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(24/10/2007 09:32:40)

Oracle/BEA : BEA se dit prêt à se vendre... plus cher

Visiblement, l'ultimatum d'Oracle a porté. Après que la firme de Larry Ellison a déclaré qu'elle mettrait un terme dimanche à son offre de 17 $ l'action sur BEA, ce dernier a réagi par un communiqué stipulant que l'éditeur de middleware n'était pas opposé à la vente. Enfin, cela s'entend, si Oracle relevait son offre : « Le conseil d'administration de BEA n'a pas indiqué qu'il s'opposerait à une transaction qui reflète de façon appropriée la valeur de BEA, à l'issue d'un processus raisonnable. » Oracle relèvera-t-il son offre ? Pour Ray Wang, analyste chez Forrester, « s'ils veulent vraiment dominer le marché du middleware, alors c'est une acquisition qu'ils devraient vouloir mener à terme ». Comme l'expliquaient nos précédents interlocuteurs, si BEA tombait dans d'autres mains, c'est Oracle qui se ferait distancer sur ce marché. (...)

(17/10/2007 12:32:17)

TechEd : SAP se paie Yasu pour doper Netweaver au BPM

SAP poursuit ses emplettes. Après avoir annoncé le rachat du Français Business Objects le 8 octobre, le géant allemand se paie, plus modestement, le petit Indien Yasu Technlogies (120 employés), spécialiste de la gestion de règles métier (BRM - Business rules management). Une opération qui doit, selon l'Allemand, doter son environnement Netweaver de fonctions de gestion de BPM. Annoncée à l'occasion de la conférence développeur SAP TechEd (Munich, du 17 au 19 octobre), l'acquisition, dont le montant n'a pas été communiqué, doit se finaliser en octobre. Dans un communiqué, SAP indique que cette opération est en ligne avec sa stratégie de cimenter son offre. Concrètement, la technologie de Yasu doit permettre aux clients de SAP « d'appliquer des règles métier à leurs processus dans un environnement hétérogène ». Techniquement, l'offre de l'Indien, dont le produit-phare QuickRules BRMS est décliné pour .Net et Java, est focalisée sur l'automatisation ainsi que le contrôle des politiques de conformité des processus métier avec l'entreprise. SAP prévoit de fondre le système BRMS de Yasu au futur module d'intégration Process Integration de Netweaver. A l'occasion de l'édition américaine du TechEd à Las Vegas, SAP a annoncé une formule d'abonnement d'un an à Netweaver, pour permettre aux développeurs de découvrir les outils composant la plateforme. (...)

(15/10/2007 16:27:56)

Oracle/BEA : Forrester verrait bien Cisco dans l'équation

Et si la contre-proposition que BEA attend afin de se soustraire à l'offre d'Oracle venait de Cisco ? C'est l'hypothèse que formule Henry Peyret, analyste sénior chez Forrester. « John Chambers [le patron de Cisco, NDLR] dit souvent que le futur de Cisco est dans le logiciel. » Pour lui, un tel rapprochement aurait « beaucoup de sens, d'autant que Cisco cherche à intégrer des briques applicatives dans les routeurs ». Mais il souligne aussi les écueils d'un tel rachat. « On n'a jamais vu Cisco racheter une société aussi importante et continuer le business. Il y aura certes des synergies au niveau technologique, mais cela ne veut pas dire qu'il y aura automatiquement des synergies au niveau des ventes, par exemple. On ne vend pas des logiciels comme on vend des boîtes. » S'il ne croit guère aux hypothèses HP, CA ou Fujitsu en tant que chevaliers blancs (ou noirs, d'ailleurs, parce qu'aucun, a priori, ne laisserait son indépendance à BEA), Henry Peyret estime qu'IBM pourrait faire une offre, afin d'élargir sa part de marché, et compléter son portefeuille technologique. Le grand perdant, pour lui, serait SAP, dont l'offre middleware subirait un certain retard par rapport à celle de BEA. Ce serait même l'hypothèse d'un rachat de BEA par SAP qui aurait pu pousser Oracle à prendre les devants, pour Henry Peyret. Mais il voit mal SAP faire une contre-proposition aujourd'hui, dans la mesure où l'éditeur allemand doit déjà digérer le rachat de BO. (...)

(15/10/2007 16:09:53)

Oracle/BEA : BEA rejette l'offre "amicale" d'Oracle

C'est un non, poli mais ferme, qui a accueilli l'offre amicale de rachat de BEA par Oracle. BEA a même décliné une invitation à une réunion vendredi dernier ; Charles Phillips, le président d'Oracle, souhaitait cette rencontre afin de parvenir à une transaction amicale avant la réouverture des marchés financiers aujourd'hui. BEA estime de son côté que cette offre n'est pas amicale, dans la mesure où elle n'a pas été sollicitée, et où elle ne reflèterait pas la vraie valeur de l'entreprise. William Klein, vice-président de BEA, a ainsi écrit à Charles Phillips que son conseil d'administration estime que « BEA vaut beaucoup plus aux yeux d'Oracle, mais aussi d'autres [acheteurs potentiels] et, très important, de nos actionnaires, que le prix indiqué dans votre lettre ». Et d'expliquer que le marché ne peut pas estimer à sa juste valeur l'entreprise, dans la mesure où certaines informations financières doivent être actualisées (suite à un audit sur la pratique des stock-options, BEA doit republier tous ses comptes depuis l'année fiscale 1998). William Klein explique par ailleurs qu'il souhaite que cette situation ne s'éternise pas, dans la mesure où « Oracle est un compétiteur direct », et où cela serait donc préjudiciable aux activités commerciales de BEA. De fait, tous les analystes sont d'accord pour dire que l'annonce de cette offre gèle plus ou moins le marché de l'éditeur. Et l'exemple du feuilleton Oracle-Peoplesoft a montré qu'au final, la résistance s'est avérée vaine. (...)

