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(10/02/2012 10:37:35)

Trimestriels Avnet : la crise européenne impacte les résultats

Au titre du second trimestre de son exercice 2012, le distributeur à valeur ajoutée américain Avnet Technology Solutions a publié un chiffre d'affaires de 3,1 Md$, en baisse de 3,1% à période comparée de 2011. Par gamme de produits et à l'échelle mondiale, le distributeur a enregistré une hausse de 35% de ses ventes de serveurs. Les revenus issus des ventes de produits de stockage ont progressé quant à eux de 20%.

Avnet TS doit le recul global de son activité aux résultats trimestriels qu'il a enregistré en EMEA. Dans cette zone, son chiffre d'affaires s'est replié de 6,1% (ou 4,9% hors impact des taux de change) à 1 milliard de dollars. Bien plus dynamiques, ses filiales des zones Amériques et Asie ont vu leurs chiffres d'affaires progressé respectivement de 5,5% et 14,4%. Pour autant, les résultats du distributeur en EMEA ne sont pas négatifs à tous les niveaux. Son résultat opérationnel dans cette partie du monde s'est en effet amélioré de 30% tandis que sa marge opérationnelle progressait de 92 points de base.

(...)

(10/02/2012 10:13:36)

Les revendeurs d'Apple manifestent leur colère

Il ne suffit pas d'avoir une fabuleuse image de marque mondiale, des résultats financiers faramineux et des produits capables de tenir tous les rivaux à distance. Apple en est la preuve. Derrière la réussite planétaire, un grain de sable s'est glissé, il est français, c'est la distribution.

La firme à la pomme passe par quatre canaux : ses APR, son site de vente en ligne, les grandes surfaces, ses propres magasins (les Apple Store). Au lieu de faire cohabiter  ces quatre réseaux, d'organiser le multi-canal, Apple semble étrangler ses APR. La preuve ? Quand sort la dernière version de l'iPhone, ils ne sont jamais approvisionnés. « Et quand nous réalisons dans les magasins des démonstrations de logiciels, le client doit passer par le site pour les acheter, nous ne pouvons pas le proposer aux clients» nous explique une porte-parole du collectif « Pomme de discorde ».

C'est ce collectif qui a organisé la manifestation à l'Opéra. Un collectif regroupant 200 salariés. Venus essentiellement de la région parisienne et des magasins de la société eBizcuss qui possède 8 de ses 9 magasins en Ile-de-France. Des salariés de la Fnac les auraient également rejoints. Pourquoi des salariés de distributeurs sont-ils aussi inquiets et mobilisés ? Ils estiment que les APR, et donc leurs emplois, sont en danger de mort.

Apple attaqué en référé

Le cas d'eBizcuss est pour le moins conflictuel. La société a attaqué Apple en référé, au mois de novembre dernier, pour être enfin livrée. Elle l'a été il y a quelques jours. N'ayant plus d'encours chez son grossiste, elle a dû payer « au cul du camion ». Cet APR (comme tous les APR de France) voit ses clients s'enfuir, faute d'approvisionnement, elle estime et ses salariés écoeurés également, que la faute en revient à Apple.  La situation est d'autant plus vitale qu'eBizcuss est cotée en bourse. Non seulement ses résultats commerciaux chutent, mais sa valorisation également.

eBizcuss est donc lancé dans un processus judiciaire qui peut aller  crescendo. Si la situation ne s'améliore pas, elle peut saisir l'Autorité de la concurrence pour abus de position dominante, saisir la DGCCRF pour concurrence déloyale, aller au civil pour détournement de clientèle. Trois échéances lourdes. Lundi dernier, eBizcuss avait demandé une suspension de cotation invoquant ses difficultés avec Apple « qui ne sont pas sans incidence sur la situation financière d'eBizcuss.com, les partenaires financiers ayant fait connaître leur inquiétude sur l'avenir du canal Apple Premium Reseller ».

