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(01/09/2011 11:46:35)
Une billetterie en mode SaaS pour les bus en Languedoc-Roussillon
Les conseils régionaux sont responsables des politiques locales de transports publics. En Languedoc-Roussillon, il existe dix lignes routières régionales (transports publics par autocars) dont la billetterie était gérée avec une solution en fin de vie opérée par la SNCF. La collectivité a alors cherché à obtenir une solution qu'elle maîtriserait de manière centralisée.
Après appel d'offres, c'est la solution Psibus.net de Jidélec qui a été retenue. Cette solution est proposée en mode SaaS, les responsables de la collectivité pouvant administrer leur service par une interface web et ressortir toutes les informations d'exploitation en temps réel.
Les autocars sont désormais équipés de terminaux mobiles permettant la délivrance et le contrôle de titres de transport communiquant leurs données en temps réel vers le back office. Le déploiement de ces terminaux dans les autocars a été réalisé en une seule journée par Jidélec. Les chauffeurs ont été formés au cours d'une autre journée.
Le coût de la solution n'a pas été communiqué.
La SSII UBI milite pour des centres de télétravail
A Strasbourg, La SSII UBI ne se contente pas du business quotidien, mais veut garder la tête hors de l'eau. Son PDG, Jean Christophe Uhl, anime la commission télétravail du think tank régional Ten4Alsace. « Je m'intéresse depuis des années aux usages, et particulièrement au télétravail qui devrait mailler toute la région Alsace » nous explique-t-il. Il met en pratique cette inclinaison en ouvrant dans ses locaux un centre de télétravail.
« Beaucoup de gens dans le monde du télétravail s'autocensurent, les salariés par rapport à la frontière travail / vie personnelle, les managers qui craignent que le salarié s'occupe des enfants ou regarde la télé ». Il faut donc des lieux dédiés au télétravail, mais à proximité des zones urbaines. La formule est celle d'un abonnement sur plusieurs jours, le salarié venant dans les locaux suivant ses besoins. Autre avantage, une fois dans les lieux, les salariés vont échanger et développer leurs demandes et leurs besoins. Un rapport (révélé par nos confrères d' e-alsace), commandé par la Préfecture de région au cabinet Items, proposait dix recommandations pour encourager le télétravail.
Du speed dating sur l'innovation
Par ailleurs, UBI participe à une nouvelle opération en Alsace, baptisée Démo Alsace. Il s'agit sur un modèle californien, de type speed dating, d'organiser une réunion courte. Elle débute par des démos, 5 ou 6 à chaque fois, sur des innovations. L'assistance est debout, 200 personnes sont attendues. La série de démo se prolonge par des contacts. Une première réunion a lieu le 13 septembre chez UBI, à partir de 18 heures, avec comme innovations : une gestion des accès, du collaboratif, la visiconférence Cisco. « Il faut sortir des démos powerpoint » note avec humour Jean Christophe Uhl.
Résultats Devoteam : un semestre en croissance, mais avec une érosion des marges
La SSII Devoteam a dégagé une marge d'exploitation de 13 millions d'euros (M€) pour le compte du premier semestre de son exercice 2011. Un montant stable comparé à il y a un an mais qui ne représente plus que 4,9% de son chiffre d'affaires contre 5,4% précédemment. « Hors impact ponctuel de Wola Info [Ndlr : une société polonaise rachetée en mai 2010], en perte de un million d'euros sur le semestre, la marge est quasi stable à 5,3% du chiffre d'affaires », précise toutefois le communiqué publié par la société. Le résultat opérationnel recule quant à lui de 7% à 11,7 M€, conséquence de la comptabilisation d'un profit exceptionnel de 4,7 M€ en 2010 sans lequel il aurait été en croissance de plus de 40%. Au final, le résultat net part du groupe ressort à 6,9 M€, soit une baisse de 6% comparé au premier semestre 2010.
CA en hausse de 12%
Malgré l'effritement de ses marges, Devoteam reste une entreprise en croissance. Sur le semestre, son chiffre d'affaires a progressé de 12% à 268,5 M€. Une hausse à la fois soutenue par son pôle Technology Consulting, dont les revenus ont progressé de 8,8% (+3,5% en organique) à 220 M€, et surtout son pôle Business Consulting qui a généré un chiffre d'affaires de 48 M€ en croissance de 28% (+16,7% en organique).
