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(08/02/2012 15:20:41)
Amazon Web Services baisse les tarifs du stockage sur S3
Les utilisateurs de l'offre de stockage, S3, d'Amazon Web Services vont voir leur facture allégée. Ce service est facturé mensuellement en fonction de la quantité de données stockées. Pour la zone américaine (sauf sur le datacenter de Californie du Nord), européenne et pour Singapour, le tarif demandé passe de 0,14 dollars par Go par mois à 0,125 dollars par Go/mois pour le premier To stocké. Le prix change aussi jusqu'à 49 To de données, le prix au Giga passe de 0,125 dollars à 0,110 dollars par Go/mois. Le stockage de 450 To et 500 To profite également d'une baisse des prix.
Coûts annexes et 762 milliards d'objets stockés sur S3
Cette réduction des coûts est effective depuis le 1er février. On notera qu'au prix du stockage, il faut aussi intégrer les tarifs des demandes et celui du transfert des données. Cette annonce est aussi une réponse à l'étude menée par le Gartner qui indiquait qu'utiliser des outils de BI dans le cloud pouvait se révéler plus cher qu'une solution sur site au bout de 5 ans. Elle intervient aussi alors qu'Amazon a indiqué la semaine dernière que son offre S3 avait stocké 762 milliards d'objets en 2011 contre 262 milliards en 2010.
Chute continue des ventes de PC en Europe à la fin 2011 selon Gartner
Il s'est vendu en Europe 16,3 millions d'ordinateurs individuels au quatrième trimestre 2011 (-16% par rapport à la même période en 2010), selon les données communiquées par Gartner. Dans un marché européen morose, la France ne fait pas exception, avec seulement 2,8 millions d'unités écoulées (-11,8%) sur les trois derniers mois de l'année.
Cela fait désormais six trimestres consécutifs que les ventes d'ordinateurs sont à la baisse en France. Selon les analystes de Gartner, c'est avant tout la situation économique précaire qui en freine l'achat dans l'Hexagone depuis 2010, et même les fêtes de fin d'année n'ont pas bouleversé la tendance. La part de marché des ordinateurs portables s'établit à 68%.
Seuls Asus et Apple ont vu leurs ventes progresser d'octobre à décembre 2011, avec respectivement 405 000 (+17,4%) et 226.000 (+15,3%) unités vendues. HP demeure en tête, avec 696 000 nouveaux ordinateurs écoulés, devant Asus. Acer n'est plus que troisième de ce classement au quatrième trimestre 2011 (397 000, -45,5%), devant Dell (316 000, -13,2%) et Apple. Sur l'ensemble de l'année, la tendance est la même. Il s'est écoulé en Europe 58,5 millions de PC en 2011 (-16%), dont 10,4 millions en France (-12%).
Orange devient la marque unique de FT pour la téléphonie fixe et mobile
France Telecom fait évoluer ses forfaits de téléphonie fixe, et va proposer à partir du jeudi 9 février trois offres mixtes (fixe et mobile) sous la marque Orange. Il s'agit d'une nouvelle gamme sans engagement, où les clients peuvent choisir leur temps d'appel, fixes et mobiles confondus : deux heures (19,90€/mois), quatre heures (25,90€) ou illimité (39,90€).
Le service donne accès à l'ensemble des lignes fixes et mobiles de France métropolitaine, ainsi que vers les fixes de plus de 100 destinations à l'internationa, et inclut les services de transfert et de signal d'appel et de présentation du nom.
Les clients qui le souhaitent pourront souscrire à l'une de ces offres par téléphone (1014 ou 3000) ou sur le site d'Orange. A compter du 1er mars 2012, les clients recevront donc une facture fixe signée Orange.
