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(30/03/2010 14:25:23)
Belfast, terre d'accueil pour les entreprises IT
De la situation géopolitique aux efforts réalisés pour attirer les investisseurs à Belfast, l'Irlande du Nord dispose de beaucoup d'attraits pour les entreprises. Les activités technologiques sont propices à ce climat socio-économique et se développent dans plusieurs domaines. Enfin, les liens entre l'université et l'entreprise aboutissent à la création de société mêlant recherches et industrie.
Pour consulter notre dossier, nous vous invitons à cliquer sur ce lien : Belfast, terre d'accueil pour les entreprises IT
Photo : Projet du quartier d'affaires Titanic (...)
Free, isolé dans la hausse du prix du triple play
A l'époque, le haut débit était plutôt relatif avec un débit de 512 kbit/s. Depuis, la situation a nettement évolué, grâce à l'amélioration technique du DSL qui autorise des débits théoriques de 28 Mbit/s. Free a fait de son tarif de 29,99 € son meilleur atout marketing pour gagner des parts de marché, et a imposé la téléphonie sur IP avec plus d'une centaine de destinations gratuites et le triple-play avec un bouquet de base gratuit de 150 chaînes de télévision. Ce développement a été rendu possible par la baisse du tarif de dégroupage organisé par l'Autorité de régulation télécoms, l'Arcep, permettant aux opérateurs alternatifs de rentabiliser leurs investissements. Grâce à son modèle économique « low cost » qui réunit une structure légère, un recrutement en ligne, des dépenses publicitaires réduites au minimum, Free est devenu très rentable.
Un ARPU bénéficiaire
Fin 2009, l'Ebitda (le chiffre d'affaires avant le paiement des taxes, des intérêts, les dépréciations et les amortissements) de Free représentait 39,4 % de ses revenus. C'est-à-dire un taux comparable au niveau de marge brute enregistré durant les belles années par les opérateurs mobiles tricolores, quand de nombreux spécialistes, à commencer par les dirigeants d'Iliad, trouvaient le marché mobile trop cher et peu concurrentiel. On pourrait donc considérer que le prix du triple-play pourrait baisser, d'autant que l'Arpu (revenu moyen par abonné) des clients de Free est bien supérieur au tarif facial de l'offre. Il atteint 36,3 € grâce aux revenus générés par les services payants tels que les bouquets de télévision, la VOD, etc. De plus, le tarif du dégroupage a baissé en 2009.
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Une demande isolée
Manifestement, le prix ne va pas baisser, Xavier Niel, le patron d'Iliad - la maison mère de Free -, ayant affirmé, lors de la présentation de ses comptes annuels 2009 que le tarif du DSL pourrait enregistrer une hausse d'environ 5 € cette année. Cette hausse serait provoquée, selon lui, par les contentieux engagés par l'UFC Que Choisir. Une explication qui fait sourire chez les concurrents, mais qui reconnaissent que le coût de la gratuité de la hotline obtenue à l'issue d'une longue bataille par les associations de consommateurs, induit un coût financier de plusieurs dizaines de millions d'euros par an. Pour autant, une hausse des tarifs ne semble pas d'actualité et les concurrents de Free ne semblent pas se sentir concernés par les déclarations de Xavier Niel. Pourtant, SFR, comme Bouygues Telecom pourraient avoir un intérêt dans une hausse du prix du DSL. SFR supporte des coûts plus élevés que Free avec ses réseaux de boutiques, des frais publicitaires importants, des coûts de rétention pour baisser le churn et la migration des parcs acquis. Dès lors, sa marge d'Ebitda dans le fixe ressort ainsi à 17,5 %.
Financer les projets fibre et mobile
Mais le tarif de 29,90 € semble constituer un plafond, et les opérateurs alternatifs pourraient attendre la commercialisation des accès à très haut débit pour augmenter significativement le revenu par abonné en proposant de nouveaux services payants. En fait, les raisons d'une hausse du DSL seraient purement internes à Iliad, qui devrait augmenter ses moyens financiers pour faire face à tous ses projets.Non seulement Free doit investir dans le mobile et le FTTH (fibre optique jusqu'à l'abonné), mais Free pourrait aussi avoir à réinvestir dans le DSL pour défendre ses parts de marché qui sont en baisse d'un point dans la croissance annuelle du marché en 2009 et améliorer son réseau, tout en poursuivant le dégroupage de nouveaux NRA (noeud de raccordement d'abonnés).
(...)(30/03/2010 11:25:40)Lefebvre Software a développé ses ventes de logiciels en 2009
Un an après le rachat d'ASGroupe, l'éditeur de logiciels de finance et RH Lefebvre Software a profité des ventes croisées entre bases installées pour faire croître ses ventes de licences de 6,4%, à 7,2 M€, en 2009. « Nos solutions comptables Iris et les logiciels de consolidation financière d'ASGroupe sont complémentaires, rappelle Viviane Ribeiro, présidente de Lefebvre Software. Nous avons aussi gagné des parts de marché avec Iris Finance et réalisé de nombreux projets de dématérialisation avec nos partenaires VDoc et ReadSoft ». Les solutions de paie/RH de l'éditeur ont également bien fonctionné, portées par les évolutions législatives du domaine. « Il y a eu beaucoup de nouvelles affaires au quatrième trimestre, alors que les projets avaient été jusque-là gelés à cause de la crise. Et, cela se poursuit sur le premier trimestre 2010 », apprécie Viviane Ribeiro.
