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Architecture logicielle

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(08/12/2011 11:51:08)
Microsoft et GE s'allient dans la e-santé
Microsoft et la division santé IT de General Electric (GE) ont annoncé, ce jeudi, la création d'une co-entreprise, qui n'a pas encore de nom, pour développer et commercialiser une plateforme technologique ouverte et interopérable. La structure proposera également des applications médicales pour permettre une meilleure gestion de la santé de la population.
Son siège sera situé à proximité du campus de Microsoft, à Redmond. L'alliance entre les deux acteurs donnera aux fournisseurs de soins de santé et aux éditeurs de logiciels la possibilité de développer une autre génération d'applications médicales. Le joint venture proposera des solutions pour la santé sur une plateforme développée en interne qui sera reliée à un large éventail de produits technologiques liés au médical et provenant de fournisseurs différents.
Contribution de Microsoft avec trois outils
La société crée par Microsoft et GE couvrira les marchés mondiaux et sera opérationnelle au cours du premier semestre 2012, après avoir rempli les conditions habituelles requises, comme les autorisations réglementaires. Les deux firmes n'ont toutefois pas divulgué le montant des investissements injectés dans cette coentreprise. Celle-ci sera présente à Salt Lake City (Utah), et dans d'autres villes du globe.
Microsoft contribuera au projet avec Amalga, un logiciel qui extrait des tests de laboratoires, de radiologie et d'autres données et qui les enregistre dans les dossiers des patients pour réaliser des diagnostics de santé. L'éditeur proposera également ExpreSSO et Vergence, deux outils d'identification SSO pour les professionnels de la santé.
De son côté, GE Healthcare apportera eHealth, pour échanger des informations sur la santé et Qualibria, une application de connaissances cliniques, développée en coopération avec Intermountain Healthcare et la Mayo Clinic.
Le joint venture entend, à long terme, offrir une suite d'outils performants pour gérer la santé qui s'appuiera sur bon nombre de ces outils.
(...)
Ippon Technologies, spécialiste JavaEE, s'installe à Bordeaux
Créée en 2002, Ippon Technologies est une SSII et une société de conseil spécialiste des projets JavaEE et tout ce qui tourne autour de cette plateforme. Son implantation en région se fait en suivant l'évolution des clients grands comptes, comme la SNCF ou Air France. A Nantes d'abord et maintenant à Bordeaux. « On trouve d'excellents collaborateurs en région, souligne le directeur général Geoffray Gruel, avec les niveaux d'expertises qui sont les nôtres, et plus de stabilité. Nous comptons 15 consultants à Nantes, 6 à Bordeaux, une vingtaine de postes seront créés sur ces deux agences en 2012. Nos critères ? Nous voulons des gens passionnés par leur métier, très curieux de l'évolution des technologies, bons communicants pour s'intégrer dans une équipe projets.»
Fondée par un sportif de haut niveau
La société insiste sur ses méthodes internes. Fondée par un sportif de haut niveau, Stéphane Nomis, membre de l'équipe de France de judo, elle met en avant des valeurs d'engagement projet et de respect des clients et des équipes projet. L'entreprise recrute, pour moitié des juniors sortis de l'université, pour moitié des experts déjà certifiés. L'idée est de garder les juniors et d'engager des jeunes diplômés qui ont réalisé un projet, dans le cadre de l'école, ou à titre personnel. L'autre moitié des recrutements est composée de gestionnaires de projets, de spécialistes Java, et de méthodes agiles certifiés.
Ippon a réalisé 9,2 millions d'euros de CA en 2009, elle devrait atteindre 10,5 millions d'euros de chiffre d'affaires (CA) en 2010, le tiers en forfait, 15% en conseil, 55% en assistance. Elle progresse donc de 20%, se veut aussi dynamique pour 2012, mais reste prudente avant d'avancer un chiffre. Ippon devrait implanter de nouvelles agences en 2012 et 2013 dans le Sud-Est, Lyon et Marseille et en Belgique.
Consumérisation de l'IT : les DSI sous pression, selon IDC et IBM
IDC et IBM ont choisi de confronter les points de vue des utilisateurs et des directions informatiques en conduisant une enquête sur les usages en entreprise des terminaux mobiles personnels ou professionnels* Elle montre d'abord que 67% de personnes interrogées font usage de leurs smartphones personnels dans le cadre de leur travail, et ce, à hauteur de 27% du temps d'utilisation de leur équipement. Les salariés utilisent leurs terminaux mobiles personnels pour accéder principalement à leur messagerie électronique et à l'agenda : 78% consultent leurs mails et 66% leur agenda avec leurs smartphones et respectivement 72% et 47% avec leurs tablettes.
