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(10/11/2010 17:35:26)
Avanquest met la main sur MicroApplication
L'éditeur de logiciels Avanquest Software annonce la signature d'un protocole d'acquisition portant sur 100% des titres de la société Micro Application Europe, dans laquelle ont été regroupées ses activités logicielles françaises. Micro Application emploie 70 personnes en France et réalise 20 M€ de chiffre d'affaires. La société présente un profil complémentaire de celui d'Avanquest, tant en termes de produits, que de typologie de clientèle et de circuits de commercialisation. Grâce à cette acquisition, Avanquest compte renforcer son positionnement global sur le territoire français via un portefeuille allant des logiciels grand public jusqu'aux licences destinées aux entreprises. Le groupe réalise 50% de son chiffre d'affaires aux Etats-Unis, 28% au Royaume-Uni et seulement 6,6% en France. Il a affiché un chiffre d'affaires de 88,2 millions d'euros en 2009/2010 (exercice clos au 31mars 2010) et compte 500 collaborateurs dans le monde.
Illlustration : Bruno Vanryb, co-fondateur et PDG d'Avanquest Software. Crédit photo : Syntec numérique
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Talend s'offre Sopera et un tour de table à 34 millions de dollars
Sopera a commencé comme un projet interne pour la logistique au sein de la Deutsche Post, pour évoluer vers la création d'une société. Elle dispose maintenant de près de 60 clients, dont l'organisme postal lui-même, a déclaré Yves de Montcheuil, vice-président marketing de Talend.
SOA, qui a disparu comme mot à la mode ces dernières années, se réfère à une approche de conception des systèmes où les applications sont composées de « services » différentes et parfois en mode partagé. L'objectif est d'assurer une meilleure interopérabilité, ainsi qu'une réutilisation de code. Sopera, basée à Bonn, en Allemagne, offre un ESB pour l'orchestration de ces services, ainsi que des outils de développement SOA, ainsi que de gestion et de surveillance. Toutefois, « SOA est un terme largement utilisé qui peut signifier beaucoup de choses et rien en même temps » souligne Yves de Montcheuil. Talend, qui est basé à Suresnes considère que Sopera s'inscrit dans une convergence croissante entre l'intégration des données et celle des marchés d'applications, en particulier les sociétés de IT qui élaborent des infrastructures de cloud privés ou public » a déclaré le PDG de Talend, Bertrand Diard.
La société fournira une feuille de route pour l'intégration des produits Sopera d'ici un mois. Les salariés seront gardés et Talend devrait même embaucher pour renforcer les ventes et services de Sopera.
Un financement à hauteur de 34 millions de dollars
Si cette opération donne à Talend une meilleure place dans les technologies middleware, des incertitudes ont été soulevées par le fait que l'éditeur pouvait être acquis ? Pour répondre à cette interrogation, Talend, a également annoncé aujourd'hui, qu'elle venait de boucler un plan de financement de 34 millions de dollars apporté par le fonds d'investissement Silver Lake Sumeru.
« En outre, de nombreux responsables informatiques envisagent la conception de leurs architectures avec le meilleur des technologies et non pas depuis une plate-forme toute en un comme le propose Oracle ou IBM » précise Yves de Montcheuil.
Néanmoins, Ronald Schmelzer, directeur associé du cabinet d'analystes ZapThink recommande à Talend de minimiser les liens entre Sopera et SOA dans le sens classique du terme. « SOA peut être là, mais de manière invisible » conclut-il.
Affaire TomorrowNow : Le tribunal réduit les prétentions d'Oracle
Les dommages et intérêts potentiels réclamés par Oracle à travers sa plainte déposée contre SAP seront écrétés de 500 millions de dollars, suite à la décision rendue par la juge Phyllis Hamilton, a indiqué hier l'éditeur allemand de PGI. La décision rendue par la Cour de justice réduit les prétentions d'Oracle de 2,2 à environ 1,66 milliards de dollars, a souligné SAP dans un communiqué. L'éditeur allemand a précisé qu'il s'agissait de la seconde réduction demandée par le tribunal. La firme a ajouté qu'elle était persuadée que, lorsque les jury entendraient sa version, les résultats du procès refléteraient les dommages actuels causés par TomorrowNow sur Oracle. De son côté, un porte parole de l'éditeur de Redwood n'a pas souhaité commenté cette information.
Oracle a intenté à procès à SAP, après avoir découvert que la société TomorrowNow avait volé des applications et des mises à jour sur son site. L'éditeur de Walldorf avait reconnu les faits, la bataille portant sur le montant des dommages et intérêts dont il devait s'acquitter.
Le juge Hamilton a indiqué lundi qu'Oracle ne pouvait prétendre à des dommages pour des opportunités perdues de vente additionnelle de produits.
