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(16/11/2007 16:32:23)

Un comité SDO au sein de l'Oasis

SDO dispose désormais de son propre comité au sein de l'Oasis. Les spécifications Service Data Objects visent à donner une vue unifiée, logique, des données, quelles que soient les sources considérées : bases de données relationnelles, fichiers XML, etc. L'organisme de standardisation estime qu'il s'agirait d'une aide appréciable dans la mise en place d'architectures orientées services (SOA). Un modèle de programmation unifié simplifierait en effet énormément la tâche des développeurs. C'est le souhait des promoteurs de SDO : Adobe, BEA Systems, IBM, Progress Software, SAP, et le Français Xcalia. Le comité technique sera affilié à la section 'OASIS Open Composite Services Architecture', qui accueille déjà les comités travaillant sur les spécifications SCA (Service component architecture), un modèle de développement unifié pour des applications conformes aux canons de la SOA. (...)

(14/11/2007 09:57:47)

OpenWorld : Oracle brandit Fusion Middleware 11g

Au deuxième jour d'OpenWorld (11-15 novembre, San Francisco), Oracle a fait le point sur Fusion Middleware 11g, prochaine évolution de sa gamme d'outils intégrés permettant de développer et déployer des applications sécurisées dans une architecture orientée services, en tirant parti des fonctions de collaboration Web 2.0 et des technologies de grid computing. Rappelons que Fusion Middleware rassemble le serveur d'application d'Oracle, son portail, ses solutions décisionnelles et ses outils de gestion de contenus et des identités. Fusion Middleware comprend aussi une suite de composants SOA : l'environnement de développement Java Jdeveloper, des outils pour définir et orchestrer les processus métiers (Business Rules, BPEL PM), pour superviser les activités métiers (BAM) et orchestrer services Web et interactions entre les applications (Web services manager), ainsi qu'un bus de service (ESB). Actuellement testées auprès de certains clients, les nouvelles versions de ces produits seront livrées en bêta à la mi-décembre. L'éditeur, qui dit enregistrer une nette progression sur les ventes de sa gamme Fusion Middleware, a fait une démonstration de force sur OpenWorld en soulignant les atouts de ses produits face à la concurrence. Il y a quelques semaines, il était pourtant tout disposé à racheter BEA Systems, l'un de ses principaux concurrents dans ce domaine, avec le serveur d'application WebLogic et la gamme de développement d'applications SOA Aqualogic. Vers l'intégration de données décisionnelles Thomas Kurian, senior vice-président d'Oracle pour les technologies serveurs, a rappelé les avancées récentes et à venir d'Oracle Fusion Middleware. Parmi celles-ci, un runtime compatible JEE 5 pour le serveur d'application, un bus de service basé sur les standards SCA (service component architecture), l'utilisation du mode ELT (extraction, chargement, transformation des données) pour intégrer les données décisionnelles, de nouveaux tableaux de bord interactifs, une meilleure intégration avec Excel, ou encore l'utilisation de Webcenter pour créer des environnements de travail dynamiques permettant d'exploiter les fonctions Web 2.0. Dans l'offre de gestion de contenus, acquise avec le rachat de Stellent, les versions 3 d'Imaging and process management 10g (intégration des images dans les processus documentaires) et d'Information rights management (sécurisation et traçabilité des documents) sont désormais disponibles. La première permet de disposer une interface web personnalisable et de fonctions optimisées de load balancing. La seconde inclut une nouvelle API web services mise à jour pour supporter le placement de filigranes dans les fichiers PDF, ainsi que l'encryptage AES 256 bit. Oracle a également ajouté des outils de diagnostic et des fonctions analytiques à sa solution de respect des procédures, Fusion Governance Risk and Compliance Intelligence. Ils permettront aux dirigeants de constituer rapports et tableaux de bord pour mieux identifier les risques. (...)

