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(14/02/2011 12:41:58)
Annuels Dassault Systèmes : +32% sur les licences au 4e trimestre
En octobre dernier, Dassault Systèmes avait révisé à la hausse ses estimations pour ses résultats financiers 2010. De fait, l'éditeur français de solutions de PLM (gestion du cycle de vie des produits) et de conception 3D a vu progresser ses ventes de licences 32% (IFRS) sur le quatrième trimestre, à taux de change constant, et de 23% sur l'ensemble de son exercice fiscal (+28% à taux de change courant). Le chiffre d'affaires logiciel récurrent, en hausse de 21% (IFRS), a représenté environ 72% du CA total en 2010 (73% en 2009). Sur l'année, le groupe a réalisé hors d'Europe 55% de son chiffre d'affaires annuel qui s'est élevé à 1 564 millions d'euros. Le continent américain a pesé 29,2% de l'ensemble des revenus et l'Asie, 25,9%.
Croissance à deux chiffres sur le PLM
Dassault Systèmes précise que le chiffre d'affaires logiciel de son offre PLM a crû sur l'année de 26%. Au sein de cette offre, la plus forte progression a été enregistrée par le logiciel de conception virtuelle et d'ingénierie collaborative Catia (+ 31%) qui a poursuivi sa pénétration sur les secteurs de l'automobile, des équipements industriels et de la high tech. Sa V6 a en particulier été sélectionnée par BMW (photo) pour son projet Aïda. Le constructeur automobile utilisera la solution V6 PLM pour développer la future architecture électrique, électronique et logiciels embarqués de ses voitures. Un projet qui, souligne Dassault Systèmes, va concerner des milliers d'ingénieurs. Quant à la solution de PLM collaborative, Enovia, elle a progressé de 29% et sa V6 a été retenue par Alstom Transport. Pour Bernard Charlès, PDG de la société, ces bons résultats sur l'offre PLM illustrent notamment la bonne intégration d'IBM PLM effective à partir du 1er avril 2010.
Les revenus de l'offre de conception 3D SolidWorks, qui s'adresse à une clientèle plus large, ont de leur côté progressé de 15% (et la partie hébergée de 3%). Le nombre de licences a augmenté de 18%. A fin 2010, indique Dassault Systèmes, le nombre total de licences SolidWorks vendues, dans les entreprises et l'éducation, a dépassé 1,5 million. L'un des facteurs de croissance du produit, dont la commercialisation repose sur un solide circuit de distribution, a été la migration des utilisateurs de la 2D vers la 3D.
Accélérer la diversification en 2011
2010 fut également ponctué par l'acquisition de deux éditeurs français. En juin 2010, Dassault Systèmes a successivement racheté Exalead, spécialisé dans les moteurs de recherche, puis Geensoft, qui développe des systèmes embarqués pour les secteurs de l'automobile, de l'aéronautique et du ferroviaire. A noter que l'offre d'Exalead a été choisie par Faurecia, un utilisateur d'Enovia qui compte environ 5 000 utilisateurs.
En 2011, Dassault Systèmes s'est fixé comme objectif d'accélérer, à l'échelle mondiale, sa diversification dans tous les secteurs économiques « grâce à nos applications développées sur notre moteur de recherche (SBA, Search-Based Applications), ainsi qu'à notre focalisation sur l'innovation via les plates-formes communautaires », a indiqué Bernard Charles dans un communiqué. L'éditeur devrait de nouveau connaître une croissance à deux chiffres sur ses ventes de nouvelles licences.
Illustration : La V6 de Dassault Systèmes a été sélectionnée par BMW pour son projet Aïda (crédit : D.R.).
Granit et l'Afeit rejoignent l'enquête du Syntec Numérique
A côté des collectivités locales, des pôles de compétitivité, la Bretagne compte deux grandes associations spécialisées sur les TIC : Granit et l'Afeit. La première regroupe 80 membres, la seconde une cinquantaine. Prestataires, représentants des entreprises, institutions en sont membres. D'autres associations ou structures couvrent le sujet, comme la Meito active également en Pays-de-Loire.
Le Granit et l'Afeit viennent de constituer, avec le représentant du Syntec Numérique dans l'Ouest, Benoît Jeannin, un Comité filière numérique Bretagne. Le but ? Valoriser la filière numérique régionale bretonne. Plusieurs actions sont prévues. La première est de participer à l'enquête semestrielle du Syntec Numérique qui comporte des volets régionaux. Les deux associations vont porter l'enquête auprès de leurs adhérents et contacts en local et relancer ces contacts.
