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(13/07/2011 10:09:10)
Cisco envisage la suppression de 10 000 postes
Cisco pourrait effectuer une coupe franche dans ses effectifs. Selon Bloomberg, qui cite deux sources proches du plan d'économies de l'entreprise, Cisco envisagerait de supprimer 10 000 emplois, soit 14% de ses effectifs. Ainsi, 7000 emplois devraient être supprimés dès la fin du mois d'août et l'entreprise prévoit également un plan de 3000 départs volontaires en retraite anticipée. Ce plan de licenciements sera le plus important que l'entreprise n'ait jamais connu.
Cette restructuration s'inscrit dans le vaste plan d'économies annoncé par Cisco en mai dernier. Pour mémoire, au moment de dévoiler des bénéfices trimestriels en baisse, le groupe avait chiffré les économies nécessaires à un milliard de dollars par an. Plus de détails sur ce plan seront dévoilés au mois d'août.
www.ICTjournal.ch
Microstrategy World : la BI prend le virage de la mobilité, du cloud et des Big Data
Dès l'ouverture en session plénière, la stratégie de l'éditeur a été claire et s'oriente autour de quatre concepts clés pour poursuivre la croissance de ses parts de marché : le « Big Data », le « Social Media », le cloud et la mobililité.
Bien qu'Apple ne soit pas sponsor et que l'interface pour Blackberry soit la plus ancienne (depuis 2007), la mobilité se déclinait surtout en iPhone et iPad. « Nous avons la conviction que les outils mobiles vont remplacer les ordinateurs traditionnels pour de nombreux usages, malgré les risques de perte, destruction ou vol accrus » a proclamé Mike Sailor, PDG de l'éditeur. A l'appui de ses dires, celui-ci a rappelé que les ventes de smartphones sont désormais supérieures à celles d'ordinateurs. Pour Mike Sailor, « on fera de plus en plus tout avec des outils mobiles et ils contiendront les données nécessaires pour se connecter à toutes sortes de services personnels ou professionnels, y compris pour payer. »
Pour les usages professionnels, il en résulte des applications les plus diverses : e-formation, suivi des ventes, collaboration interne... Bon nombre (à commencer par le suivi des ventes, présenté par plusieurs clients) reposent sur du décisionnel. Au contraire de ce qui pouvait encore s'envisager il y a quelques années, Mike Sailor, avec démonstrations à l'appui, a insisté sur la richesse fonctionnelle des applications mobiles de décisionnel. Loin d'être une simple consultation d'états pré-définis, il s'agit bien d'intervenir en transactionnel.
Microstrategy propose la possibilité de créer des applications pour iPhone/iPad. Cette plate-forme a été choisie au départ à cause de sa popularité importante. Son équivalent pour Android est attendu sous peu mais aucune date n'est avancée. Enfin, Windows Phone est envisagé, un fort développement étant attendu, au contraire de Nokia Symbian, vouée à une probable disparition du champ professionnel selon Mike Sailor.
Le cloud et les Big Data
Face aux risques liés aux terminaux mobiles, la réponse proposée par MicroStrategy est de loger le système décisionnel dans le cloud. Il est en effet, dès lors, accessible de partout à partir de n'importe quelle plate-forme (ou presque).
Il se trouve que, bien entendu, MicroStrategy propose une offre de décisionnel en SaaS reposant sur un partenariat avec d'une part Informatica (pour l'ETL) et d'autre part Netezza et Paraccel pour les bases de données. Pour Mike Sailor, cette offre cloud est adaptée aussi bien pour récupérer les systèmes décisionnels existants que de développer rapidement des solutions ponctuelles. Bien entendu, il a revendiqué un niveau de performance largement supérieur à ce qui pouvait exister dans la plupart des systèmes installés en local. Une installation en SaaS se veut toujours plus rapide et plus simple, donc moins coûteuse et avec un modèle économique au ROI plus facile à obtenir.
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Le cloud n'est pas le seul mouvement de mode du moment. La notion de « big data » commence aussi à envahir les discours et MicroStrategy n'y échappe pas. Rappelons qu'il s'agit de savoir faire quelque chose avec les masses considérables et croissantes de données disponibles. « En 1990, la plus grosse base de données du monde contenait 200 Go mais c'est aujourd'hui le volume quotidien téléchargé en vidéos par des particuliers » s'est exclamé Mike Sailor. MicroStrategy se connecte aux principaux produits dédiés du marché, dont les éditeurs étaient pour beaucoup sponsors de la manifestation. L'une des problématiques majeures dans ce cas est de préserver les performances des applications malgré les volumes.
