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Architecture logicielle

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(30/03/2007 17:35:04)
IBM fournit du code Open Source pour migrer de JBoss à Websphere
Dans un grand élan de générosité, IBM et Covalent (spécialiste de la maintenance de Geronimo) ont fait don de code source à la communauté Apache Geronimo. Les outils donnés servent en fait à automatiser la migration d'applications écrites pour le serveur d'applications JBoss vers un serveur d'applications basé sur les technologies Apache. Dont Geronimo... mais aussi Websphere Application Server Community Edition, le serveur d'applications Open Source d'IBM (acquis via la rachat de Gluecode en mai 2005). Les outils sont constitués de plug-in pour l'environnement de développement Eclipse. Ils génèrent les fichiers de configuration appropriés, explique Paul Buck, directeur du programme Websphere Open Source d'IBM. « Par le passé, dit-il, les entreprises qui voulaient migrer [vers Apache Geronimo] devaient fournir un gros effort manuel pour changer les descriptifs de l'application... et réaliser les changements de code là où il y a des nuances subtiles entre les deux serveurs d'applications. L'outil examinera l'application J2EE elle-même afin d'identifier tout changement requis dans le code source aux endroits où nous savons qu'il existe des différences. » (...)
(30/03/2007 12:43:52)Trois écoles en finale du concours de développement Ricoh-Sun
Aujourd'hui, 30 mars, trois équipes d'étudiants sélectionnées pour participer à la deuxième manche du concours européen de développement organisé par Ricoh et Sun, se confrontent au siège francilien du fournisseur de solutions d'impression Ricoh. Et les gagnants français de la première manche de sélection sont... les étudiants de l'université du Havre, de Supinfo et de l'IIE (Institut Informatique & Entreprises) de Valenciennes. L'épreuve d'aujourd'hui consiste à présenter les travaux de migration vers un périphérique multifonction de l'application innovante (application Java, développée à l'aide de l'atelier SDK/J) qui leur a permis de se distinguer. A savoir : - pour l'équipe de l'IEE Valenciennes, un « ChatTools » qui permet d'instaurer un dialogue en temps réel entre un client en difficulté sur un équipement multifonction et la hotline ; - pour l'équipe du Havre, l'application « Timager » qui permet d'automatiser des tâches sur une imprimante multifonctions, et modulaire, de façon à ce que l'utilisateur puisse configurer lui-même les fonctionnalités qu'il souhaite ; - pour l'équipe de Supinfo, l'application «Get&Print» qui permet de simplifier la gestion distribuée des documents de l'entreprise (en intégrant les connexions Samba et FTP) avec un suivi du parcours des documents sur les différentes connexions via un explorateur, doté de fonctions de filtrage et de recherche. Dans la sélection des projets-étudiants entrait également un critère pédagogique, notamment la confrontation aux contraintes du matériel, que ne manquent pas de souligner les enseignants qui ont encadré ces équipes. Avec de plus, en ligne de mire, une invitation à la grand-messe JavaOne de San Francisco. L'équipe gagnante de cette seconde manche nationale sera invitée à participer à l'épreuve de sélection européenne qui aura lieu les 19 et 20 avril à Prague, au Centre de développement de Sun Microsystems. (...)
(29/03/2007 17:28:15)Sondage flash : un certain pessimisme sur la capacité d'Oracle à tout digérer
Vous avez été exactement 400 à répondre à notre 'sondage flash' sur la capacité d'Oracle à intégrer les technologies de ses acquisitions. Si l'on en croit ses résultats (qui ne prétendent pas être scientifiques), en plus de son travail technique d'intégration de tous les produits et modules technologiques dont il est maintenant propriétaire, Oracle devra faire attention à savamment expliquer sa démarche à ses clients et aux entreprises clientes d'une façon générale. Car 61,3% d'entre vous se déclarent « plutôt inquiets », contre 38,8% « plutôt confiants ». Nous avions publié ce sondage à la suite du dernier rachat d'Oracle, Hyperion, que Larry Ellison s'est approprié pour 3,3 Md$ au début du mois. Cette vingtième acquisition en moins de deux ans portait le montant total des rachats effectués par Oracle à plus de 20 Md$. Oracle est donc engagé dans un énorme travail d'intégration. Même si à l'instar de ce qui se fait chez SAP, l'intégration repose sur un socle middleware et des standards et protocoles ouverts (les services Web), le travail de fusion opéré par Oracle (le programme Fusion) sera évidemment de longue haleine. Ce qui semble inquiéter nos lecteurs. (...)
