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(16/02/2011 09:34:30)
Annuels Infodis : activité stable en 2010
Près de 83% des revenus du groupe et 90% de son résultat ont été générés par sa filiale Infodis IT (services informatiques) qui regroupe 200 de ses 250 collaborateurs. Visuladis (distributeur en vidéo numérique), sa seconde filiale, a vu son chiffre d'affaires s'apprécier de 20% à 3 M€ en 2010. Elle devrait enregistrer une croissance de son activité de l'ordre de 10% en 2011.
L'année en cours devrait être l'occasion pour le groupe Infodis de réaliser des opérations de croissance externe. En janvier, l'entreprise a en effet recruté Gérard Guerguerian au poste de directeur général (le groupe en compte trois), un ancien vice-président senior d'Atos Origin. Avocat spécialisé dans les fusions acquisistions, il a pour mission de faire doubler la SSII de taille très rapidement.
Trimestriels SII : des revenus en hausse de 21,6% au 3e trimestre
Suite à l'annonce de ces résultats, SII a relevé ses prévisions pour l'ensemble de son exercice 2010/11 qui devrait se terminer sur un chiffre d'affaires de 220 M€ (avec une croissance organique supérieure à 13%) contre 213 M€ annoncés précédemment. Si cet objectif était atteint, la société de services enregistrerait alors un revenu annuel en hausse de 15,7%.
Les dernières activités d'Arès finalement cédées à GFI
L'interminable feuilleton Arès a pris fin lundi soir à l'issue du jugement prononcé par le Tribunal de commerce d'Evry. Comme nous l'avancions, le 20 janvier dernier, c'est GFI qui reprend les dernières activités d'Arès : Arès : une reprise casse-tête
Exceptionnellement dans ce genre de dossier, GFI donne des chiffres. La SSII a payé 2,9 millions d'euros (ME) pour reprendre le fonds de commerce d'Ares en France (et au Luxembourg). Ce qui représente 433 salariés, dont 404 en France et 29 au Luxembourg (le personnel administratif n'est pas repris). Et un chiffre d'affaires de 28 ME sur dix mois en 2011. En année pleine, en 2012, ce CA serait de 32 ME prévoit GFI. Cette activité sera logée dans la division « application services et infrastructure services » de GFI. La direction de GFI souligne la complémentarité des offres rachetées par rapport à celles de GFI notamment dans le secteur public et celui de la retraite.
Arès, créée en 1985, fut placée en redressement judiciaire le 18 juillet 2008 et en liquidation judiciaire le 25 novembre 2010. Son histoire récente est celle d'un lent dépeçage.
HP entame ses achats dans l'analytique avec Vertica
Hewlett-Packard va racheter Vertica, une société spécialisée dans les solutions de datawarehouse et qui prône le stockage des données en colonnes. Le montant proposé pour le rachat n'a pas été communiqué. Cette initiative intervient peu de temps après de HP ait décidé d'arrêter progressivement la plateforme d'entrepôt de données Neoview qui n'a pas réussi à gagner des parts de marché suffisantes depuis son lancement en 2007.
La technologie de Vertica va permettre à HP de proposer « des solutions analytiques avancées, en temps réel, portant sur d'importants jeux de données sur des environnements physiques, virtuels et dans le cloud », a déclaré dans un communiqué le numéro 1 mondial de l'informatique.
Cette acquisition est probablement à mettre au crédit du tout récent PDG, Léo Apotheker, qui a pris ses fonctions le 1er novembre en expliquant d'emblée qu'il comptait étendre la part du logiciel dans le chiffre d'affaires du groupe. Un rachat sur le marché du décisionnel semblait dès lors le choix le plus probable pour celui qui était quelques mois plus tôt le PDG de l'éditeur SAP. A ce poste, il avait directement participé au rachat fort judicieux du Français Business Objects et de ses logiciels de BI (Business Intelligence). Il est prévu que Léo Apotheker détaille ses projets pour HP, lors d'une conférence programmée pour le 14 mars prochain. On s'attend en particulier à ce qu'il y aborde les investissements qu'il projette dans le domaine des logiciels.