(12/10/2007 16:47:56)

Oracle/BEA : Gartner décrit un acte préventif

Pour Massimo Pezzini, analyste vice-président de Gartner, la proposition d'achat d'Oracle faite à BEA relève plus de la stratégie commerciale que de l'intérêt technologique. « Je crois, nous a-t-il expliqué, qu'Oracle veut prévenir un éventuel rachat de BEA par quelqu'un d'autre (HP ? Fujitsu ?) qui deviendrait alors un remarquable concurrent. » Car BEA propose peu ou prou la même offre middleware, et présente même quelques avantages par rapport au portfolio d'Oracle. Ainsi, dit-il, « WebLogic est nettement supérieur au serveur d'applications d'Oracle, il est déjà conforme JEE 5, a une base installée bien plus conséquente et bénéficie d'un large support de la part des éditeurs de logiciels. D'autres produits resteraient parce qu'ils sont meilleurs ou n'ont pas vraiment d'équivalent, comme la machine virtuelle Jrockit, probablement l'offre de BPM et celle de gestion des métadonnées (issue de Flashline). » Dans le même temps, Oracle réaliserait une belle opération en termes de revenus récurrents : « Oracle se paie ainsi un chiffre d'affaires régulier lié à la maintenance, et une base installée importante, tant d'un point de vue géographique que sectoriel : BEA a de gros clients dans les télécoms, la finance, le secteur public... » La nouvelle, conclut-il, n'est pas très bonne pour les clients, qui devront s'attendre, si la transaction a lieu, à « une rationalisation massive » et une intégration des lignes de produits qui pourrait prendre « des mois, peut-être des années ». Ceux qui devraient en profiter sont les acteurs plus petits du secteur. Pour Massimo Pezzini, ces acteurs ont une carte à jouer, du fait de la dépendance accrue des clients à quelques gros fournisseurs. « Des acteurs comme JBoss, Tibco, Software AG ou Progress devraient en profiter », pense l'analyste de Gartner. (...)

(05/10/2007 17:29:17)

Forum SOA 2007 : Méthode et gouvernance au même rang que les technologies

Lemondeinformatique.fr et cio-online.com ont animé hier à Paris la seconde édition du Forum SOA, qui a réuni environ 300 personnes, DSI, architectes, urbanistes, chefs de projet... D'après les premiers retours que nous avons pu avoir du public présent, le message global autour des architectures orientées services commence à passer. De fait, depuis le début, nous avons insisté sur le fait que les SOA étaient avant tout une collection de principes qui concernent non seulement les technologies, mais aussi la méthodologie, la gouvernance informatique, ou encore la réorganisation des processus au sein de l'entreprise. Alors que l'édition précédente du Forum SOA était plutôt axée sur les bénéfices des SOA, les témoignages clients et les interventions en session plénière cette année se sont plutôt attachés à explorer des aspects concrets de la mise en oeuvre, depuis la définition des processus dans des cercles larges, jusqu'à la supervision de l'activité métier. Les vidéos des tables rondes seront disponibles sur un site que nous avons spécialement créé pour la communauté des acteurs concernés par les SOA : www.forumsoa.fr (...)

(21/09/2007 07:50:23)

40% des programmes architecturaux échoueront avant 2010, prévient Gartner

Les programmes d'architecture informatique risquent l'échec s'ils ne peuvent démontrer une valeur ajoutée pour le métier, estime - très logiquement - Gartner. Qui pronostique que 40% de ces programmes seront donc arrêtés avant 2010. Parmi les causes d'échec, l'analyste Richard Buchanan cite l'incapacité à remplir les objectifs annoncés et surtout à impliquer des sponsors au plus haut niveau de l'entreprise. Il explique en effet que « l'architecture d'entreprise n'est pas juste une question de technologie », mais une question de stratégie d'alignement de l'informatique et du business. Gartner donne quelques conseils pour mener à son terme une stratégie architecturale. Par exemple, ne pas considérer les projets d'architecture comme des projets isolés, mais qui au contraire doivent impliquer toute l'entreprise. « Pour optimiser le retour sur investissement en architecture, accélérer le développement de l'infrastructure et créer de nouvelles stratégies métier alignées avec la technologie, les grandes entreprises 'global 2000' doivent voir les architectes d'entreprise et leurs équipes comme des agents du changement. » Les architectes eux-mêmes, indique Gartner, doivent considérer, outre les logiciels et matériels à intégrer, les acteurs de l'entreprise à servir ainsi que les partenaires à satisfaire. Richard Buchanan écrit : « Il est temps que les architectes d'entreprise montent d'un cran, et prennent un rôle où il ne s'agit plus seulement de résoudre un problème, mais d'offrir une vision. » Gartner recommande enfin de mettre au point des métriques pour évaluer l'impact des changements architecturaux sur le métier de l'entreprise. (...)

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