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Architecture logicielle

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(28/06/2006 19:05:16)

Callisto : Eclipse lance dix nouvelles releases Open Source

La Fondation Eclipse a annoncé la sortie simultanée de dix projets Open Source. Cet événement, baptisé Callisto, constitue la plus grosse sortie de logiciels jamais organisée dans le monde Open Source. Les projets concernés par cette sortie simultanée comprennent le framework Eclipse lui-même en 3.2, des outils de Business Intelligence, de reporting, de test, de performance, des frameworks de modélisation, d'édition graphique, un IDE C++, etc. La liste complète des projets est la suivante : - Business Intelligence and Reporting (BIRT) tools 2.1 - C/C++ IDE (CDT) 3.1 - Data Tools Platform 1.0 - Modeling Framework 2.2 - Graphical Editor Framework 3.2 - Graphical Modeling Framework 1.0 - Test and Performance Tools Platform 4.2 - Web Tools Platform 1.5 - Visual Editor 1.5 - Eclipse Project 3.2 Callisto regroupe ainsi 10 projets, 260 committers, plus de 7 millions de lignes de code, 15 éditeurs contributeurs à travers 12 pays. L'objectif est d'améliorer la productivité des développeurs qui travaillent sur les frameworks Eclipse en éliminant les problèmes de compatibilité de versions entre les différents projets et en facilitant l'intégration de projets multiples dans l'environnement des développeurs. Callisto n'est pas l'unification ou l'intégration des dix projets : chaque projet reste un projet open source autonome avec son chef de projet, ses propres committers, son propre planning. Les projets de Callisto seront disponibles au téléchargement le 30 juin. Rendez-vous sur le site de Callisto. (...)

(28/06/2006 18:51:49)

Adobe lance Flex 2

Dans la course à la conquête du poste client, deux écoles s'affrontent. Ceux qui comme Google misent sur l'universalité du navigateur Web et proposent des services évolués pour faire oublier la nécessité du système d'exploitation, quitte à l'enrichir avec de l'AJAX. Et ceux comme Microsoft, Adobe, Eclipse et Java qui tentent de sortir du cadre du navigateur en installant leur plate-forme d'exécution. A ce jeu-là, Adobe possède une bonne avance. Sa technologie Flash, issue du rachat de Macromedia, est déjà présente sur 98% des navigateurs de la planète. A l'origine, le plugin Flash a été conçu pour gérer de l'animation vectorielle et le multimédia dans le navigateur. Puis on l'a utilisé pour animer des menus, gérer des comportements, communiquer avec le serveur... De là à pouvoir être utilisé comme interface riche d'une application, il n'y avait qu'un pas. En mars 2004, Macromedia présentait la première version de Flex, un serveur de présentation et un framework de développement permettant de générer dynamiquement l'interface utilisateur d'une application en Flash. L'application est écrite en Java (J2EE). Pour générer l'interface utilisateur, Flex utilise un langage XML de description d'interface, le MXML, similaire dans le principe à XUL de Mozilla ou XAML de Microsoft. Côté client, le langage ActionScript (similaire à Java) permet de naviguer et d'interagir avec le serveur. La solution se révélait comme un des plus abouties technologiquement pour gérer le client riche : large disponibilité de la plate-forme d'exécution, interface très riche. En octobre 2005, Macromedia présentait les premières bêtas de Flex 2. Repris par Adobe suite à l'acquisition de Macromedia, Flex 2 sort aujourd'hui en version finale. Flex 2 est une gamme de produits qui comprend un SDK, des composants extensibles, des services de données et un environnement de développement. Le Flex SDK 2 est entièrement gratuit. Il comprend les langages MXML et ActionScript 3.0, le framework Flex, la bibliothèque de classes, un compilateur et un débogueur en ligne de commande. Flex Charting Components 2 est un ensemble de composants extensibles permettant de gérer l'affichage de courbes et graphiques. Flex Data Services 2 est un ensemble de services de gestion des données basés sur les messages. Ils permettent aux développeurs de créer des applications capables d'accéder aux données en temps réel, à des services disponibles de façon occasionnelle ou à des jeux de données très volumineux. Une des grandes nouveautés est le Flex Builder 2. Cet environnement de programmation et de débogage s'appuie désormais sur Eclipse. Il bénéficie ainsi des outils de la plate-forme Eclipse : aide contextuelle, débogage côté client et serveur, systèmes de contrôle de code source. Parallèlement, Adobe annonce la sortie de Flash Player 9. Cette version offre aux développeurs Flex des performances jusqu'à 10 fois meilleures sur ActionScript 3.0 et la nouvelle machine virtuelle ActionScript (AVM). Concernant les tarifs, Flex SDK 2 est gratuit. Flex Builder 2 est disponible pour 449 euros prix public (699 euros avec Charting). Une version Express des Flex Data Services 2 qui inclut une licence de production pour un processeur est disponible gratuitement. Au delà, il faut compter 18,5 K€ par CPU. (...)