« Les résultats de cette étude montrent bien l'importance du phénomène de consumérisation dans l'IT , a souligné Nathalie Feeney, analyste senior chez IDC France. Les DSI doivent donc faire face à de nouveaux défis et enjeux suite au succès des applications mobiles. »
66% des DSI craignent les problèmes de coûts
Dans le cas où cette tendance viendrait à se développer, Un tiers des DSI refusent l'utilisation des environnements personnels pour accéder au système d'information de l'entreprise. Près de la moitié sont prêtes à tolérer ces usages en les accompagnant d'une charte de régles d'utilisation. Seules 18% prônent l'intégration de ces environnements au sein du SI.
Une grande majorité des utilisateurs et des responsables informatiques voit dans l'usage des smartphones et des tablettes des avantages en termes de réactivité et de productivité. Les DSI mettent également en avant les bénéfices pour les utilisateurs, avec 70% qui pensent que leur utilisation améliore l'engagement et les interactions avec les clients, et 67% à estimer qu'elle renforce l'image innovante de l'entreprise.
Reste que les DSI ont une image partielle de ces nouveaux usages. Ils sont 76% à ne pas voir les bénéfices de la mobilité. 68% d'entre eux citent le problème de l'adaptation des applications existantes aux nouveaux systèmes d'exploitation. 66% mettent en avant les coûts associés au développement d'applications, 65%, les coûts de développement d'infrastructure et 56% craignent des risques de pertes de données (par perte ou vol du terminal ou par attaques logiques)
L'appstore très demandé
L'étude fait émerger plusieurs pistes de solutions pour les directions informatiques. La mise en place d'une boutique en ligne (un store applicatif), avec 64% des salariés favorables à son utilisation, 6% de responsables informatiques indiquant en avoir déjà mis en place et 14% ayant projeté de le faire d'ici 12 à 18 mois. Autres solutions proposées par les salariés : posséder un outil de travail léger (88%), séparer l'environnement personnel du domaine professionnel (74%), posséder un outil de travail unique, multifonction (65%), et disposer d'un accès simple au SI (55%).
Pour permettre d'évaluer ses technologies expérimentales de développement d'applications mobiles, IBM propose de télécharger des exemples de code et des biblioyhèques rassemblées dans sa Mobile Technology Preview. « IBM a concentré ses efforts sur des standards ouverts, tels que HTML 5, JavaScript et CSS3 », a conclu Philippe Bournhonesque, directeur stratégie software group chez IBM France. Nous nous sommes également tournés vers la fourniture de technologies unifiées pour aider à la gestion d'écosystèmes mobiles hétérogènes avec de la connectivité, de l'évolutivité, et du développement d'applications natives, web ou hybrides. »
* Cette enquête a été menée dans les entreprises de plus de 1000 employés, et s'est appuyée sur les réponses de 206 salariés et de 100 directions informatiques.
(...)
Oseo repense sa gestion des données non-structurées
L'entreprise publique Oseo qui investit dans les entreprises innovantes et participe ainsi à leur développement, utilise une GED qui dispose d'un moteur de recherche interne. Mais ce dernier ne donnait pas satisfaction. D'une part son indexation était limitée au seul Intranet. D'autre part, la qualité des informations remontées était insuffisante avec un taux de bruit trop important.
Oseo a donc cherché à se doter d'un moteur de recherche plus transversal et délivrant des informations plus pertinentes. Après différents tests, l'organisme a choisi Enterprise Search de Polyspot. Ce moteur indexe désormais la totalité des documents non-structurés de l'entreprise et les rend disponibles au travers d'une interface intuitive accessible via un gadget du bureau Windows. Les résultats remontés sont plus pertinents qu'auparavant et il est possible d'affiner via la notion de « facettes ».
Le projet devrait être étendu dans les mois à venir à d'autres sources de données comme les espaces collaboratifs. Le coût du projet n'a pas été dévoilé.
Oracle optimise WebLogic 12c pour le cloud
Comme on l'attendait, Oracle a fait évoluer son serveur d'application WebLogic (ex-BEA) de façon à faciliter les déploiements dans le cloud, ainsi que l'a souligné Mike Lehmann, directeur senior produit, lors de l'annonce de la version 12c hier soir, par webconférence. « De nombreux clients exploitent des datacenters traditionnels mais sont intéressés par une migration vers le cloud. WebLogic 12c a été conçu pour cela ». Le suffixe « c » derrière le numéro de version vient souligner cette destination. WebLogic est le deuxième produit du catalogue à l'arborer après Enterprise Manager 12c annoncé sur OpenWorld 2011. Cette solution est au coeur de l'appliance Exalogic qu'Oracle préconise aux entreprises souhaitant déployer leurs applications dans un environnement de cloud privé.