Le problème de la Fnac est différent. Apparemment, la Fnac et Apple entretiennent les meilleures relations. Mais la politique de la Fnac est basée sur des remises qu'Apple suit de près en s'alignant. Parallèlement, la firme de Cupertino contrôle les vendeurs de la Fnac par des « clients mystères », chaque vendeur est suivi et noté avec une précision extrême. Une pression  de moins en moins supportée. D'où la présence de quelques salariés  à la manifestation du collectif « Pomme de discorde ».

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(09/02/2012 17:33:15)

Dassault Systèmes rachète Netvibes et ses tableaux de bord personnalisés

En rejoignant Dassault Systèmes, le Français Netvibes va considérablement améliorer sa capacité à innover, souligne Freddy Mini, PDG de l'éditeur spécialisé dans les portails et tableaux de bord personnalisés. Le fournisseur de solutions de PLM (gestion du cycle de vie des produits) dirigé par Bernard Charlès débourserait 20 millions d'euros, selon le blog de Pierre Chappaz qui fut l'un des investisseurs du projet Netvibes, pour acquérir cet acteur du Web co-créé à l'automne 2005 par Tariq Krim.

Les outils de Netvibes permettent aux entreprises d'opérer des veilles en collectant en temps réel dans un tableau de bord des données provenant de médias sociaux, d'applications web ou internes, de sites d'actualités, de blogs... Dans un billet publié sur le site de la société, Freddy Mini rappelle que des millions de personnes dans le monde utilisent actuellement Netvibes Basic (la version gratuite de l'outil) pour centraliser les flux d'informations qui les intéressent.

Premium for One, Premium for Teams

A partir de 499 euros par mois, l'outil Premium for One apporte en plus des fonctions de filtres, de tri, de recherche et d'analyse. Des surveillances personnalisées et des critères d'alerte peuvent être définis. Une troisième version de la solution, Premium for Teams, permet un partage des connaissances en équipe. Elle se complète d'un dispositif de contrôle d'accès.

« Pour poursuivre notre croissance... il nous fallait un partenaire ambitieux », explique le PDG de Netvibes. De son côté, Dassault Systèmes indique que la solution acquise viendra enrichir sa plateforme 3D Experience qui met aussi à profit les technologies de recherche d'Exalead, ainsi que des fonctions de réseau social et de visualisation 3D réaliste. L'objectif est de faire remonter toutes les « expériences relatives aux produits et aux services à partir de sources de données internes et externes, en temps réel, de façon contextuelle », commente dans un communiqué Bernard Charlès, directeur général de Dassault.

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(09/02/2012 15:51:22)

Gestion des RH : Oracle réplique à SAP/SuccessFactors en achetant Taleo

Oracle débourse 1,9 milliard de dollars pour mettre la main sur Taleo, éditeur spécialisé dans les solutions de gestion des talents et de recrutement des collaborateurs. Les applications de Taleo sont proposées en mode SaaS (software as a service). La capitalisation boursière de la société avoisinait hier les 1,62 Md$. Au 30 septembre dernier, sur les neuf premiers mois de son exercice fiscal, l'éditeur avait réalisé un chiffre d'affaires de 224 millions de dollars, soit une progression de 32% sur un an.

Cette proposition de rachat se présente comme une réplique directe à l'offre faite il y a deux mois par SAP à l'éditeur SuccessFactors, un concurrent de Taleo. L'opération de rachat de SuccessFactors, pour un montant de 3,4 Md$, est en cours d'examen.

Combiner l'offre de Taleo avec celle du cloud public d'Oracle ?

Oracle considère que la gestion du capital humain est devenue un domaine stratégique, ainsi que l'a souligné Thomas Kurian, l'un de ses dirigeants, vice-président exécutif, responsable du développement des produits. Les solutions cloud de Taleo sont un apport important au cloud public d'Oracle, a-t-il indiqué en faisant référence à l'offre annoncée par l'éditeur de Redwood lors de sa conférence OpenWorld 2011 en octobre dernier. Cette offre de cloud public comporte déjà des fonctions de gestion des employés : organigramme, annuaires, paie, fonctions d'analyse.

