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(31/08/2011 09:53:22)

Le social CRM en plein essor selon Gartner

En amont de son événement « Portals, Content & Collaboration Summit » qui a lieu à Londres les 21 et 22 septembre 2011, le cabinet Gartner vient de publier une étude sur le marché du « socialCRM », c'est à dire les outils sociaux de relations clients. Selon cette étude, le marché de ces outils a été, en 2010, de 625 millions de dollars au niveau mondial. En 2011, il devrait atteindre les 820 millions de dollars et dépasser le milliard en 2012.

Les dépenses en « socialCRM » représentent malgré tout moins de 5% du marché de la gestion de la relation client, même si sa croissance annuelle est de l'ordre de 40%. On est donc loin de l'Eldorado. De plus, à l'heure actuelle, le « socialCRM » est orienté presque exclusivement vers les consommateurs alors que, à terme, les ventes aux professionnels devraient représenter un tiers de ses usages.

Un marché disparate

Le cabinet Gartner dénonce un éclatement du marché qui rend la plupart des acteurs trop petits pour être profitables. Ces acteurs sont, de plus, pas toujours capables de mettre en avant les avantages à recourir à leurs solutions pour générer des bénéfices concrets. L'intégration à la GRC classique est, de plus encore assez délicate. Côté entreprises utilisatrices, l'heure est aux expérimentations.

D'une manière générale, le marché ne semble donc guère mature. (...)

(31/08/2011 09:52:42)

Aerohive entend se développer en France

L'américain Aerohive construit pas à pas son réseau de distribution en France. Suite au démarrage de ses opérations dans l'Hexagone il y a deux ans, l'entreprise signait un semestre plus tard avec son premier grossiste, la société Equipements Scientifiques basée à Garches (92). A la même époque, elle accueillait son directeur des ventes pour la France, Benoît Mangin, qui est également en charge de l'ensemble de l'Europe du Sud. Depuis le début de l'année, le réseau de distribution de l'entreprise s'est encore étendu avec l'arrivée du grossiste Miel dans ses rangs. « Ce nouveau partenariat doit nous permettre de toucher des revendeurs de taille plus importante que ceux que nous ciblons avec Equipements Scientifiques », explique Benoît Mangin.

Recruter 30 intégrateurs d'ici la fin 2011

Fort de ces deux référencements, le bureau français d'Aerohive a pour objectif de recruter une trentaine de revendeurs certifiés d'ici la fin décembre 2011. Des partenaires que l'entreprise recrute dans les rangs des intégrateurs spécialisés dans la sécurité et les réseaux. A l'heure actuelle, Aerohive indique travailler déjà avec une quinzaine de partenaires parmi lesquels on trouve BT, Scopelec, DCI ou encore Diakelys. « Le réseau de distribution que nous constituons doit nous permettre d'accéder au troisième rang des fournisseurs de solutions de connectivité d'entreprise en France dès l'an prochain », assure Benoît Mangin.

Pour concurrencer les Cisco, Aruba Networks, HP et autres Motorola, Areohive compte sur la particularité de ses bornes sans fil qui réside notamment dans leur facilité de management. Comme l'explique Benoît  Mangin, « nous sommes les seuls à permettre aux entreprises de gérer les bornes wifi sans avoir à acquérir de matériels additionnels de type contrôleurs réseau. Chez Aerohive, les contrôleurs matériels sont directement intégrés dans les bornes qui embarquent en outre un serveur d'authentification. » Une approche qui permet aux utilisateurs d'être filtrés avant même leur entrée sur le réseau pour plus de sécurité. (...)

(31/08/2011 09:52:22)

Une obligation de révéler les fuites de données personnelles pour les opérateurs

Le Journal Officiel a récemment publié l'ordonnance n° 2011-1012 du 24 août 2011 relative aux communications électroniques. De valeur législative mais prise par le gouvernement, cette ordonnance transpose des dispositions de plusieurs directives européennes dans le droit français. Elle renforce notablement les obligations de sécurité des opérateurs et des fournisseurs de services. Elle institue notamment une obligation de notification à la CNIL ou aux intéressés des fuites ou pertes de données personnelles.

