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Architecture logicielle

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(08/12/2006 11:54:49)

Wazaabi concilie XUL et le client riche Eclipse

La version 1.0 de Wazaabi est disponible. Framework (cadre applicatif) destiné à faciliter le développement d'interfaces riches pour des applications Internet, Wazaabi est publié en Open Source, sous licence LGPL. Son originalité réside dans le fait qu'il concilie plusieurs technologies : Java, XUL (XML user interface language, langage de description d'interfaces en XML développé par la Fondation Mozilla) et la plate-forme de client riche d'Eclipse (RCP, rich client platform). Autre originalité, comme son nom ne l'indique pas, Wazaabi est français, né de l'imagination d'Olivier Moïses, consultant chez Generic Concept, qui devait apporter une solution à Leroy Merlin, dans le cadre d'une stratégie globale de l'enseigne visant à passer à des applications J2EE avec des interfaces Web « offrant la richesse ergonomique du client lourd ». XUL a été retenu, pour ses possibilités de paramétrage du XML. De même, afin de bénéficier des performances de SWT (Standard widget toolkit, la bibliothèque de composants graphiques utilisée par Eclipse) et des compétences des développeurs Java de l'enseigne, le cadre d'exécution choisi pour le poste client fut Eclipse RCP. Restait à Olivier Moïses à développer la partie MVC (la cinématique modèle-vue-contrôleur). La solution a été mise en ?uvre chez Leroy Merlin et Kiabi. Aujourd'hui, avec le soutien de Proxiad, cela donne une série de composants et plug-in pour développer des interfaces riches. (...)

(07/12/2006 17:43:18)