S'interfacer avec les réseaux sociaux
L'une des raisons de l'explosion des volumes de données réside bien sûr dans les médias sociaux. Au fil du temps, le nombre d'utilisateurs et le volume de données ne cessent de croître et la BI a suivi un chemin historique qui a débuté par le « desktop BI » avant de passer à la « web intelligence » puis à la « mobile intelligence » et enfin, aujourd'hui, à la « social intelligence ». La problématique de la performance est de plus en plus prégnante au fur et à mesure du développement de ces demandes.
MicroStrategy a répondu à cette problématique de la « social intelligence » d'une part en s'engageant dans une stratégie de performance à partir de 2009 et d'autre part en développant des applications dédiées aux médias sociaux. Ainsi, une de ces applications permet de trier les flux d'informations afin, de gérer des alertes, de l'autre une application vient d'être lancée pour interfacer la GRC de l'entreprise (orientée relationnel) et Facebook (basé sur une logique de graphe social). Cette application, Gateway for Facebook permet à l'entreprise de générer des pages sur Facebook qui seront des interfaces avec la GRC. Chaque fan permet ainsi à l'administrateur de la page d'interagir avec lui grâce à un « jeton » qu'il lui attribue, permettant ainsi à l'entreprise d'accéder aux données personnelles, aux graphe d'amitiés, aux centres d'intérêt (via les « j'aime ») et aux activités (via les géolocalisations partagées et les évènements acceptés).
La pluralité des plates-formes de réseaux sociaux oblige encore chaque éditeur à s'adapter à chaque réseau. Une future application pour Linkedin, par exemple, ne pourrait pas être autre chose qu'un nouveau développement. On comprend donc que MicroStrategy se contente donc pour l'heure de Facebook, le plus populaire des réseaux sociaux.
Citrix s'empare de Cloud.com, fournisseur de logiciels pour le déploiement de clouds
Citrix a annoncé le rachat de la société Cloud.com, fournisseur de solutions pour le déploiement de cloud. «Nous considérons cette acquisition comme stratégique et elle améliorera notre position sur le marché des infrastructures cloud», a déclaré Sameer Dholakia, vice-président du développement marché de Citrix. Il a ajouté « nous pensons que [le cloud computing] est une tendance de transformation qui change fondamentalement la façon dont l'infrastructure informatique est conçue, construite, livrée et consommée. »
Cloud.com, anciennement appelé VMOps, offre une brique Open Source de logiciels d'orchestration et d'administration, qui se nomme CloudStack. Ils sont utilisés pour le déploiement de cloud multi-tenant de type Infrastructure-as-a-Service (IaaS).
Un agnosticisme sur les hyperviseurs conservé
CloudStack supporte non seulement XenServer l'hyperviseur de Citrix, mais aussi KVM, Hyper-V de Microsoft et vSphere de VMware. Cette solution est également étroitement intégrée au projet Open Source OpenStack. Enfin, Citrix indique que les produits de Cloud.com seront associés avec NetScaler Cloud gateway et NetScaler Cloud Bridge afin de faciliter les échanges entre un cloud public et l'infrastructure en propre des clients.
Parmi les clients de Cloud.com figurent des sociétés telles que Nokia, GoDaddy et Zynga, qui offre le populaire jeu en ligne Farmville sur Facebook, mais aussi Tata Communication ou KT (Korean Telecom). Afin de mieux se concentrer sur ce marché émergent des logiciels clouds, Citrix a lancé une nouvelle division, appelée Cloud Platforms Product Group, qui est dirigée par Sameer Dholakia, l'ancien PDG de VMLogix, que Citrix a acquis l'année dernière.
WPC : Microsoft étend les fonctionnalités de Intune
« La première version de Windows Intune n'offrait pas toutes les fonctionnalités dont dispose l'ensemble de nos produits traditionnels, et n'était donc pas assez incitatif pour les grandes entreprises, » a déclaré Alex Heaton, directeur de Intune chez Microsoft. « La nouvelle version beta du service Intune, disponible depuis lundi, permet aux administrateurs de distribuer et d'installer des logiciels tiers à travers leurs systèmes, » précise le responsable. La console peut également être verrouillée pour limiter l'accès en lecture seule. Cela permet aux administrateurs juniors, aux partenaires et aux analystes d'accéder à certaines informations sans avoir un niveau de droits étendu pour effectuer des changements. Le service hébergé de Microsoft a été conçu pour les entreprises disposant d'un support informatique limité. Il met à jour Windows 7 sur les ordinateurs de bureau et les ordinateurs portables. Les abonnés au service peuvent également faire évoluer tous leurs ordinateurs de bureau tournant sous Windows XP vers Windows 7, sans frais supplémentaires.
