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(09/11/2010 17:33:01)

20 000 clients ont adopté Chatter pour collaborer sur Salesforce

Depuis son lancement en juin, Chatter, l'outil de collaboration de Salesforce.com a été activé par 20 000 clients. « C'est le plus grand lancement dans le domaine collaboratif en moins de six mois, a estimé ce matin, en marge de la journée Cloud Force, Alexandre Dayon, vice président exécutif pour les solutions de CRM chez Salesforce.com. Parmi les derniers convertis en date, Dell vient de mettre à la disposition de 50 000 employés cette solution de type réseau social d'entreprise dont l'interface emprunte à Facebook et à Twitter (une adoption dont pâtit Yammer, la plateforme de collaboration que le constructeur texan utilisait jusque-là). Et Michael Dell aurait même affirmé avoir, dans la foulée, gagné une affaire grâce à Chatter.

Plusieurs éditeurs ont déjà intégré l'outil de collaboration à leur offre. Le Français Caméleon fut l'un des premiers à l'associer à sa solution de configuration de produits. Sur Cloud Force, Loïc Le Meur, fondateur de Seesmic, a annoncé avoir ajouté Chatter à son outil d'intégration de réseaux sociaux.

Dans la prochaine mise à jour d'hiver de Salesforce (Winter '11), Chatter présente une page d'accueil où l'on retrouve le fil de messages, les filtres, les recommandations et, à l'attention des nouveaux utilisateurs, la liste des fonctions offertes. L'outil propose de créer des rapports sur l'activité générée par ses utilisateurs et ceux qui les suivent, de voir qui contribue, etc. L'accès à Chatter coûte 15 euros par mois et par utilisateur.

Salesforce Chatter Central Winter '11
Chatter Central
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Salesforce Chatter Central Winter '11 Analytics
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(09/11/2010 14:57:07)

Affaire TomorrowNow : Larry Ellison réclame 4 milliards de dollars

Vêtu sobrement d'une veste sombre et col roulé noir, Larry Ellison a d'abord été interrogé par David Boies, avocat d'Oracle, et a ensuite subit pendant environ 40 minutes un contre-interrogatoire de la part de Greg Lanier, l'avocat de SAP. L'éditeur de Redwood a poursuivi celui de Walldorf après avoir découvert que TomorrowNow avait volé des applications et des mises à jour sur un site d'Oracle. SAP a reconnu le vol et le procès porte sur l'évaluation du montant des dommages-intérêts.

Le témoignage de Larry Ellison était destiné à montrer quel est le volume de logiciels volés et combien SAP aurait dû payer pour obtenir ces programmes avec une licence. David Boies a demandé quels sont les facteurs pris en compte pour déterminer le prix d'une telle licence. « Il y a un élément très important, c'est combien de clients PeopleSoft et JD Edwards aurait pu nous  faire perdre SAP », a répondu le dirigeant. Il a déclaré au tribunal que les services de TomorrowNow auraient pu permettre à SAP de capter jusqu'à 30% de la clientèle de PeopleSoft et 10 % pour Siebel. Basé sur le prix payé pour l'acquisition de ces entreprises, SAP aurait eu à régler 4 milliards de dollars pour une licence, a précisé Larry Ellison.

Une absence d'inquiétudes écrites

Mais lors du contre-interrogatoire, Greg Lanier a contesté l'affirmation selon laquelle le PDG d'Oracle  se sentait menacé par l'acquisition TomorrowNow ou qu'il était inquiet de perdre des clients au profit de SAP. Aucune preuve n'a été présentée pour étayer ces affirmations, a-t-il répliqué. « Il n'y a pas un seul discours public ou privé, interne ou externe, des présentations, des e-mail ou une note gribouillée sur une serviette qui parlent de tout cela ? » a demandé l'avocat de la défense à Larry Ellison. Ce dernier a souligné «j'ai eu ces discussions avec les gens, mais je n'ai pas tendance à écrire ces choses ». Greg Lanier a aussi noté que seulement 358 clients, sur les 10 000 d'Oracle PeopleSoft sont passés à SAP après l'acquisition de TomorrowNow.

« Est-ce que vous savez exactement pourquoi un client d'Oracle vous a quitté pour aller chez TomorrowNow ? » a demandé l'avocat.

« Non, je ne connais pas les détails pour chaque client spécifiquement » a répondu Larry Ellison

Et 358 clients, « cela est assez loin de 30% des clients de PeopleSoft, ne pensez-vous pas ?" précise Greg Lanier.