Pour l'ensemble de l'exercice 2011, Devoteam maintient son objectif de chiffre d'affaires de 530 M€. Elle réitère également sa prévision d'une marge d'exploitation de 6%, précisant toutefois que « les incertitudes liées à l'environnement actuel la rendent plus difficile à réaliser. »
SCC se développe dans l'interactivité et le multimédia
La nouvelle activité, interactivité et multimédia, est logée au sein de la division «convergence». Elle est animée par Cédric Dervaux passé par Hypcom Technologies, un grossiste, et Smart Technologies, fabricant de TBI (tableaux blancs interactifs). L'idée pour SCC est d'être pro-actif sur des marchés émergents. Ceux du collaboratif autour de supports comme les TBI, les tablettes, les smartphones et même la téléphonie fixe. SCC vise l'équipement des salles de conférence et des auditoriums. Les clients appartiendront à deux segments, celui de l'éducation nationale et celui des entreprises. SCC s'appuie d'abord sur l'offre Cisco DMS, digital media system pour l'affichage dynamique sur écran.
Par ailleurs, trois business unit de SCC France changent de titulaire. Olivier Frerebeau devient le responsable de la bu «convergence». Il a un parcours très orienté chanel : Alium, APC, 3Com, Westcongroup. SCC indique trois objectifs pour le nouveau responsable : chiffre d'affaires, qualité de service et positionnement. Stéphan Cottet, venu de Epson, devient responsable de la bu Managed print services. Anne Morin, venue de Télindus, devient responsable de la bu Cisco UCS Oracle HW (et des offre de cloud computing associées).
Le premier de ces nouveaux responsables pallie un départ, les deux autres arrivent suite à des évolutions internes.
Recap été 2011 (juillet) : Google+ entre en scène, Pas de crises pour les entreprises IT, Florilèges sécuritaires
Le mois de juillet 2011 loin d'être climatiquement le plus chaud, aura été très actif sur le plan de l'IT. Rachat, résultats financiers, sécurité, réseaux sociaux, mobilité, plusieurs acteurs ont animé ce début d'été.
Naissance et succès de Google+
En jouant la modestie, Google a présenté au début de l'été son réseau social, baptisé Google+. Ce dernier se démarque entre autre de Facebook en catégorisant les personnes qui vous suivent dans des cercles et en refusant les pseudonymes. L'inscription se fait par invitation. A peine lancé, ce service a connu un fort succès au point que même les entreprises ont souhaité s'y inscrire. Paul Allen, co-fondateur de Microsoft avait prévu que la barre des 20 millions d'abonnés serait atteinte si Google ouvrait les inscriptions. Ce dernier garde néanmoins cette politique et travaille sur l'amélioration du service et sur la mise en place d'un service pour les entreprises, le marketing et même pour les jeunes.
Rachats et résultats financiers records
Sur le plan des acquisitions, la plus marquante a été celle de Pillar Data par Oracle. Le dernier spécialiste du stockage virtualisé tombe dans l'escarcelle de la firme de Larry Ellison, principal actionnaire de Pillar. On notera également le rachat de Force10 Networks, spécialiste du réseau par Dell. Beaucoup d'analystes penchaient plutôt sur un rachat avec Brocade.
Côté finance, les entreprises IT ne connaissent pas la crise en affichant des résultats trimestriels ou annuels record. Apple avait ouvert le bal en flirtant avec la 1ère place mondiale en termes de capitalisation boursière. Les ventes d'iPad et d'iPhone ont été un succès au point que la firme de Cupertino détrône Nokia sur le marché des smartphones. Par ailleurs, la sortie de Mac OS X Lion affichait un million de téléchargements dès le premier jour de commercialisation. Google, EMC, Microsoft ont déjoué les pronostics des analystes en publiant des résultats supérieurs aux prévisions. Même Intel échappe à l'érosion du marché des PC.
Botnet, Barack Obama, Jailbreak iPad 2
La sécurité ne prend pas de vacances et le web a vu l'arrivée d'un botnet coriace sous le nom de TDL-4. Il a réussi à infecter près de 5 millions de machines. Il combine réseau public de P2P et chiffrement propriétaire pour ses communications entre les ordinateurs infectés et les serveurs d'instruction. Autre fait, un compte twitter d'une chaîne de télévision américain a été piratée et a annoncé la mort de Barack Obama. Elle s'est excusée, mais des interrogations sont apparues sur la sécurité du site de micro-blogging. Le cloud a été aussi au coeur d'une polémique quand Microsoft a indiqué qu'il pourrait sur demande transférer des données de clients européens vers des sites soumis aux autorités américaines, en vertu du Patriot Act.
Enfin pour terminer, un hacker du nom de Comex a annoncé le déverrouillage des versions 4.3. d'iOS et donc de l'iPad 2 (en version 4.3.3 seulement) et propose après jailbreak un patch (disponible sur Cydia) pour corriger la faille dont il s'est servi pour craquer la tablette. Et que croyez-vous qu'il arriva, et bien Comex a annoncé récemment qu'il effectuait un stage chez ...Apple.