C'est en mars dernier que Microsoft a officiellement lancé son service hébergé Intune, après une période de beta test de un an. Le service donne accès à une console Internet, à partir de laquelle il est possible de gérer l'ensemble des postes de travail d'une entreprise. Via la console, un administrateur peut appliquer les mises à jour de Windows, déployer des correctifs, surveiller les PC, gérer la sécurité, tenir un inventaire des postes de travail et accéder à un PC à distance pour résoudre certains problèmes. C'est depuis ses propres datacenters que Microsoft met ses mises à jour en file d'attente, et gère tous les logiciels en back-end nécessaires pour les tâches d'administration. Alex Heaton n'a pas voulu révéler le nombre d'abonnés au service Intune, indiquant simplement que l'abonné moyen gérait un parc allant jsuqu'à 250 ordinateurs.
La distribution logicielle et une interface utilisateur revue
Une des récentes fonctionnalités concerne la distribution de logiciels. La version actuelle de Intune peut stocker et déployer des correctifs Windows. La nouvelle version peut faire la même chose pour n'importe quel programme Windows compilé en .exe ou .msi. Cela permet aux administrateurs de télécharger un programme une seule fois, et de l'installer sur toutes les machines. « La fonctionnalité s'exécute depuis le Microsoft System Center, même si elle a une interface totalement différente, » a expliqué le directeur de Microsoft. Parmi les autres fonctionnalités, on trouve la possibilité de scanner une machine pour détecter des virus ou des logiciels malveillants sans l'aide manuelle de l'utilisateur - contrairement à la version précédente - plus la capacité de pointer toutes les copies d'un logiciel tiers donné. Ce dernier système peut s'avérer très pratique pour s'assurer de la conformité des licences logicielles. Enfin, l'interface utilisateur a été revue, de façon à la rendre plus intuitive.
La version bêta du service, qui porte le nom de Intune Juillet 2011, pourra être exécutée séparément de la version commerciale. Au final, « toutes ou partie des prochaines fonctionnalités de la version bêta seront reprises dans la version commerciale du service Intune, sans doute d'ici la fin de cette année, » a indiqué Alex Heaton. Les utilisateurs actuels peuvent essayer la version bêta, mais celle-ci ne peut pas être utilisée pour gérer les mêmes ordinateurs que ceux utilisant la version commerciale de Intune.
Le Comité Richelieu se dote d'un nouveau DG
L'association regroupant 254 PME et 3 140 PME associées a annoncé la nomination de Denis Bachelot comme délégué général du Comité Richelieu. Il aura pour mission de faire entendre auprès des pouvoirs publics et des grands comptes les préoccupations essentielles des PME innovantes. Denis Bachelot était jusque-là rédacteur en chef de la Correspondance économique.
Il remplace François Guignot, ancien PDG de SmartQuantum et administrateur du Comité Richelieu. Très investi dans les problématiques économiques des PME et de l'innovation, Denis Bachelot a publié en 2009, en collaboration avec Pierre d'Ornano, un ouvrage sur les PME, la crise et les pôles de compétitivité, intitulé : « Survivre à la crise : le groupement d'entreprises, une solution pour les PME ».
Fort recul des ventes de PC depuis le début de l'année 2011
Les chiffres de ventes d'ordinateurs personnels, tant portables que de bureau, sont en forte baisse sur les cinq premiers mois de l'année, selon l'institut GfK qui publie ses dernières statistiques.
Il ne s'est vendu que 520.000 ordinateurs de bureau de janvier à mai 2011 (chute de 16% par rapport à la même période en 2010) et 1,93 million de portables (-4%).
GfK rappelle que le début d'année 2010 avait été particulièrement bon pour le marché des PC, alors porté par l'arrivée de Windows 7. L'institut estime aussi que le contexte socio-économique tendu est l'un des facteurs expliquant ce repli.