Cette mise à jour majeure du serveur d'application, qui apporte selon Oracle plus de 200 fonctionnalités supplémentaires, sera disponible dans les prochaines semaines (la précédente remontait à la 11g en 2009). Elle constitue le fondement de l'offre Fusion Middleware dans le cloud, avec les briques Coherence (technologie de cache distribué) et Tuxedo (moniteur transactionnel). Un autre composant de l'offre middleware, Traffic Director (OTD) ajoute des mécanismes de routage de trafic, à haute performance et haute disponibilité. Le trafic entrant est routé à travers les différentes instances WebLogic dupliquées. OTD apporte des fonctions pour gérer de façon dynamique le cache, la répartition de charge et le support des serveurs proxy pour les applications basées sur http.
C'est la première version de WebLogic compatible avec Java EE 6 et avec les API et bibliothèques de ses composants technologiques, Java Servlets, JAX-RS 1.1 (Java API for restful XML Web services), JSF (Java Server Faces) 2.1, les Enterprise JavaBeans 3.1, etc. Cette conformité avec Java EE 6 donne aussi accès à CDI (Context and Dependency Injection), une fonctionnalité requise par les développeurs pour injecter facilement des composants dans les applications.
Assembler des applications multiniveaux en containers
Pour amener WebLogic vers le cloud, une grande partie du travail a résidé dans l'intégration du logiciel avec d'autres solutions d'Oracle. Le serveur d'applications a été modifié pour fonctionner avec Virtual Assembly Builder. Ce dernier permet, dans des environnements virtualisés avec Oracle VM, d'assembler dans un même container des applications multiniveaux (multitiers). Typiquement, les composants d'une application Java d'entreprise, incluant un serveur web, le logiciel de gestion du trafic, le serveur d'application et une couche de gestion des messages, sont souvent répartis entre plusieurs serveurs. Virtual Assembly Builder les réunit dans une bulle virtuelle qui peut alors être déplacée de serveur en serveur et gérée comme une identité unique.
« Lorsqu'elles préparent leur environnement pour le cloud, les entreprises se retrouvent face à une prolifération de machines virtuelles. Virtual Assembly Builder sert à en réduire le nombre, tandis que Traffic Director permet aux entreprises d'ajuster le trafic réseau au sein de leur infrastructure », explique Mike Lehmann.
Intégré avec Apache Maven
La version 12c du serveur d'application a également été revue pour fonctionner plus efficacement avec RAC (Real Application Clusters), la solution d'Oracle permettant à une base de données de fonctionner au sein d'un cluster de serveurs. WebLogic peut sélectionner le serveur qui lui paraît le mieux approprié à un moment donné, ce qui peut conduire à tripler ses performances, indique Mike Lehmann. Les autres serveurs d'applications vont interroger la base de données pour intervenir sur de nouveaux événements, tandis qu'avec WebLogic, Oracle met en place un système de messages qui peut alerter le serveur d'applications immédiatement quand une nouvelle information a été intégrée dans la base.
A la demande des utilisateurs, l'éditeur de Redwood a par ailleurs intégré son serveur d'applications avec Apache Maven, qui aide les développeurs à gérer les dépendances au sein de leurs applications, ainsi que les bibliothèques et les classes nécessaires à leur fonctionnement. « Cela facilite l'intégration de WebLogic dans leur environnement de build standard ».
WebLogic 12c est disponible. Son prix ne change pas, a précisé Oracle. Il est fixé à 45 000 dollars par processeur (auxquels s'ajoutent 9 900 dollars pour le support annuel). (...)
5 jours pour développer un jeu vidéo à l'Exia Cesi
Concevoir un jeu vidéo en moins d'une semaine, tel est le défi que les étudiants de 4ème année de l'Exia.Cesi vont devoir relever. Dans cette perspective, des équipes de 5 élèves vont être constituées dans les 15 centres que compte l'école en France. Elles bénéficieront de l'expérience de professeurs et d'étudiants, spécialistes du domaine, de l'Université de Portsmouth en France. Une équipe aux couleurs du Danemark (Université d'Aalborg) prendra également part à ce concours.
Toutes les technologies seront autorisées mais les jeux devront obligatoirement s'inspirer d'un des trois thèmes imposés qui seront dévoilés le 5 décembre au matin, premier jour de la compétition.
Les participants auront ensuite quatre jours pour faire preuve d'imagination et d'innovation. Le 9 décembre, date de clôture du concours, ils devront présenter leurs projets. Un vote du public sera mis en place sur Facebook à partir de cette date pour départager les lauréats de chaque centre. Les jeux vidéo ayant remporté le plus grand suffrage dans chaque région seront alors en compétition pour la finale nationale. Celle-ci aura lieu en janvier 2012 et ce sont des experts du monde du jeu qui désigneront le gagnant. A noter que les jeux primés seront accessibles dès janvier 2012 sur Facebook.