Créée par Mike Stonebraker, architecte d'Ingres et Postgres
Installée à Billerica, dans le Massachusetts, la société Vertica a été co-fondée en 2005 par Mike Stonebraker, une figure du monde des bases de données et l'un des principaux architectes d'Ingres et PostgreSQL. Parmi les concurrents qu'on lui trouve encore (plusieurs spécialistes des datawarehouses ont déjà été rachetés, notamment DATAllegro par Microsoft, Netezza par IBM et Greenplum par EMC) figurent des sociétés comme Infobright et Aster Data Systems, qui sont également perçues comme des cibles de rachat potentielles. Sur ce marché évolue aussi l'éditeur Kognitio (fondé comme Vertica en 2005), sans oublier un éditeur renommé et bien installé comme Teradata, qui a pris son indépendance de NCR en 2007.
« Vertica se présente comme un innovateur dans le domaine du traitement parallèle tout autant que sur les technologies de base de données et HP doit le penser également, a commenté Curt Monash, du cabinet Monash Research, interrogé par nos confrères d'IDG News Service. Toutefois, je ne vois pas Vertica aller, avant longtemps, au-delà des bases de données et des technologies associées, par exemple les solutions analytiques avancées. Mais même en se bornant à cela, il s'agit déjà d'un plan de croissance très agressif pour cette société ». Les développements engagés par Vertica sont solides et cet éditeur a rencontré un succès commercial plus rapidement que certains de ces concurrents, a ajouté Curt Monash.
Un prochain rachat dans le CEP ?
HP mène en ce moment une vaste stratégie sur le terrain de l'analytique, notamment avec le lancement d'appliances en collaboration avec Microsoft. Quoi qu'il en soit, la direction prise par le groupe dirigé par Léo Apotheker ne surprend pas, non seulement à cause du background de ce dernier, mais aussi parce que les ventes de solutions BI sont restées soutenues, même pendant la récession économique.
Pour Curt Monash, HP serait sans doute bien servi s'il complétait le rachat de Vertica par une acquisition dans les technologies de gestion des événements complexes (CEP, complex event processing), par exemple en s'offrant StreamBase. Une société qui a été également fondée par Mike Stonebraker. C'est une option qu'a en tout cas retenu SAP. L'éditeur allemand s'apprête à lancer la version 4.0 de sa plateforme décisionnelle Business Objects BI qui, justement, s'intègre avec les fonctions de CEP développées par sa dernière conquête d'importance, Sybase.
Oracle, IBM et Microsoft disposent eux aussi de leurs fonctionnalités de CEP.
Illustration : La technologie Vertica présentée par son éditeur.
Vision IT recrute 400 ingénieurs en Europe
Le groupe franco-belge de conseil en technologies Vision IT prévoit de recruter 400 personnes en Europe d'ici la fin de l'année, dont 140 dans l'Hexagone. Après avoir mis l'accent sur la croissance externe du groupe ces dernières années, nous souhaitons cette année nous concentrer sur la croissance interne de l'entreprise, commente Marc Urbany, le co-président du groupe, dans un communiqué. Ce plan de recrutement devrait en effet permettre à la SSII de renforcer ses effectifs de quasiment 40%, puisque Vision IT Group compte actuellement 1 150 collaborateurs.
Du support trading à la virtualisation
70% des postes à pourvoir concernent des profils confirmés, la part restante étant réservée à des juniors : il s'agit de consultants PMO (Project Manager Officer) et SOX (Sarbanes-Oxley) de spécialistes d'Unix et de Microsoft, de développeurs (Java et .Net) et également d'ingénieurs tests. Les candidats interviendront sur des missions allant du support trading en salle de marché à des applications de virtualisation dans des grandes entreprises et dans des PME. Ils pourront participer à des projets internationaux en rejoignant l'un des dix bureaux européens du groupe situés en Allemagne, Belgique, Espagne, France, Grande-Bretagne, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Portugal et Suisse.
(...)
Atos Origin se fixe un objectif "zéro e-mail" pour 2014
Thierry Breton, PDG d'Atos Origin a récemment indiqué qu'il souhaitait voir les collaborateurs de la SSII qu'il dirige abandonner l'envoi de courriers électroniques pour communiquer entre eux. Le dirigeant pense que la messagerie classique pourrait être avantageusement remplacée par d'autres applications qu'il juge plus adaptées à la collaboration. Selon lui, les managers, qui passent de 5 à 20 heures par semaine à lire et écrire des emails, utilisent déjà les réseaux sociaux plus que les moteurs de recherche et passent 25% de leur temps à rechercher de l'information.
Au sein d'Atos Origin, des outils collaboratifs et des plateformes communautaires ont déjà été mis en place pour « partager et garder une trace des idées qui naissent sur des sujets allant de l'innovation au Lean Management en passant par les ventes, a notamment expliqué le PDG. L'e-mail ne sera bientôt plus considéré comme la meilleure manière de travailler et d'échanger ». L'objectif affiché est de muer la SSII en entreprise « zéro e-mail » d'ici trois ans.