Peu de clients perdus à cause de TomorrowNow
Oracle peut encore réclamer des dommages pour les gains perdus comme résultante directe du vol commis, et il peut toujours en demander pour ses « licences hypothétiques », c'est-à-dire l'argent que SAP aurait dû payer s'il avait acheté légalement les licences (volées) à Oracle. Lundi, Larry Ellison, PDG de l'éditeur de Redwood, a indiqué que sa société aurait pu facturer 4 milliards de dollars pour cela.
SAP, lui, estime qu'il n'est responsable qu'à hauteur des gains qu'Oracle a perdus comme une résultante directe du vol, ce qui n'inclut pas les licences qu'Oracle aurait pu lui faire payer (le montant des licences est toujours négociée entre l'éditeur et les clients). Il souligne qu'Oracle n'a perdu que peu de clients à cause de TomorrowNow et que lui-même ne devrait avoir à payer que quelques dizaines de millions de dollars.
Le procès, qui en est à sa deuxième semaine au Tribunal du District Nord de Californie, devrait s'achever à la fin de ce mois.
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Gartner : les ventes mondiales de mobiles en forte hausse
Selon Gartner, 417,08 millions de téléphones mobiles se sont vendus dans le monde de juillet à septembre, contre près de 309 millions lors de la même période en 2009 (+35%). Cette croissance est étroitement liée aux bonnes ventes des smartphones. Ces terminaux se sont écoulés à 80,5 millions d'exemplaires au cours du troisième trimestre, soit une progression de 96% sur un an. « Ce trimestre a vu des ventes record pour les smartphones d'Apple et Android » explique Carolina Milanesi, analyste chez Gartner. « La part d'Apple sur ce marché a dépassé celle de Research In Motion (RIM) en Amérique du nord, et pointe au second rang derrière Android, dont les volumes ventes ont aussi progressé rapidement, devenant le deuxième système d'exploitation mobile au monde ».
Nokia, un leader très fragile
Dans le classement global de constructeurs de téléphones, c'est toujours Nokia qui domine très largement les ventes. La firme finlandaise a écoulé pas moins de 117,46 millions de mobiles au troisième trimestre. Mais sa part de marché est en baisse : 28,2%, contre 36,7% lors du même trimestre en 2009. Le trio de tête est toujours complété par le duo sud-coréen Samsung (17,2%) et LG (6,6%), tandis qu'Apple pointe désormais au quatrième rang mondial, avec près de 13,5 millions d'iPhone vendus de juillet à septembre (3,2% de parts de marché). RIM a vendu pour sa part 11,9 millions de BlackBerry (contre 8,52 millions il y a un an), et fait mieux que Sony Ericsson (10,34 millions d'unités, contre 13,4 millions un an plus tôt). Motorola est septième (8,96 millions), HTC septième (6,5 millions contre 2,6 millions il y a un an). Les fabricants chinois ZTE et Huawei complètent le top 10.
Android, l'OS qui monte
Dans le classement des OS mobiles sur le marché des smartphones, c'est la plateforme Symbian, utilisée en grande partie par Nokia, qui est leader avec 29,5 millions de ventes. Mais là-aussi, les parts de Symbian fondent rapidement : 36,6% du marché au troisième trimestre 2010, contre 44,6% un an plus tot. La plateforme Android de Google, qui anime les smartphones de nombreuses marques (Samsung, LG, Sony Ericsson, Motorola, HTC, etc.), a réalisé le bond le plus spectaculaire. 20,5 millions de Google Phone ont été écoulés au troisième trimestre, contre 3,5 millions un an plus tôt. Android est deuxième du classement. Un smartphone sur quatre vendus dans le monde tourne sous cette plateforme. iOS d'Apple est troisième, et devance RIM et les terminaux sous Microsoft Windows Mobile.
Gartner table sur une croissance de 30% des ventes de téléphones mobiles pour l'ensemble de l'année 2010.
Syntec numérique table sur 3% de croissance en 2011 pour les logiciels et services
Né en 1970, le Syntec Informatique change de nom pour laisser place au Syntec Numérique. Un évènement attendu. Depuis l'élection de Guy Mamou-Mani comme président et d'une nouvelle équipe de direction, au mois de juin dernier, le syndicat des SSII et des éditeurs souhaitait se donner une nouvelle image et mieux promouvoir la profession et les entreprises TIC françaises en général.