(...)(08/02/2012 09:16:36)Les réseaux sociaux d'entreprises face aux défis de l'intégration
Selon l'étude publiée le 31 janvier dernier par le cabinet français spécialiste du domaine, Lecko, anciennement Useo, le marché national des solutions de services logiciels (SaaS) de RSE (Réseaux Sociaux d'Entreprise) a franchi en 2011 la barre des 9 millions d'euros, soit un bond de 60% par rapport à l'année précédente. « Le marché hexagonal n'a rien de comparable en volume avec le marché américain, mais ses caractéristiques sont assez proches », analyse Arnaud Rayrolle, PDG de Lecko. Outre-Atlantique, les estimations pour ce marché vont d'un peu moins d'un milliard de dollars dès l'année prochaine pour le cabinet Gartner, à près de 6 milliards de dollars en 2016 selon Forrester.
Et ce sont les grandes entreprises qui mènent la danse. « L'enjeu principal de l'adoption en entreprise de ces technologies issues de l'internet grand public, c'est de développer l'intelligence collective en facilitant les échanges directs entre les collaborateurs, sans intermédiaire », poursuit Arnaud Rayrolle. Et de citer l'exemple du groupe Atos Origin, auquel son PDG, l'ancien ministre Thierry Breton, a fixé il y a quelques mois l'objectif d'éradiquer l'email comme moyen d'échange d'informations à l'intérieur de l'entreprise, afin de réduire les coûts de stockage et le temps perdu à consulter la messagerie. En 2011, l'un des principaux acteurs français du marché RSE, Bluekiwi, explique avoir enregistré dix fois plus d'appels d'offres de grands comptes que l'année précédente.
Les RSE pour suivre le rythme d'évolution des savoirs
Le déclencheur est cependant moins à chercher dans ces motifs économiques que dans l'évolution profonde qu'a connue l'économie du savoir en quelques années. « Les réseaux sociaux grands publics ont fait la démonstration que tout type de contenu numérique peut devenir un objet social réutilisable. Et c'est précisément ce qui intéresse les entreprises pour capturer en temps réel l'intelligence collective en réunissant plus rapidement les bonnes personnes au bon moment autour des bons contenus », analyse Antoine Perdaens, PDG de Knowledge Plaza, autre fournisseur français de RSE.
Cette attente des entreprises n'est pas nouvelle. Elle a commencé avec les Wiki et les forums il y a plus d'une dizaine d'années et s'est poursuivie avec les intranets collaboratifs. Les plateformes de messagerie d'entreprise, et notamment Lotus Notes, se sont également inscrites très tôt dans cette logique. Mais la plupart de ces outils avaient un point commun : la capture de l'information ou des échanges se soldait par une charge de travail supplémentaire pour les collaborateurs de l'entreprise. « Ce qui a changé au fil des années, c'est la vitesse à laquelle évoluent l'état de l'art et la réglementation. Cela concerne toutes les industries, et cela exige d'autres moyens », enchérit Arnaud Rayrolle.
Une multitude d'offres spécifiques
D'une certaine façon, tous les chemins empruntés jusqu'ici pour mieux collaborer ont mené aux réseaux sociaux d'entreprise, tels qu'ils se dessinent aujourd'hui. Mais pour les entreprises, la difficulté vient précisément de cette multitude de chemins et d'offres. La sélection d'offres étudiées par Lecko pour cette étude 2012 ne recense pas moins de 29 solutions, contre deux en 2006. « Chacune de ces offres à sa raison d'être et répond à une attente spécifique des entreprises », confirme Arnaud Rayrolle.
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A côté de fournisseurs qui se définissent plutôt comme généralistes (BlueKiwi), d'autres se veulent plus proches des processus métiers (Jamespot), tandis que d'autres encore revendiquent leurs compétences d'origine dans le domaine de la gestion documentaire (Knowledge Plaza) ou de la création de blogs (Blogspirit).