Défaillances d'entreprises: le secteur IT relève la tête
Au niveau national et tous secteurs économiques confondus, l'amélioration de la situation des entreprises au cours du 2ème trimestre 2011 semble très timide : - 0,3% seulement. Dans son dernier point de conjoncture, le cabinet Altares note que les trois quarts des jugements prononcés concernent des micro-entreprises, comptant de 0 à 2 salariés.
Dans ce contexte général moins favorable qu'attendu, les filières IT font mieux que tirer leur épingle du jeu. Le secteur « services informatiques et édition de logiciels » est même celui qui enregistre le recul le plus important du nombre de défaillances d'entreprises : - 21,6% par rapport au 2ème trimestre 2010. A titre de comparaison, le secteur où les défaillances ont le plus progressé est de la santé et de l'action sociale : + 56,2% par rapport à l'an dernier.
Amélioration globale pour les TIC
C'est bien l'ensemble des segments du marché IT qui a connu une amélioration au second trimestre : - 15%. Une fois n'est pas coutume, c'est le commerce B to B qui affiche les résultats les plus flatteurs, avec une baisse de 7% du nombre de défaillances, tous secteurs confondus. A l'inverse, ce chiffre ne baisse que de 0,9% dans le commerce de détail. « Cela confirme que la demande augmente réellement dans le domaine B to B et que les entreprises ont recommencé à investir », explique Thierry Million, Directeur des Etudes d'Altares.
S'il n'y a pas de variations notables au niveau des régions pour les secteurs IT, Altares note que trois régions ont davantage souffert que les autres si l'on considère l'ensemble des entreprises : la Franche-Comté, le Limousin et Poitou-Charentes. Les meilleurs se trouvent dans le nord-est (Champagne-Ardenne et Lorraine), dans le sud-ouest (Aquitaine et Midi-Pyrénées) et en Auvergne.
Les Français restent prudents sur le m-commerce
Le m-commerce n'en est encore qu'à ses début en France. Les Français utilisent encore peu leur téléphone portable pour faire des achats. Ils sont sensibles aux problématiques de sécurité et sont méfiants face à la géolocalisation. C'est ce qui ressort d'une étude CSA pour Orange et Terrafemina.
Utiliser son téléphone portable pour effectuer des achats reste une pratique encore marginale en France. Seulement un Français sur dix (9%) déclare avoir déjà effectué une opération de m-commerce. Parmi les pratiquants, la liste de leurs achats les plus fréquents concerne des produits numériques : l'achat d'une application pour Smartphone (74%), vient ensuite l'achat de jeux pour téléphone (46%), la musique (39%), une sonnerie de téléphone portable (32%).
L'achat de biens réels est plus difficile
Paradoxalement, les Français pensent que le m-commerce est amené à se développer même s'ils ne sont majoritairement pas intéressés par l'achat de produits via leurs terminaux mobiles ! Certains produits ou services recueillent alors un intérêt notable quoique minoritaire : les titres de transport en commun (28%), les places de cinéma (22%), les billets de train ou d'avion (21%) et les places de musées (21%). Seuls 8% des Français pensent que le m-commerce ne va pas se développer.
Au titre des inquiétudes vis à vis du m-commerce, on note la géolocalisation et la sécurité des transactions. Les Français sont ainsi majoritairement méfiants face à la géolocalisation. Trois quarts d'entre eux considèrent cette fonctionnalité comme trop intrusive et dangereuse. Ils estiment que le lieu où ils se trouvent relève de leur vie privée.
Reste qu'une minorité (23% des Français) voit dans la géolocalisation une opportunité pour les consommateurs de bénéficier d'offres personnalisées et avantageuses. Les Français qui sont le plus favorables à cette fonctionnalité sont des hommes de 18-34 ans et les possesseurs de smartphone.
La sécurité reste un frein
La sécurité des moyens de paiement est le critère le plus important pour se mettre au m-commerce aux yeux des français : pour 42 % d'entre eux, c'est le premier critère nécessaire. Les critère les plus cités sont ensuite : la simplicité d'utilisation (19%), la garantie de ne pas recevoir de nombreux messages de publicité (15%), les prix pratiqués (11%), les offres supplémentaires et les produits disponibles.
Les Français qui utilisent le plus le m-commerce sont les possesseurs de smartphone (25% d'entre eux ont déjà effectué un achat avec leur mobile), suivi par les CSP + (15%) et les jeunes. Un quart des hommes de 18-24 ans (25%) ont ainsi déjà pratiqué le m-commerce, tout comme 16% des femmes du même âge.
