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(29/03/2010 13:17:24)
RIM achète Viigo, un développeur de logiciels pour mobiles
Viigo, un éditeur de logiciels qui conçoit du contenu dédié pour téléphones mobiles a fait savoir par une brève information parue sur son site internet, qu'il avait été racheté par Research In Motion. Le logiciel client de Viigo permet aux utilisateurs d'avoir accès, à partir de leur téléphone portable, à une série de services tels que la météo, la bourse, des informations sportives, des podcasts ou les grands titres de la presse en choisissant et en configurant eux-mêmes leurs sources, selon leurs préférences, puisque le logiciel est personnalisable.
Viigo commercialise également un produit professionnel qui permet aux salariés d'accéder à des informations diffusées par leur entreprise via un logiciel serveur développé par l'éditeur. Mis en place derrière le firewall par l'administrateur réseau, le logiciel permet d'envoyer des flux, comme par exemple un agenda de rendez-vous professionnels, une liste de produits avec leur descriptif et leurs tarifs, aux travailleurs nomades. En un seul clic, l'utilisateur peut ajouter à distance un événement dans son calendrier personnel ou se connecter pour compléter les fiches de ses projets ou de ses prospects en cours. Outre les utilisateurs individuels et les entreprises, le logiciel de Viigo pourrait intéresser le secteur des médias, les opérateurs mobiles ainsi que les développeurs d'applications pour Smartphone pour distribuer du contenu aux utilisateurs finaux.
Alors que le site Web de Viigo montre - entre autre - la photo d'un téléphone de marque HTC, le développeur favorise fortement l'utilisation de son logiciel sur les appareils BlackBerry. D'ailleurs, dans une note succincte présente sur le site Web de Viigo, Mark Ruddock, son PDG, informe que son équipe continuera à développer pour le BlackBerry, sans dire si le logiciel continuera à fonctionner sur d'autres plateformes. RIM n'a encore publié aucun communiqué de presse concernant l'acquisition et n'a pour l'instant fait aucun commentaire suite à l'annonce faite par Viigo sur son site web. Les deux entreprises n'ont pas non plus divulgué les modalités de la transaction.
Techno 5 tombe dans le giron d'ACTI
Pour le groupe de services et de conseil qui cible les grands comptes, l'opération remplit deux objectifs : étendre sa couverture géographique et acquérir de nouvelles compétences. De fait, Techno 5 dispose de bureau à Paris, à Miami et à Montréal. Des points de présence depuis lesquels ses consultants rayonne sur les Etats-Unis, le Canada et les principaux pays d'Europe. Techno 5 apporte également à ACTI son expertise pointue du marché pharmaceutique et son savoir-faire dans l'informatique financière, le décisionnel, les infrastructures systèmes et réseaux et le développement d'application web.
Pour 2010, Techno 5 table sur un chiffre d'affaires prévisionnel de 9,5 M€ et un résultat d'exploitation de 850 K€. Son effectif devrait atteindre 100 collaborateurs. (...)
Trimestriels 2010 : Oracle solide et confiant pour l'avenir
Confortée par la croissance de son activité logicielle, Oracle a présenté des résultats pour son troisième trimestre fiscal 2010 (clos le 28 février) montrant une hausse de 17% de son chiffre d'affaires à 6,4 milliards de dollars par rapport à l'exercice fiscal précédent. Le bénéfice est en baisse de 10% à 1,18 milliards de dollars et s'explique par l'impact de l'acquisition de Sun Microsystems. En excluant les charges exceptionnelles liées à ce rachat, le bénéfice par action progresse de 9% à 1,9 milliards de dollars ou 0,38 dollars par action. Ces résultats sont en ligne avec les attentes des analystes.
Sur les revenus issus de la vente de logiciel, qui est considéré comme un indicateur clé de la bonne santé du marché, ils augmentent de 13% à 3,3 milliards de dollars, représentant un peu plus de la moitié du chiffre d'affaires du groupe. La branche matérielle affiche un revenu de 458 millions de dollars, mais ce chiffre n'est pas représentatif et devrait progresser avec l'intégration de Sun. Charles Phillips co-président d'Oracle a expliqué qu'un produit comme l'Exadata connaît une forte demande « avec près de 400 millions de dollars de commandes prévues ».
Les perspectives sont donc au beau fixe. Pour le trimestre en cours, Oracle table sur un bond de 31 à 36% de ses ventes. « Nos prévisions sont très fortes tant dans les logiciels que dans le matériel », explique Safra Catz, co-président d'Oracle.