Une problématique d'urbanisation
Cette diversité des offres fut jusqu'ici un avantage pour les entreprises, ou plus exactement pour les groupes d'utilisateurs ou de projets qui ont pu ainsi expérimenter de nouvelles façons de collaborer indépendamment de la DSI. « Le mode SaaS (software as a service) permet justement cela », explique Alain Garnier, PDG de Jamespot, l'un des « pur player » français les plus prometteurs selon Lecko, et spécialiste des RSE liés à un projet métier. Du point de vue de l'entreprise dans son ensemble, cette profusion virale de solutions RSE « départementales » finit cependant par faire réapparaître un problème aussi vieux que l'évolution technologique des entreprises, celui de l'urbanisation.
Ce serait même, à en croire les plus gros acteurs, la demande principale des grandes entreprises aujourd'hui. « Chez Renault, illustre Jean-Luc Valente, PDG de BlueKiwi, il y avait à l'origine trois solutions de RSE, l'une à l'initiative de la DSI, une autre liée à une plateforme métier, et une troisième choisie dans le cadre d'un projet ». D'où une contradiction : les expérimentations de RSE au sein de l'entreprise ont conduit à multiplier les solutions et à reproduire l'organisation en silos, alors que c'est précisément ce mode d'organisation qu'il s'agit de remettre en cause.
L'interopérabilité, un enjeu majeur
A cela s'ajoute la diversification des modes d'accès aux réseaux sociaux d'entreprise. « La mobilité est une question centrale pour l'évolution des offres. Il s'agit de permettre aux utilisateurs de participer à l'échange où qu'ils se trouvent, au moment et avec l'outil qui leur convient le mieux », poursuit Arnaud Rayrolle. Cette perspective des usages mobiles, également héritée du mode de consommation des réseaux sociaux grand public, est donc un argument de plus en faveur de l'interopérabilité des solutions. On imagine mal un utilisateur affilié à quatre ou cinq réseaux sociaux d'entreprise différents jongler avec autant d'applications sur sa tablette ou son téléphone mobile. Dans ce domaine, les éditeurs grands ou petits sont tous logés à la même enseigne. « L'interopérabilité des solutions n'est pas encore au rendez-vous, regrette Arnaud Rayrolle. Selon lui, cette question sera l'enjeu principal pour les acteurs de ce marché en 2012 ».
Exclusive Networks se dote d'une division vidéoconférence
Développer son activité en pénétrant de nouveaux marchés connexes à son métier historique dans la sécurité est un des axes de croissance d'Exclusive Networks. Suivant cette logique, le grossiste à valeur ajoutée annonce la création d'une division visioconférence à la tête de laquelle il a placé Véronique Trad-Savignac. Ancienne responsable de la distribution chez Trend Micro France, elle est en charge de la stratégie commerciale de l'activité ainsi que du développement du nombre et des compétences des revendeurs du VAD dans ce domaine.
Pour l'heure, le catalogue d'Exclusive Networks dans la visioconférence n'est pas très étoffé. Il ne renferme en effet que les produits de Vidyo, un fournisseur de solutions de vidéoconférence multi-partie dont la particularité est de fournir une qualité HD sur tous type de matériel (PC de bureau, tablettes, smartphones) et pas uniquement via des systèmes de salle ou de terminaux de téléprésence. « Vidyo a notamment des accords avec des fabricants de caméras ou encore de systèmes de réduction de souffle auxquels nous avons également accès en vertu de l'accord de distribution que nous venons de signer avec lui en France », explique France Laga, le directeur général d'Exclusive Networks pour la France et l'Afrique. Ce dernier indique en en outre que le VAD a l'intention de référencer progressivement des produits complémentaires à l'offre de Vidyo comme, par exemple, du mobilier qui permet d'intégrer harmonieusement les matériels dédiés à la visioconférence.