Les premiers articles de l'ordonnance, ainsi que son titre II, sont relatifs à la régulation du marché des télécommunications. On y trouve notamment des dispositions sur de nouvelles obligations des opérateurs ou pour préciser celles existantes, comme l'accès aux infrastructures de tiers (article 9 notamment) ou les cessions significatives d'infrastructures. Rien, cependant, n'est ici révolutionnaire, à une exception près. En effet, le ministre en charge du secteur peut désormais imposer des audits de sécurité chez les opérateurs (article 6, modifiant les articles L 33-9 et L 33-10 du Code des Postes et Communications Electroniques, le CPCE). Dans le même esprit, l'article 16 permet à l'ARCEP d'imposer des niveaux de service minimums aux opérateurs.

Obligation de révéler les fuites de données personnelles

Le deuxième chapitre de l'ordonnance modifie des dispositions relatives aux contrats entre des fournisseurs de services de télécommunications (notamment d'accès à Internet) et les consommateurs. Il précise les modalités contractuelles sans remise en cause fondamentale. Le chapitre trois précise les dispositions relatives à la protection des données personnelles.

C'est à ce niveau, à l'article 39, qu'est instituée une obligation de notifier une « violation de données à caractère personnel à la Commission nationale de l'informatique et des libertés ou à l'intéressé ». L'absence de cette notification est punie de 300 000 euros d'amende et 5 ans de prison. Elle ne concerne cependant que les fournisseurs de services de communications électroniques.

La répression du piratage est également accrue. Le titre III renforce ainsi les sanctions concernant la commercialisation d'appareils servant à pirater les communications électroniques. Le titre IV facilite, quant à lui, le travail des autorités judiciaires et policières face aux opérateurs.

(...)

(31/08/2011 09:52:30)

Trimestriels Asus : des résultats pragmatiques avec des ambitions sur les tablettes

Le chiffre d'affaires mondial d'Asus baisse de 5% à 71,6 milliards de dollars taïwanais (2,48 milliards de dollars US, 1,7 milliard d'euros). Le profit est en revanche positif. Le résultat opérationnel se monte à 101 millions d'euros, + 23%, le résultat avant impôts se situe à 118,5 millions d'euros, + 35%, le bénéfice net est à 85,9 millions d'euros, + 5%.

Une orientation vers les tablettes

Commercialement, Asus, l'inventeur du netbook voit ce segment de marché (EeePc) baisser, il représente 9% de son chiffre d'affaires contre 13% au même trimestre de l'exercice précédent. Mais le PC portable se maintient et, surtout, les tablettes (EeePad Transformer) font une percée. Il s'en est vendu  400 000 au deuxième trimestre, Asus prévoit d'en écouler le double, 800 000, au troisième trimestre.

(...)

(31/08/2011 09:53:28)

La tablette d'Amazon promise a un bel avenir selon Forrester

Sarah Rotman Epps, analyste chez Forrester, spécialiste du marché des tablettes multimédia, écrit dans le blog de sa société : "Dans un an, 'Amazon' sera synonyme de 'tablette Android', un très puissant challenger pour l'iPad." En s'adressant aux autres constructeur, elle ajoute : "si vous n'avez pas encore pris en compte la domination des tablettes Apple et Amazon dans votre stratégie de production, c'est le moment où jamais de le planifier et d'agir en conséquence."

Un potentiel énorme en fonction du tarif


Ces écrits sont d'autant plus étonnants que Jeff Bezos (PDG d'Amazon.com) n'a toujours pas levé le voile sur ses futures tablettes, et que tout n'est que spéculation. Pourtant, Sarah Rotman Epps l'affirme, "Si Amazon lance une tablette à moins de 300 dollars, elle pourrait se vendre entre trois et cinq millions d'exemplaires rien qu'au 4e trimestre 2011."

Aujourd'hui, l'iPad représente environ 70% des ventes de tablettes en Europe et 80% aux Etats-Unis, toujours selon Forrester.

Avec le récent succès de vente de la TouchPad, bradée par HP à 99 dollars aux Etats-Unis (99€ en France chez plusieurs enseignes), il devient désormais envisageable de concurrencer l'iPad, pourvu que les prix proposés soient inférieurs à la tablette d'Apple.

(...)

(30/08/2011 16:01:55)

Les analystes prévoient une chute des prix des mémoires DDR3

Le prix des barrettes de mémoire DDR3 va reculer au cours des deux prochains mois, en raison d'une offre excédentaire et du ralentissement des ventes de PC, prévoit iHS iSuppli. Selon le cabinet, le prix des DDR3 tournait autour de 4,70 dollars au troisième trimestre, l'an dernier, alors que le marché n'était pas saturé et que leur adoption progressait pour remplacer les mémoires DDR2 qui les ont précédées. Leur prix pourrait encore chuter pour atteindre 1,25 dollars au quatrième trimestre, a estimé Mike Howard, analyste senior DRAM chez iSuppli.