(28/06/2006 18:39:35)

Sun : à quelques mois d'un Java open source

Sun Microsystems espère pouvoir rendre Java open source dans les mois à venir. C'est en tout cas ce qu'a indiqué Simon Phipps, le responsable de l'open source chez Sun, en indiquant que la firme n'est plus qu'à quelques mois de la publication du code de sa technologie. Sun a promis de rendre Java libre lors du dernier JavaOne en mai, mais n'avait jusqu'alors indiqué aucune date quand à la publication du code source de la technologie. Comme lors de JavaOne, Phipps a toutefois précisé que Sun doit encore résoudre la question de la compatibilité de Java et s'assurer qu'aucune société n'abuse de sa puissance sur le marché pour passer en force avec sa propre incarnation de Java. Ce qui mettrait en péril la devise "write once, run anywhere", chère au constructeur. Le JCP (Java Community Process) et NetBeans pourraient se voir confier des responsabilités élargies dans le cadre de la publication de Java afin de limiter tout risque de "contamination" de Java. Il est à noter que l'absence de la publication du code source de Java n'a pas empêché l'apparition d'implémentations libres de la technologie, comme en atteste l'existence de solutions comme Jboss, Objectweb, mais aussi l'émergence de JVM ou de projets de JVM libres, telles que Kaffe, Wonka ou Harmony (fondation Apache). (...)

(28/06/2006 08:52:24)

LANDesk se lance sur le marché des solutions Itil

LANDesk, spécialiste de la gestion de parc, met un pied dans la gestion de processus métier (BPM) et dans l'automatisation des procédures Itil (recueil de bonnes pratiques sur l'exploitation du SI). L'éditeur inaugure Process Manager 2.0, sa première offre intégrant les technologies issues du rachat de NewRoad Software. Positionnée par l'éditeur comme une "solution alternative à des produits plus sophistiqués", Process Manager renferme un moteur d'automatisation de processus métier. Il fournit également des outils de processus industrialisés Itil, qui devraient permettre à l'éditeur de proposer des fonctionnalités de gestion des incidents et du changement ainsi que de résolutions de problèmes. Process Manager sera embarqué dans Management Suite et LANDesk Security Suite, les offres de gestion de sécurité et de configuration de la marque. LANDesk proposera toutefois sa solution en version autonome. Les prix s'échelonnent de 35 000 $ pour une entreprise de moins de 1 000 employés à 190 000$ au delà de 10 000 employés. (...)

(27/06/2006 18:00:37)

Peoplesoft 9, une version très politique

Oracle vient de dévoiler la Release 9 de Peoplesoft Enterprise, le progiciel acquis de haute lutte en janvier 2005. Ce lancement revêt une forte connotation politique. D'une part, il s'agit de rassurer les utilisateurs de Peoplesoft. Oracle insiste ainsi sur la nomination d'une responsable de la stratégie et du développement de la ligne de produits Peoplesoft, Doris Wong, 22 ans d'expérience dans le logiciel dont 11 chez Peoplesoft. D'autre part, Oracle met l'accent sur les liens avec Fusion, son middleware : il s'agit de démontrer l'intégration des technologies que l'éditeur a acquises. Chef de produit technologies des applications, Lionel Dubreuil explique : « Peoplesoft était certifié sur les serveurs d'applications Websphere et Weblogic. La première étape était donc de certifier Peoplesoft sur les dernières versions, 10g, des outils Oracle, que ce soit le serveur d'applications ou la base de données. » Des liens ont également été créés vers divers produits de la gamme Fusion, comme XML Publisher, un outil de création et de diffusion de rapports, ou le Customer data hub (CDH), un référentiel de données sur les clients. « Il est possible par exemple de consulter le CDH lors de la création d'un client dans Peoplesoft, afin d'éviter les doublons. » Sachant que le processus qui effectue la vérification sera piloté BPEL Process Manager (hérité lui du rachat de Collaxa). (...)

(27/06/2006 17:51:00)

Grid : deux groupes rivaux fusionnent pour former l'Open Grid Forum

Les groupes rivaux Global Grid Forum (GGF) et Enterprise Grid Alliance (EGA) ont concrétisé l'annonce qu'ils avaient faite en février : ils ne forment désormais plus qu'une entité censée accélérer l'adoption de cette technologie de calcul distribué en grilles. Jusqu'alors concurrents, GGF et EGA deviendront l'Open Grid Forum (OGF), un consortium qui sera dirigé par Mark Linesh, l'ancien président du GGF. Dans le passé, les deux groupes avaient adopté deux approches différentes, le GGF mettant l'accent sur les attentes des distributeurs IT et l'EGA sur les besoins des utilisateurs en entreprise. Cette dissymétrie avait généré quelques doutes quant à la pertinence de l'union des consortiums. Le patron de la nouvelle entité tient à rassurer les sceptiques : "s'il y avait quelque confusion sur le marché, ce sera heureusement dissipé par l'OGF(...) Nous allons équilibrer les capacités de l'EGA et du GGF". L'OGF s'intéressera notamment à la façon dont le grid computing s'intégrera aux technologies de virtualisation, aux SOA (architectures orientées services) et aux systèmes automatisés. (...)

