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Architecture logicielle

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(04/07/2006 17:49:39)
iWay complète sa suite SOA avec Amberpoint
Filiale d'Information Builders spécialisée dans le middleware, iWay renforce considérablement son offre en matière de SOA (architectures orientées services). Naguère principal fournisseur de connecteurs pour les autres spécialistes de l'intégration, iWay vient de signer un accord avec Amberpoint pour renforcer sa suite SOA, basée sur un bus de services (ESB) et un gestionnaire de processus BPEL, annoncée en février et lancée en avril dernier. La suite d'Amberpoint est principalement utilisée pour surveiller l'exécution des services en fonction de règles de gestion et de qualité de service. L'accord concerne à la fois l'intégration et la revente des outils d'Amberpoint par iWay. A noter par ailleurs qu'Information Builders France a recruté un « expert solution SOA » il y a quelques jours, en la personne de Joël Milgram, un ancien de Software AG. (...)
(04/07/2006 12:46:16)Mercury republie ses résultats 2002-2004 sous la pression de la SEC
Les scandales financiers, republications de résultats et démissions de dirigeants mis en cause ne sont pas réservés à CA. Mercury doit, à son tour, composer avec ces éléments. Huit mois après s'être séparé de trois de ses dirigeants dont son PDG, mis en cause dans les pratiques illégales de stock-options antidatées, le groupe a republié ses résultats pour les exercices 2002 à 2004. Les chiffres corrigés font apparaître un recul du résultat brut de 566,7 M$ pour la période 2002-2004. Pour la seule année fiscale 2004, le résultat chute à 64,6 M$ contre 107 M$ lors de la première publication de résultat. Pire, sur l'exercice 2005, alors que le groupe avait publié un bénéfice net de 41,5 M$, il doit désormais composer avec une perte nette de 62,6 M$. Mercury prépare en outre la republication de ses résultats pour le premier trimestre 2005. Après que la SEC, le gendarme américain de la Bourse, eut ouvert, en novembre 2004, une enquête sur la comptabilité des stock-options, Mercury décidait en juin 2005 de former un comité spécial chargé de faire la lumière en interne sur les éventuelles malversations. En novembre, le comité remettait ses conclusions : le groupe aurait antidaté des stock-options, au moins à 49 reprises, de façon à ce que la date indiquée sur le titre garantisse un cours d'achat favorable au porteur. Dans la foulée, le directoire acceptait les démissions du PDG, du directeur financier et du conseil général. La liste des personnalités impliquées dans les malversations semble ne pas s'arrêter à ces trois dirigeants. La SEC a ainsi indiqué qu'elle pourrait poursuivre pénalement trois actuels membres du directoire, Igale Kohavi, Yair Shamir et Giora Yaron. Le régulateur de Wall Street estime que chacun d'eux connaissait, ou était en mesure de connaître, l'existence des manoeuvres frauduleuses. Des accusations sans fondement pour les intéressés qui nient avoir participé, ou même eu connaissance, à la commission des infractions. Les mis en cause n'ont pas démissionné mais le groupe a accepté qu'ils sursoient à participer aux activités du directoire. (...)
(03/07/2006 18:15:25)Eclipse rend téléchargeable Callisto
Comme annoncé, le projet Callisto de la fondation Eclipse a éclos le 30 juin dernier, symbolisant la plus vaste sortie de logiciels de l'Open Source. Pour rappel, Callisto regroupe 10 projets : BIRT, l'IDE C/C++, EMF (Eclipse Modeling Framework), GEF(Graphical Editor Framework), Graphical Modeling Framework, Eclipse Project, Eclipse Test and Performance Tools Platform Project, Eclipse Web Tools Platform Project, et enfin VE (Visual Editor). Son objectif : "éliminer toute incertitude autour des versions de chaque projet, et permettre ainsi à nos membres de débuter leurs projets d'intégration et de tests plus tôt", explique la fondation Eclipse. Pour en savoir plus: La zone de téléchargement de Callisto sur le site d'Eclipse (...)
