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(06/01/2011 17:34:56)

Apple lance son Mac App Store

Avec son Mac App Store, la firme californienne souhaite transposer à ses ordinateurs l'expérience qu'il offre sur ses terminaux mobiles (iPhone, iPad et iPod Touch). En clair, comme sur un iPhone, l'utilisateur d'un ordinateur Mac peut installer sur sa machine différentes applications (jeux, médias, actualités, vie pratique, etc.). "L'App Store a révolutionné les apps mobiles", avait déclaré en décembre Steve Jobs, PDG d'Apple. "Nous espérons faire la même chose pour les apps PC avec le Mac App Store, en permettant de trouver et d'acheter des apps PC de manière simple et ludique". Les applications pour Mac sont là-aussi fournies par développeurs tiers, qui fixent le prix de leurs programmes (70% des recettes sur les ventes leur reviendront).

A son ouverture, le Mac App Store compte 1.000 applications payantes et gratuites. Les adeptes de la pomme y trouvent par exemple les suites d'Apple (iPhoto, iMovie, GarageBand, iLife, etc.), vendues 11,99 euros chacune, le logiciel de retouche photos Aperture 3 (62,99 euros), mais aussi des applications dédiées aux professionnels (dessin industriel, graphisme 3D, etc.). Le Mac App Store est disponible dans 90 pays. Il est disponible pour les utilisateurs de Mac OS X Snow Leopard en téléchargement gratuit via la mise à jour de logiciels.

(...)

(06/01/2011 16:50:56)

Standardisé, le chiffrement interne des disques se généralise

C'est une tendance qui se confirme. Les disques durs et les SSD intègrent des algorithmes de chiffrement reposant sur le standard défini par le Trusted Computing Group. L'intérêt principal de ces prochaines générations de périphériques de stockage « self-encrypted », c'est que le système de chiffrement est intégré sur une puce dans le disque. Disposer d'un système sécurisé est particulièrement important pour les petites entreprises, notamment en raison des dispositions légales qui les obligent à conserver leurs données comptables sur de longues durées. Or, depuis 2005, plus de 345 millions d'enregistrements contenant des informations personnelles sensibles ont été touchées par des problèmes de sécurité, a-t-il été rappelé cette semaine sur la conférence Storage Visions 2011 (Las Vegas, 4-5 janvier).

Pas de dégradation de performances

L'un des avantages que présente l'approche de chiffrement sur puce (sans recours à du logiciel) qui se met actuellement en place, c'est qu'elle n'entraîne pas de dégradation de performances. Elle est aussi plus sûre. Les clés de chiffrement sont générées dans le disque, il n'y a donc pas de clés à perdre puisque celles-ci ne quittent jamais le système.

Le périphérique qui intègre son système de cryptage protège lui-même ses données, avec des clés AES 128 bits ou 256 bits stockées dans le disque. « Techniquement, il s'agit d'un périphérique auto-protégé », explique Robert Thibadeau, vice-président senior et directeur technique de Wave Systems, qui représente également le Trusted Computing Group, ce dernier supervisant les spécifications techniques pour ces disques. Il y a la clé qui chiffre les données et la clé d'authentification utilisée pour déverrouiller le disque et déchiffrer. On crée le mot de passe et, par la suite, la seule façon de revenir sur le disque et vers les données qui s'y trouvent, c'est d'utiliser le (ou les) mot(s) de passe mis en fonction.

Samsung présente des modèles de 1 à 2 To sur le CES

Lorsqu'on parle de chiffrement complet d'un disque (« full-disk encryption »), il peut s'agir de codage logiciel ou matériel, tandis que les disques « self-encrypted » se bornent à un chiffrement matériel. Microsoft utilise le terme « full-disk encryption », mais cela peut porter à confusion avec le codage logiciel réalisé avec une fonctionnalité comme Bitlocker (inclus dans certaines versions de Windows Vista et Windows 7).