Truffle 100 : Microsoft plus fort que tous les Européens réunis

Prenez les cent premiers éditeurs européens - en y incluant les Suisses et les Norvégiens - et cumulez leurs chiffres d'affaires. Comparez le résultat obtenu avec les revenus annuels de Microsoft. Constatez que le géant de Redmond dépasse les cent plus grands spécialistes du Vieux Continent réunis. Cette observation peut être réalisée à la lecture du récent palmarès Truffle 100, établi par Truffle Venture en collaboration avec le Syntec à partir des données recueillies par les instituts IDC et CXP. Ce classement était jusqu'alors réservé aux seuls acteurs français du logiciel. Il étend désormais ses frontières à celles de l'Europe et est présenté en grande pompe au Bruxelles IP Summit les 7 et 8 décembre. Les cent éditeurs apparaissant au palmarès Truffle sont classés en fonction de leur chiffre d'affaires 2005 réalisé dans l'activité logicielle. Leurs revenus cumulés atteignent 20,7 MdE soit moins que le premier éditeur mondial - Microsoft - mais plus qu'Oracle et CA. Notons que les 23 premiers acteurs réalisent 80% de l'ensemble des revenus européens. Au zénith du Truffle rayonne l'Allemand SAP et ses 8,5 MdE de revenus 2005 ; très loin derrière arrive son premier poursuivant, le Britannique Sage, dont le chiffre d'affaires atteint 1,1 MdE. "Si l'on observe non plus les 100 premiers éditeurs mais le Top 99 - en excluant SAP donc - , la différence avec les Etats-Unis est encore plus flagrante", note Laurent Calot, le PDG de CXP. La France derrière l'Allemagne et le Royaume-Uni Si le Truffle permet de mettre en perspective le poids des acteurs européens par rapport à l'ensemble des éditeurs mondiaux, il offre également le loisir de mesurer l'importance des Français parmi leurs homologues du Vieux Continent. Ainsi, le premier représentant de l'Hexagone - Dassault Systèmes - arrive en troisième position avec un CA de 934 ME. Les entreprises françaises sont 23 à figurer dans le top 100 européen des éditeurs et ne représentent qu'un peu plus de 14% de l'ensemble des revenus européens du logiciel. Derrière Dassault systèmes, on retrouve Business Objects, en 4e position, puis, plus loin dans le classement arrivent Cegid, GL Trade, Sopra, GFI Informatique, etc. L'ensemble du revenu de ces éditeurs représente une part nettement moindre que celle des groupes allemands, emmenés avec force allure par le géant SAP. Les acteurs d'outre-Rhin s'arrogent en effet 46,9% du chiffre d'affaires européen global avec deux fois moins de représentants dans le Truffle que n'en compte la France. Quant aux britanniques, avec Sage en deuxième position et 22 autres éditeurs classés - soit autant que de Français - ils enregistrent 20,6% des revenus européens du software. Les mêmes problèmes au niveau européen qu'en France Les conclusions qu'on pouvait tirer du Truffle 100 lorsque celui-ci ne s'intéressait qu'au marché français du logiciel se retrouvent dans l'analyse au niveau européen. Ainsi, "on constate une atomisation importante des éditeurs qui ont du mal à se concentrer et à atteindre une taille critique", explique Laurent Calot au Mondeinformatique.fr. Cette constatation trouve son explication dans la tendance des éditeurs européens "à trop regarder leur marché domestique. Les vraies success stories du Vieux Continent - SAP, Sage, Dassault Systèmes, etc. - concernent les structures qui ont réussi à réaliser une part importante de leur chiffre d'affaires en Amérique du Nord". Autre facteur permettant de comprendre le relatif retard des Européens sur les éditeurs américains : "l'accès difficile aux capitaux et aux fonds propres. Si les éditeurs du Truffle affichent des taux de croissance élevés - +15% de moyenne entre 2004 et 2005 pour les chiffres d'affaires -, il leur est parfois malaisé de réaliser de la croissance externe", renchérit le PDG de CXT. Dépasser le plafond de verre Pour autant, il ne faudrait pas seulement souligner les aspects négatifs. "Le nombre élevé de structures traduit la forte innovation prégnante en Europe", se réjouit Laurent Calot. Non seulement les éditeurs de Paris, de Londres ou de Berlin réalisent des taux de croissance élevés, mais ils sont également d'importants employeurs. En 2005, ils regroupaient ainsi 148 000 salariés qualifiés, sont 80% d'entre eux été employés par les 26 premiers éditeurs. "L'idée du Truffle, au-delà d'un simple classement, est de faire prendre conscience des enjeux du secteur aux pouvoirs publics. Cela pourrait passer notamment par l'adoption en Europe d'un modèle inspiré du Small Business Act américain *. Ce genre de mesure ne fera pas en sorte qu'on n'aura que des champions demain, mais aidera au moins certains acteurs à dépasser le plafond de verre". * Le Small Business Act est une disposition du droit américain adoptée en 1953 tendant à orienter en priorité l'action des pouvoirs publics vers les PME, notamment en réservant une part minimale des marchés publics aux structures de taille modeste. (...)

(07/12/2006 11:52:35)

Sametime supporte les services IM d'AOL et Google

IBM ouvre officiellement les services d'interopérabilité de son client de messagerie instantanée Sametime aux clients d'AOL (AIM) et Google (GoogleTalk). Et promet une compatibilité avec le réseau de Yahoo Messenger pour courant décembre. Cette mise en service, annoncée au mois de septembre par Big Blue, inaugure par la même occasion Lotus Sametime Gateway, une passerelle de connecteurs qui permet ce tour de force, en interconnectant les protocoles de Google et d'AOL (XMPP, Extensible Messaging and Presence Protocol, et SIP, Simple Session Initiated Protocol) avec ceux de Sametime. "La passerelle agit comme un intermédiaire entre Lotus Sametime et chaque contact public des IM, en réceptionnant les messages instantanés pour les convertir dans le bon protocole et les renvoyer quelque soit la plateforme", explique IBM dans un communiqué. Notons toutefois que, pour l'heure, seul l'échange de messages texte sera autorisé, mais IBM souhaite étendre les fonctionnalités aux tâches habituelles des messageries instantanées, comme le partage de fichiers, la VoIP et la visioconférence. Grand absent, le client IM de Microsoft, Live Messenger. Rappelons que l'éditeur de Redmond commercialise Live Communication Server, une suite collaborative concurrente directe de Sametime. (...)

