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(05/01/2011 16:33:15)
Qualcomm acquiert Atheros, un spécialiste des composants WiFi
Qualcomm a trouvé un accord pour le rachat du fabricant de puces Atheros pour un montant de 3,1 milliards de dollars, ou 45 $ par action, a déclaré ce mercredi la compagnie du Dr Jacobs. La transaction a été approuvée par les conseils d'administration de Qualcomm et d'Atheros et devrait être finalisée au premier semestre 2011. En acquérant Atheros, Qualcomm espère élargir l'utilisation de ses produits (LTE, HSDPA+...) au-delà des réseaux cellulaires. Selon une étude du cabinet In-Stat, le marché des hotspot WiFi est ainsi censé passer de 2 milliards de dollars en 2010 à 11 milliards en 2014. Le marché des équipements WiFi augmente de 14% par an et a atteint 680 millions de dollars en 2010.
Si Atheros est bien connu pour ses chipsets WiFi, la société fabrique également des composants reposant sur d'autres technologies, comme le Bluetooth, Ethernet et GPS. Lundi dernier par exemple, Atheros a annoncé la commercialisation d'un circuit intégré basse consommation supportant les interfaces Bluetooth et WiFi802.11n, qui peut être utilisé dans les ordinateurs portables, les netbooks, les PC de bureau et les tablettes. Et comme aujourd'hui, les smartphones doivent être équipés d'un nombre croissant d'interfaces sans fil et mobiles, il est nécessaire de mieux les intégrer pour réduire leur coût de fabrication.
En 2006, Qualcomm avait déjà acquis Airgo Networks, spécialisée dans les chipsets WiFi, notamment le draft n du WiFi 802.11.
(...)(05/01/2011 12:26:56)
Samsung annonce la 1ere barrette DDR4
Pour élaborer ce composant DDR4, Samsung a fait appel à une technologie de gravure en 30 nanomètres (nm), réalisant son plus petit circuit à ce jour. Selon le fondeur, cette architecture permettra aux modules DDR4 d'effectuer des taux de transfert de 2,133 Gbit /sec à 1,2 volts, contre 1,35 volts et 1,5 volts pour une DRAM DDR3 à des vitesses allant jusqu'à 1,6 Gbit/sec. Comparativement, la DDR2 ne dépasse pas 800 Mbit/sec. Surtout, comparé à une DRAM DDR3 à 1.5V, le module DDR4 permet de réduire la consommation d'énergie de 40 % sur un notebook, comme l'indique Samsung. Ces économies en énergie résultent aussi de l'utilisation de la technologie Pseudo Open Drain (POD), laquelle, adaptée à la haute performance graphique de la DRAM, permet à la DDR4 de consommer moitié moins d'électricité que la DDR3 lors de la lecture et de l'écriture des données.
Depuis fin décembre, Samsung a fourni pour test à un fabricant de contrôleurs des modules de mémoire en ligne DDR4 (UDIMM) d'une capacité de 2 Go à 1,2 V. Le coréen prévoit également de travailler en étroite collaboration avec un certain nombre de constructeurs de serveurs pour contribuer à faire normaliser la DDR4 auprès de la JEDEC, l'organisme chargé de valider les normes de la mémoire vive, d'ici le second semestre 2011.
Une technologie capable de remonter les prix de la DRAM
Parallèlement à l'annonce de Samsung, une étude publiée par iSuppli a montré que les prix de la DRAM continuaient de baisser. En décembre, ceux-ci ont même atteint leur plus bas niveau de l'année 2010. Ainsi, au 10 décembre, le module de 2 Go DRAM DDR3 s'affichait à 21 dollars US, soit plus de 50% moins cher que son prix (44,40 dollars US) six mois auparavant. Selon les chiffres communiqués par iSuppli, cette baisse ne concerne pas seulement la DDR3, puisque le prix de la DRAM DDR2 a également chuté à 21,50 dollars en décembre, contre 38,80 dollars US en juin. « De manière générale, le prix de la DRAM a été affecté par une demande en PC modérée - surtout pendant la première moitié de 2010 - ainsi que par une plus grande offre de produits utilisant de la mémoire au cours du second semestre 2010, » a déclaré Mike Howard, analyste principal chez iSuppli. Celui-ci indique par ailleurs que rien ne semble pouvoir arrêter l'effondrement des prix de la DRAM. « Si la DDR3 atteint 1 dollar par gigaoctet, les fabricants seront obligés de ralentir leur production, dans la mesure où le coût de production sera supérieur au prix de vente, » a-t-il déclaré.