(29/03/2007 15:29:13)Retour à la vieille garde pour SAP après la démission de Shai Agassi
Les dents longues de Shai Agassi, qui se voyait déjà patron de SAP, se sont heurtées à un os. Hasso Plattner, fondateur de l'éditeur et président du Conseil d'administration, a demandé au directeur général (CEO) Henning Kagermann de rester en poste jusqu'en 2009, alors qu'il devait partir dès cette année. Shai Agassi a donc préféré annoncer son départ du groupe, un départ fixé au 1er avril. « J'avais partagé avec Shai mon plan, explique Hasso Plattner. Il devait succéder à Henning Kagermann en tant que co-CEO de SAP. Avec l'extension à 2009 du contrat d'Henning, il est devenu évident que cela ne plaisait pas à Shai de consacrer [à SAP] une période de 10 à 15 ans, cela ne coïncidait pas avec son plan de carrière. » Intervenant dans une conférence de presse téléphonique afin de préciser ce communiqué, Hasso Plattner a ajouté : « Il [Shai Agassi] m'a dit que ce n'était pas la dernière chose qu'il comptait faire dans sa vie. » Néanmoins, les deux se seraient quittés en bons termes, Shai Agassi disant qu'il se consacrerait à des projets personnels en rapport avec les problèmes d'environnement, les sources d'énergie renouvelable et le futur d'Israël (son pays natal), et Hasso Plattner expliquant combien la société lui était redevable. Agassi à la tête du développement technologique dès 2003 De fait, c'est Shai Agassi qui, en tant que président du Product & Technology Group de SAP, a élaboré et mené la stratégie de transformation du groupe. Sous son impulsion, SAP est passé d'un éditeur de progiciel à la structure monolithique à un éditeur d'une solution respectant les principes d'une architecture orientée services (SOA, ou ESA, Enterprise services architecture, dans le jargon SAP). Shai Agassi est entré chez SAP à l'occasion du rachat de sa société TopTier en 2001, un éditeur d'outils de création de portails. Il a rapidement monté les échelons, Hasso Plattner lui abandonnant dès 2003 son dernier rôle opérationnel dans SAP : la direction du développement technologique. C'est donc Shai Agassi qui a piloté l'élaboration de Netweaver, la plateforme middleware qui sert aujourd'hui de socle technologique à l'offre SAP. C'est également lui, jeune et brillant orateur, qui a parcouru le monde pour expliquer ce changement de stratégie afin d'inciter les clients et les partenaires à s'engager de nouveau avec SAP. Outre Netweaver, c'est lui aussi, plus récemment, qui a porté la stratégie On Demand, de fourniture d'applications en ligne, rappelle Denis Pombriant, analyste principal de Beagle Research. « Ces deux éléments sont absolument critiques pour le succès de SAP, dit-il. S'il n'est pas là pour pousser ces initiatives, je me demande si quelqu'un d'autre pourra le faire. » Leo Apotheker devient co-CEO immédiatement Le pire qui puisse arriver, indique de son côté David Bradshaw, analyste principal chez Ovum, est que Shai Agassi décide maintenant de s'impliquer chez un concurrent : « Interrogé afin de savoir si le contrat de Shai Agassi contenait une clause de non-concurrence, Hasso Plattner a fait une réponse qui semble vouloir dire qu'il n'y en a pas. » En revanche, le fondateur de SAP a insisté sur le fait que Shai Agassi conservait un bureau dans les locaux de R&D du groupe à Palo Alto, et serait dorénavant « consultant spécial » pour le conseil de surveillance. Le départ de Shai Agassi profite en tout cas à Leo Apotheker, président du groupe 'solutions & opérations clients' qui devait devenir co-CEO avec Shai Agassi. Il est immédiatement nommé CEO adjoint, en charge du marketing, des PME, et de la politique envers les partenaires. Henning Kagermann dirigera les équipes de développement du logiciel (Netweaver, CRM, Business Suite...). Pour Denis Pombriant, « on dirait que la nouvelle garde se fait mettre dehors par la vieille garde ». (...)