B-dom' cherche l'équilibre dans la diversification
La filiale de dépannage informatique à domicile de l'enseigne multispécialiste Boulanger a réalisé en 2010 un chiffre d'affaires de 3,2 M€, en hausse de 14% comparé à l'année précédente. Malgré ce dynamisme, le résultat net de cette entreprise créé fin 2006 est resté dans le rouge. « Nous sommes en phase de croissance et donc d'investissement,justifie Cédric Leprince Ringuet, le directeur de B-dom'. Nous atteindrons l'équilibre, voire un peu plus, cette année ». Le résultat d'exploitation attendu devrait se situer quant à lui autour de 100 K€ sur des revenus prévisionnels de 4 M€.
Quand Cédric Leprince Ringuet parle d'investissement, il fait notamment allusion à l'élargissement du nombre de collaborateurs de la société. En 2010, 14 nouveaux emplois ont ainsi été créés, portant l'effectif total de B-dom' à 60 personnes. Parmi les nouvelles recrues, on compte des techniciens ainsi que des cadres tels qu'Olivier Gradel, un ancien des magasins de sport Decathlon, nommé directeur opérationnel.
Deux partenariat en cours de négociation
Pour faire fructifier son activité historique (dépannage, installation, formation en informatique), B-dom' veut également étendre ses partenariats avec les distributeurs qui proposent ses services aux particuliers au-delà des seules enseignes du groupe HTM (maison mère de Boulanger). «Dans le groupe, nos services sont proposés à l'heure actuelle par Boulanger, le site Webdistrib.com, les magasins Gitem, et bientôt par Electro-Dépôt,explique Cédric Leprince Ringuet. Nous allons tester cette approche hors du groupe avec deux enseignes, l'une dans la téléphonie mobile et l'Internet, l'autre dans la distribution semi-professionnelle. »
Les ambitions de B-dom' pour 2011 ne s'arrêtent pas là. Le prestataire de services souhaite également diversifier ses activités en ouvrant une nouvelle filiale d'ici deux mois. Encore peu disert sur le sujet, Cédric Leprince Ringuet indique que son activité sera tournée vers le concept de la maison intelligente Le directeur de B-dom' donne toutefois quelques indices :« Aujourd'hui, la loi Borloo sur les services à la personne nous limite à l'informatique et l'Internet. Jusqu'ici, nos techniciens ne peuvent pas toucher à des matériels comme l'iPhone ou les Smart TV ». La diversification de B-dom' fait en tous cas penser à celle engagée dans l'audiovisuel par la société Solutions30 (ex-PC30), un prestataire historiquement focalisé sur le dépannage informatique. (...)
Bilan 2010 des SSII et des éditeurs : la profitabilité de retour
Méthodologie :
Les sociétés sont classées par ordre alphabétique.
Nous ne prenons évidemment en compte que les croissances organiques.
Les chiffres sont généralement non audités et se concentrent pratiquement sur un seul indicateur : le CA annuel
Les liens conduisent à des articles déjà réalisés les jours précédents
Les SSII
- Additeam
Le 28 janvier 2011 : Annuels Additeam : Un CA de 7,5 M€ en 2010
- Ausy
Le 6 janvier 2011 : La SSII Ausy acquiert Aptus
Ausy affiche une croissance organique de 15,7% avec un CA annuel de 197,7 ME. La France progresse de 14,4% en organique.
- GFI
Le 11 février 2011 : Après une année 2009 difficile, GFI Informatique espère un rebond
GFI affiche un CA annuel total en 2010 de 657,9 ME en recul de 0,6%. La France progresse de 1,1% sur l'année. Il s'est désengagé de plusieurs activités en Italie et en Allemagne au cours de cette année.
- Neurones
Même en période de crise, Neurones ne fléchissait guère, en sortie de crise, la SSII publie une croissance à deux chiffres + 10,3% de croissance du CA en organique avec un CA annuel de 239,6 ME. Le taux de marge opérationnelle se monte à 10,2%.