Selon lui, le ralentissement de la demande en PC a conduit à faire baisser les tarifs des mémoires DDR3, cette année, et les fabricants de PC ne sont pas disposés à ajouter davantage de mémoires dans leurs ordinateurs car ils essaient d'augmenter la rentabilité sur un marché à faible marge. Pour l'analyste, certains fabricants de mémoire commercialiseront rapidement les stocks excédentaires sur le marché ce qui pourrait également  contribuer à faire baisser les prix.  « C'est un double coup dur », a déclaré Mike Howard. «La croissance du marché des PC s'est ralentie et les utilisateurs ne sont pas exigeants en termes de mémoire. »

Le cabinet iSuplly a également précisé que certains de principaux fabricants de mémoire DRAM, à savoir Samsung, Hynix Semiconductor, Elpida Memory, Micron et Nanya, avaient subi  des problèmes de rendement et d'approvisionnement qui ont contribué à faire chuter les prix.  « Le marché des DRAM s'est effondré à la fin de 2008 et la surproduction d'aujourd'hui est le résultat du cycle précédent » , a ajouté Mike Howard. « Le ralentissement économique a incité les fabricants à réduire la production de DRAM à la fin de 2008. Mais, comme la demande pour les PC est repartie l'année suivante,  la production de  mémoires  a également augmenté. La demande pour les mémoires a été relancée en partie à cause  de cela et de la sortie de la version 64 bits de Windows 7 en 2009 qui requérait davantage de mémoire. »

Des ventes de PC affectées par le succès des terminaux mobiles

L'analyste a également rappelé que les ventes de PC avaient commencé à ralentir au second semestre l'année dernière en partie à cause de la demande croissante pour les tablettes et les smartphones, qui utilisent différents types de mémoire tels que les mémoires DDR2 et les mémoires flash NAND non volatiles. La dispersion du marché des DRAM a incité les fabricants de mémoire à changer leurs business models et à se concentrer davantage sur des mémoires  pour tablettes et les smartphones.

Les fabricants de PC ont également envisagé d'utiliser des mémoires mobiles pour une nouvelle catégorie d'ordinateurs portables de faible puissance, les Ultrabooks, qui ont été présentés comme une alternative aux tablettes PC, a poursuivi Mike Howard.  Ils ont considéré que les mémoires LP DDR2  correspondaient à la ligne à la fois mince et légère des Ultrabooks, et que cela pourrait finalement nuire à la demande en mémoires DDR3.

Les DDR4 devraient arriver plus tôt que prévu

La poursuite de la baisse du cycle concernant les mémoires  DDR3 pourrait aussi accélérer le développement des DDR4,  successeurs plus rapides et plus efficaces en terme de puissance. « Les DDR4 arriveront chez  les clients en 2014, soit une année plus tôt que prévu », prévoit Mike Howard. « Les serveurs seront les premiers à les adopter, et ils joueront un rôle accru dans la conduite de la demande pour ce type de mémoire. Le cloud va également renforcer l'installation de mémoire DDR4 dans les serveurs ».

Toutefois, pour accompagner la croissance du marché des terminaux mobiles, l'accent sera également mis sur le développement des mémoires DDR3 qui succéderont aux  DDR2, prévoit l'analyste. On s'attend à ce que les mémoires  DDR3 soient largement diffusées, soit à peu près en même temps que les DDR4, en 2014.

Illustration: Crédit photo: D.R

(...)

(30/08/2011 15:06:30)

VMworld : Dell lancera un service de cloud public cette année

Le service sera basé sur la plateforme vCloud de VMware, hébergée dans le data center de Dell situé à Plano, au Texas. Les clients pourront louer des capacités de calcul et de stockage en pay-as-you-go, ou en souscrivant à des contrats à long terme incluant du hardware réservé ou dédié. Dell proposera également des services de conseil aux entreprises pour les aider à construire des clouds privés dans leurs propres centres de calcul, également avec vCloud. Enfin, le constructeur proposera des clouds «hybrides» avec le logiciel Connector de VMware, qui permet de relier des environnements cloud privés et publics. Les annonces officielles de ces offres doivent être faites lors de la conférence VMworld de VMware de Las Vegas (29 août - 1er Septembre 2011).