(06/12/2006 18:21:34)

Microsoft annonce la première CTP de WPF/E

Par l'intermédiaire de son blog, Scott Guthrie, responsable de la division Développeur chez Microsoft, a annoncé la disponibilité de la première Community Technology Preview de Windows Presentation Foundation/Everywhere (WPF/E). WPF/E est un sous-ensemble de WPF, la couche de présentation de Windows Vista, et qui fournit un client d'exécution multiplates-formes et cross-navigateurs pour les applications WPF. Actuellement, WPF/E tourne sur Windows et Mac OSX et supporte Internet Explorer, Firefox et Safari. Les applets WPF/E utilisent le langage de description d'interface XAML, un dialecte XML que l'on peut générer par exemple à partir des outils de création de la gamme Expression que Microsoft lance simultanément. WPF/E permet de mixer de l'HTML, du graphisme vectoriel, de l'animation, de vidéo, de son, du streaming interactif, etc, autorisant la création de véritables applications rich media. Il hérite des puissantes capacités de WPF pour Vista aux quelles il ne manque que la 3D. C'est une grande première pour Microsoft de proposer un produit multiplate-forme et cross-navigateur. De toute évidence, il y a une volonté d'imposer la technologie WPF. WPF/E se pose bien sûr en concurrent direct de Flash d'Adobe. (...)

(06/12/2006 18:21:07)

ILOG JViews 8.0 étend son support d'Ajax

ILOG annonce la nouvelle version JViews 8.0 de sa suite de composants et d'outils graphiques pour le développement en Java. JViews se destine tout particulièrement au développement d'interfaces de supervision et de contrôle, que ce soit en environnement industriel, dans les transports ou en environnement d'entreprise. Les applications développées peuvent aussi bien se déployer sur des clients lourds (Windows), sur des clients Web Ajax que sur une plate-forme Eclipse RCP. Cette nouvelle version introduit un nouvel outil, Symbol Editor qui permet à partir d'objets graphiques créés sous Illustrator d'en faire des objets applicatifs intelligents (widget), de les modifier et de les organiser. Un autre outil fait son apparition, Dashboard Editor, qui lui permet de créer des tableaux de bord d'activité ou des synoptiques industriels en utilisant les symboles intelligents créés avec Symbol Editor, en les reliant en temps réel aux données, le tout sans écrire une seule ligne de Java. JViews vient avec une bibliothèque de symboles préconfigurés : icônes de workflow, gestion d'applications, gestion de réseau et de trafic... Un soin tout particulier a été porté à la qualité des graphismes et du look & feel des composants JViews, qui ont été créée par les graphistes de Gnome KDE. ILOG a rejoint l'alliance OpenAjax en septembre et confirme son engagement en fournissant un support étendu d'Ajax dans JViews. Ajax permet maintenant aux utilisateurs finaux de modifier les graphiques directement dans le navigateur, par exemple les diagrammes de Gantt. Les comportements Ajax sont également exploités dans le composant de cartographie, ce qui permet un rafraichissement rapide des cartes visualisées. Pour le rendu vectoriel, JViews utilise encore le standard SVG. Mais c'est une technologie en perte de vitesse et ILOG envisage de passer à Flash et Flex, nous a confié Jérôme Joubert, Chef produit chez ILOG. La suite de produits JViews 8.0 comprend JViews Diagrammer, JViews Charts, JViews Gantt, JViews Maps, JViews Maps for Defense et JViews TGO. Le pricing démarre à 4000 € selon les modules choisis. (...)