- Open
Le 4 février 2011 : Annuels Groupe Open : La SSII termine sa restructuration
- Osiatis
Le 2 février 2011 :Annuels Osiatis : des revenus à 243,6M€ en hausse de 4,6%
- Proservia
Le 1er février 2011 : Annuels Proservia : Chiffre d'affaires en progression de 8,3%
- SQLI
La société réalise un CA de 170,3 ME en progression de 8,4% à périmètre comparable, de 10% en intégrant deux sociétés rachetées en 2009 : Naga Conseil et Aston Education.
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Les éditeurs
- Cegid
Le 24 janvier 2011 : Annuels Cegid : une année de transition vers le SaaS
- Esker
Le 25 janvier 2011 : Annuels Esker : SaaS et internationalisation vecteurs de croissance
Les intégrateurs
- eBizcuss
Après avoir reculé de 7% en 2009, l'activité du groupe de distribution eBizcuss est repartie à la hausse en 2010. L'an passé, la société a en effet réalisé un chiffre d'affaires de 63,04 M€, soit une hausse de 10,8% par rapport à 2009. L'activité du groupe a bondit au second semestre avec une croissance de 20,2%, comparée à la quasi stagnation 0,7% enregistrée lors du premier semestre.
Cette croissance est principalement due au dynamisme de l'activité Entreprise d'eBizcuss qui a bénéficié de l'engouement de ses clients pour l'iPad d'Apple. L'activité Grand Public du revendeur a également contribué à la hausse de ses revenus annuels, en tirant aussi parti du succès de l'iPad et des autres produits Apple chez les particuliers. Ce pôle commercialise en outre la gamme d'accessoires Energy (pour iPods, iPhones et MacBook...), conçue par eBizcuss, dont le succès auprès de la grande distribution a pesé positivement sur la croissance du groupe. Ces bons résultats devraient permettre à eBizcuss de publier le 28 avril prochain des comptes définitifs faisant apparaître un retour à la rentabilité lors du second semestre 2010.
- Keyrus
Keyrus affiche une forme insolente, avec +11,2% de croissance organique annuelle pour un CA de 119,7 ME. Les grands comptes (70% du CA total) ont assuré cette croissance avec + 17,3% sur l'année. Le mid market (30% du CA total) est en légère baisse de 2,2%.
- Micropole
A périmètre et taux de change constants, Micropole (société de conseil et intégrateur en BI, ERP, CRM) a progressé de 6,8% avec un chiffre d'affaires annuel 2010 de 100,5 millions d'euros (ME). Largement au dessus de la moyenne du secteur, qui est de 1%.
Deuxième bonne nouvelle : toutes les activités progressent. Du moins est-ce le cas de la BI et des activités web (e-commerce ou applications métiers). L'activité ERP était en souffrance au 1er semestre et s'est redressé au second, offrant une moyenne positive. La formation, avec +10% et les régions avec 15% sont très au dessus de la performance générale de l'entreprise. Micropole s'attend pour 2011 à une progression encore plus forte, en organique et à l'international.
Paiement mobile : les utilisateurs attendent de nouveaux services
Plus de 4 Français sur 10 (41%) se déclarent favorables à l'utilisation du paiement mobile, selon les résultats du dernier baromètre Ifop/Wincor Nixdorf, communiqués vendredi 11 février. Les hommes et les Franciliens sont tout particulièrement disposés à passer à ce nouveau mode de paiement avec respectivement 49% et 51% des suffrages. La simplicité arrive en tête des raisons principales pour lesquelles certains Français souhaitent adopter le paiement mobile (82%). Une majorité estime également que ce type de paiement peut lui permettre de gagner du temps (51%). A contrario, près de 8 personnes favorables au paiement en ligne sur 10 (79%) considèrent la sécurité comme un frein au paiement en ligne, devant le coût (29%) et la complexité (21%).
Avec l'arrivée du paiement mobile, les Français comptent sur de nouveaux services bancaires proposés sur téléphone. Ainsi, 31% des personnes interrogées souhaiteraient pouvoir retirer de l'argent sur un distributeur de billets par l'intermédiaire de leur mobile, contre 19% qui seraient intéressés par la possibilité de transférer de l'argent d'un mobile à un autre.