L'acquisition de Taleo, encore soumise à l'approbation des actionnaires, devrait être réalisée d'ici la fin du semestre. Le conseil d'administration de l'éditeur de logiciels RH a approuvé unanimement l'opération. Il reste maintenant à déterminer de quelle façon l'offre acquise va s'articuler avec celle d'Oracle en mode SaaS.

Taleo compte parmi ses clients des sociétés comme Alcatel-Lucent, Areva, Acxiom, HP, IBM, Merck et Point P.

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(09/02/2012 15:46:38)

Trimestriels Cisco : Un redressement confirmé

Cisco a présenté les résultats financiers de son deuxième trimestre de l'exercice 2011-2012. Le chiffre d'affaires est en progression de 10,6% sur un an à 11,5 milliards de dollars. Le bénéfice net affiche une hausse de 43% sur un an à 2,2 milliards de dollars. Le bénéfice par action a été de 0,47 dollar par action, mieux que l'estimation des analystes à 0,43 dollar par action. John Chambers, PDG de Cisco a salué ses résultats en les expliquant par de très bonnes ventes et par la politique de réduction des coûts entamée lors du trimestre précédent. (...)

(09/02/2012 12:26:41)

Annuels Dassault Systèmes : bonne croissance en 2011, cloud public en vue avec Vivendi/SFR

Croissance à deux chiffres en 2011 pour Dassault Systèmes, premier éditeur de logiciels français, spécialisé dans les solutions de PLM (gestion du cycle de vie des produits). Il vient d'annoncer pour l'année écoulée un chiffre d'affaires IFRS de 1,78 milliard d'euros en progression de 14% en chiffres publiés (+16% à taux de change constant). Sur douze mois, ses ventes de logiciels et services associés (maintenance) ont progressé de 15%, à 1,6 milliard d'euros.

Année record, souligne Bernard Charlès, PDG du groupe, dans un communiqué en pointant les ventes du 4e trimestre, supérieures à ses prévisions et qui dépassent pour la première fois le demi-milliard d'euros, à 512 M€ (+11%), avec une progression de 13% sur les ventes de licences et de 8% sur les revenus récurrents. Au total, le chiffre d'affaires licences et services associés a représenté 462,1 M€ (+10%) sur le trimestre. Sur la période, le bénéfice par action s'établit à 0,68 euros (+6%) et la marge opérationnelle atteint 26,5% du chiffre d'affaires. Sur l'année, le groupe a enregistré 2,33 euros de bénéfice par action (+28%) et 24% de marge opérationnelle (IFRS). Enfin, le flux de trésorerie (cash flow) est supérieur à celui de l'an dernier, 450,9 M€ contre 408,3 M€ en 2010.

Projet de cloud avec Vivendi/SFR

Dassault Systèmes a par ailleurs confirmé avoir monté un autre projet de cloud avec Vivendi/SFR ainsi que l'avaient publié hier nos confrères du magazine Challenges. Les partenaires apportent 75 M€ chacun, avec un objectif de chiffre d'affaires de 1 milliard d'euros en 2020. Le dossier a été transmis au gouvernement et ses promoteurs attendent maintenant une réponse. On se souvient que l'éditeur a quitté en décembre 2011 le consortium Andromède qui travaillait sur un projet de cloud souverain avec Orange et Thalès. Bernard Charlès a confié ce matin à BFM Business que la structure de coûts ne permettait pas d'avoir une solution compétitive. Orange et Thalès cherchent un autre partenaire pour remplacer Dassault Systèmes. Le nom de Bull a été évoqué et Atos s'est porté candidat. 