Manifeste Agile, dix ans après : au-delà du développement logiciel
Les co-auteurs du « Manifeste pour le développement agile de logiciels » se sont réunis début août aux Etats-Unis pour faire un point, dix ans après la publication de leur texte, sorte de traité sur les pratiques qu'ils prônaient. Avec l'objectif de réduire les délais de développement, celles-ci reposent sur un mode de programmation itératif qui permet aussi d'ajuster les exigences de départ, si nécessaire, et encourage les développeurs à travailler en équipes. La démarche agile s'est posée en alternative aux cycles de développement « en cascade » (waterfall) qui ont été utilisés pendant des années avant d'être jugés trop lourds par certains.
Quinze des dix-sept auteurs de l'« Agile Manifesto » se sont ainsi retrouvés le 8 août à Salt Lake City (Utah) pour la conférence Agile 2011. Ils ne s'étaient pas réunis aussi largement depuis que leur manifeste a été établi dans les montagnes Wasatch de l'Utah en février 2001. Premier constat, l'adoption de ce mode de programmation se fait maintenant au grand jour, les développeurs ne craignant plus d'en parler ouvertement, rapportent nos confrères d'Infoworld. Cela ne fut pas toujours le cas les premières années. « Nous n'avons plus à cacher le fait d'y recourir », a confirmé Martin Fowler, l'un des co-auteurs (*). C'est avec lui que Robert Martin avait à l'époque planifié, sous le nom de « Sommet du processus léger », la réunion qui a finalement conduit au Manifeste. Pour illustrer la propagation de ces pratiques, un autre signataire, Alistair Cockburn, a notamment évoqué leur utilisation dans le cadre d'un contrat impliquant 24 hôpitaux dans l'Etat d'Utah.
Interagir avec l'équipe de développement agile
Mais la programmation agile s'étend maintenant à d'autres domaines, au-delà du développement de logiciels, a de son côté rapporté le co-auteur Andy Hunt. « Nous avons monté une société d'édition sur la base des pratiques agiles », a-t-il cité en exemple. Pour Jim Highsmith, consultant du groupe de conseil ThoughtWorks, ces pratiques peuvent bénéficier à l'ensemble de l'entreprise en étant utilisées au-delà du domaine informatique. De la même façon, Mike Beedle s'attend à ce qu'un framework de type agile émerge du management intermédiaire. (.../...)
(*) Liste des co-auteurs du Manifeste Agile : Kent Beck, Mike Beedle, Arie van Bennekum, Alistair Cockburn, Ward Cunningham, Martin Fowler, James Grenning, Jim Highsmith, Andrew Hunt, Ron Jeffries, Jon Kern, Brian Marick, Steve Mellor, Ken Schwaber, Jeff Sutherland, Dave Thomas.
Illustration : le site Agilemanifesto.org
Sur le même sujet :
- Le 1er septembre 2011 : La démarche agile influe sur l'organisation au-delà de la DSI[[page]]
S'adapter à un environnement qui bouge
Autre illustration, l'éditeur Tasktop Technologies, qui utilise certains concepts agiles dans la conduite de sa société. « Honnêtement, je n'y croyais pas en rejoignant l'entreprise, relate son président Neelan Choksi. Un an plus tard, je dois reconnaître que ça fonctionne. » Tasktop réalise son marketing sous forme d'itérations, un concept typique du développement agile de logiciel. « Cela nous amène à nous concentrer sur certaines activités, pendant un certain laps de temps », explique Neelan Choksi.
Chez Land O'Frost, une société de restauration rapide, les pratiques agiles ont été adoptées pour anticiper et répondre à un environnement qui change rapidement. « Si vous ne réagissez pas, vous ne réussirez pas », constate Steve Sakats, vice président senior, responsable des ressources humaines. Ses indicateurs clés d'agilité se concentrent sur la rapidité et la flexibilité dans les domaines tels que les ventes, le développement de la clientèle, la finance, les ressources humaines et l'opérationnel -de façon similaire à l'accent mis par le Manifeste « Agile » sur la collaboration avec le client et la capacité à répondre au changement.
Illustration : le site Agilemanifesto.org
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Agility Consulting and Training, la société de conseil à laquelle recourt Land O'Frost, a développé un modèle agile qui englobe l'anticipation des changements et l'évaluation des résultats, mais qui tend aussi à mettre en confiance et à encourager l'action et les propositions d'actions.
Ironiquement, dans le peu de développement logiciel qu'elle réalise, Land O'Frost utilise toujours les méthodes traditionnelles, reconnaît Steve Sakats son responsable des ressources humaines. Néanmoins, explique-t-il, c'est parce qu'elle achète la plupart des systèmes qu'elle utilise plutôt que de les développer elle-même.