Cette baisse des prix a également été confirmée par la société de négoce DRAMeXchange basée à Taiwan. Selon elle, les prix des puces DRAM ont atteint un bas niveau en 2010 en raison de la surabondance qui a suivi la période des vacances. Mais pour Dong Soo Jun, président de la division mémoire chez Samsung, « la nouvelle mémoire green de pointe DRAM DDR4 va rétablir la confiance, en particulier quand des modules de 4 Go équiperont des produits grand public. »
(...)(05/01/2011 12:18:27)Motorola finalise la scission de son activité mobiles
C'est désormais officiel. Annoncée il y a plus de deux ans, la scission de Motorola en deux entités distinctes a pris effet ce mardi L'équipementier américain vient en effet de finaliser la séparation de son activité en deux compagnies distinctes : Motorola Mobility, sa division de téléphonie mobile et sa branche professionnelle Motorola Solutions. Anciennement connue sous la marque Motorola, cette dernière mettra l'accent sur la fourniture d'équipement de communication pour les entreprises publiques et privées. Les premières cotations des titres Motorola Mobility auront lieu ce jour sur le New York Stock Exchange sous l'appellation MMI.
Hausse des titres Mobility à l'ouverture
La division mobiles continuera de se concentrer sur la création de smartphones tels que les Droid (sur base Android), Baro, Defy et Flipsife présentés courant 2010. Elle commercialisera également des décodeurs numériques, des produits vidéo et des tablettes tactiles. Cette branche emploie actuellement plus de 20 000 salariés et possède quelque 24 500 brevets. Sanjay Jha, PDG de Motorola Mobility a déclaré dans un communiqué que la structure serait en bonne position pour « tirer parti des opportunités résultant de la convergence des médias, de la mobilité, de l'informatique et d'Internet ». Les titres de Motorola Mobility ont démarré à la hausse. Ils ont monté à 32,78 $ en fin de matinée mardi sur la côte Est, après une ouverture à 31,17 $.
Illustration : Le smartphone Droid de Motorola. Crédit photo : D.R
(...)
Dell acquiert SecureWorks, spécialiste des services de sécurité managés
Les éléments financiers n'ont pas été rendus publics, mais Dell a annoncé l'acquisition de SecureWorks, spécialiste des services de sécurité managés. L'opération ainsi réalisée s'effectue dans un segment de marché en pleine croissance. En Amérique du Nord, les services de sécurité managés ont représenté 1,8 milliards de dollars de revenus en 2009 et ce nombre devrait s'élever à 2,3 milliards de dollars cette année, selon un récent rapport de Gartner.
Avec ce rachat, Dell concurrence plus directement des fournisseurs de services de sécurité tels que Websense et Symantec. Il est probable que cette opération profite à d'autres acquisitions récentes de Dell, comme la société de stockage Compellent.
De belles références
SecureWorks gère plus de 13 milliards d'évènements de sécurité et recense plus de 30 000 types de malwares chaque jour, selon un communiqué. Sa clientèle comprend environ 2 900 clients dont plus de 1.500 institutions financières et plus de 15% des entreprises du classement Fortune 500. 700 personnes travaillent au sein de la société basée à Atlanta et prévoit un chiffre d'affaires de 120 millions de dollars pour son exercice 2010, précise Dell et d'ajouter que l'ensemble des activités actuelles seront maintenues.