Tech.days 2012 : focus sur les développeurs, Azure sans limite pour start-up BizSpark+
C'est aux développeurs que Microsoft France a souhaité prioritairement s'adresser ce matin en ouvrant ses Tech.days 2012, pour trois jours du 7 au 9 février, au Palais des Congrès de Paris (Porte Maillot). La conférence plénière leur était consacrée. « Toutes les entreprises deviennent des entreprises de logiciels », a souligné Jean Ferré, directeur de la division Développeurs, Plateforme et Ecosystème (DPE), de la filiale française, en faisant référence à un article publié par Forbes. « Les développeurs se trouvent de ce fait placés au centre de leur stratégie. Ils font notamment le lien entre la R&D et la propriété intellectuelle ». Ce sont des métiers qui sont au coeur de la préoccupation de Microsoft depuis la genèse de l'entreprise, a poursuivi le directeur de la division DPE. Régulièrement sondés, ils ont fait remonter deux points de progression pour l'éditeur : la complexité dans l'interface, qui a conduit Microsoft à une forte démarche de simplification via MSDN et TechNet, et la clarification des objectifs d'interopérabilité de l'éditeur, énoncés en 2008 par Steve Ballmer. « Nous avons fait beaucoup de chemin depuis, nous sommes au board du W3C et HTML5 est un langage auquel nous avons fait toute sa place sur la plateforme Microsoft. » Jean Ferré rappelle que le cloud Azure accueille aussi les développeurs Java ou PHP [ou encore Ruby] et les applications réalisées avec le CMS Drupal.
Projet Roslyn, pour ouvrir les compilateurs C# et VB
A sa suite, Eric Mittelette, responsable de l'équipe relation technique avec les développeurs, a annoncé la création d'une association www.fierdetredeveloppeur.org destinée à valoriser le métier en France (cf son blog). Lui-même figure parmi les quatorze membres fondateurs de l'organisation, les autres venant notamment de Facebook, SoftFluent, Zenika, Ilog/IBM, NDepend, C2i, Ormeti ou Afrnlabs. On y trouve aussi Patrice Prut, PDG de PC Soft, l'éditeur de WinDev.
Pendant trois jours, les participants des Tech.days ont le choix entre plus de trois cents sessions techniques, de tous niveaux. Un certain nombre d'entre elles sont consacrées à Windows 8, la prochaine version du système d'exploitation, actuellement en preview pour les développeurs et qui sera bientôt livrée dans sa version bêta.
Pendant la conférence d'ouverture, les équipes techniques de Microsoft ont évoqué d'autres technologies, solutions et fonctions, disponibles ou à venir. Par exemple, la plateforme de gestion du cycle de vie des applications, Team Foundation Server 11, dont la CTP a été livrée en septembre dernier, et qui permet à des équipes réparties de travailler autour du même référentiel et de savoir ce que font les développeurs à un instant T. « Nous avons travaillé sur un portail résolument orienté équipe », explique l'un des collaborateurs de Microsoft. Les autres démonstrations ont abordé le projet Roslyn (également en CTP), qui ouvre la boîte noire des compilateurs C# et Visual Basic pour permettre d'analyser le code et d'en produire. Ou encore la version 4.5 du framework de développement .Net et les nouveautés sur C++, devenu « moderne » avec Visual Studio 11, et la possibilité d'avoir des variables automatiques ou d'exécuter des algorithmes parallèles. La norme C++11 visait déjà à le rendre isofonctionnel avec les autres langages connus.
Autant de sujets à creuser avec délectation pour l'auditoire. En fin d'après-midi, ce mardi, la session intitulée par Microsoft France « Coding for fun » avait déjà enregistré trois fois plus d'inscriptions que de places. (.../...) 
Les développeurs au coeur de la stratégie d'entreprise (cliquer ici pour agrandir l'image)[[page]]La conférence plénière a également abordé les capacités de montée en charge de la base de données dans le cloud Azure, en recourant à SQL Azure Federations, « à mi-chemin entre le monde SQL classique et le NoSQL ». La démonstration prend le cas d'un site de vente en ligne et montre comment diviser une base physique en deux, de façon à gagner en capacité de stockage et de traitement.