Une dent toujours dure envers SAP
Il est de tradition, pour les dirigeants d'Oracle, lors de la présentation des résultats, de tacler le rival de toujours SAP et celle du troisième trimestre n'a pas échappé à cette règle. Le PDG, Larry Ellison a attaqué durement la technologie de l'éditeur allemand et en particulier le langage de programmation ABAP, qui est en concurrence avec Oracle Fusion Application. En retard, cette plate-forme devrait être dévoilée au second semestre 2010. « Nous ne souhaitons pas faire l'erreur de délivrer une solution trop tôt. Sommes-nous en retard sur Fusion ? Oui nous le sommes, mais je préfère attendre que de proposer un produit pauvre » explique Larry Ellison et d'ajouter « nous allons rivaliser avec une technologie SAP vieille de 25 ans. En délivrant Fusion, nous serons très compétitifs pour devenir le numéro un des applications à la demande ».
Le grand patron est également revenu aussi sur les synergies liées à l'intégration de Sun à travers les différents produits et notamment Exadata, un serveur de stockage dédié aux bases de données Oracle. Les premières versions de cet équipement étaient réalisées en partenariat avec HP, avant de basculer sur Sun dans la deuxième version. « Il y aura d'autres produits comme l'Exadata, qui disposeront maintenant des solutions logicielles que nous vendons » annonce Ellison et de souhaiter « devenir le meilleur dans les processus à fortes demandes transactionnelles ».
(...)(26/03/2010 10:31:22)ActivNetwork lève 2,5 millions d'euros
Créé en 2004, la société ActivNetworks a développé BoostEdge, une application de type Application Delivery Controller, qui permet d'accélérer et d'optimiser les flux internet. Elle concurrence ainsi des acteurs comme Cisco et F5 mais s'avère encore loin de disposer de leur notoriété. Justement, « cette levée de fonds va nous permettre de lancer des opérations de marketing et de communication autour de notre offre, explique Serge Cuesta, le président et co-fondateur d'ActivNetworks. Nous allons également entreprendre le développement de notre réseau de partenaires ». En 2010, l'entreprise compte en effet faire passer son modèle de vente à 100% en indirect. Jusqu'ici, elle disposait de partenariats avec des gros acteurs comme IBM ou encore Cap Gemini, et répondait principalement en direct à des appels entrants.
25 embauches de plus dont celle d'un responsable des partenaires
« ActivNetworks dispose d'un effectif de 14 personnes. Cette année nous serons 25 de plus, avec, notamment, le recrutement d'un responsable du développement de notre réseau de ventes indirectes », poursuit Serge Cuesta. Ce dernier sera chargé de recruter des intégrateurs, pour la plupart des spécialistes des applications et, dans une moindre mesure, des intégrateurs réseaux. L'atteinte d'une douzaine de partenaire marquerait une première étape dans le développement du réseau de distribution d'ActivNetworks.
Illustration Serge Cuesta, président. D.R.
(...)
Annuels Aubay : Une année 2009 difficile pour la SSII
Le résultat net de la SSII française a beaucoup souffert du climat économique difficile de l'année 2009. Comparé à 2008, ses bénéfices ont ainsi chuté de 47% à près de 3,9 M€. Le résultat opérationnel se situe quant à lui à 8 M€ environ, soit un recul de 35%.
Sur l'ensemble des pays (France, Belux, Italie, péninsule ibérique) où l'entreprise est présente, sont chiffre d'affaires a baissé de 8,8% à 147,2 M€. En France, où elle réalise 41% de son activité, la décroissance des revenus s'établit à -6,5%. En Italie et dans la péninsule ibérique, les reculs des chiffres d'affaires n'ont pas été aussi contenus, atteignant respectivement -21,3% et -16,6%.
Pour l'exercice 2010, Aubay s'est fixé un objectif de croissance organique du chiffre d'affaires compris entre 5 à 7% et prévoit d'améliorer sa rentabilité.
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IDC contredit ses concurrents sur l'évolution du marché des composants en 2010
Au cours d'un séminaire qui s'est tenu à Taipei mercredi, IDC a pris le contrepied de ses concurrents. IDC estime que le chiffre d'affaires de l'industrie des semi-conducteurs devrait progresser de 16% cette année. Ses rivaux se montrent plus optimistes, Gartner prédit 20% avec un marché à 276 milliards de dollars cette année, par rapport aux 231 milliards de l'année passée. Le Crédit Suisse explique de son côté que les entreprises vont commander de nouveaux PC cette année, raison pour laquelle l'industrie des mémoires devrait repartir.