Messagerie instantanée et plateformes communautaires
Le groupe français a donc décidé de mettre en place des solutions qu'il qualifie de « novatrices » dans le domaine des réseaux sociaux afin de partager une information plus personnalisées, de façon plus immédiate. Des outils qu'il considère en outre plus efficaces en termes de coûts. Afin de devenir une entreprise « où il fait bon vivre », Atos Origin en a déjà déployé certains.
La société dit notamment encourager l'usage de la messagerie instantanée Office Communicator de Microsoft (désormais renommée Lync) et avoir installé des plateformes communautaires. Selon les premiers résultats qu'elle a constatés, le recours à ce type de logiciels aurait d'emblée réduit le volume des e-mails de 10 à 20%.
Illustration : la messagerie instantanée Lync de Microsoft (...)
Dématérialisation : Les DRH identifient les gains, mais les attentes restent fortes
La dématérialisation des processus RH est largement pratiquée mais l'approche des DRH est très immature selon une enquête de Markess International. Dans certains cas, celle-ci est poussée par des dispositions obligatoires, comme dans le cas des déclarations sociales. Mais la plupart des processus sont au mieux numérisés, c'est à dire qu'ils sont d'abord gérés sous forme papier, puis scannés et retraités au format numérique, par exemple au sein d'une GED, avec ou sans reconnaissance automatique de caractères et intégration des informations. Les doubles flux papier et numérique sont également très fréquents.
Les gains importants de la dématérialisation sont connus. Selon l'enquête de Markess International, le premier recherché est l'accès simplifié et permanent aux documents traités (72% des répondants approuvent ce point de vue). Evidemment, la réduction des coûts arrive aussitôt après (70% des répondants) ainsi que les délais (60%). Si environ la moitié des organisations numérisent ou dématérialisent d'ores et déjà des documents liés aux processus RH, la quasi-totalité envisagent d'y passer.
Markess International s'est aussi intéressé, document par document, à ce que les organisations dématérialisaient et envisageaient de dématérialiser dans les prochaines années. Tous les documents et tous les processus sont concernés (de 30% à 50% des répondants selon les documents) et partout on voit un intérêt pour accroître la part numérisée des documents (d'ici 2012, de 60% à 90%). Il y a cependant un net retard sur le bulletin de paye où les réticences sont les plus grandes. Il n'en reste pas moins que la valeur juridique des documents est un vrai problème, ce qui justifie que le double flux papier et numérique soit la règle générale.
Cliquer ici pour agrandir l'infographie
Des attentes fortes parmi les responsables
Les responsables interrogés ont pourtant de fortes attentes et souhaitent des solutions les plus intégrées possibles, y compris d'un côté avec le SIRH et de l'autre avec les coffres-forts électroniques qui garantiront la préservation avec valeur juridique des documents le temps nécessaire (plus de 50 ans pour un bulletin de salaire).
Le modèle économique des offreurs est généralement toujours le même : chaque document est archivé le temps nécessaire contre un paiement initial unique.
L'immaturité de l'approche des utilisateurs est caractérisée par le manque d'intérêt a priori pour le partage des informations et la réversibilité du stockage externalisé des documents archivés sous format numérique.
Des discussions seraient en cours entre acteurs et sous l'égide de l'Afnor pour aboutir, dans un premier temps, à un « bulletin de salaire numérique » standardisé et, dans un second temps, à une normalisation des coffres-forts électroniques afin que chaque salarié puisse posséder le sien auprès du prestataire de son choix, exactement comme il possède un compte en banque où toucher son salaire auprès de la banque de son choix. (...)
Smart Technologies entre dans l'entreprise avec ses tableaux interactifs
C'est un demi-virage pour Smart Technologies. La société compte depuis toujours deux marchés cibles : l'éducation et l'entreprise. En France, elle avait surtout développé le premier depuis son arrivée, en 2008. Elle s'attaque maintenant au deuxième. Avec les mêmes produits ou presque. Smart se présente avec des tableaux interactifs et des logiciels associés, mais les produits entreprises sont différents de ceux vendus dans l'éducation, avec des gammes plus adaptées en termes fonctionnels.