(03/07/2006 18:16:12)Open Source: JasperSoft livre JasperIntelligence 1.0
JasperSoft, spécialiste du reporting open source, inaugure la version 1.0 de sa suite intégrée décisionnelle JasperIntelligence, en y greffant enfin un moteur d'analyse de données JasperAnalysis. JasperIntelligence avait été annoncée en avril dernier lors du lancement du socle de la suite, JasperServer. L'offre est également composée de iReports et JasperReports, module fer de lance de l'éditeur. JasperAnalysis s'appuie sur le serveur OLAP (Online Analytical Processing) open source Mondrian (actuellement en version 2.1). Ecrit en java, ce projet, notamment intégré à Pentaho -autre projet de BI open source-, supporte les standards MDX et XML/A (XML for Analysis). Selon son éditeur, il permet d'analyser les données contenues dans des bases de données SQL, sans programmer en SQL. Une facilité d'utilisation qui fait de JasperIntelligence une plate-forme pour chaque employé des PME, indique JasperSoft. Les composants de la version 1.0 ont également été mis à jour: JasperReports et iReports (son client web) reçoivent une interface simplifiée, des fonctions d'assistance, ainsi qu'un plug-in pour JasperServer. Ce dernier embarque désormais des options d'accès optimisées, une API plus complète et des fonctions de planification et de distribution de rapports plus complètes. Reste que JasperIntelligence 1.0 souffre encore d'un manque. La plate-forme repose initialement sur trois piliers -JasperReports, JasperServer et JasperETL- dont le dernier, actuellement non-intégré, est prévu "plus tard dans l'année". Pour en savoir plus: Le projet Mondrian sur SourceForge Le site de la spécification XML / A (en anglais) Le site de Pentaho (...)
(03/07/2006 18:13:43)Ingres et PostgreSQL leaders des SGBD Open Source selon Forrester
Si MySQL dispose de la notoriété la plus importante dans le monde des bases de données Open Source, Forrester souligne que ce sont Ingres et PostgreSQL qui proposent les panels de fonctions les plus complets. Dans son étude intitulée « The Forrester Wave : Open Source Databases Q2 2006 », publiée il y a quelques jours, le cabinet prévient néanmoins que MySQL, « avec le lancement de la version 5 l'année dernière a commencé à réduire le fossé avec Ingres et PostgreSQL ». Et que sa stratégie agressive pourrait bientôt le faire passer devant Ingres dans la course aux fonctionnalités. Les analystes de Forrester conseillent Ingres aux entreprises cherchant des bases pour des applications transactionnelles à fort volume, ou pour construire des entrepôts de données de taille moyenne. PostgreSQL obtient à peu près le même jugement, et bénéficie du support de grands acteurs comme Fujitsu, Pervasive Software et Sun. Toujours sur un plan technique, MySQL est mis en avant pour sa faible empreinte mémoire, sa facilité d'utilisation, et le nombre d'outils liés à la base. Berkeley DB, Derby et Firebird: pour des utilisations plus ciblées L'étude Forrester mentionne trois autres bases, un peu plus en retrait : Berkeley DB, Derby et Firebird. La première, éditée par Oracle, ne supporte pas les fonctions qu'on attend d'une base d'entreprise, telles que les procédures stockées, et les vues, les déclencheurs... En revanche, elle convient parfaitement, souligne Forrester, pour des applications embarquées ayant besoin d'une base solide et sans coût d'administration. Base embarquée Java, donnée par IBM à Apache (suite au rachat d'Informix), Derby serait un bon choix pour les applications Java ayant besoin d'une base à très faible empreinte mémoire. D'autant que ce SGBD est supporté par IBM (sous le nom Cloudscape) et par Sun (sous le nom JavaDB). Enfin, Firebird est vue comme une bonne base pour des applications Web, elle jouit d'ailleurs d'une bonne réputation parmi les développeurs, mais elle manque du support de grands acteurs et de références. Sachant que « 80% des applications requièrent seulement 30% des fonctions proposées dans les principaux SGBD commerciaux », Forrester prédit un bel avenir à ces bases de données Open Source. Le cabinet estime que leur marché (en licences, services et support) pèse déjà 400 M$, et qu'il devrait atteindre le milliard d'ici fin 2008. (...)