SecureWorks a grandi par croissance organique en rachetant notamment l'activité de services managés de sécurité de VeriSign il y a quelques mois, mais aussi en acquérant DNS Limited en 2010. Cette dernière opération lui a permis d'accéder au marché européen. Dell et SecureWorks se connaissent bien et sont partenaires depuis longtemps. Plus tôt cette année, les sociétés ont annoncé des plans pour offrir un ensemble de services de sécurité pour les petites et moyennes entreprises.
(...)(05/01/2011 10:36:02)
Morcelé, le marché de la mobilité cherche à recruter
Le secteur de la mobilité numérique représente 47 000 emplois dans l'hexagone, hors opérateurs télécoms, selon le Syntec Informatique, qui est le syndicat de l'industrie informatique en France. Côté budgets, en 2009, les entreprises françaises ont dépensé en tout 2,2 milliards d'euros pour la mobilité numérique (hors factures de téléphone et de SMS, mais y compris les abonnements aux réseaux de données des opérateurs). Environ un tiers de ces dépenses a été consacré à l'achat d'appareils de type smartphones, terminaux durcis, PC portables etc, et un peu plus de 20% correspond aux abonnements de mobilité data des opérateurs mobiles. Le reste, c'est à dire presque un milliard d'euros a été consacré aux achats de logiciels et de services informatiques pour des applications mobiles.
L'offre de services est particulièrement émiettée. Et ce n'est pas nouveau tant les compétences nécessaires sont multiples face à l'explosion des systèmes d'exploitation et des facteurs de forme pour les terminaux (netbook, tablettes, smartphone). Le Syntec identifie pas moins de 5400 éditeurs et SSII qui travaillent dans le domaine de la mobilité pour les entreprises. Un véritable écosystème se met en place sur le territoire, avec de grands acteurs nationaux et internationaux mais aussi de petites structures qui ont développé une compétence dans le domaine de la mobilité. Notamment 10% de ces prestataires ne travaillent que dans les applications mobiles, et il s'agit principalement de petites structures de moins de 5 salariés. On trouve quelques entreprises de taille moyenne (de 10 à 30 salariés) dont la mobilité numérique est le coeur d'activité. Mais majoritairement (à 65%), les applications mobiles sont prises en charge par des entreprises pour lesquelles cette activité n'est pas majoritaire mais où elle enregistre une forte croissance. Il faut ajouter à ces acteurs les fabricants d'équipements (smartphones, ordinateurs portables, terminaux durcis, composants M2M) ainsi que les opérateurs de télécommunications.
Quelques difficultés pour trouver des compétences
Au bout du compte, les éditeurs de logiciels et les SSII emploient en tout 32 000 personnes dédiées à la mobilité numérique tandis que les entreprises utilisatrices de plus de 500 salariés emploient en tout 15 000 personnes dédiées. La très grande majorité des effectifs sont employés pour des usages B2B. On n'en trouve que 17% travaillant pour des usages B2B2C, 16% pour des usages M2M et 4% pour des utilisations B2C.
Le secteur va avoir de gros besoins dans les années à venir. Les applications mobiles ayant le vent en poupe dans les entreprises. Les éditeurs de logiciels et les SSII prévoient ainsi de recruter 11 000 collaborateurs d'ici 5 ans. Les métiers les plus porteurs seront la conception-réalisation, l'intégration-déploiement et l'assistance. Les bons profils ne sont toutefois pas légion. 24% des éditeurs et 25% des SSII ont des difficultés de recrutement principalement pour les profils conception et réalisation, et de manière moins importante pour les métiers de l'assistance, l'AMOA, l'intégration et le déploiement. Le Syntec regrette que face à ces besoins, il existe peu de formations spécifiques et peu de visibilité de la part des organismes de formation sur le futur de la mobilité numérique. Une action déterminée en direction des formations initiales et des formations continues est indispensable, demande le syndicat.