Au départ, il y avait un surcoût, mais désormais, il n'y en a moins ou plus du tout. Tous les fabricants de disques produisent des modèles intégrant du chiffrement. « Dans quelques années, prévoit Robert Thibadeau, on achètera ce type de disques sans s'en préoccuper car ils se seront largement répandus », rapportent nos confrères de PC World. « Le cryptage s'effectue, tout simplement, sans qu'il faille intervenir ».

Samsung vient de lancer au CES de Las Vegas sa série de disques durs externes USB 3.0 à chiffrement intégré. Celle-ci inclut trois modèles, offrant des capacités de 1 To, 1,5 To et 2 To. Ils sont livrés avec le logiciel d'auto-sauvegarde de Samsung, ainsi que les fonctions SecretZone, pour créer un disque virtuel sécurisé, et SafetyKey pour mettre en place des mots de passe et la sauvegarde des données encodées. Ces produits seront livrés en avril. Les prix ne sont pas encore connus.

Illustration : Disques durs externes annoncés par Samsung sur le CES 2011 (crédit : Samsung)

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(06/01/2011 16:14:57)

Intel fait des concessions à l'UE pour boucler le rachat de McAfee

En août dernier, Intel avait dévoilé son intention de reprendre le spécialiste de la sécurité McAfee pour un montant de 7,68 milliards de dollars. Toutefois, la Commission européenne avait émis des réserves et lancé une enquête pour vérifier si Intel allait fournir des informations confidentielles sur ses puces qui profiteraient aux solutions de Mcafee et entraveraient la stricte concurrence.

La Commission a envoyé un questionnaire aux principales entreprises de sécurité concurrentes de McAfee, pour leur demander leur avis sur leurs craintes qu'Intel développe dans ses puces des fonctions de sécurité optimisées pour les produits de McAfee. Ce jeudi, Intel s'est donc engagé à fournir à la Commission des informations sur ce dernier point. Aucune des parties n'a toutefois révélé les détails sur les engagements pris, mais la Commission a décidé de reporter sa décision finale au 26 janvier. L'accord de rachat a déjà été approuvé aux Etats-Unis.

Illustration : Appliances McAfee

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(06/01/2011 12:46:17)

Lutte contre les malwares: Sourcefire acquiert Immunet

Le spécialiste de la protection contre les intrusions Sourcefire vient de s'offrir, pour 17 millions de dollars, la start-up Immunet qui va renforcer son offre antivirus. Cette société de dix personnes a été créée en 2008 par plusieurs vétérans de ce secteur, deux des co-fondateurs ayant en particulier travaillé chez Symantec. Sa solution Immunet Protect 2.0 fournit une protection en temps réel. Elle repose sur une plateforme antivirus de type cloud qui travaille avec un agent léger installé sur le poste de travail pour bloquer et détruire les malwares. Sa technologie Collective Immunity permet de protéger un ensemble de postes (illustration ci-dessus). Parmi les offres concurrentes basées sur le cloud figure notamment celle de Zcaler.

Sourcefire a de son côté été fondé en 2001 par Martin Roesch. Ce dernier est l'auteur du logiciel Open Source Snort, système de prévention et de détection des intrusions (près de 4 millions de téléchargements), dont il dirige le développement et sur lequel s'appuie l'offre IPS (Intrusion Prevention System) de Sourcefire.

Avec Immunet, l'éditeur rachète une technologie qu'il juge innovante, qui fournit des solutions dans le cloud à plus de 750 000 utilisateurs dans 192 pays et qui va lui permettre d'accélérer son développement dans ce domaine. Avec cette acquisition, il étend son offre de sécurité et entre en concurrence directe avec les fournisseurs traditionnels de solutions anti-malware. Avec Immunet, Sourcefire va aussi être exploité avec l'anti-virus Open Source Clam A/V, une précédente acquisition de la société. Selon Martin Roesch, l'approche Immunet, qui utilise Clam A/V, consiste à laisser des signatures anti-virus dans le cloud dans une plateforme dont Sourcefire compte se servir pour partager, à terme, des informations sur les menaces avec Snort, Clam A/V et le projet Razorback. « Nous pouvons maintenant voir ce qui se trouve sur les postes de travail », a souligné Martin Roesch rappelant qu'Immunet allait permettre à Sourcefire d'étendre sa surveillance des menaces.