Une année tirée par Catia[[page]]
Une année tirée par Catia

Dassault Systèmes indique qu'un millier de clients ont adopté sa solution de PLM V6 et mentionne 18 000 nouveaux clients pour ses applications 3D en 2011. Sur le quatrième trimestre, les revenus du logiciel SolidWorks ont augmenté de 9% à taux de change constant, à 91,1 millions d'euros, avec 12 136 licences utilisateurs vendues. Le directeur financier du groupe, Thibault de Tersant, note que l'année a été tirée par la solution Catia avec un niveau de revenus soutenu en Allemagne, en France et en Chine. Il communique une progression de 10% sur les ventes de licences à taux de change constant, alimentée par l'automobile et l'aéronautique, principaux marchés de Dassault Systèmes, mais aussi par des cibles plus récentes comme les secteurs de l'énergie, de la construction et des services.

Bernard Charlès rappelle aussi l'enrichissement de l'offre avec les technologies de recherche apportées par Exalead et les fonctions de réseau social (plateforme 3DSwYm Social Innovation) permettant de gérer des communautés professionnelles.

Dassault Systèmes rachète NetVibes

Le marché européen a représenté 46,4% du chiffre d'affaires total de l'éditeur en 2011, progressant de 18%. Le continent américain pesant de son côté 27,4% et l'Asie 26,2%. Ces deux derniers marchés ont respectivement progressé de 12% et 15% à taux de change courant.

Pour l'année 2012, différents indicateurs confirment le niveau d'intérêt des clients. Dans le même temps, les dirigeants du groupe français soulignent la nécessité de tenir compte de la situation économique difficile et du risque d'un resserrement des crédits. Ils prévoient une marge opérationnelle stable par rapport à 2011 et une croissance sur l'année en dépit des conditions moins favorables sur le marché. (mise à jour : une prudence sanctionnée par la bourse aujourd'hui).

Dassault Systèmes vient par ailleurs d'annoncer l'acquisition de Netvibes et ses solutions d'agrégation d'informations (un article complémentaire sera publié dans la journée).

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(09/02/2012 11:38:58)

Plus de détails sur le projet de fusion Temenos/Misys

Le suisse Temenos et le britannique Misys ont donné hier des détails sur leur projet de fusion. Les deux éditeurs de solutions bancaires estiment que leurs activités sont très complémentaires et que leur combinaison profiterait d'une échelle et de perspectives de croissance améliorées. Des économies et des synergies opérationnelles sont également attendues de l'opération.

A l'issue de la fusion, les actionnaires de Misys disposeraient de 53,9% des parts de la nouvelle entité, qui serait dirigée par Guy Dubois, actuellement CEO de Temenos, et aurait Guy Wilson de Misys pour CFO. Les deux exécutifs seraient également membres du conseil présidé par Andreas Andreades, l'actuel président de Temenos. Quant au CEO de Misys, il a informé son conseil d'administration qu'il quitterait la société. Une annonce formelle de la proposition de fusion devrait suivre ces prochains jours.

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(09/02/2012 11:15:48)

Annuels Interway : croissance de 14% en 2011

La SSII Interway a réalisé une année 2011 plutôt faste, que ce soit en croissance totale avec le rachat d'Eryma Services, ou en croissance organique. Cette dernière se situe à 14% pour un chiffre d'affaires total de 24,7 millions d'euros (ME). La société profite de son positionnement sur l'infogérance classique (maintenance en conditions opérationnelles de parcs, support aux utilisateurs) et maintenant dans les services managés.

Le rachat d'Eryma en décembre 2010, devenue Interway Services a été achevé au mois d'octobre dernier, Interway utilisant la méthode Itil a également réorganisé la société et modifié le système informatique. D'autres rachats ne sont pas exclus, « je reste toujours à l'écoute et en recherche » explique Patrick Benoit le P-dg. En particulier dans les secteurs de la monétique (33% du CA actuellement) et de la virtualisation.