Ces offres vont intensifier la concurrence entre Dell, IBM et Hewlett-Packard, ces derniers proposant aussi des services de cloud publics. Et elles vont mettre également Dell en compétition avec des prestataires de services comme Amazon Web Services, Verizon Business et Terremark - dont certains sont également ses clients. « Dell est obligé d'entrer dans le secteur des services pour rester compétitif dans une industrie où les services cloud sont devenus la norme », a déclaré Arun Taneja, fondateur et analyste-conseil de Taneja Group. « Dans les trois ans qui viennent, tous les grands constructeurs informatiques offriront des services cloud sous une forme ou une autre », a-t-il prédit. « La particularité de Dell se trouve dans son offre de services de sécurité gérés, résultant de l'acquisition de SecureWorks l'année dernière », a déclaré Mark Bilger, vice-président et CTO de Dell Services. « Ils seront proposés en standard et non en option », a-t-il précisé.

Un programme bêta dans quelques semaines

Ce service, au nom à rallonge de Dell Cloud with VMware vCloud Datacenter Service, « vise principalement les grandes et moyennes entreprises », a déclaré le CTO de Dell Services. Un programme bêta sera lancé dans quelques semaines et la disponibilité générale est prévue pour le quatrième trimestre de cette année, aux Etats-Unis, et l'année prochaine, en Europe et en Asie. Dell prévoit d'ajouter une offre Platform-as-a-Service (PaaS) l'an prochain, sur la base de Microsoft Azure et d'un autre service de cloud computing basé sur une plateforme Open Source - sans doute OpenStack ou Eucalyptus - « mais la décision n'a pas encore été prise », comme l'a indiqué Mark Bilger.

Grâce à son acquisition de Perot, Dell fournit déjà des services d'hébergement d'applications qui lui rapportent près d'1 milliard de dollars de revenus chaque année. « Au moment où les contrats de ces clients arrivent à échéance, Dell espère pouvoir les reporter sur son cloud public normalisé », explique le CTO de Dell Services. « L'environnement basé sur VMware est plus moderne et devrait entraîner une réduction de coûts, aussi bien pour Dell que pour ses clients », a t-il ajouté. Mais de nombreux clients de Perot venaient du secteur de la santé, et Dell aura besoin de rendre son service compatible HIPPA (Health Insurance Privacy And Portability Act) avant de pouvoir les transférer. « Ce sera fait l'année prochaine », a affirmé Mark Bilger.

Dell va proposer trois niveaux de service : « Pay-as-you go », dont le prix par machine virutelle coûtera le plus cher, « Réservé », qui garantit la disponibilité du serveur, et « Dédié », qui attribue ses propres serveurs au client. Pour ces deux derniers niveaux, le client devra s'engager pour une durée d'une année. Dell n'a pas voulu dévoiler le prix de ses offres. Mais Mark Bilger a indiqué que les services seront « compétitifs » avec ceux des concurrents, et qu'ils comporteront « une petite prime », puisque les fonctions de sécurité « sont incluses ».

vCloud, un changement stratégique

Le choix de vCloud est un changement stratégique pour Dell qui a passé la dernière année à construire sa propre pile de virtualisation, son Système Virtuel Intégré (VIS) et son logiciel Advanced Infrastructure Manager (AIM). Dell vendra désormais ces logiciels avec VMware. « Les clients devront utiliser la même plateforme logicielle pour leurs clouds privés et publics, afin de pouvoir les relier dans un cloud hybride », a expliqué le CTO de Dell Services. « Mais nous envisageons d'offrir dans l'avenir une solution permettant le mélange et la compatibilité entre plateformes différentes, y compris pour nos technologies AIM et VIS, et de les relier à notre cloud public », a-t-il ajouté.

« Le partenariat avec de gros éditeurs comme VMware est important pour Dell », a déclaré Jeffrey Kaplan, directeur général de ThinkStrategies. « Ceux-ci conviennent également que le cloud est un domaine important pour l'avenir des entreprises », a t-il ajouté. « Pour réussir, il faut qu'elles puissent non seulement construire leurs propres solutions, mais elles doivent aussi faire équipe avec les leaders de l'industrie et c'est ce que fait Dell avec ces offres ». Le groupe texan a même fait mieux que ce qu'avait prévu Jeffrey Kaplan pour se réinventer comme entreprise de logiciel et de services. « Je n'étais pas très favorable à l'acquisition de Perot, mais ils ont vraiment atteint leur objectif », a reconnu l'analyste. « Les services seront hébergés sur des serveurs blade Dell M610, intégrant des processeurs Intel Xeon six coeurs », a expliqué Mark Bilger. « Dell va déployer son hardware en blocs de 17 racks, associant 192 serveurs lames et 2 300 processeurs physiques », a t-il ajouté.