Des principes déjà utilisés dans l'entreprise
Bien que la notion d'agilité se soit popularisée dans le monde du développement, Dave Sharrock, le vice-président d'Agile42, considère que les processus qui lui sont associés ont toujours été utilisés dans la gestion des entreprises, sans être clairement définis jusque-là. « Dès que vous disposez d'une organisation agile pour le développement de logiciel, vous mettez automatiquement la pression sur les autres parties de votre organisation pour qu'elles travaillent de façon similaire. »
Les démarches Lean (mode de gestion de production précurseur d'agile) et agile ont été promues dans les années 70 par W. Edwards Deming, rappelle de son côté Nathan Slippen, responsable technique de la société de conseil Valtech. « Ces principes peuvent s'appliquer à différents niveaux d'une entreprise », par exemple en rendant les processus plus transparents ou éliminant les gaspillages, deux notions fondamentales du Lean. Mis en oeuvre avec succès au-delà du développement de logiciel, les concepts de collaboration et de flexibilité apporteront les mêmes bénéfices. Mais cela requiert de penser les choses d'une nouvelle manière. Et les participants impliqués dans le processus à la façon dont les choses étaient faites jusqu'à présent. C'est une évolution qui concerne les individus, conclut Dave Sharrock, d'Agile42.
Illustration : le site Agilemanifesto.org
(...)(31/08/2011 11:57:00)
Google, pas la seule victime du hack de certificats SSL
Les certificats SSL (Secure Sockets Layer) et EVSSL (Extended Validation) créés par DigiNotar, sont reconnus par les navigateurs Internet et ont pour fonction de vérifier que les internautes se trouvent bien sur le site qu'ils pensent visiter. L'entreprise hollandaise est une autorité de certification (CA), c'est à dire qu'elle vend des certificats numériques pour les propriétaires de sites web légitimes. Mais DigiNotar a émis, à son insu, un certificat numérique pour le domaine google.com, une erreur qui pourrait permettre à un attaquant doué d'intercepter les mails d'un utilisateur. Lundi, Google a fait savoir que le certificat frauduleux avait été utilisé pour cibler des internautes en Iran. Mais le géant de l'internet a précisé qu'une fonctionnalité de sécurité, implémentée dans son navigateur Chrome, permettait de détecter le certificat et d'avertir les utilisateurs.
DigiNotar, filiale de l'entreprise de sécurité Vasco Data Security International, a fait savoir qu'un audit effectué le 19 juillet lui a permis de découvrir que son infrastructure chargée d'émettre les certificats, avait été compromise. Hier, en fin d'après-midi, Jochem Binst, responsable de la communication de Vasco, a déclaré dans une interview que les pirates avaient créé de faux certificats pour « plusieurs dizaines » de sites web, affirmant que la plupart avait été annulé. « Mais le certificat numérique pour google.com - émis le 10 Juillet - n'a été activé que dimanche, » a déclaré Jochem Binst. C'est la Dutch Computer Emergency Response Team qui a informé Vasco que ce certificat n'avait pas encore été révoqué. « DigiNotar a annulé le certificat, lundi, » a déclaré le responsable de la communication de Vasco.
Interrogations sur le modus operandi et révocation
On ne sait pas comment les pirates ont réussi à s'introduire dans l'infrastructure utilisée par DigiNotar pour émettre les certificats, ni combien de temps a duré l'intrusion, mais une vérification est en cours. « Nous effectuons actuellement des vérifications supplémentaires et nous pourrons formuler nos conclusions, probablement d'ici la fin de la semaine, » a déclaré Jochem Binst. « Jusqu'à la fin de l'enquête, DigiNotar ne vendra pas de nouveaux certificats numériques, » a ajouté le directeur de la communication. Les clients de DigiNotar sont essentiellement des entreprises hollandaises. Celles-ci risquent d'avoir quelques coups durs dans les jours à venir : Google, Mozilla et Microsoft ont révoqué ou sont en train de retirer à DigiNotar son autorité de certification. Cela signifie que les personnes qui visiteront des sites utilisant les certificats de DigiNotar verront probablement apparaître un avertissement informant que le site n'est pas fiable et qu'il ne devrait pas être consulté.
Jochem Binst a indiqué que DigiNotar en avait informé ses clients. Une solution pour régler le problème consisterait à remplacer les certificats de ces sites internet par des certificats émis par le gouvernement néerlandais. Mais celui-ci n'a pas précisé qui pourrait procéder à un tel échange. Une autre option consisterait à contacter les éditeurs des principaux navigateurs internet et de leur demander d'effectuer des modifications techniques pour continuer à honorer les certificats de DigiNotar.
Jochem Binst n'a pas pu dire, à combien de clients, DigiNotar vendait ses certificats numériques. Mais selon la déclaration faite par Vasco, sur les six premiers mois de l'année, les revenus de sa filiale relatifs à son activité de certification s'élevaient à moins de 100 000 euros.
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