« Non » a rétorqué  le dirigeant.

Oracle a environ une semaine supplémentaire pour présenter ses arguments, après quoi SAP aura deux semaines pour exposer sa défense. Le jury devrait alors se prononcer d'ici la fin du mois sur le montant des dommages et intérêts que SAP devra payer.

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(09/11/2010 14:12:05)

Les Français bien équipés en ordinateur

Au troisième trimestre 2010, la France comptait 19 millions de foyers équipés d'un ou plusieurs ordinateurs, selon l'institut Médiamétrie. En un an, 1,2 million de foyers supplémentaires ont été équipés d'ordinateur(s), soit une progression de 7% par rapport au troisième trimestre 2009. Tendance du moment, les ordinateurs portables qui ont connu une forte croissance depuis 2009. En un an, ce sont près de 2 millions de foyers supplémentaires qui ont opté pour un ordinateur portable (+22%). Aujourd'hui, 40% des foyers sont équipés d'un ordinateur portable, contre 26,7% il y a deux ans.

Les netbooks ont le vent en poupe


Sur le segment des portables, ce sont les netbooks qui sont très appréciés des Français. 2,2 millions de foyers en possèdent un, soit deux fois plus qu'en 2009. 8,4% des foyers possédaient un netbook au troisième trimestre. Cette tendance pourrait s'accélérer avec l'arrivée des netbooks tactiles, souligne l'étude. Plus de 150.000 foyers prévoient ainsi de s'équiper d'une tablette dans les six prochains mois.

Parmi les foyers équipés, 28,7% (7,8 millions) sont multi-équipés, c'est-à-dire qu'ils possèdent plus d'un ordinateur. En un an, le nombre de foyers multi-équipés a progressé de 27%.

Cette enquête trimestrielle de Médiamétrie avec le cabinet GfK a été réalisée par ISL auprès de 22.000 foyers représentatifs de la population française.

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(09/11/2010 10:51:49)

Selon GFK, les ventes de tablettes éclipsent celles des netbooks

Si l'on se reporte deux années en arrière, le Netbook faisait la « Une ». Technophiles, analystes et vendeurs s'en félicitaient. « Il s'en est vendu  500 000 la 1ère année » nous rappelle Anselme Laubier de GFK. La vague des netbooks est-elle oubliée ? En tout cas, 2010 sera l'année de la tablette tactile. 450 000 iPad devraient être vendues dans l'hexagone (avec une sortie début juin). Portées à la fois par le buzz (et les talents marketing d'Apple), et le 3ème usage (après celui du PC et celui du téléphone), les tablettes devraient faire un malheur. D'abord chez les technophiles, pour les fêtes de fin d'année, ensuite pour un public et des besoins plus larges.

Il n'y aura pas de cannibalisation entre netbooks et tablettes, nous explique Anselme Laubier. Les technophiles qui s'étaient précipité sur le netbook iront en plus vers la tablette. Le netbook est devenu « deceptive », il ne suscitera pas de rééquipement. Et d'autres utilisateurs que les technophiles pourraient venir  sur les tablettes PC, attirés par les contenus. Si le netbbook a été lancé un peu par hasard, conçu au départ pour les pays émergents par Asus, il a été proposé et a réussi ensuite dans les pays développés, suscitant une floppée de lancements. Le tablette PC est plus réfléchi et offre toute autre chose qu'un remplacement du PC portable à moindre coût, ce qui devrait lui permettre de dépasser le succès des netbooks.

Etude trimestrielle GFK - Médiamétrie

Des éléments tirés de l'étude que publie GFK, conjointement avec Médiamétrie,  « Référence des équipements multimédias »(*). Elle porte sur le 3ème trimestre 2010. Fait marquant, le marché continue d'enregistrer de bonnes progressions. 71,1% des foyers sont équipés en micro-ordinateurs, soit 19 millions de foyers. En un an, remarque l'étude, 1,2 million de foyers supplémentaires se sont équipés. La crise économique n'aurait pas eu de prise sur cet achat. Cette croissance de l'équipement des foyers français en PC est de 7% entre le Q3 2009 et le Q3 2010. Dans le même temps, les connexions à Internet ont progressé de 11%. 67,7% des foyers français disposent désormais de cet accès. Inversement, quelques segments de marché régressent comme le GPS, l'électronique embarquée, l'audio portable.