(...)
L'iPhone 5 et l'iPad 3 s'annoncent dans la beta d'iOS 5.1
Apple a livré aux développeurs une version beta d'iOS 5.1. En creusant un peu le système d'exploitation mobile, certains ont découvert des références aux prochains terminaux de la firme de Cupertino. Ainsi, Filippo Bigarella, dans un tweet, montre une image du code où est écrit iPhone 5.1, iPad 3.2 et 3.3. Sur cette dernière distinction relative à la tablette d'Apple, les spéculations misent sur la disponibilité d'un iPad 3 compatible avec le réseau téléphonique CDMA de l'opérateur américain Sprint. Ces différentes références montrent qu'Apple prépare activement la succession de l'iPhone 4 et de l'iPad 2.
Un autre développeur, iH8sn0w, a indiqué sur son compte Twitter, avoir découvert la référence J33 qui pourrait être liée à l'Apple TV. Selon le site Mac 9 to 5 Mac, le boîtier de télévision pourrait accueillir le processeur A5 ainsi qu'une interface Bluetooth 4.0.
Des fonctionnalités qui se dévoilent progressivement
Outre les références dénichées par les développeurs, les évolutions fonctionnelles de la version beta d'iOS 5.1 semblent mineures. Il sera possible de synchroniser les flux iTunes Match (service pour l'instant disponible uniquement aux Etats-Unis) en 3G. Une extension du clavier dans l'application Mail d'iOS a été aussi trouvée. Des évolutions sont prévues aussi sur la géolocalisation et la notification d'une alerte comprenant un élément de localisation géographique (Geofence). Ces éléments ont souvent été pointés du doigt comme la cause de la réduction de l'autonomie des batteries de l'iPhone 4S.
Enfin des développeurs allemands ont suggéré des améliorations de l'assistant vocal Siri qui prendrait en charge la connexion WiFi et Bluetooth. Des API de dictée sur Siri seraient disponibles pour que les développeurs puissent l'intégrer dans leurs applications, selon le site ArsTechnica. (...)
HP combine Autonomy et Vertica pour traiter toutes les données
Hewlett-Packard a rapidement mis à profit ses récentes acquisitions, Vertica racheté en mars dernier et Autonomy en octobre, en rassemblant ces deux logiciels dans une seule solution baptisée Next Generation Information Platform. Avec cette offre disponible fin janvier, les utilisateurs pourront rechercher et analyser des données structurées et non structurées, a expliqué Mike Lynch, ancien CEO d'Autonomy et désormais en charge de l'entité Information Optimization Business Solutions chez HP, lors de l'événement Discover 2011 à Vienne, un rendez-vous qui mêle infrastructures et solutions logicielles.
La plate-forme Vertica Analytics est un logiciel dédié au stockage et à l'analyse de très grandes quantités de données structurées, ou de données qui ont été stockées dans une base de données relationnelle. La solution Autonomy IDOL (Intelligent Data Operating couche) peut quant à elle indexer les données non structurées au sein d'une entreprise, et fournir aux utilisateurs une interface de recherche.
IDOL arrive dans sa version 10
HP propose aujourd'hui une mise à jour de la solution d'Autonomy, IDOL 10, optimisée pour les plates-formes serveurs maison Proliant, et qui inclut un ensemble de liens qui lui permettent de s'intégrer plus facilement avec Vertica. IDOL, dans sa version 10, sera disponible le 1er décembre, et offrira aux utilisateurs la possibilité de travailler avec des données structurées stockées dans la base de données Vertica. Si la force d'Autonomy repose sur ses capacités de traitement de données texte, audio et vidéo, Vertica apporte en sus les ressources d'une base de données en colonnes et des capacités analytiques.
L'interface de recherche unifiée pourrait se montrer particulièrement utile pour afficher dans un seul flux une synthèse reposant sur des données structurées et non structurées. Dans les entreprises, ces informations sont généralement traitées par des systèmes distincts. Par exemple, les informations issues de réseaux sociaux tels que Twitter, qui sont généralement capturées en tant que données non structurées, pourraient être explorées en utilisant les fonctionnalités graphiques et analytiques de Vertica. Les flux vidéo et audio qui peuvent être tous deux ingérés par IDOL, pourraient être couplés avec les données liées à des événements historiques stockés dans Vertica pour fournir un suivi en temps réel. À titre d'exemple, une banque pourrait suivre une conversation téléphonique avec un client qui demande un crédit et certains mots clefs analysés par Autonomy pourraient déclencher une alerte dans Vertica. Si lors de cette conversation, l'appelant laisse échapper quelque chose qui pourrait indiquer un risque élevé, la société de crédit pourrait être immédiatement alertée par la fonction d'analyse de Vertica, nous a expliqué un responsable de HP.
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