(13/11/2007 17:09:55)

Integration World 2007 : quelques évolutions stratégiques de la plateforme SOA de WebMethods

A l'occasion d'Integration World 2007, Subbash Ramachadran, directeur de la ligne ESB et intégration de Software AG, et Jignesh Shah, directeur marketing de l'Allemand, ont levé le voile sur les évolutions possibles de la plateforme SOA WebMethods. La valeur d'usage et facilité d'utilisation ("usability" en VO) sera ainsi une des priorités. "Il ne s'agit pas uniquement de rassembler les composants pour les faire fonctionner, mais également du degré de facilité que je possède pour construire quelque chose en production", commente Subbash Ramachadran. Un des leviers peut alors venir d'une meilleure "collaboration entre architecte et développeurs pour construire des services efficaces à valeur ajoutée", ajoute Jignesh Shah. Subbash Ramachadran a ensuite expliqué que d'un point de vue technologique, la plateforme était en ligne notamment en termes de standards, mais l'un des enjeux est "de la faire évoluer vers tout ce dont les utilisateurs ont besoin". Parmi les demandes des utilisateurs, Jignesh Shah pointe notamment la possibilité de rendre les choses plus faciles à déployer et plus de visibilité sur la méthodologie de management, comme la gouvernance SOA. "La véritable raison de ce besoin est qu'ils veulent de mieux en mieux collaborer". Une des requêtes d'utilisateurs est également un désir d'ouverture des composants de la suite à d'autres environnements applicatifs. Et Subbash Ramachadran de citer notamment l'exemple de composants de SAP. Une idée que reprend Jignesh Shah en expliquant prévoir d'ici deux à trois ans une demande quant à la capacité à mieux fédérer. Un point actuellement étudié par le groupe. Les deux spécialistes ont enfin mis en avant les éléments qui différencient l'approche WebMethods de ses concurrents : tandis que Jignesh Shah mise quant à lui sur une "synergie et une complémentarité au sein du portefeuille", de la qualité de l'ESB et de Centrasite (gouvernance SOA), Subbash Ramachadran souligne le côté "standalone" de la plateforme et l'architecture globale qui restera - après le rachat de Software AG - un exemple de stabilité et de fiabilité, notamment dans les secteurs critiques (comme la banque). (...)

(13/11/2007 11:55:38)

Integration World 2007 : Software AG se dit à l'abri d'une OPA

A l'occasion de l'édition 2007 d'Integration World, Karl-Heinz Streibich, PDG de Software AG, a souhaité mettre l'accent sur la robustesse de son groupe en rappelant que dans un contexte de concentration acerbe - avec Oracle qui s'est porté acquéreur de BEA -, Software AG était à l'abri d'une OPA hostile. « 30% de Software AG appartient à une fondation financée par Software AG. Nous sommes protégés contre un rachat hostile. C'est très important pour nous car nous sommes en voie de consolidation. » Et d'ajouter, un brin fanfaron : « Nous avons le potentiel de devenir aussi gros que SAP », en se basant sur l'évolution de son compatriote allemand. Qui réalise deux fois et demi le CA annuel de Software AG et WebMethods en un seul trimestre. Si Karl-Heinz Streibich n'exclut pas de petits rachats notamment pour compléter le portefeuille technologique, il prétend ne pas pouvoir prédire une importante opération de croissance extérieure. A l'image du rachat de WebMethods. « Software AG est animé par quatre leviers de croissance : optimisation des ventes, expansion géographique, son réseau de partenaires et enfin les acquisitions. Mais ce dernier point n'est que le quatrième levier. WebMethods a été un gros rachat. Mais vous ne pouvez pas les prévoir. Cela s'est présenté, nous l'avons fait et réalisons une intégration réussie [...]. Oui nous pourrions réaliser de grosses acquisitions, mais cela ne peut pas être prévu. Une chose est claire. La fusion avec WebMethods est idéale pour Software AG en termes de stratégie, de portefeuille technologique et de savoir-faire. Il sera très difficile de trouver une acquisition importante aussi idéale. » Tout en confirmant que Tibco, un des ses principaux concurrents sur le marché avec IBM, n'est pas une cible pour le groupe. (...)