Autres tendances marquantes, l'envolée des PC portables et le multi-équipement. 2 millions de foyers ont  acheté des PC portables en l'espace d'un an. 40% des foyers en sont désormais équipés. Quant au multi-équipement, 3 foyers sur dix sont dans ce cas. Et 1,5 million de foyers supplémentaires ont rejoint cette catégorie en l'espace d'un an. Des chiffres clés pour connaître les décisions d'achats, qui tiennent à la fois du renouvellement, des primo-accédants, du multi-équipement.

(*) Publiée depuis 5 ans, cette étude trimestrielle est basée sur 11 vagues de 2 000 questionnaires chacune.

 

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(08/11/2010 17:50:14)

Gestion des e-mails entrants : Akio rachète App-line

L'éditeur français Akio vient de racheter son compatriote App-line qui a développé, avec sa gamme Sibilo, des applications de centre de contacts multicanal et des serveurs vocaux interactifs, distribués sous forme de licences et en mode SaaS. Ensemble, les deux sociétés rassemblent 47 personnes et près de 200 clients (Akio en compte 150). « Nous allons coupler deux offres matures pour proposer une application vraiment orientée vers l'utilisateur », explique Patrick Giudicelli, fondateur et président d'Akio. Labellisé par Oséo « Entreprise Innovante » et « Oséo Excellence 2010 », sa société a reçu un soutien financier de l'organisme public.

En 2011, le président d'Akio table sur un chiffre d'affaires de 6 à 6,5 millions d'euros avec App-line (entre 4,5 et 5 M€ sur 2010). Il prévoit 5 à 6 embauches l'an prochain sur ses différents métiers (équipe commerciale, R&D, projet...). Sur le marché français, où il se concentre, Akio est l'un des seuls éditeurs, avec Eptica*, qui se soit dès l'origine focalisé sur la gestion des e-mails entrants. Ses autres concurrents directs sont américains, tels eGain, RightNow ou Kana, qui sont relativement peu présents sur l'Hexagone. Sur son terrain, Akio rencontre aussi les tenors des solutions de téléphonie conçues d'abord pour gérer les appels entrants et/ou sortants (Avaya, la filiale d'Alcatel-Lucent Genesys, CosmoCom, etc.), mais qui couvrent également les interactions sur le web.

La suite Akio Interaction Center comprend un module pour chaque canal de contact : e-mail, chat (dialogue en direct), web selfservice (FAQ, recherche thématique ou en langage naturel, agent virtuel), fax et courrier (dématérialisation des flux entrants), SMS, web callback (rappel du client instantané ou différé sur son téléphone), click to talk (prise de contact immédiat sur Internet, par voix sur IP, text ou appel téléphonique).

Interface d'Akio Interaction Center
L'interface utilisateur de la suite Akio Interaction Center

« Au-delà de la technologie, c'est l'usage qui va primer et faire la différence, affirme Patrick Giudicelli, en rappelant que, maintenant, la majorité des solutions sont disponibles sous IP. Nous nous adressons à de grandes entreprises qui ont des besoins très différents des petites structures, même si nous proposons aussi des solutions aux PME avec une tarification adaptée à l'usage et au nombre d'utilisateurs, sans brider les fonctions du produit. » Le président d'Akio explique que ses grands clients ont besoin de fonctionnalités très abouties, très métier. Au nombre des utilisateurs d'Akio figurent des groupes comme Axa Banque, But, DHL, EDF, Europcar, Fortuneo, GDF Suez, Orange, RATP, SNCF, Smartbox et ViaMichelin.

Des logiciels conçus pour le traitement de l'écrit

« Pour les grandes entreprises, les offres des leaders de la téléphonie présentent souvent des insuffisances sur les fonctions que nous développons, explique le président d'Akio. Ces solutions traitent l'e-mail comme un appel et les interfaces, très orientées sur le traitement de la voix, ne sont parfois pas adaptées à l'écrit. Avec le rachat d'App-line, nous allons nous positionner sur une offre mûre sur les deux domaines. »

Les logiciels Sibilo seront accessibles comme un module à partir d'une seule interface utilisateur, celle d'Akio Interaction Center. Avec App-line, Akio compte aussi consolider son produit Contact Manager pour constituer un début d'application de CRM. Parmi ses intégrateurs, Akio compte des SSII tels que Business & Décision, Steria, Atos ou encore GFI. L'offre qu'il constitue avec Akio sera également soutenue par les partenaires SaaS de l'éditeur, parmi lesquels figurent Orange Business Servcies, SFR Business Team ou Prosodie.