(30/06/2006 17:39:03)Red Hat hérite d'un procès pour violation de brevet de JBoss
"Pour le meilleur et pour le pire"; un mariage est toujours ponctué de cette phrase. Celui de Red Hat et de JBoss ne fait pas exception. Cet engagement vaut d'ailleurs à Red Hat un procès pour violation de brevet. En effet, FireStar Software -le plaignant- affirme que Hibernate 3.0, le logiciel de mapping de données relationnelles/objets de JBoss violerait un de ses brevets déposés en 2000. Hibernate fait partie de l'offre middleware de JBoss que Red Hat compte reprendre à son profit. Le logiciel a été mis à jour en mars dernier. Red Hat n'a pas tenu à faire de commentaires sur ce procès. Selon Florian Muller, activiste contre la brevetabilité des logiciels, ce procès pourrait bien avoir un retentissement au-delà de la petite sphère privée de Red Hat. Le brevet serait en effet assez large pour que FireStar soit tenté d'attaquer d'autres entreprises. (...)
(29/06/2006 18:41:29)Google inaugure son système de paiement Checkout
Après une semaine de rumeur autour d'un hypothétique service GBuy, Google officialise finalement la sortie de son service de paiement en ligne, sous le sobriquet "Checkout" (en français, caisse de sortie). Le service est livré dans sa version finale, et non en bêta comme de tradition chez Google. Disponible pour l'heure uniquement aux Etats-Unis, "Checkout" devrait rapidement s'étendre à l'Europe. Côté consommateur, "Checkout" représente un portefeuille électronique, dans lequel sont centralisées les données liées aux préférences de paiements et d'achats. L'idée: raccourcir les modalités des transactions en ligne. Côté vendeur, le système donne la possibilité aux vendeurs de délocaliser les transaction en ligne sur les serveurs Google. Pour cela, il leur suffit de poser sur leur site un bouton "Google Checkout" en copiant simplement du code HTML, ou en utilisant l'API (Interface de programmation) fourni par Google. En contre-partie, Google perçoit 2% du montant des ventes réalisées par son service. Checkout autorise des paiements par cartes Visa, MasterCard, American Express et Discover Bank. une place des marché reliant recherche, achat et publicité Par rapport à Paypal, le service de paiement en ligne racheté par eBay, la particularité de "Checkout" réside dans ses possibilités de se mêler aux services de recherche et de publicités contextualisées AdWord. Le principe? Placer l'icône Checkout sur les liens sponsorisés, et ainsi pratiquer des "promotions" pour les utilisateurs AdWords. "Pour 1$ dépensé dans AdWords, le commerçant pourra utiliser les services de Checkout sans frais, jusqu'à 10$". Une autre façon pour Google d'attirer les annonceurs. Pour en savoir plus: Le site Checkout (...)
(29/06/2006 18:30:36)MySQL rejoint le programme partenaire VSIP de Microsoft
MySQL veut faciliter la vie de ses utilisateurs Windows. A l'occasion de l'Open Source Business Conference, l'éditeur suédois a annoncé qu'il rejoignait le programme Visual Studio Industry Partner (VSIP), en tant qu'"Alliance-level Partner". Confirmant ainsi les dires de Marten Mickos , PDG de MySQL, qui, lors de la conférence utilisateurs en avril dernier, avait affirmé ses intentions de se rapprocher de Microsoft. Pour MySQL, une intégration plus étroite à l'EDI (Environnement de Développement Intégré) Visual Studio 2005 a un double intérêt: d'abord celui de "séduire au mieux les développeurs Windows", reconnaît Bertrand Matthelé, directeur marketing EMEA chez MySQL. 40 % des bases MySQL tournent en effet sur un serveur Windows. Mais également de bénéficier de la vaste communauté des développeurs Microsoft. Depuis le rachat d'Innobase -et de Sleepycat- par Oracle, MySQL doit multiplier les projets de moteurs transactionnels. Pour ainsi marquer son indépendance vis à vis d'Oracle. Techniquement, le Suédois développera un connecteur pour Visual Studio 2005, qui autorisera la manipulation de composants et d'objets de la base de données depuis l'EDI. "Le niveau de partenariat "Alliance-level", implique une coopération technique dans le développement d'un plug-in", précise Bertrand Matthelé. Ce n'est toutefois pas le premier rapprochement d'un acteur de l'open source avec Microsoft. JBoss, désormais propriété de Red Hat, avait également passé un accord d'interopérabilité avec Microsoft en septembre 2005. Avec le même objectif de satisfaire sa base utilisateur. Presque 50% des utilisateurs JBoss ont installé le middleware Enterprise Middleware System sur un serveur Windows, expliquait-il à l'époque. L'intérêt est donc mutuel: Microsoft a tout intérêt à ce que sa plate-forme fonctionne du mieux que possible avec des outils populaires tels que JBoss ou MySQL. (...)