(...)(11/02/2011 16:45:10)Tester l'appliance de sécurité de Wallix avec 15 utilisateurs
Solution de contrôle d'accès aux équipements et applications informatiques, WAB 2.2 peut être testée dans une version de démonstration proposée sous la forme d'une machine virtuelle VMware ESX4. Cette appliance permet de déclarer cinq équipements et quinze connexions simultanées afin de savoir en temps réel quels sont les utilisateurs externes (prestataires, par exemple) ou internes qui se connectent, à quels équipements et de quelle façon. Pour les responsables sécurité, c'est un moyen de tester les différentes fonctions du produit en situation : gestion des accès et des données d'authentification, création de règles par utilisateurs et enregistrement des actions effectuées sur les équipements cibles, suivant les protocoles RDP (Windows Terminal Server) ou SSH (Secure Shell). L'un des intérêts de la solution WAB est de pouvoir tracer toutes les commandes qui ont été saisies par les utilisateurs, le tout étant conservé sous la forme de fichiers vidéo au format Flash que l'on pourra rejouer ensuite, si un problème doit être identifié.
Définir des plages horaires pour les connexions
Avec la version 2.2 du produit, l'authentification peut se faire avec un certificat X509 V3 qui peut être stocké sur une carte à puce ou un token USB. Par ailleurs, les utilisateurs sont authentifiés à partir de leur crédentiels primaires et c'est l'annuaire (LDAP ou AD) qui accepte ou pas la connexion vers les équipements afin d'éviter que les mots de passe des comptes cibles soient connus des personnes qui se connectent. Parmi les paramétrages proposés, il est possible de définir les plages horaires de la semaine et les heures pendant lesquelles les différents groupes d'utilisateurs sont autorisés à se connecter aux équipements cibles.
La VM WAB de test se télécharge, avec la documentation pour l'installer en environnement VSphere4, sur le site de l'éditeur du produit, Wallix. La configuration VM recommandée requiert un processeur virtuel, 1 Go de mémoire vive et nécessite de réserver un espace de stockage de 8 Go.
Illustration : Définition des règles d'accès sur la WAB 2.2 déterminant sur quels comptes cibles et sous quels protocoles les utilisateurs peuvent se connecter. (...)
SmartDatacenter de Joyent arrive dans sa version 6
L'heure est à l'automatisation pour la création de clouds. Les entreprises qui souhaitent sauter le pas vers les clouds privés se confrontent rapidement à l'écueil de la répétition de certaines tâches et les constructeurs proposent des outils pour systématiser et automatiser ces contraintes. Joyent, vu récemment lors de notre visite des start-up californiennes, avait présenté une appliance pour de tels déploiements. Aujourd'hui, la société a présenté une solution logicielle, baptisée SmartDatacenter 6. Pour David Young, CEO de Joyent « la version 6 montre que notre produit a été testé et éprouvé depuis quelques années et nous que nous avons acquis un vrai savoir-faire ». Connu aux Etats-Unis pour proposer des offres de cloud public, la firme dispensait aussi son expérience auprès des opérateurs.
SmartDatacenter 6 s'adresse à ce type de clients et présente plusieurs fonctionnalités. La brique de base permet une automatisation complète du datacenter avec virtualisation des architectures complexes et multiples, des réseaux locaux virtuels (VLAN), des répartiteurs de charge (load balancing), du routage et des réseaux privés virtuels (VPN), etc. La gestion client sur l'affectation des différentes ressources du cloud s'effectue via un portail web.
A la question sur la possible arrivée de Joyent comme acteur de cloud public en France, David Young est formel « nous proposons une solution logicielle directement auprès des ISP et des opérateurs, nous n'avons pas vocation à les concurrencer via une offre de cloud public. Nous leur apportons une brique simple et ergonomique pour qu'ils puissent commercialiser des services clouds rapidement ».
Mise à jour majeure, Business Objects BI 4.0 est en vue
SAP se prépare à lancer très officiellement son offre décisionnelle Business Objects 4.0, le 23 février prochain à New-York, lors d'une présentation retransmise en webconférence. Cette version importante, qui sort trois ans après la précédente, est également la première solution de Business Intelligence ayant été réalisée en collaboration par les équipes de SAP et de l'éditeur français BO depuis le rachat de ce dernier en octobre 2007. L'éditeur allemand en a détaillé les futurs apports depuis l'automne dernier mois, à différentes occasions, sur son TechEd 2010 à Berlin, mais également à Paris, en novembre dernier.