Dans le domaine ou évolue Akio, il est intéressant de rappeler qu'Oracle a racheté la semaine dernière l'éditeur américain ATG, certes avant tout spécialisé sur les solutions de e-commerce, mais qui a aussi acquis, au fil du temps, différents spécialistes de l'interaction client sur le web : Prismus, eStara, InstantService.

(*) Eptica, principal concurrent d'Akio en France, est entré en septembre parmi les acteurs de niche du carré magique constitué par Gartner sur les solutions de gestion du service client sur le Web. Ce "Magic Quadrant for Web Customer Service" place dans les leaders RightNow, eGain et Genesys, dans les challengers, SAP et Kana, et dans le groupe des visionnaires, nGenera, ATG, Interactive Intelligence et Presence Technology. Enfin, dans les acteurs de niche figurent aussi Avaya, Artificial Solutions et Oracle-Siebel.

Illustration : Patrick Giudicelli, fondateur et président d'Akio (...)

(08/11/2010 16:24:52)

Steve Ballmer revend 1,3 Md d'actions Microsoft

Steve Ballmer a décidé de vendre 12% de ses actions Microsoft, ce qui correspond à un montant d'environ 1,3 milliard de dollars. Il s'agit de la première revente d'actions effectuées par le patron de la firme au cours de  ces sept dernières années, a indiqué Reuters. D'après Microsoft, cette initiative devrait notamment permettre au patron de la firme de diversifier ses investissements et de profiter d'une fiscalité plus avantageuse. Pour certains, cette vente d'actions pourrait laisser présager du possible départ de Steve Ballmer, suite à l'échec rencontré par Microsoft sur le marché des tablettes et des jeux mobiles, un secteur actuellement dominé par Apple. Sans surprise, le dirigeant de l'éditeur a souhaité clarifié la situation sur son maintien dans la société. « Même s'il s'agit d'une opération financière personnelle, je souhaite que les choses soient claires afin  d'éviter tout type de confusion », a précisé le PDG de Microsoft qui occupe la tête de la firme de Redmond depuis 10 ans.

49,3 millions de titres à 27 dollars par action

Selon un document publié par l'autorité américaine de régulation,  (Securities and Exchange Commission) Steve Ballmer a cédé 49,3 millions de titres à un prix se situant à 27 dollars par action.. Il a par ailleurs indiqué qu'il envisageait de vendre 75 millions de titres d'ici la fin de l'année. S'il se défait d'un tel volume d'actions, cela signifie qu'il perdra 18% de ses parts chez Microsoft, si l'on se base sur les 408 millions d'actions qu'il détenait auparavant.
Reste que le dirigeant détient toujours 359 millions d'actions Microsoft, soit 4,2% de la société et environ 9,6 milliards de dollars. Cela fait de lui le second actionnaire le plus important, juste derrière Bill Gates.

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(08/11/2010 14:40:32)

Affaire TomorrowNow : Le FBI suit le procès Oracle/SAP

Parmi le public assistant aux débats du procès Oracle/SAP, à Oakland (baie de San Francisco), s'est tenu tout au long de la semaine dernière un agent du FBI (Federal bureau of investigation), signale notre confrère James Niccolai, d'IDG News Service, qui suit sur place l'audition des témoins.

En 2007, au moment où Oracle a débuté ses poursuites contre SAP, ce dernier avait indiqué que le Ministère de la Justice américain (DOJ, department of justice) lui avait demandé, ainsi qu'à sa filiale TomorrowNow, de fournir des documents relatifs à l'affaire. A l'époque, l'éditeur allemand avait déclaré son intention de pleinement coopérer. Puis, en août dernier, dans un document adressé au tribunal, SAP a précisé qu'une enquête du DOJ et du FBI était en cours sur certains faits et circonstances de ce dossier.

A l'origine, Oracle avait déposé dix plaintes contre SAP, invoquant tout à la fois violation de copyright, infraction à la loi fédérale relative à la fraude et aux abus informatiques (Federal computer fraud and abuse act), rupture de contrat et concurrence déloyale. Par la suite, l'éditeur américain a accepté de ne conserver que la plainte pour violation de copyright, SAP ayant reconnu sa responsabilité sur différents points.