Cette étude du Syntec a été réalisée entre les mois de janvier et mai 2010. 80 entretiens qualitatifs ont été réalisés avec des fournisseurs du secteur, des entreprises utilisatrices, des organismes institutionnels, des organismes de formation et des salariés du secteur. 300 entretiens téléphoniques ont été effectués aux mois d'avril et de mai auprès d'entreprises utilisatrices de plus de 500 salariés, des éditeurs de logiciels et des SSII.
Firefox devance Internet Explorer en Europe
D'après les chiffres de StatCounter, spécialisé dans la mesure d'audiences sur Internet, les parts de marché de Firefox en décembre s'élevaient à 38,11% en Europe, contre 37,52% pour Internet Explorer. "C'est la première fois que IE a été détrôné de la première place du classement sur un territoire majeur" a commenté Aodhan Cullen, président de StatCounter. Toutefois, cet inversement de tendance est davantage lié à la désaffection du public pour Internet Explorer qu'aux performances de Firefox. Si IE est en chute libre depuis plus d'un an (ses parts en Europe s'élevaient à près de 45% en décembre 2009), l'audience du navigateur libre de Mozilla a peu évolué : 40,8% en décembre 2009, 37,94% en juillet 2010, et 38,11% en décembre dernier.
La chute d'Internet Explorer a en fait essentiellement profité à Chrome, qui a vu sa part passer de 5% en décembre 2009 à 14,58% douze mois plus tard. Le navigateur de Google devient ainsi le troisième browser le plus utilisé par les internautes européens, loin devant Safari d'Apple (4,62%) et Opera (4,57%). Autre facteur d'explication du déclin d'IE en Europe, la mise en place, en mars dernier, du "Ballot Screen" (ou "écran multi-choix") sur les ordinateurs équipés de Windows. Afin de se conformer aux exigences de la Commission européenne, Microsoft a en effet été contraint de laisser aux utilisateurs de son système d'exploitation le choix du navigateur qu'ils souhaitent installer sur leur PC pour surfer sur la Toile.
En Amérique du Nord, IE reste encore leader du marché des navigateurs, avec une avance confortable sur Firefox : 48,92% pour le premier, contre 26,7% pour le deuxième. Là aussi, Chrome a réalisé une véritable percée en grimpant de 5,31% en décembre 2009 à 12,82% en décembre 2010.
Les statistiques mensuelles de StatCounter sont réalisées sur la base d'un échantillon de 15 milliards de pages vues sur la Toile, représentant quelque 3 millions de sites Web.
(...)(04/01/2011 16:58:36)Le prix des puces DRAM chute en décembre
Le prix des puces équipant les barrettes de mémoire DRAM DDR3 a chuté à un prix moyen de 0,84 dollars par unité. C'est un effondrement par rapport à avril et mai 2010 où les puces DRAM se négociaient à 2,80 $, a déclaré Ivan Lin, rédacteur en chef du site DRAMeXchange. Cette baisse a quasiment atteint le prix plancher de 0,81 $ par puce en mars 2009.
La perte de valeur est consécutive à la période des fêtes en occident qui se termine, précise Ivan Lin. Les principaux fabricants tels que Elpida Memory, Powerchip Semiconductor et Samsung Electronics ont continué à produire les puces pour rester compétitif, a-t-il dit. L'augmentation des capacités des usines a également eu un impact sur les prix malgré les avertissements sur une potentielle pénurie de DRAM.
Un marché saisonnier
Les fabricants de PC dépensent environ 10%, soit 20 à 36 dollars, pour la DRAM dans le coût total d'un ordinateur souligne Iavn Lin. La baisse des prix de la mémoire devrait leur permettre soit de réduire les prix ou d'offrir de meilleures performances en ajoutant plus de mémoire. Depuis décembre, les fabricants de PC ont choisi d'écouler une partie de leur stock, a déclaré Helen Chiang, directeur de recherche chez IDC à Taipei. «Ils disposent d'un peu d'espace pour faire des promotions » dit-elle.