« Cette mise à jour est énorme, confirme Dave Weisbeck, senior vice-président sur les solutions BI et EIM chez SAP. Chaque outil dispose d'améliorations majeures. Il n'y a pas un seul endroit que nous n'avons pas touché. » Toutefois, cette arrivée marque aussi la « mise à la retraite » d'un composant longtemps très apprécié, Desktop Intelligence, également connu sous le nom de Deski (ou DeskI). Une décision qui n'est pas du goût de tous les utilisateurs. Cela dit, Business Objects BI 4.0 dispose de nombreuses améliorations. Les entreprises qui migreront vers cette version bénéficieront d'une meilleure intégration des outils BI de SAP avec sa gamme de produits EIM (Enterprise information management). L'objectif est de réduire le temps et les efforts déployés pour assembler, transformer, modéliser et diffuser des informations aux utilisateurs, indique Dave Weisbeck. Dans BI 4.0, le module Information Steward, par exemple, permettra à ceux qui se focalisent sur certaines catégories d'informations (au hasard, un commercial qui scrute ses données clients) de surveiller et d'évaluer au fur et à mesure la qualité des données en question.
Relié à l'outil de CEP de Sybase
Autre nouveauté, le module Event Insight, tire parti de la technologie CEP (complex event processing) que SAP a récupérée avec le rachat de Sybase l'an dernier. Les logiciels de CEP examine, au fil de l'eau, les flux de données qui transitent par le système d'information d'une entreprise afin d'y repérer des comportements inhabituels ou des corrélations particulières. L'objectif étant de déclencher dans la foulée des alertes ou des actions. Ce sont des outils généralement utilisés pour la détection de fraude ou pour la négociation rapide de titres, mais également dans d'autres domaines, la logistique notamment. Event Insight permettra aux entreprises de construire des modèles CEP et de livrer l'information par le biais d'alertes et de tableaux de bord.
Parmi les autres apports notables de Business Objects BI 4.0 figure la capacité d'effectuer des requêtes sur les données à partir de la même interface, quelle que soit la source et la base interrogée. SAP souligne aussi une meilleure évolutivité du produit, un support 64 bit natif et un accès facilité aux données non structurées.
Illustration 1 : L'utilisateur accède à diverses représentations graphiques des données (source SAP)
Illustration 2 : Business Objects BI 4.0 (dont on voit ici le détail de ses composants) peut puiser ses données à différentes sources.
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Pour bénéficier de ces innovations, les entreprises qui utilisent Desktop Intelligence devront donc migrer leurs existant vers l'outil Web Intelligence. Bien sûr, le destin de DeskI a ému les familiers du site (non officiel) Business Objects Board, où l'on trouve un certain nombre de « posts » se plaignant de cet arrêt. On peut même y lire que cet abandon a contribué à la décision d'une entreprise de laisser tomber Business Objects, rapportent nos confrères d'IDG News Service. « C'est avec grand regret que nous avons décidé d'abandonner SAP BO », dit l'un des messages postés la semaine dernière. « J'en suis particulièrement attristé dans la mesure où je faisais partie du comité de sélection de cet outil », relate son auteur en déplorant la perte « du meilleur outil OLAP DeskI, la promotion de l'ancien outil Crystal, toutes les promesses non tenues, les plantages et l'utilisation malaisée. Nous avons décidé de redéfinir notre Business Intelligence en allant vers une autre direction. »
WebI supporte la couche sémantique multidimensionnelle
L'outil Web Intelligence a été livré par Business Objects il y a plus de dix ans et il a toujours été question qu'il supplante un jour Desktop Intelligence dont l'utilisation a diminué, a déclaré pour sa part SAP. Pour lui, Web Intelligence assure désormais la majorité des fonctions de DeskI et dispose d'une profusion de fonctions dans les domaines de la mobilité, de l'interopérabilité avec les autres logiciels clients (Crystal Reports, Explorer, Live Office), ou encore, dans le support de la couche sémantique multidimensionnelle. De fait, sur le Business Objects Board, un autre participant confirme ces éléments : « J'ai utilisé WebI de façon assez intensive pendant les quatre dernières années et, franchement, je n'aimerais pas revenir à DeskI. Certaines fonctions m'ont manqué, mais maintenant, elles sont pour la plupart toutes disponibles dans la dernière version de WebI ». D'ailleurs, les utilisateurs de DeskI ne vont pas être complètement abandonnés puisque le produit va disposer, jusqu'en 2015, du support le plus couramment assuré dans le cadre de Business Objects XI 3.1 et du support Priority One jusqu'en 2017, selon SAP. (...)
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