informaticien, qu'il soit spécialiste ou non de l'analyse de données. Originellement proposée en mode client/serveur, elle permet maintenant de consulter les rapports sur le Web ou de les adresser par courriel aux équipes nomades qui les explorent en mode déconnecté. Pour illustrer les nouvelles capacités d'applications composites, Olivier Nuzzo, responsable des ventes chez Spotfire, cite en exemple un service commercial qui pourrait associer une liste de clients à une application permettant de les localiser sur une carte afin d'optimiser le plan de visite. « La volonté technologique de Spotfire est d'être très ouvert afin de laisser nos clients intégrer les applications qui leur semblent les plus pertinentes », explique-t-il. (...)

(17/04/2008 09:33:14)

RGI : Bercy voudrait imposer Microsoft Office aux administrations

La nouvelle a fait le tour des administrations d'Etat durant la journée du 16 avril 2008 : le Référentiel Général d'Interopérabilité (RGI), bloqué depuis le 12 octobre 2007, devient brutalement une urgence pour la DGME (Direction générale de la modernisation de l'Etat). Le RGI, mis au point par une large collaboration de toutes les administrations sous l'égide de la DGME, définit précisément les règles de bonne gouvernance des systèmes d'information des administrations, tant en termes de méthodes que de technologies, notamment de formats de fichiers. Marc Meyer, chef de service « Développement de l'Administration Electronique » de la DGME, a reconnu dans une communication interne le 16 avril 2008 que le blocage était directement lié à un gros défaut de conception du RGI : le seul format bureautique accepté était OpenDocument (ODF, norme ISO 26300). Exit Microsoft et sa suite Office 2007, utilisant le format Office OpenXML. Inacceptable pour l'éditeur américain... qui finance et multiplie les partenariats para-publics (notamment dans l'Education nationale et la Recherche). Marche arrière toute : désormais, les formats OpenDocument et Office OpenXML seront traités à égalité dans le RGI. Le prétexte du changement de politique est la récente normalisation du format OpenXML défendu par Microsoft dans les conditions que l'on sait sous la référence ISO 29500. [[page]] Mais l'égalité suppose que toutes les administrations soient en mesure de traiter (en entrée, en sortie et en interne) les deux formats bureautiques au lieu du seul OpenDocument, ce qui est aujourd'hui impossible sans acquérir Microsoft Office 2007. Cela sans oublier que le véritable format ISO 29500 est aujourd'hui une vue de l'esprit puisque Microsoft Office 2007 n'implémente qu'une version d'OOXML préalable à celle qui a été normalisée, Microsoft ayant accepté d'amender sa copie. Pas de confirmation officielle à la DGME Si la modification du RGI n'est pas encore actée, le sujet devant être traité par des réunions interministérielles et tranché aux très prochaines Assises du Numérique, elle est évidemment le fruit d'une grande bataille d'influence entre les différents acteurs du marché informatique (Microsoft et quelques rares alliés d'un côté ; IBM, Google, Sun et les acteurs du logiciel libre de l'autre). Le point semble donc a priori marqué par Microsoft. A noter que, pour des raisons juridiques, le RGI ne pourrait pas être imposé aux collectivités locales et territoriales, dont l'autonomie est garantie par la Constitution. Il en résulte que celles-ci ne pourraient qu'opter volontairement (même incitées fortement) pour le respect des règles de bonne conduite du RGI. Mise à jour Contactée par mail avant l'écriture de l'article (service communication et sous-direction concernée), la DGME n'a pas répondu à nos questions. Relancés par téléphone, les opérationnels ont refusé de commenter nos informations et la direction de la communication très sèchement de même. Selon des sources proches du dossier, l'ambiance interne de la DGME serait pour le moins animée suite aux fuites à la base du présent article. (...)

(14/04/2008 16:30:30)