« En fait, nous allons développer avec nos produits quatre arguments pour le marché entreprise », nous explique Richard Ramos, directeur général de la filiale française depuis septembre 2010 (il fut précédemment directeur de la BU Education et recherche chez Apple). Il énumère le collaboratif (avec les logiciels Meeting Pro et Smart Bridgit), la lutte contre dissémination des équipes (dans l'organisation actuelle du travail en entreprise), les coûts prohibitifs des déplacements, la productivité individuelle et collective. Smart Technologies vise donc tout particulièrement les réunions en ligne avec des produits destinés à les animer.
Côté channel, cette nouvelle orientation, se traduira par une spécialisation « business », différente de la spécialisation « education ». Mais ce nouveau marché a vocation à être ciblé par les mêmes partenaires, qui seront par exemple gold « business » et/ou « gold « education ». Smart Technologies va mener des réunions en région pour présenter sa stratégie entreprises, à Lyon et Bordeaux pour commencer, et accueille partenaires et clients dans son siège à Puteaux pour des démonstrations.
Courtisé par Google, Nokia a préféré les millions de Microsoft
C'est dimanche soir, à Barcelone, la veille de l'ouverture du Mobile World Congress, que le CEO de Nokia a évoqué ce sujet, faisant référence à une présentation montrée la semaine dernière et faisant état d'actions marketing et d'investissements qui résulteraient de l'accord entre Microsoft et Nokia. « Le montant de l'accord dépasse les millions ou les dizaines de millions énoncés dans les différentes spéculations. C'est plus que cela, de l'ordre du milliard de dollars, plutôt que du million, » a-t-il déclaré sans donner plus de précision ni indiquer dans quelle échelle de temps cet investissement serait réalisé. Microsoft a cependant fourni une information supplémentaire en indiquant à quel moment les premiers téléphones Nokia tournant sous Windows Phone sortiraient. Ainsi, Jo Harlow, vice-présidente senior du marketing chez Nokia, a dit qu'elle était sous pression pour une livraison courant 2011. Celle-ci a même montré la photo d'un premier prototype de téléphone.
Pas de coup prémédité de la part de l'ancien responsable de Microsoft
Stephen Elop a cherché à dissiper les rumeurs selon lesquelles Microsoft l'avait spécifiquement incité à prendre la direction de Nokia pour permettre la signature de ce type d'entente. « Je ne suis pas un cheval de Troie, » a-t-il déclaré. « La direction et le conseil d'administration de Nokia ont été partie prenante dans le processus de décision et ont donné leur accord pour s'engager avec Windows Phone, » a-t-il dit. « Nokia était autant « courtisée» par Google que par Microsoft, pour qui la possibilité de voir leur logiciel intégré aux appareils de Nokia était importante, » a-t-il ajouté. Sans doute, Google avait plus à gagner, si elle avait remporté le contrat pour fournir Android aux téléphones de Nokia. « Si vous comparez la part de marché actuelle d'Android à la part de marché que Nokia pourrait offrir au système d'exploitation de Google au cours des deux prochaines années, l'échelle est importante. À tel point que l'on se dit que l'industrie du mobile est en train de devenir bipolaire », a déclaré le CEO de Nokia. « Puisque le marché serait alors essentiellement réparti entre Android et Apple, » a-t-il ajouté. « Si Nokia s'et engagé avec Microsoft, c'est que celle-ci crée une dynamique très différente dans le marché, » a-t-il dit. « Nous avons initié une course entre trois chevaux, » a-t-il dit, une manière de réitérer un avis selon lequel la plate-forme de RIM serait négligeable.
Accompagner les développeurs Symbian vers Windows Mobile
Nokia a fait à nouveau part de son intention de continuer à soutenir les développeurs qui créent des applications pour Symbian, du fait d'une très grande base de téléphones Symbian existants et à venir. Le géant du téléphone espère assurer une transition sans heurts entre Symbian et Windows Phone. En outre, il prévoit de faire profiter l'accord d'une partie du développement effectué pour l'Ovi Store. Nokia a établi des partenariats avec plus de 100 opérateurs afin que les utilisateurs puissent payer leurs achats dans l'Ovi Store sur leur facture de téléphonie sans fil. Cette capacité permettra de mettre Windows Phone et Nokia à hauteur à la fois d'Apple et d'Android. Stephen Elop a précisé par ailleurs qu'il pourrait y avoir plusieurs boutiques en ligne, l'Ovi Store et le Marketplace de Microsoft, et que l'Ovi Store offrirait toutes les applications de la boutique de Microsoft.
Crédit photo : IDG NS
Etudes de smartphones Nokia animés par Windows Phone 7
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