(28/03/2007 12:31:33)Le marché du BPM dépassera le milliard de dollars cette année
Un milliard de dollars dès cette année et 2,6 Md$ en 2011, le marché des logiciels de BPM (Business process management, gestion des processus métier) devrait faire partie des secteurs dont la croissance sera la plus rapide, prédit Gartner. Le cabinet d'études, qui tient en ce moment son Gartner BPM Summit à Londres, explique cette envolée par la façon dont Internet change la façon de faire des affaires, en plaçant le client au centre. Et donc en forçant les entreprises à accélérer la modernisation de leurs processus. De 2006 à 2011, le taux de croissance annuel moyen pour les suites de BPM devrait se situer à 24%. Janelle Hill, vice-présidente de Gartner, estime que « le BPM gagne la triple couronne : économiser de l'argent, économiser du temps et ajouter de la valeur. Le BPM procure à la fois un retour sur investissement rapide et de la valeur à long terme. » Le BPM, poursuit Gartner, est une composante majeure des architectures orientées services (SOA), et une raison essentielle pour y passer. Une étude de l'an passé indique que les entreprises devraient dépenser 22% de leur budget IT sur les SOA, les services Web et les initiatives 2.0. Côté éditeurs, le marché devrait encore se réduire. Gartner identifiait 50 acteurs du BPM en 2003, et ne comptait en 2006 que 25 éditeurs offrant une suite de BPM. Et Gartner s'attend à ce qu'au moins quatre d'entre eux soient rachetés par les éditeurs majeurs, tels qu'IBM, SAP et Oracle. (...)
(26/03/2007 13:40:36)MySQL séduit 40 % des développeurs
Selon le cabinet d'études indépendant Evans Data Corporation, Oracle, IBM et les autres grands éditeurs de bases de données ont du souci à se faire. Loin d'être un jouet pour développeurs ou de se cantonner aux expérimentations pilotes, la base de données Open Source MySQL s'impose dans les entreprises. En l'espace de deux ans, sa part de marché est passée de 32 % en 2004, à 40 % en 2006. De plus, comme le nombre de développeurs utilisant des outils Open Source ne cesse de croître, cette part de marché est appelée à grandir. Et ce, d'autant plus que 69 % de ces développeurs Open Source sont satisfaits des bases de données libres disponibles actuellement. Il est à noter que l'étude Evans Data prend en compte aussi bien les projets pilotes au stade de développement, que ceux réalisés en production en entreprise. Pour John Andrews, président d'Evans Data Corporation, « dans un nombre croissant de nos catégories de classement, nous voyons les bases de données Open Source arriver au niveau des bases propriétaires, ou même les dépasser. » Selon le cabinet d'études, cette popularité de MySQL s'explique également par son rôle proéminent au sein de la plate-forme Web Open source LAMP (pour Linux, Apache, MySQL et PHP) dont l'usage se généralise également. Une popularité déjà soulignée par Anaska et Ib-Groupe Cegos dans leur Observatoire des logiciels libres, qui faisait état d'une progression de 50% en un an (2005-2006) des formations sur MySQL. Plus surprenant, nous raconte l'étude, est que "70% des stagiaires MySQL ne travaillent pas sur des projets associés au Web". La cabinet d'analystes Forrester rappelait de son côté que si MySQL restait la base de données Open Source la plus utilisée dans les projets d'entreprises, Ingres et PostgreSQL, autres bases Open Source, proposaient, quant à elles, un éventail de fonctionnalités plus complets. (...)
(23/03/2007 12:22:18)Microsoft, IBM et d'autres soumettent SML au W3C
Un groupe de constructeurs et d'éditeurs, dont Microsoft et IBM, a décidé de soumettre les spécifications du langage SML (Service Modeling Language), auprès du W3C, organisme en charge des standards du web. On y retrouve également BEA, Sun, BMC, CA, Cisco, Dell, EMC, HP et Intel. SML repose sur XML et définit une méthode d'expression du fonctionnement et de la modélisation des ressources impliquées dans une application, un réseau ou un serveur. Son objectif est de faciliter alors la manipulation et la gestion de ces ressources. En gros, simplifier le pilotage de systèmes. Outre SML, ce même groupe d'industriels a également soumis SML-IF (SML Interchange Format) auprès du consortium. SML-IF doit définir comment s'échanger les modèles SML. Ces acteurs s'étaient regroupés en août 2006. (...)
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