Des estimations divergentes
Autre étude et même vent d'optimisme du côté du cabinet IC Insight qui prévoyait même 27% de croissance des revenus pour les mémoires en 2010, dans une étude publiée le mois dernier. Ce cabinet prédit que le chiffre d'affaires des mémoires DRAM va augmenter de 74% cette année pour prendre la tête du rebond sur le marché de la mémoire. IDC voit aussi les DRAM comme un contributeur majeur au rebond du marché des puces, mais avec 44% de progression.
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En fait, IDC prend le problème autrement, expliquant que la demande ne sera pas totalement au rendez-vous. Certes le rebond pour les mémoires se confirme cette année, mais IDC veut modérer l'optimisme de ses confrères : la demande reviendra plus tard que prévu cette année, le chômage dans les marchés clés et la fin des plans gouvernementaux de stimulation des investissements vont ralentir la demande des particuliers.
La reconstitution des stocks dope la demande de puces
Côté entreprises, le marché des puces est à la hausse en 2010, principalement en raison de la récession mondiale qui a provoqué un ralentissement tellement tôt l'année dernière que les entreprises ont dû rattraper et réapprovisionner leurs stocks. Cette reconstitution des stocks représente environ la moitié de toutes les commandes de puces, souligne IDC. Le reste est du à la reprise, c'est plus lent que prévu et insuffisant pour prendre le relai de la reconstitution des stocks.
Globalement, IDC estime que la récession reste un problème et que la reprise sur le marché des puces ne se fera que progressivement.
Econocom lance une offre de migration vers Windows 7
Windows 7 représente plus qu'un nouveau système d'exploitation. Beaucoup de clients ont laissé passer Vista et ne devraient pas délaisser un deuxième changement. Et, après la crise, les budgets repartiront, espèrent analystes et fournisseurs, permettant d'acheter Seven, en migration simple, en upgrade de postes, en changeant le parc.
Dans cette perspective, Econocom a concocté une offre de migration, nommée « 7 remote services », la cinquième au catalogue de la société. Elle passe par l'étude d'impact la communication vers les utilisateurs et l'utilisation d'outils de pilotage à distance. « Seven permet justement de travailler à distance plus facilement qu'avec d'autres systèmes d'exploitation et nous avons développé des plate-formes de services qui nous permettent d'assurer à distance certaines tâches assurées auparavant sur place», note Didier Bertho directeur général de l'activité services de Econocom.
Au total, avec cette nouvelle offre, Econocom prend sept engagements qui parlent non seulement de la phase technique de migration, mais de l'étude d'impact ou de l'exploitation à distance en passant par l'aide aux utilisateurs. Le message est clair : rationaliser la phase de migration pour éviter qu'elle pèse sur l'activité informatique de l'entreprise par une surcharge temporaire de travail. Avec cette nouvelle offre, Econocom pense faire économiser jusqu'à 30% d'un budget de migration à ses clients.
Siemens externalise sa branche informatique SIS
Siemens va supprimer des emplois dans ses activités de services informatiques (SIS) et restructurer cette branche, en vue d'engranger 500 M€ d'investissements additionnels d'ici à 2012. Ce plan prévoit la suppression de 4 200 emplois dans le monde, dont 2 200 en Allemagne, sur un effectif total de 35 000 salariés. Cette réduction d'effectifs touchera en premier lieu les salariés travaillant sur les principaux sites allemands. Concernant les 2 200 réductions d'emplois hors Allemagne, la plupart - environ 1 700 - auront lieu en Europe. La France n'est pas épargnée, l'équipementier télécoms ayant annoncé le 9 mars, en Comité central d'entreprise (CCE), l'externalisation de sa branche informatique SIS basée à St-Denis (Seine-St-Denis), selon la CFTC. Le syndicat souhaite le report de ce projet et considère que ce dernier ne garantit en rien l'activité en France mais qu'au contraire elle organise la délocalisation vers SIS Italie, Belgique et Espagne. Le syndicat exprime également ses craintes sur les risques d'un passage à la convention collective Syntec qui pourrait avoir pour conséquence une baisse importante des avantages pour les salariés et notamment des indemnités de licenciements en cas de plan social.
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