(27/06/2006 12:28:08)

EMC va investir 500 M$ en Chine pour l'ouverture d'un centre de développement logiciel

EMC fête ses 10 ans de présence en Chine en ouvrant un centre de développement logiciel. Basé à Shanghai, le centre devrait employer 100 développeurs d'ici à la fin de l'année. Ce chiffre sera porté à 500 d'ici à 2008. EMC a précisé qu'il allait investir en Chine 500 M$ sur les cinq prochaines années. Le centre de Shanghai assurera le service après-vente mais également la création de nouveaux produits logiciels destinés au monde entier. Bien sûr, cette base avancée chinoise permettra également à EMC d'investir le pays et le continent asiatique dans son ensemble. Avec cette décision, EMC renforce un peu plus sa présence en Asie. La semaine dernière, on apprenait que l'entreprise allait dépenser un montant identique en Inde. EMC compte débourser plus de 1,2 Md$ en recherche et développement, en 2006. (...)

(26/06/2006 18:24:07)

WinFS devient une composante de SQL Server au lieu de Vista

Alors qu'une première bêta du système de gestion de fichiers du prochain Windows était déjà sortie, Microsoft change de stratégie : WinFS ne sera plus ni une composante (comme il devait l'être à l'origine) ni une extension de Windows (comme il en était question depuis mars 2005). Chef du projet, Quentin Clark annonce sur son blog que les technologies étudiées au sein du projet WinFS seront en fait disséminées dans d'autres projets, en premier lieu Katmai, la prochaine base de données SQL Server, et le service universel d'accès aux données ADO.Net 3. A l'origine, WinFS était présenté comme le système de fichier de Longhorn (nom de code de Vista), et il devait permettre de gérer ses fichiers à la manière de données dans une base relationnelle : possibilité de créer des dossiers virtuels thématiques grâce à l'utilisation de pointeurs vers les données, recherche améliorée grâce à l'emploi de métadonnées... Face aux commentaires saignants publiés sur le blog de Quentin Clark, Alain Le Hégarat, responsable marketing .Net pour Microsoft France, relativise la portée de l'annonce : « Du point de vue de l'usage qu'on promettait aux utilisateurs, cela ne change rien : les fonctions sont délivrées en grande partie dans Vista par Windows Search. » (...)

(26/06/2006 18:22:30)

Syntec informatique cherche à cerner ses développeurs

Syntec informatique a lancé une étude (les premiers résultats sont attendus pour juillet) afin de mieux connaître les développeurs qui évoluent dans son secteur. L'objet de cette démarche est d'abord de faire un point quantitatif sur leurs effectifs et leurs profils (formation, CSP, etc). Ensuite d'avoir une vision qualitative du métier et de l'évolution de ses compétences par une enquête directe auprès de salariés, de leurs employeurs, de responsables de formation et d'étudiants. Le syndicat patronal se focalise en priorité sur ce métier car celui-ci fait partie des fonctions menacées par la concurrence internationale notamment issue du off-shore, les départs en retraite et la désaffection pour les carrières scientifiques. Il entre dans les professions qui devront sans doute se repositionner en partie pour faire face à cette concurrence et être en adéquation avec les besoins futurs des entreprises. Dans la foulée, la chambre professionnelle prévoit toutefois de lancer (à la rentrée) des enquêtes comparables autour des compétences dans les domaines des logiciels embarqués et des nouvelles technologies. L'objectif est de réunir les informations permettant de faire de la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences dans le secteur. (...)

(26/06/2006 18:23:14)

Les éditeurs de technologies orientées SOA jugés par un consultant français

Microsoft, IBM, BEA, Sun, Oracle et Tibco sont les mieux armés, technologiquement parlant, pour répondre à des projets sur les architectures orientées services (SOA). C'est, sans surprise, ce qui ressort de « la première étude du marché français de la SOA », proposée par DPM Services et réalisée par Pierre Bonnet, directeur du conseil d'Orchestra Networks. Toutefois, l'étude pointe aussi les carences de chacune de ces offres. A la différence de ce qui peut être fait par un cabinet type Gartner, l'étude ne s'embarrasse pas d'analyse sur la viabilité des éditeurs ou leur vision à long terme, mais examine en profondeur les briques technologiques (tant internes que celles liées à des partenariats) et les note sur 8 axes : sécurité, modélisation, méthode, service Web interactif (avec une interface utilisateur), couche technique de services Web, référentiel et BPM (gestion des processus métier, sous des angles humain et applicatif). Ce qui permet de noter les complémentarités entre certaines offres, ou de constater le degré de maturité d'une offre par rapport à l'autre. L'étude est payante, tant pour les éditeurs interviewés que pour le public (950 euros HT). (...)

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