Les autres présentations de la matinée ont donné des exemples de développement avec le SDK Mango pour les terminaux mobiles et couvert les interfaces homme-machine et les questions de conception et de design des logiciels en insistant sur la nouvelle interface Metro. Microsoft incite à créer des applications pour la Marketplace Windows Phone (55 000 à 60 000 applications à ce jour). L'éditeur est conscient de sa faible part sur ce marché qui « ne peut que croître », soulignait-on ce matin avec philosophie.
SDK Kinect pour PC et un an d'Azure gratuit pour les start-up
Pour clore la conférence, Jean Ferré a rappelé la disponibilité du kit de développement Kinect pour PC qui va permettre de développer des applications exploitant le capteur de mouvement de Microsoft comme interface. « Un toolkit du SDK Kinect pour PC a été développé par des développeurs de la division DPE France », a indiqué son directeur. La filiale veut aussi renforcer l'intérêt autour du runtime Azure proposé aux abonnés MSDN. « Nous nous sommes rendus compte que beaucoup ne l'utilisaient pas », a reconnu Jean Ferré. « Nous allons donc proposer aux abonnés MSDN des portions de code développées par DPE ». Un code à s'approprier et à transformer.
Enfin, pour les start-up éligibles au programme de soutien BizSpark+, Microsoft va désormais proposer un accès gratuit à Azure pendant un an et à demi-tarif la deuxième année. Contrairement à l'offre d'essai gratuite d'Azure de 90 jours, proposée à tous et limitée à une instance, ce programme réservé aux membres de BizSpark+ donnera droit à un accès illimité dans Azure, sous réserve que les jeunes entreprises soient accompagnées dans leurs déploiements dans le cloud public par les deux partenaires du programme accrédités par Microsoft : Euratechnologies et Dojo.
UFC-Que Choisir épingle les fausses offres illimitées des opérateurs
« Que l'on parle d'appels ou de SMS, l'illimité n'existe pas ! », attaque d'emblée l'UFC-Que Choisir, dans un communiqué publié mardi 7 février. A La Poste, par exemple, l'illimité plafonne à 200 heures d'appel. Pire encore, chez Numéricable, en souscrivant un forfait similaire, les utilisateurs ne peuvent appeler que 14 heures.
Autre limite : les opérateurs imposent un nombre maximum de destinataires par mois sur les SMS, entre 99 et 250. Free et SFR vont plus loin en se donnant le droit d'intervenir de "manière discrétionnaire" sur l'abonnement du consommateur lorsqu'ils jugent, par exemple, qu'une utilisation "inappropriée" est effective.
Un ultimatum avant une action judiciaire
L'UFC-Que Choisir souhaite aussi sensibiliser les Français et les pouvoirs publics quant aux clauses abusives figurant dans les conditions générales d'abonnement. Verrouillage des téléphones vendus nus au moment de la souscription, impossibilité de faire jouer la portabilité du numéro, documents obligatoires non communiqués...autant de points noirs à assainir, faute de quoi, l'association consumériste menace de saisir la justice pour les faire supprimer. Les opérateurs ont trois semaines pour agir.
En attendant un geste de la part des opérateurs mobiles, l'association met à la disposition des consommateurs, sur son site internet, des tableaux comparatifs des différentes offres des opérateurs, ainsi que les clauses incriminées.
Oracle/SAP : un nouveau procès dans l'affaire TomorrowNow
Geoffrey M. Howard, avocat d'Oracle, a indiqué que la firme de Redwood ne se satisfaisait pas de la décision de réduire le montant de l'amende infligée à SAP et a donc décidé de saisir le tribunal fédéral de Caroline du Nord pour un nouveau procès. « Nous sommes déçus qu'Oracle laisse passer une nouvelle occasion de résoudre cette affaire », exprime SAP dans un communiqué et d'ajouter, « nous allons continuer à travailler pour aboutir à une fin juste et raisonnable dans cette affaire ».