L'éditeur dit avoir concrétisé une soixantaine de nouvelles références en 2009, dont près de 80% sur les outils de gestion de la performance (CPM, corporate performance management) acquis avec ASGroupe.
Services en baisse, SaaS en hausse, solutions cloud en préparation
Lefebvre Software n'a toutefois pas été épargné par les restrictions budgétaires opérées par ses clients. Ses bonnes ventes de licences et ses revenus de maintenance (en hausse de 3%) n'ont pas compensé la baisse de son activité services (en retrait de 7%). Globalement, son chiffre d'affaires 2009 s'est donc légèrement tassé, à 31,2 millions d'euros, alors que fin 2008, l'éditeur pesait 31,7 M€ en additionnant son chiffre d'affaires et celui d'ASGroupe.
« Ce qui a notablement diminué sur les services, ce sont les petites journées de prestation que les clients nous commandaient ponctuellement, après l'intégration des logiciels ». Par ailleurs, en 2009, à la suite de la fusion entre les deux éditeurs, une dizaine de collaborateurs a quitté la société. Cette dernière compte actuellement 270 salariés et 2 500 clients.
Point positif pourtant, sur les quelque 13 M€ générés par les services, l'activité SaaS (software as a service) a progressé de 7 à 8%, à un peu plus de 2 M€, surtout sur des solutions de paie et de gestion des ressources humaines avec souvent, chez les clients, des modèles hybrides. Entre la maintenance et le SaaS, « la consolidation du chiffre d'affaires récurrent est donc en augmentation », fait remarquer Viviane Ribeiro. Et cela conforte aussi la hausse des ventes de logiciels « sur un marché en régression l'an dernier ».[[page]]
En 2010, Lefebvre Software va poursuivre sa croissance externe « afin d'avoir une base solide en France », car l'éditeur compte étendre sa présence au-delà de l'Hexagone en 2011. Fidèle à sa stratégie de complémentarité, il recherche du côté du marché RH. « Nous avons beaucoup de difficultés à trouver ce que nous souhaitons », reconnaît toutefois Viviane Ribeiro qui aimerait pourtant effectuer ce rachat avant l'été.
Sur la partie produits, la dirigeante indique aussi que l'éditeur travaille sur une version d'Eagle One (consolidation/reporting) et d'Open Iris (gestion des immobilisations) à mettre à disposition sur un modèle cloud. « L'offre sortira début 2011. Ce qui nous permettra d'être plus rapides dans nos développements, en France, mais aussi en Espagne et en Italie où nous disposons déjà de filiales, chacune gérant une cinquantaine de clients. »
L'éditeur s'est fixé un objectif de croissance de 5% pour l'année en cours. « Nous sommes sur le plan de marché au premier trimestre et les projets sont là », note pour l'instant Viviane Ribeiro. La société vient tout juste de signer un important contrat pour un projet de consolidation financière (un client ayant plusieurs centaines de filiales à consolider).
Sully Group acquiert IBL et ouvre une activité SAP
La SSII lyonnaise Sully Group applique son plan de marche défini il y a plus d'un an pour la période 2009-2015 en ouvrant une activité SAP. Pour cela, elle a racheté IBL, une société spécialisée dans le monde SAP dont le P-dg, Olivier Carron devient directeur des opérations de la nouvelle activité SAP de Sully Group. « En rachetant IBL, nous avons racheté des compétences dans le monde SAP, tous les comptes clients que nous connaissons ou que nous avons en prospects raisonnent SAP », nous explique Robert Cohen, P-dg de Sully Group.
Sully Group recherchait une entreprise de moins de 30 salariés, IBL en compte 15, et qui soit proche de ses bases. IBL est justement située en région Rhône-Alpes avec un bureau à Paris. Sully compte les deux tiers de ses 210 collaborateurs en Rhône-Alpes, une douzaine sur Strasbourg. « Nous les connaissions depuis plusieurs années, ils voulaient s'adosser à un groupe plus important, le rapprochement était donc naturel », souligne Robert Cohen. L'activité SAP devait croître de 15% par an chez Sully Group, les autres activités (ingénierie, TMA, support fonctionnel et technique, conseil et études) restant proches de 5% de croissance.
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La société Sully Group est implantée sur Lyon, son siège, et compte des agences à Grenoble, Paris, Strasbourg. D'autres implantations locales sont à l'étude, plutôt par croissance externe.
30 salariés, sur 210, détiennent 100% du capital
Sully Group a réalisé 14,5 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2009, IBL 1,5. Le nouveau groupe devrait réaliser 16 ME en 2010 dans un contexte de crise. Les deux sociétés ont un long passé. Sully Group a été fondée en 1980 sous le nom de RTI. Le groupe Bossard détenait une participation minoritaire, mais devint majoritaire en 1988 en transformant la société en Bossard Systèmes. En 1994, les dirigeants salariés de Bossard Systèmes rachètent la société. Trois ans plus tard, elle devient Sully Group (du nom du ministre des finances d'Henri IV !). 30 salariés, sur 210, détiennent 100% du capital « ce qui donne à la société une culture très particulière », note Robert Cohen. (...)
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