(29/06/2006 09:50:37)Borland détaille la feuille de route de Jbuilder
La division outils de développement de Borland, toujours à la recherche d'un repreneur, a dévoilé un plan produit à trois ans pour JBuilder, son IDE Java phare. A court terme, le plan prévoit une mise à jour intérimaire de Jbuilder 2006, l'ajout d'un framework basé sur Eclipse dans JBuilder 2007 (nom de code "Peloton"). Borland fait aussi miroiter le support à terme des architectures SOA (via l'ajout d'un"cockpit" SOA), l'ajout de nouveaux outils RAD, et une intégration renforcée avec les outils maison de gestion du cycle de vie des applications maison. Selon Borland, Jbuilder 2006 devrait gagner un support intérimaire de Java SE 6.0 ("Mustang") d'ici la fin du mois, avant l'intégration d'un support définitif lors de l'annonce officielle de "Mustang" en septembre. Jbuilder 2007 devrait arriver au dernier trimestre 2006 et il apportera l'intégration avec le framework Eclipse, mais aussi un support amélioré des EJB. A plus long terme, Borland promet de simplifier l'utilisation des frameworks open source comme Spring, Hibernate et Shale depuis Jbuilder et l'arrivée d'une "cockpit" SOA pour simplifier la création de composants applicatifs orientés services. Le support des EJB 3.0 et de Java EE 5.0 est aussi promis à terme. (...)
(28/06/2006 18:53:15)SOA 2.0 : arrêtez le délire !
Après le Web 2.0, l'Internet 2.0, les développeurs 2.0, voici venir l'ère de SOA 2.0. Arrêtez le délire ! C'est ainsi qu'un certain nombre de spécialistes de SOA ont réagi lorsque des analystes et des éditeurs ont inventé le terme SOA 2.0. La pétition Stop the madness !, animée par les blogueurs Joe McKendrick, Mark Little, et Duane Nickull, et conduite par le cabinet Macehiter Ward-Dutton (MWD), a déjà recueilli près de 400 signatures. A l'origine de cette levée de boucliers, on découvre des déclarations d'Oracle et du Gartner relatées dans cet article d'InforWorld. « SOA 2.0 est le terme que nous utilisons pour parler de la combinaison de l'architecture orientée service et de l'architecture pilotée par les événements, » déclarait Steve Harris, vice-président d'Oracle Fusion Middleware. Le terme SOA 2.0 est aussi soutenu par Yefim Natis, vice-président et analyste distingué du cabinet Gartner. Pour lui également, l'aspect pilotage par les événements est la principale différence de SOA 2.0 par rapport au concept client/serveur de SOA première génération. « D'habitude, quand quelqu'un arrive avec un nouveau buzzword sans réelle substance, la plupart des gens se plaignent gentiment et continuent à vaquer à leurs occupations », remarque Duane Nickull. « Nous aimerions que, juste pour cette fois-ci, les choses soient différentes. L'industrie n'a pas besoin en ce moment d'entretenir encore plus la confusion autour de SOA. SOA possède une réelle valeur, mais l'industrie dans l'ensemble commence tout juste à comprendre le sens de ce terme. Inventer un terme comme SOA 2.0 peut sans doute aider certains analystes et éditeurs à gagner plus d'argent, mais, à long terme, cela peut tous nous nuire. » Cette pétition constitue également une expérience. Certaines personnes parlent du pouvoir du Web à agréger et à démontrer le pouvoir des individus. C'est l'occasion de vérifier si une simple pétition sur une page Web est capable d'influer sur les protagonistes et provoquer une marche arrière sur SOA 2.0. Il est amusant de remarquer que parmi les signataires de la pétition, on relève des personnes de chez IBM et que soa2.com a été réservé par un signataire, histoire que ce domaine ne soit plus exploitable. (...)
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