(07/11/2007 10:50:00)

MS TechEd 07 : un Popfly pour entreprise n'est pas impossible

Popfly est résolument un outil destiné aux non-programmeurs. Mais non-programmeur ne signifie pas forcément utilisateur individuel : cet atelier en ligne de création de mashups (combinaisons de services applicatifs) pourrait bien faire son entrée dans les entreprises à destination des utilisateurs « avancés ». S'exprimant en marge du TechEd, la conférence développeurs européenne de Microsoft, qui se tient toute la semaine à Barcelone, Prashant Sridharan, manager au sein de la division développeurs de Microsoft, nous a confirmé que les entreprises avaient exprimé beaucoup d'intérêt pour une utilisation en interne de Popfly. Des éditeurs comme Tibco ou BEA ont commencé à introduire dans leurs offres des modules laissant une certaine latitude aux utilisateurs avancés. Chez BEA, les développeurs peuvent exposer des services et réglementer leur utilisation, à l'intention des utilisateurs métier qui pourront combiner ces services de façon graphique pour répondre au mieux à leurs besoins. Tibco propose le même type de fonctionnalité pour personnaliser un workflow : des « utilisateurs avec privilèges », typiquement des chefs d'équipe, peuvent ainsi altérer ou créer des processus. Microsoft ne propose rien de tel jusqu'à présent. Entre les macros et les scripts d'Office et ce que propose Visual Studio, il y a un vide, reconnaît Prashant Sridharan. Et à la question « Microsoft propose-t-il un outil du même type que ceux de Tibco et BEA », la réponse est : « pas encore ». Un Popfly pour entreprises n'est donc pas impossible, mais Prashant Sridharan exprime une certaine prudence sur le sujet : « Les outils de mashup sont formidables, c'est vraiment par là que va le Web, il n'y a rien à redire à cela. En revanche, je me demande quelle valeur cela pourra vraiment avoir pour les entreprises. Les mashups ne sont pas la panacée, or il y a toujours un risque que ce soit perçu comme tel. Il faut à mon avis plusieurs types d'outils de développement pour résoudre les différentes problématiques d'une entreprise. » (...)

(06/11/2007 15:12:01)

Integration World : Software AG embarque la BI de Cognos dans webMethods

Software AG veut ajouter des fonctions d'analyse décisionnelle en temps réel à sa plateforme de BPM, BAM et BRM. C'est que concrétise l'éditeur allemand en annonçant, à l'occasion d'Integration World 2007, la conférence des utilisateurs de webMethods, qu'il fournira les outils décisionnels de Cognos en standard avec les solutions de webMethods. Selon les termes de l'accord, les modules de reporting, de tableaux de bord et d'analyse de Cognos 8 BI seront intégrés dans les prochaines versions des produits webMethods. Selon l'éditeur, l'objectif est de combiner BAM (Business activity monitoring, supervision des activités métiers), BPM (Business process management, gestion des processus métiers) et BRM (Business rules management, gestion des règles métiers) à une brique décisionnelle qui doit confronter en temps réel les données de l'entreprise à l'ensemble des outils de monitoring. En clair, rapprocher les données de production des données historiques de l'entreprise pour "intervenir au moment de vérité", résume Peter Küprick, directeur des produits webMethods. Et d'ajouter : "Le BPM dirige, le BAM détecte, le BRM coordonne et enfin le décisionnel contextualise en amont l'ensemble", tout en expliquant qu'il s'agit là d'offrir une vision de bout en bout de la chaîne de processus de l'entreprise. (...)

(06/11/2007 13:41:13)

Integration World 2007 : coup de projecteur sur la fusion webMethods / Software AG