Illustration : Le datacenter de Dell à Plano, au Texas (crédit : D.R.)

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(30/08/2011 14:29:43)

VMworld : Paul Maritz présente l'offre VDI View en version 5.0

A l'instar de son concurrent Citrix qui l'a annoncé récemment, VMware ajoute à View, son offre de VDI (virtualisation de poste de travail), des fonctions permettant de personnaliser les interfaces et de les diffuser sur les réseaux étendus (WAN). La version 5.0 de View apporte ces fonctions parce qu'elles ont été spécifiquement demandées par les utilisateurs, a indiqué Paul Maritz, le PDG de VMware, qui a présenté la mise à jour du logiciel sur la conférence VMworld qui se tient en ce moment à Las Vegas.

Typiquement, les solutions VDI sont mal gérées à travers les connexions WAN et leurs fournisseurs ont plutôt mis l'accent sur leur utilisation au sein de réseaux locaux. Avec cette version, VMware a pu réduire de 75% la bande passante nécessaire au streaming d'une VDI, ce qui permet d'emprunter les réseaux longue distance, a expliqué l'éditeur. Cette amélioration résulte de la façon dont VMware a revu son algorithme de compression en PCoIP, le protocole utilisé pour apporter les bureaux virtuels aux utilisateurs des postes de travail. Dans sa version 5.0, View a également augmenté le cache du côté utilisateur afin que celui-ci puisse exécuter certaines tâches localement, les animations Flash, par exemple.

View 5.0 supporte la visualisation 3D

Les capacités de personnalisation de View 5.0 vont permettre aux administrateurs d'embarquer des applications départementales et de configurer des paramétrages particuliers pour les bureaux virtuels, sans que ces derniers requièrent davantage d'espace de stockage. VMware a acquis cette technologie, appelée Persona Management, lorsqu'il a racheté RTO Software en 2010.

Avec cette mise à jour, View supporte par ailleurs la visualisation 3D, ce qui ouvre la voie aux applications de modélisation avancées et permet de tirer parti du rendu de l'interface Aero de Windows 7. VMware est également intervenu sur Horizon, son application de portail lancée en mai. Désormais celle-ci peut également s'adresser aux utilisateurs d'applications Windows. La précédente version du produit ne concernait que les applications cloud. L'éditeur a aussi livré un logiciel associé pour les applications mobiles, VMware Horizon Mobile.

Illustration : Paul Maritz, PDG de VMware, lors d'une précédente manifestation (crédit : D.R.)

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(30/08/2011 11:35:34)

Le procès Oracle contre Google pourrait être retardé

Le procès en violation de brevets Java qui oppose Oracle et Google pourrait être retardé, selon une décision publiée hier par un  juge américain du tribunal du District Nord de Californie.
« Si une deuxième affaire criminelle importante ne débute pas, comme cela est prévu, le 17 octobre prochain, la sélection du jury dans l'affaire Oracle-Google aura lieu le 19 octobre et le procès débutera bien le 31 octobre », a indiqué le juge William Alsup. En revanche, si le procès au pénal se déroule selon le calendrier, il faudra alors demander le report de l'affaire Oracle contre Google.

Le juge William Alsup n'a toutefois pas précisé quelle était l'affaire criminelle à laquelle il faisait allusion, pas plus que la date à laquelle l'affaire Android devrait être reportée. Il avait récemment dû s'occuper d'une affaire d'assassinat et d'un procès pour racket impliquant MS-13, l'un des gangs les plus violents des Etats-Unis.

L'an dernier, Oracle avait  porté plainte contre Google, estimant que le système d'exploitation mobile Android violait des brevets et copyrights liés à Java, brevets qu'il possède suite au rachat  de Sun Microsystems. Cette affaire risque aussi d'être considérablement retardée si le juge Alsup repousse le procès, en attendant qu'un certain nombre de  brevets soit réexaminés par l'Office américain des marques et des brevets  (U.S Patent & Trademark Office). Un processus qui pourrait prendre des années.

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