Le juge Phyllis Hamilton avait, en septembre 2011, considéré que le montant de l'amende, 1,3 milliard de dollars, était excessif. Il avait réduit les dommages à 272 millions de dollars. Pour mémoire, la société de Larry Ellison reprochait à SAP le téléchargement illicite de logiciels et d'éléments utilisés pour le support technique de produits commercialisés par Oracle, TomorrowNow proposant des services de maintenance à moindre coût aux clients d'Oracle. SAP avait reconnu sa responsabilité, mais avait contesté le montant des dommages et intérêts accordé par le jury, les considérant comme « beaucoup trop élevés. » Le juge avait indiqué que si Oracle devait rejeter la réduction du montant de l'amende à 272 millions de dollars, la cour pourrait ordonner un nouveau procès sur le montant des dommages réels.
Geoffrey M.Howard explique dans sa lettre de saisine qu'« accepter la décision du juge reviendrait pour Oracle à renoncer à son droit de faire appel de la décision du tribunal sur les différentes motions et de soulever des points de droit dans le cadre d'un nouveau procès ». Il ajoute « l'objectif d'Oracle est d'obtenir des éclaircissements sur la loi, sa bonne interprétation, ainsi que sur la validité des preuves pour justifier la décision du jury et sur les droits d'Oracle en matière de propriété intellectuelle ».
Intersport gère l'état des stocks sur le web avec Proximis
L'enseigne de distribution d'articles de sport Intersport associe des commerçants indépendants. La vente en ligne sur le site web de la marque pose plusieurs difficultés, notamment le magasin d'affectation de la vente. La logique adoptée est donc celle de la publication en ligne de ou des enseignes disposant du produit. Cette démarche permet également au client de recevoir un conseil professionnel avant de finaliser son acquisition. Mais cela implique que le client sache dans quel magasin se rendre et s'il y trouvera le produit qu'il a choisi en ligne.
Pour atteindre cet objectif, l'enseigne a utilisé le module « click and collect » de l'éditeur Proximis. Les systèmes d'information de chaque magasin sont indépendants mais similaires. Les données brutes de produits, prix et stocks en sont donc extraites à raison d'environ 10 millions de lignes par jour. Les informations sont alors intégrées dans l'outil de Proximis avec indexation. Lors d'une demande d'information sur un produit, en fonction de la géolocalisation de l'internaute, le site affiche en bas à droite les magasins les plus proches avec la disponibilité du produit.
Le cas échéant, en cas de réservation en ligne, une vérification temps réel est alors opérée via un web-service dans le système d'information du magasin concerné.
Le coût du projet n'a pas été précisé.
IDC craint les effets de la crise européenne sur les dépenses IT
Les dépenses informatiques ont augmenté de 5% à taux de change constant en 2011, en dépit de la détérioration de la situation économique en Europe occidentale et de la volatilité dans les autres régions. Les marchés émergents se portent beaucoup mieux, avec parfois des croissances à deux chiffres.
Les Etats-Unis ont progressé de 9% en 2011. 2012 pourrait être moins faste si les conditions monétaires sont aussi défavorables note IDC. Le cabinet d'études prévoit 5% de croissance en 2012 pour les Etats-Unis. « Il y a des risques pesant sur les perspectives pour 2012, principalement liés à la situation macro-économique en Europe, où les dépenses IT sont encore faibles », a déclaré Stephen Minton, vice-président Global Technology d'IDC. « Dans un scénario pessimiste, les choses pourraient devenir plus négatives encore en Europe avec un effet d'entraînement sur d'autres régions. Mais les indicateurs avancés aux Etats-Unis se sont améliorés ces derniers mois, et les marchés émergents ne montrent aucun signe de ralentissement pour le moment. »
La crise macro-économique en Europe a déjà eu un impact sévère sur les dépenses IT dans cette région. L'investissement IT est resté stable en 2011, avec des baisses sur les PC, les serveurs, le stockage, les périphériques et les équipements réseau de l'entreprise. La reprise en Europe sera à long terme, avec moins de 1% de croissance cette année et 3% en 2013.
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