(...)(12/07/2011 11:02:15)
Le Crédit Agricole optimise la veille d'informations
Pour assurer son travail au mieux, les experts se doivent de surveiller les sujets concernant leur domaine. De plus, chaque entreprise doit également surveiller ce qui est dit d'elle sur Internet. Dans le cas de Crédit Agricole S.A., le périmètre concerné est énorme et les traitements manuels ont vite atteint leur limite. « Par exemple, dans nos métiers spécialisés (gestion d'actifs, administration de fonds), nous [les responsables veille] fournissons aux commerciaux des informations sur leur marché, leurs clients et concurrents ce qui leur permet d'être mieux informés et plus réactifs tandis que les veilles sectorielles permettent, elles, aux experts de mieux appréhender les évolutions de leur secteur » explique Séverine Guillemard, animatrice de la Cellule de Veille au Pôle Etudes Economiques de Crédit Agricole S.A.
A cela s'ajoutent des difficultés propres au groupe, notamment sa forte décentralisation. Chaque cellule de veille devait donc pouvoir paramétrer ce qui la concerne.
750 Newsletter spécifiques
Pour atteindre ces objectifs, Crédit Agricole S.A. a choisi la solution proposée par l'éditeur Digimind après un comparatif portant sur 85 points fonctionnels.
L'outil surveille tout ce qui peut être accessible par Internet : les sites web « institutionnels » bien entendu, mais aussi les médias sociaux, les forums, la presse en ligne, des sites documentaires, etc. Cette masse d'information est filtrée et poussée vers les experts concernés grâce à des règles précises, leur rédaction pouvant comporter jusqu'à 12000 signes. Ces experts valident manuellement l'intérêt de chaque information, le cas échéant en la commentant. Les informations sélectionnées sont ensuite transmises à des groupes de lecteurs ciblés. 730 newsletters issues de 75 projets de veille sont envoyées mensuellement. 2400 collaborateurs sont abonnés à une ou plusieurs d'entre elles, en fonction de leurs besoins métiers.
Chaque newsletter comprend, pour chaque information sélectionnée, le titre et un court extrait de l'information d'origine, avec le cas échéant le commentaire de l'expert, ainsi qu'un lien vers la source. Les experts peuvent, ensuite, revenir sur les informations déjà traitées pour effectuer d'autres restitutions, comme des nuages de tags, des analyses quantitatives, etc. Séverine Guillemard précise cependant que « le développement de cet aspect de la veille [l'analyse graphique] a pris un certain temps à être mis en place par les experts, la veille n'étant qu'une partie de leur travail ».
Le nombre de sources, non précisé, a été multiplié par neuf mais le temps passé à la pure collecte-validation a été divisé par deux.
Le coût du projet n'a pas été précisé.
Reprise vigoureuse, mais inégale pour les éditeurs de logiciel français selon l'Afdel en 2010
La croissance 2010 est due essentiellement à trois facteurs, remarque Pierre Marty du cabinet PwC : les acquisitions, le positionnement de l'offre par rapport aux cycles économiques, la pertinence des produits par rapport aux évolutions du secteur. Cette croissance est vigoureuse, mais aussi inégale. Inégalité due à l'atomisation du secteur, les 58 premiers éditeurs français réalisant moins de 15 millions d'euros de CA annuel. Inégalité due aussi à l'absence de champions mondiaux (à l'exception toujours marquante de Dassault Systèmes) et même de champions nationaux de taille intermédiaire (les ETI, Entreprises de taille intermédiaire).
Des caractéristiques qui sont tout sauf nouvelles. Au chapitre « handicaps lourds » la profession déplore également son manque d'internationalisation.
Forte croissance du SaaS
En revanche, la croissance du SaaS est réelle : +26% en 2010. « Par nature, ce mode de distribution sacrifie un peu de croissance à court terme sur les ventes, mais en contrepartie offre une visibilité à moyen et long terme bien supérieure aux modèles classiques » note Pierre Marty. Emailvision progresse ainsi de 43%, Streamwide de 42%, Neolane de 41%, Efront de 34%, Cassiopae de 33%. Les autres secteurs en pointe sont : le PLM, le middleware, le CRM, les outils verticaux.
Le classement est téléchargeable sur le site de l'AFDEL (...)
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