L'offre entreprise sortira fin 2011

Immunet propose à la fois une version gratuite et payante de son offre. Toutefois, lors de la conférence téléphonique organisée pour commenter le rachat, le PDG de Sourcefire, John Burris, a admis que le nombre d'utilisateurs payants n'était pas encore très important aujourd'hui, sans plus de précisions. Il a également indiqué constater une certaine adoption en entreprise.

Greg Fitzgerald, vice-président senior de Sourcefire, a ajouté qu'Immunet proposait aujourd'hui un produit anti-malware grand public et que la version entreprise serait réalisée en coopération avec Sourcefire, bien que la façon dont la console d'administration sera conçue n'est pas encore claire. Selon Martin Roesch, ce produit pour l'entreprise devrait sortir fin 2011. Pour l'instant, c'est le versant grand public du produit qui sera mis en avant.
Sourcefire devrait conserver les équipes d'Immunet, notamment les fondateurs, Oliver Friedrichs, Alfred Huger et Adam O'Donnell.

Illustration : la technologie Collective Immunity d'Immunet Protect 2.0 (...)

(06/01/2011 11:20:02)

BP choisit HP pour consolider ses datacenters et les ouvrir au cloud

BP a annoncé avoir confié à HP le remplacement de ses datacenters à travers le monde. Le contrat, d'une durée de cinq ans, est annoncé pour un montant de 400 millions de dollars. « Selon les termes du contrat, HP fournira des services de centres de calcul à BP, à l'échelle mondiale, pour lui permettre de standardiser et de consolider ses services d'hébergement et de profiter d'innovations telles que le cloud computing » indiquent les deux firmes dans leur communiqué.

Ce contrat constitue en fait une extension au monde entier et une renégociation d'un contrat pré-existant qui ne concernait que le Royaume-Uni, pays du siège de la compagnie pétrolière. L'infogérance des centres de calcul inclut bien sûr l'administration des infrastructures matérielles, y compris les sauvegardes et la supervision, mais aussi celle des middlewares et des bases de données.

HP proposera des services, notamment de support, localisés dans différents pays, y compris en off-shore en Inde. Le prestataire s'est aussi engagé à permettre l'intégration de services de clouds externes en complément d'une offre de cloud disponible en option dans le contrat.

Ce contrat complète ceux signés il y a un an et demi qui réorganisaient la sous-traitance du pétrolier.

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(06/01/2011 10:47:10)

La SSII Ausy acquiert Aptus

Ausy a réalisé 153 ,8 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA) en 2009, Aptus a affiché (sur un exercice de 15 mois) des revenus de 79,6 millions d'euros. Cette acquisition représente un complément en termes de marché et de compétences pour la SSII d'Issy les Moulineaux. Les implantations d'Aptus sont également intéressantes. En France,  où cette société compte 9 implantations. A l'étranger, avec une implantation en Espagne, une autre en Tunisie pour le nearshore.  

Cette opération s'inscrit parfaitement dans le cadre du plan « avenir », dont la première étape vise à atteindre fin 2012 un chiffre d'affaires de 300 M€ et 4 000 collaborateurs, à la fois par croissance organique et par acquisitions. L'opération de rachat d'Aptus a été financée sur fonds propres, indique Ausy, qui ne donne pas le prix d'acquisition. Fin 2009, Ausy disposait de 29 ME de trésorerie.

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(06/01/2011 10:42:02)

Antemeta a soufflé sa 15ème bougie

Comme HP, l'un de ses principaux partenaires, l'intégrateur français Antemeta a débuté son activité dans un garage. Tout cela se passait à des époques différentes et les deux entreprises n'ont évidemment pas atteint des tailles comparables. Mais cette société spécialisée dans le stockage et la sauvegarde qui a fêté ses 15 ans en 2010 affiche tout de même un beau parcours. Durant son dernier exercice clôturé en mars 2010, elle a réalisé un chiffre d'affaires de 32,5 M€ et un bénéfice compris entre 3 et 4 M€. Et, lors du premier semestre de celui en cours, la croissance de ses revenus a atteint 15%.