Le Syntec Numérique devait également regrouper d'autres syndicats professionnels. L'Afdel se fait tirer l'oreille, elle préfèrerait une Fédération professionnelle regroupant des syndicats restés indépendants, l'Acsel (représentant les acteurs du e-commerce) n'est pas encore tentée. Pour l'instant, seul le Geicet a répondu à l'invitation. Ce Geicet (Groupement européen de l'ingénierie du conseil en technologie) représente 70 000 salariés qui s'ajoutent aux 350 000 formés par les adhérents de l'ex Syntec Informatique. Ils rejoindront plutôt le collège conseil en technologie (celui de l'informatique scientifique), l'un des trois grands collèges avec celui des éditeurs et celui des SSII. Au passage, Cisco France adhère au nouveau syndicat.
Les logiciels et services de nouveau positifs
Ce chapître « mariage » une fois refermé, le Syntec Numérique a ouvert, lors de sa conférence semestrielle, son Grand livre des comptes (*) pour exprimer un semblant d'optimisme. La situation s'améliore, mais dans de faibles proportions. Le PIB de la France avait chuté de 7,9% en 2009, il baisse de 1,6% en 2010. Par comparaison, les logiciels et services, qui s'affichaient à la baisse en 2009, de 4%, redeviennent positifs à +1%. Encore s'agit-il d'une moyenne, suivant les secteurs et les tailles d'entreprises, les pourcentages sont évidemment variables.
Les plus performants, les éditeurs, ont atteint 2% de croissance en 2010. Les logiciels d'infrastructures se placent en tête, avec +3%, les logiciels applicatifs en retrait avec +1%. Les logiciels embarqués sont également à 3%, mais représentent une plus faible part de ce marché. « On revient de loin », commente Bruno Vanryb, patron d'Avanquest et président du collège « éditeurs ». Il garde néanmoins la nostalgie des croissances d'antan. La profession reste en effet très en retrait par rapport à 2008. Un programme d'action spécifique aux éditeurs sera présenté, dans le cadre de Syntec Numérique, le 15 novembre prochain, afin de les dynamiser.
L'infogérance applicative en tête
Les SSII sont plus en retard que les éditeurs. « 2010 n'a rien à voir avec 2009 » analyse Olivier Vallet, directeur général de Stéria et Président du collège SSII, « mais les services informatiques ne sont qu'à +0,5% de croissance moyenne sur l'année ». C'est l'infogérance, surtout applicative, qui arrive en tête des activités avec +2%, l'infogérance d'infrastructures se place à +1%, les projets, l'intégration, le développement et l'assistance technique sont à +0,5%, le conseil stagne à 0% (contre -8% en 2009).
Troisième secteur d'activité, le conseil en technologie, avec +2%, retrouve des couleurs surtout aux 2ème et 3ème trimestres. La R&D externalisée se situe à +2%, l'informatique scientifique technique et industrielle à +1%. 79% des répondants constatent une hausse des appels d'offres, mais 20% seulement les voient augmenter en taille. Comme partout, l'optimisme est relatif.
3% de hausse prévue pour 2011
Très attendue, la projection sur 2011, fait apparaître une prévision de 3% de hausse pour les logiciels et systèmes. Là encore l'optimisme reste prudent, et les chiffres variables suivant les métiers. La croissance monterait à 4% pour les éditeurs, resterait à 1 / 1,5 % pour les SSII. Les questionnaires envoyés par IDC à 300 DSI, montrent que 49% des répondants prévoient une hausse de leurs dépenses externes sur 2009, et 53% sur 2011. Les intentions à la baisse sont de 37% en 2009 et 27% pour 2011. Des écarts qui montrent une intention de recourir d'avantage aux prestations des adhérents du Syntec Numérique, mais avec des écarts faibles, d'une année à l'autre, incitant à la prudence. La rédaction a également traité les prévisions de recrutement de Syntec Numérique d'ici la fin de l'année.
(*) Les chiffres du Syntec Numérique sont issus d'une enquête menée par IDC au mois d'octobre 2010.
Illustration: Guy Mamou-Mani, président de Syntec numérique. Crédit photo: Syntec numérique
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Devoteam affiche des revenus en hausse de 7%
Avec 358,4 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA) sur les neuf premiers mois de l'année, Devoteam a progressé de 7%. La marge d'exploitation progresse de 2%, à 19,3 ME. Pour le seul 3ème trimestre, Devoteam enregistre un bond de 10,5 % à 118,2 ME de son CA, de 7% à 6,3 ME de sa marge d'exploitation.
Sur les marchés extérieurs, Devoteam est en croissance trimestrielle en Espagne, en Italie, en Turquie et en Russie. La situation est plus difficile en Europe du nord, Danemark, Norvège, Royaume-Uni.
Pour l'ensemble de l'année 2010, l'objectif est toujours de 485 à 490 ME en chiffre d'affaires, toutefois, le groupe se refuse à toute prévision pour l'exercice 2011.
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