(06/12/2006 18:20:30)

IBM lance Rational Software Delivery Platform 7.0 for desktop

La division Rational d'IBM avait lancé en juin dernier la version 7.0 de sa plate-forme de développement Rational Software Delivery destinée aux équipes de développement. Elle annonce cette semaine la version desktop de ces outils destinée aux développeurs individuels, aux architectes et aux testeurs. Les produits desktop sont des outils basés sur Eclipse conçus pour aider les clients Rational à concevoir, implémenter et gérer leurs processus métier et surtout à les délivrer. Les produits disponibles dans cette suite sont : ·IBM Rational Application Developer for WebSphere Software, un IDE basé sur Eclipse pour développer en RAD des applications SOA, Java et des portails. ·IBM Rational Software Architect, un outil pour architecte permettant le développement guidé par les modèles ; ·IBM Rational Software Modeler, un outil de modélisation UML 2.1 ; ·IBM Rational Systems Developer, un outil de conception et de développement de systèmes, basé sur Eclipse ; ·IBM Rational Functional Tester, un outil automatique de tests fonctionnels et de non-régression ; ·IBM Rational Functional Tester Plus, conçu pour tester une plus large gamme de logiciels ; ·IBM Rational Manual Tester, un outil de test manuel ·IBM Rational ClearQuest and Functional Testing, un bundle de logiciels de gestion de configuration et de gestion de la qualité. L'objectif principal de cette version 7.0 est de délivrer des applications dans un cadre SOA, avec une approche architecturale pour automatiser la livraison de logiciels et de services. (...)

(06/12/2006 18:12:12)

PostgreSQL arrive en version 8.2

La version 8.2 du système de gestion de bases de données relationnelles (SGBDR) Open Source PostgreSQL vient d'être rendue disponible. Cette nouvelle mouture compterait rien moins que 200 améliorations, selon les développeurs du PostgreSQL Global Development Group. En matière de performances, tout d'abord, les développeurs de PostgreSQL revendiquent notamment l'intégration d'un meilleur système d'optimisation avec des gains de performances pouvant atteindre 20 % sur des traitements de transactions en ligne, une meilleure planification des requêtes sur des données partitionnées et une accélération des jointures externes mais aussi la gestion des environnements multi-processeurs améliorée. PostgreSQL 8.2 supporte en outre les nouvelles fonctions introduites par la spécification ANSI SQL 2003, dont les agrégats statistiques, par exemple. La nouvelle version du SGBDR généralise également la disponibilité des index inversés avec le support des données plein texte et semi-structurées. PostgreSQL 8.2 est enfin compatible avec des outils de traçage tels que Solaris DTrace. PostgreSQL 8.2 est disponible en téléchargement gratuit, sous licence BSD. (...)

(06/12/2006 18:10:30)

Compiere recrute un médiateur pour rassurer la communauté

Compiere, l'éditeur de progiciels Open Source, tient à resserrer les liens qui l'unissent à sa communauté. En témoigne le recrutement de Dawn Foster au poste de directrice des programmes communauté et partenaires. L'idée, selon Compiere, est de faciliter le développement du réseau communautaire et de l'encourager à apporter ses contributions aux projets Compiere. La nouvelle recrue aura également pour mission de gérer le réseau de partenaires, composé d'une centaine de membres (entreprises, intégrateurs, revendeurs, etc.) dont beaucoup participent par ailleurs aux travaux de la communauté.

Le but de Compiere est de profiter de cette embauche pour recoller les morceaux avec une partie de la communauté qui fait, depuis quelques mois, preuve de défiance. Emmenés par quelques membres influents, plusieurs dizaines de participants ont lancé il y a quelques semaines un fork, Adempiere. Leur mouvement de fronde s'appuyait sur le constat que Compiere négligeait les travaux de la communauté en ne prenant, par exemple, guère en compte les améliorations et autres correctifs apportés par les contributeurs. Soucieuse de se montrer rassurante, la direction de Compiere s'était alors empressée d'indiquer qu'elle allait recruter un médiateur pour se rapprocher de sa base. C'est désormais chose faite avec l'embauche de Dawn Foster. Reste maintenant à attendre les premières réactions de la communauté.

(...)