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(09/02/2012 11:01:07)

Annuels Micropole : un chiffre d'affaires en progression de 9,1% en 2011

Spécialiste de BI, d'ERP, de CRM, Micropole publie ses résultats préliminaires 2011, avec un chiffre d'affaires (CA) de 111,8 millions d'euros (ME), en progression de 9,1% à périmètre et taux de change constants.  Le CA total s'élève à 120,8 ME en progression de 17,9%.

L'année 2011 a été marquée par la croissance externe et l'international. Micropole a procédé à plusieurs acquisitions hors des frontières hexagonales : Oasis spécialiste de l'ERP SaP en Belgique,  Easteq spécialiste de la BI et basé en Chine. En France, la société a racheté l'agence de communication Wide. La croissance organique se vérifie selon la société sur toutes les activités : BI, e-commerce, ERP SAP, avec de grands projets au forfait, de même qu'en région et dans la formation.

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(08/02/2012 16:13:42)

SAP adapte HANA, la base de données en mémoire, aux PME

Les PME vont disposer de la solution analytique haute performance de SAP. L'offre comprend une nouvelle édition Edge du logiciel ainsi que des outils analytiques sous HANA pour sa suite ERP (Enterprise Resource Planning) Business One. « Ces produits seront vendus par nos partenaires sur un marché où SAP compte plus de 96 000 clients, ce qui représente 79% de sa base client totale, » a déclaré Eric Duffaut, patron de la distribution mondiale de SAP, au cours d'une conférence téléphonique avec la presse et les analystes.

La technologie HANA consiste à traiter les données depuis la RAM au lieu de les écrire et de les lire sur des disques durs traditionnels, ce qui permet de meilleures performances. La base de données, qui sait gérer aussi bien les charges de travail décisionnelles que transactionnelles, est vendue sous forme d'appliance par un certain nombre de fournisseurs. « L'édition Edge de HANA est disponible. Elle est identique à la version Entreprise, » a déclaré Bobby Vetter, vice-président senior, SAP, Ecosystem & Channels Readiness. « L'édition Edge aura aussi le même calendrier de sortie que l'édition Entreprise, » a t-il ajouté. Cependant, la quantité de RAM des appliances HANA Edge sera plafonnée et moins élevée. Celles-ci pourront également être vendues en bundle avec la suite logicielle BusinessObjects Edge BI (business intelligence) de SAP.

Comme le précise SAP dans un communiqué, l'offre d'analytiques pour Business One, son application de gestion intégrée, est susceptible de répondre à tous les besoins « à petite échelle. » Celle-ci s'appuie sur une application SAP basée sur HANA facile à utiliser et intégrant des processus essentiels, notamment pour le reporting « avec Crystal Reports, lequel génère en temps réel des rapports complets à partir de données actualisées. »

Pas de prix dévoilé et une montée en charge progressive


Le produit doit entrer dans sa phase de montée en charge ou « ramp-up» (un terme utilisé par SAP pour désigner le lancement de programmes destinés aux « early adopters) d'ici la fin du mois de février. La diffusion générale est prévue plus tard cette année. Bobby Vetter et Eric Duffaut n'ont pas voulu donner de détails sur le prix des produits, mais tous deux ont souligné que leur coût sera adapté. « Nous savons que ce marché est sensible à la question du prix, » a déclaré Eric Duffaut en ajoutant que «  le prix sera juste. »

HANA est disponible pour tous depuis juin dernier. Depuis cette date, SAP est resté très discret sur sa technologie et sur sa feuille de route technique. Le mois dernier, Vishal Sikka, CTO et membre exécutif du Conseil d'administration de SAP, a révélé que l'entreprise avait l'intention d'utiliser le support HANA pour faire tourner certains modules de sa Business Suite phare d'ici à la fin de cette année. Dans le futur, HANA devrait aussi servir de base à une prochaine génération d'architecture logicielle pour les produits de l'éditeur allemand.

L'an dernier, les ventes de HANA ont atteint plus de 160 millions d'euros. « Dans l'histoire de SAP, c'est le produit qui affiche la plus forte croissance, » a déclaré l'entreprise.

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