La discrétion prévaut


Il n'est pas inhabituel que des représentants du Ministère de la Justice ou du FBI soient présents aux débats d'une procédure civile, afin d'en apprendre davantage sur un dossier ou pour déterminer s'ils souhaitent instruire une procédure pénale. « Nous nous intéressons à cette affaire », a simplement indiqué l'agent fédéral présent jeudi au tribunal, en refusant toutefois d'en dire plus ou de communiquer son nom. Un porte-parole du bureau du FBI à San Francisco n'a pas souhaité confirmer ni infirmer que l'affaire était suivie.

Par ailleurs, le site de Bloomberg a de son côté rapporté que Kyle Waldinger, un procureur adjoint de San Francisco, a également assisté aux débats. Lui non plus n'a pas souhaité en dire plus. Même discrétion du côté de Bill Wohl, porte-parole de SAP qui s'est contenté de réitérer la volonté de sa société à coopérer à toute demande, sans commenter davantage. Chez Oracle, le porte-parole n'a pas souhaité s'exprimer.

SAP a admis que son ancienne filiale, désormais fermée, avait volé sur un site web d'Oracle des éléments destinés à assurer la maintenance de logiciels. Et le procès en cours doit déterminer le montant des dommages et intérêts qu'il doit verser en réparation.

Charles Phillips, qui fut président d'Oracle jusqu'en septembre dernier, a témoigné en faveur de l'éditeur de Redwood la semaine dernière. Quant au PDG et fondateur du groupe américain, Larry Ellison, il doit prendre la parole aujourd'hui, lundi 8 novembre. SAP commencera à assurer sa défense dans une dizaine de jours. Le procès devrait être s'achever avant la fin du mois.

Illustration : Safra Catz, président d'Oracle (à gauche sur la photo), le 4 novembre dernier, en discussion avec Geoffrey Howard, l'avocat représentant l'éditeur américain (au centre), et l'un des portes-parole de la société, au cours d'une pause à l'extérieur de la salle d'audience, pendant le procès pour vol instruit contre SAP. Safra Catz a assisté à toutes les audiences depuis le début du procès le 1er novembre (crédit photo : James Niccolai / IDG News Service). (...)

(08/11/2010 12:20:28)

Oracle envisage des Java Virtual Machine gratuites et Premium

Selon le site Internet The Register, lors de la QCon, une conférence de développeurs qui s'est déroulée à San Fransisco du 1er au 5 novembre, plusieurs tweets ont été émis, après la présentation d'Adam Messinger, vice-président en charge des outils de développement chez Oracle. Ce dernier aurait indiqué qu'il était dans les plans de la firme de Redwood de fournir une édition « premium » du JDK en plus de celui Open Source. Il semble que les deux versions seront basées sur la convergence JRockit VM et de la JVM Hotspot de Sun Microsystems. Ce rassemblement des JVM s'inscrira dans le cadre du projet OpenJDK. Cette fusion entre les deux solutions de VM Java a été annoncée depuis quelques temps par Oracle. Par contre, la coexistence d'une formule gratuite et d'une payante est une information nouvelle.

Le dirigeant s'est par contre bien gardé de donner une date et des prix pour cette version premium. Il a seulement assuré à ceux qui utiliseront la solution gratuite « de grandes performances ». La partie premium devrait s'intégrer plus facilement dans le middleware des solutions d'Oracle. Les développeurs restent dubitatifs sur l'avènement d'une double version des machines virtuelles Java. Ils soupçonnent le spécialiste de la base de données de vouloir augmenter ses revenus, comme il vient de le faire en augmentant sensiblement le support et la maintenance de MySQL. A suivre

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(08/11/2010 10:45:00)

Trimestriels Keyrus : CA en nette hausse

L'intégrateur Keyrus, spécialisé en CRM, BI, eBusiness, publie les chiffres de son troisième trimestre. Le chiffre d'affaires se monte à 26,4 ME au 3ème trimestre 2010 en hausse de 8,7% par rapport au même trimestre de 2009.  Pour les neuf premiers mois de l'année, Keyrus enregistre une croissance organique de 10,3%.

Les grands comptes, qui forment les 2/3 de l'activité sont même à 12% de croissance au 3ème trimestre. Inversement, le mid market est à +1,2% sur ce trimestre, les résultats annuels devraient également être décevants sur cette cible de clientèle. (...)

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