Deloitte livre son Top 10 des tendances technologiques de 2008

Quelles seront les grandes tendances technologiques de 2008 ? Deloitte apporte ses réponses sous la forme d'un Top 10, publié dans un PDF gratuit d'une vingtaine de pages. L'analyse établie par le cabinet, « à partir de recherches et de l'expérience de ses 6000 experts, de ses clients, d'analystes et d'acteurs mondiaux du secteur », met notamment en avant trois thèmes qui impactent directement les entreprises. Deloitte rappelle d'abord que le format d'échange de données financières XBRL (Extensible Business Reporting Language) fêtera cette année son dixième anniversaire, et qu'il a une maturité telle qu'il devrait être largement déployé et rendu obligatoire par les principales grandes puissances économiques. Le cabinet appelle donc les entreprises à s'y préparer, car cela impactera non seulement leur système informatique, mais aussi les compétences en interne et les processus. Côté compétences, justement, Deloitte conseille aux grandes entreprises de se préoccuper de la formation des employés aux environnements mainframe. Dans un chapitre intitulé « Gérer les compétences lorsque l'héritage devient l'avenir », Deloitte explique que les mainframes continuent de très bien se porter. « Chaque jour en 2008, on s'attend à ce que les mainframes réalisent 30 milliards de transactions, représentant 70% des données d'entreprise dans le monde », écrit Deloitte. Et de noter que la base installée croît de 5% par an. Mieux, le marketing écologique, très tendance en ce moment, serait de leur côté : « la consommation d'énergie, mesurée en nombre de Watts par transaction, est plus faible que tout autre type de serveur ». En conséquence, il faut d'urgence former des administrateurs et des développeurs rompus à ces environnements. Et au besoin rappeler les anciens pour des emplois à temps partiel, préconise Deloitte. Pas de précipitation vers la virtualisation Deloitte cite encore la virtualisation comme une des grandes tendances de 2008. Toutefois, « alors que 2007 était caractérisé par une ruée pour tester ou déployer», Deloitte estime qu'un peu de prudence sera de mise cette année. Le cabinet appelle les entreprises à ne pas se précipiter, et à bien évaluer où la virtualisation peut leur être bénéfique, à la fois en termes de technologie mais aussi de coût. Sans cela, indique Deloitte, les clients risquent de mauvaises surprises lorsque les éditeurs leur présenteront la facture. De même, Deloitte prévient qu'il vaut mieux être sûr de pouvoir bien gérer un parc de serveurs virtualisés, en expliquant que ce n'est pas parce qu'ils sont virtuels que les serveurs n'existent pas. Autrement dit, il pourrait être simple, faute de processus d'administration suffisamment aguerris, de sombrer dans un chaos générateur de coûts inutiles. L'écologie et la sauvegarde de l'environnement font bien sûr aussi partie de ce Top 10 des tendances technologiques. Deloitte explique par exemple que 2008 pourrait être l'année où les diodes électro-luminescentes (LED) remplaceront les ampoules à incandescence classiques, qui présentent un faible ratio énergie consommée / lumière délivrée, et contiennent en outre du mercure. Deloitte note que dans la mesure où les LED font partie de la famille des semiconducteurs, elles devraient bénéficier de la loi de Moore, et voir leur prix de production divisé par deux tous les dix-huit mois. Les nanotechnologies, meilleures amies de l'environnement, selon Deloitte [[page]] Deloitte estime que 2008 pourrait aussi être l'année des nanotechnologies. Ou du moins l'année d'une meilleure compréhension si les fabricants se donnaient la peine de mieux informer le public, inquiet, note Deloitte, des risques de dissémination incontrôlée de nanoparticules, ou d'autres risques pour la santé. Or, précise Deloitte, les nanotechnologies peuvent être bénéfiques à l'environnement, lorsqu'elles sont employées pour purifier de l'eau, par exemple, ou pour remplacer les piles classiques par des batteries de longue durée. Développement durable toujours, Deloitte lance un appel aux fournisseurs de technologies face aux pénuries d'eau potable. Expliquant qu'il s'agit là d'un formidable défi - mais aussi d'une grande opportunité - Deloitte incite les industriels à trouver des moyens plus économes en énergie de désaliniser l'eau, et des moyens plus économes en eau de pratiquer l'agriculture. Deloitte s'intéresse aussi à l'internaute-consommateur, estimant que l'anonymat, naguère de règle sur Internet, devrait laisser de plus en plus la place à un environnement où chacun s'identifiera, pour une sécurité accrue. De même, un nouvel équilibre commercial devrait être trouvé pour la collecte d'informations personnelles par les sites gratuits. Enfin, l'explosion de la quantité de données créée et gérée par chacun va conduire, indique Deloitte à l'émergence de nouveaux services de protection et de récupération des données. Une opportunité, note le cabinet, pour les fabricants de PC aux marges déclinantes de proposer des services à valeur ajoutée. Green IT, réseaux sociaux et homme bionique en 2007 En 2007, le rapport de Deloitte (ou plus précisément, la branche Technology, Medias & Telecommunications de Deloitte Touche Tohmatsu) avait identifié : la prise de conscience écologique et la montée des solutions 'vertes' ; la progression d'interfaces utilisateurs recourant à la voix ou aux gestes ; la nécessité tant pour les entreprises que pour les particuliers de mettre en place des politiques de stockage en fonction du coût relatif des supports ; les déploiements de plus en plus fréquents de systèmes biométriques ; la prise de conscience chez les consommateurs que le gratuit n'est pas forcément le plus confortable ; la nécessité pour les industriels de se prémunir contre le vaste niveau de fraude à la TVA en Europe ; l'importance de se focaliser sur les besoins non comblés des consommateurs, les nouvelles technologies permettant tout et n'importe quoi ; l'attention à porter aux réseaux sociaux, afin de les rendre le plus rapidement possible générateurs de revenus ; le besoin de réduire la facture énergétique des appareils électroniques et de trouver des sources d'énergie alternatives ; et enfin le début d'un débat de société qui pourrait à terme déboucher sur « l'homme bionique ». (...)

(10/04/2008 15:49:38)

Cegid se renforce sur les logiciels d'hôtellerie et restauration

Déjà implanté sur le marché des logiciels pour l'hôtellerie et la restauration, sur lequel il a réalisé l'an dernier 10 ME (4% de son chiffre d'affaires), le Lyonnais Cegid vient d'acquérir l'éditeur GD Informatique, spécialisé sur le segment de l'hôtellerie indépendante. Cette société iséroise de 18 salariés a réalisé 1,5 ME de chiffre d'affaires en 2007 et compte 350 clients. Ses logiciels WinHôtel+ et WinRestau vont venir renforcer l'offre Cegid Business Line et seront distribués par le réseau d'agences et de partenaires du groupe. GD Informatique a également mis au point un système de réservation de chambres sur Internet. Cette solution hébergée, qui a été référencée par la Fédération Internationale des Logis (Logis de France), s'inscrit tout à fait dans la stratégie SaaS de Cegid qui, depuis deux ans, fait monter en puissance la fourniture de solutions en ligne. Sur son dernier exercice, l'activité « on demand » a représenté environ 5% de son chiffre d'affaires. Cegid entend également offrir un ensemble de services (assurance multirisque, conseil sur la retraite, bilan patrimonial.) aux PME du secteur de l'hôtellerie-restauration, dans la droite ligne de ce qu'il prévoyait de mettre en place en faisant entrer l'assureur Groupama à son capital en décembre dernier. (...)

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