Coup d'envoi de l'édition 2007 d'Integration World, la grand messe des utilisateurs de webMethods, spécialiste de la SOA (architecture orientée services) et du BPM (gestion des processus métiers), à Orlando (du 5 au 7 novembre). S'il s'agit "d'engager les utilisateurs dans le processus" (Engaging users in the process), comme était baptisé un webcast organisé en préambule de la manifestation, c'est parce que l'édition 2007 est la première mouture de la conférence depuis le rachat de webMethods par Software AG, pour 546 M$, en avril dernier. Une conférence qui devrait ainsi détailler l'intégration de webMethods au portefeuille de son acquéreur allemand. En outre, les feuilles de route seront tirées. A l'occasion d'une conférence pour analystes, David Mitchell, COO de la division webMethods, a vanté les mérites de la fusion. Tout en se félicitant de la diffusion de webMethods qui profite du réseau de Software AG, il explique que la nouvelle filiale sera un des leviers de croissance de l'Allemand. Et qu'elle constitue ainsi un des maillons indissociables de la stratégie de Karl-Heinz Streibich, PDG de Software AG, qui vise à atteindre le milliard de chiffre d'affaires en 2010 - 2011. Autre argument, la fusion a également donné naissance au n°3 du BPM et de la SOA, notamment en termes de portefeuille technologique. Ce qui donne une taille critique nécessaire pour accéder à de nouveaux marchés. "Les CIO ne veulent pas acheter d'infrastructure à de petites sociétés. Vous devez être gros et indépendant." Reste encore à rassurer les clients de webMethods. Toujours à l'occasion de cette conférence, John C. Petrey, vice-président et CIO de TD Banknorth, interrogé sur ses craintes résultant de la fusion, a expliqué que les ventes de webMethods sont directement liées la culture et la bonne image de l'éditeur. "Nous reposons sur l'offre. Nous craignons que cela change". La rédaction du www.lemondeinformatique.fr vous tiendra informés tout au long de la conférence. (...)

(30/10/2007 18:03:15)

Microsoft dévoile Oslo, sa vision pour les SOA

Les applications composites au sein de l'entreprise et au-delà de ses frontières sont le nouveau cheval de bataille de Microsoft. L'éditeur a profité de sa conférence SOA & Business Process à Redmond pour dévoiler Oslo, nom de code pour un ensemble d'investissements techniques dans plusieurs lignes de produits. Le but est d'harmoniser les développements pour « simplifier les SOA », rendre usuelles les applications composites, et in fine concrétiser la promesse logiciels plus services (« software plus services »). Pour plusieurs observateurs du secteur, l'annonce est à prendre au sérieux, elle marque un engagement fort. Microsoft donne cinq domaines clés pour les investissements de ces prochaines années : - Les logiciels serveurs : l'effort continuera de porter sur Biztalk, qui sert déjà de socle pour le déploiement et l'administration des applications ; - Les services : Microsoft proposera une offre commerciale, « Biztalk Services 1 », donc fournie avec un support, de services hébergés (messagerie, authentification, workflow) permettant de mettre en place des applications composites sortant des frontières de l'entreprise ; - Le framework : la version 4 de .Net se focalisera sur le développement guidé par les modèles ; - Les outils : Microsoft prévoit d'inclure dans Visual Studio 10 des outils de gestion du cycle de vie des applications devant faciliter la conception et le déploiement d'applications distribuées ; - Le référentiel : Microsoft veut « aligner les référentiels de métadonnées des produits des divisions outils et serveurs ». Concrètement, Microsoft System Center 5, Visual Studio 10 et Biztalk Server 6 devraient partager une même technologie de référentiel pour les données concernant l'administration et le déploiement des modèles applicatifs. (...)

(25/10/2007 17:53:24)

Oracle/BEA : BEA fixe son prix à 8,15 Md$

A 21$ l'action, soit une somme globale de 8,15 Md$, BEA se dit prêt à se vendre « à des tiers, y compris Oracle ». Sous le coup d'une offre de la part d'Oracle à 17$ l'action, BEA avait d'abord répondu qu'il n'était pas à vendre, puis que le prix fixé ne reflétait pas la valeur réelle de l'entreprise. Finalement, comme dans toute transaction, la proie a elle-même fixé un prix - établi après avoir pris conseil auprès de Goldman Sachs, a précisé BEA - afin de pouvoir entamer des négociations. Pour Massimo Pezzini, analyste du Gartner, cela ne fait aucun doute que les actionnaires de BEA soient prêts à se vendre, 17$ l'action constituant déjà « un bon prix ». Pour lui, le délai avant la transaction est dû à une raison relativement simple : il faut s'entendre sur les 'golden parachutes', ces compensations financières qui seront accordées aux dirigeants de BEA. Quant aux dernières rumeurs disant qu'IBM pourrait intervenir, « j'ai du mal à l'envisager, dit-il, dans la mesure où IBM est de loin le numéro un du marché, et BEA le numéro deux : cela poserait des problèmes vis-à-vis des autorités chargées de la régulation de la concurrence ». (...)

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