(05/12/2006 16:53:52)

Telecom World : Microsoft veut simplifier le mashup sur mobiles

Microsoft s'intéresse aux « mashups » sur les téléphones mobiles. Un mashup désigne la combinaison de différents services applicatifs sur le poste de travail afin de rendre un service répondant à un besoin particulier de l'utilisateur. Microsoft a profité du salon de l'UTI (Union internationale des télécommunications), Telecom World, qui se tient cette semaine à Hong Kong, pour présenter Connected Services Sandbox, une déclinaison de son offre CSF (Connected Services Framework) pour les opérateurs mobiles. Connected Services Framework fournit les services techniques de base : catalogue de services, gestion de session, de l'authentification... L'idée de Connected Services Sandbox est de fournir une place de marché pour les services mobiles, ceux de Microsoft en premier lieu (XBox Live, FlexGo...), mais aussi ceux de Google, Yahoo, eBay, Amazon... Pour l'heure, le site sert surtout à évangéliser sur les différents moyens de faire les utilisateurs de téléphones mobiles saliver sur de nouveaux services, afin d'augmenter le revenu moyen. (...)

(05/12/2006 16:54:43)

Tibco défie les serveurs d'applications sur le terrain de la SOA

Ce n'est pas tout à fait un outil de virtualisation, pas tout à fait un serveur d'applications, pas tout à fait un outil de grid, mais la nouvelle plate-forme pour SOA (architectures orientées services) que Tibco a lancé hier ressemble fortement à tout cela. ActiveMatrix reprend en effet les principes de ces outils pour les appliquer aux SOA. La plate-forme propose des conteneurs (moteurs d'exécution) au sein desquels déployer le code applicatif, et assure l'ensemble des fonctions de communication et d'administration : intégration, sécurité, gestion des transactions, gouvernance... De cette façon indique Tibco, les entreprises peuvent vraiment se focaliser sur le code métier et laisser le code technique à la plate-forme. « A peine 60% du code des services est consacré à la logique métier, note Stefan Farestam, directeur marketing EMEA. En déchargeant le code technique sur la plate-forme, cela devient plus simple à développer, et ensuite à changer d'implémentation technologique ou de plate-forme. » Trois composants d'ActiveMatrix sont disponibles. D'abord Service Grid (technologie de conteneurs distribués, communiquant via le bus de Tibco, BusinessWorks), qui peut remplacer des serveurs d'applications J2EE ou .Net, ou bien travailler avec eux (le support direct de C/C++, Ruby et Cobol viendra plus tard), et répartir la charge sur différents serveurs. Vient ensuite Policy Manager, qui applique des règles de gestion aux services et supervise leur exécution. Une partie du code est issue de l'offre d'Amberpoint : « nous avons acheté le code source, et l'avons fusionné avec nos développements », explique Stefan Farestam. Enfin Registry, qui résulte d'un accord de revente avec Systinet (qui appartient désormais à HP), est l'annuaire référençant tous les services. Une offre intéressante pour les besoins d'architecture distribuée Pour Marc Boullier, directeur technique du cabinet d'architectes SOA Vistali, et connaisseur de l'offre Tibco, cette offre représente un grand changement, « car il s'agit de concurrencer frontalement les éditeurs de serveurs d'applications ». Pas sur le haut de gamme, où l'on voit mal Tibco défier les offres matures d'un BEA ou d'un IBM. D'ailleurs, Stefan Farestam avoue que tel n'est pas le but, et qu'aucun test de performances n'a été mené. En revanche, avec l'explosion des services, « on pourrait avoir la volonté de faire du downsizing, en diminuant la granularité des moteurs d'exécution », poursuit Marc Boullier. « Si une entreprise a des besoins d'architecture très distribuée, c'est très intéressant. » Ce type d'offre rencontrera-t-elle son public ? Rappelant que Fabric, l'offre distribuée de WebMethods, « n'a pas vraiment trouvé son public », Marc Boullier pense qu'on ne verra pas de déploiement industriel de ce type avant probablement trois ans. (...)

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