Cette tendance basse devrait se maintenir durant le premier trimestre 2011 prévient Ivan Lin. Les prix devraient alors remonter au deuxième trimestre, si la demande se redresse. «C'est saisonnier », a déclaré Eric Tang, vice-président de Powerchip basé à Taiwan. Le plus grand fabricant de l'île avec une capacité annuelle de 130 000 plaques a ajusté sa production en fonction de la baisse des prix. « Habituellement, nous ne voyons pas beaucoup de ventes au premier trimestre, mais dans le second, elles devraient augmenter. »
Crédit photo : D.R.
HP signe un contrat de 2,5 Md$ avec la NASA
HP commence bien l'année. Le fournisseur vient en effet de remporter un contrat d'une valeur de 2,5 milliards de dollars sur 10 ans avec la NASA. En vertu de l'accord, la compagnie va fournir et gérer le parc informatique de l'agence spatiale, logiciels, périphériques accessoires et services mobiles, tout en assurant le support de son infrastructure. La NASA, dont la dépense annuelle informatique s'élève à quelque 1,8 milliards de dollars, possède pas moins de 80 000 PC et portables. La transaction couvre une période de référence de quatre ans et deux options de renouvellement de trois ans. Pour Ray Bjorklund, analyste au sein de Federal Sources, un cabinet de conseil situé à McLean (Virginie), les contrats de 10 ans seraient trop longs. La technologie évolue rapidement et les accords comportent eux aussi des changements, estime ce dernier. L'analyste considère également que la moyenne pour des transactions d'une valeur comparable s'élève à sept ans. De plus, les organismes gouvernementaux utilisent presque toujours les options de renouvellement, assure t-il.
Lockheed Martin poussé vers la sortie
Ray Bjorklund note cependant que les contrats longue durée peuvent aider les entreprises à mieux s'organiser pour réduire leurs coûts durant le cycle de vie de l'accord.
L'accord conclu entre la Nasa et HP s'inscrit dans le cadre d'un programme d'intégration d'infrastructures IT qui comprend l'adoption de pratiques de management alignées sur ITIL (IT Infrastructure Library et qui porte aussi sur l'optimisation de la sécurité. HP succède à ce titre à Lockheed Martin, partenaire de longue date de la NASA. En février 2010, Lockheed avait obtenu une prolongation de son contrat avec l'agence gouvernementale jusqu'au 31 octobre. Dans le cadre de cette extension, d'une valeur de 230 millions de dollars, le prestataire devait assurer le support des PC de bureau, des assistants numériques personnels, de la téléphonie et des services réseau de l'administration américaine. HP n'en est pas à son premier coup d'essai avec les services publics américains. En 2007, la firme avait conclu un contrat sur 7 ans d'une valeur de 5,6 milliards de dollars pour fournir de matériel informatique aux agences fédérales outre-Atlantique.
Illustration principale : L'aéroport Moffett de la Nasa situé à Santa Clara. Crédit photo : D.R
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Windows 7 équipe près de 21% des ordinateurs dans le monde
Lancé à l'automne 2009, Windows 7 progresse rapidement. En décembre 2010, le dernier OS de Microsoft en date était installé sur 20,87% des ordinateurs dans le monde, contre moins de 9% en début d'année dernière. Le parc des PC sous Windows 7 a donc plus que doublé en l'espace de douze mois. En octobre dernier, à l'occasion du premier anniversaire de l'OS, Microsoft avait annoncé qu'il s'était alors vendu 240 millions de licences. A l'inverse, son prédécesseur Vista est passé de 16,5% de parts en février 2010, à 12,1% le mois dernier.
XP garde le contrôle
Toutefois, c'est Windows XP, sorti fin 2001, qui reste le système d'exploitation le plus utilisé au monde. Cette version était installée sur 56,72% du parc informatique mondial en décembre, contre près de 65,5% en février 2010.
Loin derrière Microsoft, Apple s'octroie moins de 5% de parts pour les versions les plus récentes de son système d'exploitation Mac OS X ; 3,05% pour Mac OS X 10.6 (dite « Snow Leopard »), et 1,46% pour Mac OS X 10.5 (« Leopard »).
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