« Notre stratégie a toujours été de faire attention à nos choix technologies et de limiter le nombre de nos partenaires, explique Stéphane Blanc, le président et fondateur d'Antemeta. Par exemple, nous ne proposons quasiment que du HP/3PAR en baies de stockage ou de l'Emulex en ce qui concerne les carte fiber channel ». Grâce à cette approche, l'intégrateur a pu maîtriser ses coûts de stockage de matériel et limiter le nombre des compétences à acquérir par ses techniciens.

Fort de sa croissance continue, Antemeta a multiplié sa masse salariale par 2,5 ces six dernières années. Lors de son exercice 2010-2011, elle a recruté dix techniciens, ainsi que trois commerciaux répartis entre ses agences du Luxembourg, de Toulouse et de Nantes. L'intégrateur dispose également d'une autre implantation à Lyon. Son effectif de 105 personnes aujourd'hui devrait encore progresser de 15% d'ici juin 2011. Il s'agira exclusivement de recrutements de techniciens. Déjà à l'étroit dans son siège de Voisin-le-Bretonneux (78), l'entreprise a pris les devants en lançant la construction d'un nouveau bâtiment situé à 300 mètres de son implantation actuelle.

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(05/01/2011 17:05:46)

Amazon prépare l'ouverture d'un Appstore pour Android

Les applications seront vendues sur l'Appstore Amazon pour Android, que la société prévoit de lancer plus tard cette année, selon les informations publiées sur le portail en version bêta dédié aux développeurs. Au lancement, cette boutique en ligne sera disponible pour les clients aux États-Unis, et elle s'adressera aux versions 1.6 et supérieures d'Android. Les utilisateurs seront en mesure d'acheter des applications à partir de leur PC, ce qui n'est pas possible avec la version actuelle d'Android Market, ou depuis leur smartphone, et de payer avec leur compte Amazon existant. Ce magasin en ligne comprendra des applications gratuites et payantes.

Pour se différencier d'Android Market, la plateforme commerciale d'Amazon va offrir plus d'informations sur les applications. Les pages relatives au produit afficheront un nombre illimité d'images, des descriptions détaillées et jusqu'à cinq vidéos de deux minutes par produit, selon Amazon.

Prix fixés et approbation préalable


Pour soumettre des applications, les développeurs doivent disposer d'un compte sur Amazon et ensuite en créer un nouveau pour l'Appstore Developer Program. Rejoindre ce programme coûtera 99 dollars par an, c'est plus cher que les frais d'inscription unique de 25 $ pour l'Android Market de Google. Toutefois, Amazon pourrait réviser ce prix lors de la première année d'exercice. L'éditeur se réserve le droit de fixer les prix de détail pour les applications, bien que les développeurs puissent indiquer un « liste tarifaire » qui doit être inférieur ou égal au prix des versions actuelles et antérieures de l'application, que ce soit sur Amazon ou ailleurs. Sur la rémunération, les développeurs retireront 70% du prix de vente de l'application. Contrairement à Google, Amazon aura un processus d'approbation des applications soumises à son Appstore. La société fera des tests afin de vérifier leur fonctionnement sur les smartphones et la sécurité des données des clients. Les programmes à caractère pornographique seront interdits, comme ceux portant atteinte à la vie privée.

Amazon n'est pas la seule entreprise qui lance sa propre boutique pour Android. Les opérateurs mobiles comme Orange cherchent aussi à tirer bénéfice du succès de l'OS mobile. Cette multiplication n'est pas nécessairement une bonne chose du point de vue ergonomique, car cela signifie que les utilisateurs auront besoin de chercher une application sur plusieurs endroits, a déclaré Mark Newman, directeur de recherche au cabinet Informa Telecoms and Media. Toutefois, il constate que cette diversité augmentera la part de marché de l'OS mobile avec une plus grande quantité d'applications.

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